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Tout ce qui a été posté par Jedino
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Je viens de capter qu'à 1:40, il fait une quenelle! c'est un précurseur :smile2:
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Sincèrement? Je ne connaissais pas la chanson jusqu'à aujourd'hui, mais c'est sympa^^
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Une traduction de toi?
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A t'accepter tel que tu es, physiquement et mentalement, ce qui ne veut pas dire que tu dois accepter d'être dans un état de tristesse (je le mets volontairement non pas pour diminuer le sens de ton propos mais justement pour éviter le terme auquel tu tiens tant ici, peut-être à raison, peut-être à tort, qui sait finalement?). Si je peux comprendre que tu tiennes, après tout ce temps, à ta façon d'être, ou que tu penses être ta façon d'être, la "dépression", cela reste un état considéré comme pathologique, c'est-à-dire "anormal". Mais un état, ce n'est pas être, ce n'en est qu'une tendance, une manière de l'exprimer, ton être. Ce n'est pas moi qui te dirait qui tu es, mais je peux te dire que tu n'es pas un dépressif. Tout au mieux (enfin au pire) tu en as/fais une. Je vais te raconter un secret : J'ai horreur d'être dans un groupe et j'ai horreur de parler. A tel point qu'au début une prof' me trouvait "autiste". Je sais que ça semble être une nécessité, mais tu n'es pas obligé de faire comme les autres. Tu es en droit de faire comme tu le sens. Si c'est ce que tu souhaites, eh bien, continue à essayer, à t'intégrer. C'est difficile, ô combien, surtout que les groupes se forment en général au début d'une année. Mais difficile n'est pas impossible. Et, sincèrement, il m'arrive de perdre le fil de mes idées, d'être confus (souvent), et parfois même, de ne pas trouver les mots ou de bégayer. Bref, communiquer n'est pas un atout chez moi. Cela ne m'empêche pas et d'apprendre à le faire, en comprenant pourquoi et comment je peux le faire évoluer et, surtout, en persévérant. S'ils te paraissent avoir tant d'aisance, de facilité, c'est parce que tu n'as peut-être pas, effectivement, baigné autant dans le milieu social jusque là. Cela ne veut pas dire que ça doit rester ainsi éternellement. Voilà, exactement :)
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Euh, le débat ne m'intéresse pas plus que ça, même si le fait que le prof nous en parle avec ironie ce matin m'a amené à le survoler. Mais, de la torture psychologique parce qu'il faut poser son cul, euh, ça me semble aller un peu loin, là. Enfin, je ne me sens pas en souffrance parce que je dois m'asseoir, personnellement. Et, s'il lui vient à l'idée que par respect pour les autres il n'a pas à en foutre partout, je ne vois pas où est le souci. Puis, on passe nos journées assis. Ce n'est pas un réflexe, ça, de s'asseoir religieusement pour écouter prêcher la bonne parole? Puis, le système éducatif en Suède est probablement critiquable, c'est clair. Reste qu'on est assez mal placé pour faire les indignés, vu l'égalité parfaite de notre société entre l'homme et la femme et la qualité du système éducatif par rapport à ces pays nordiques. Mais on se trouvera sûrement des excuses pour justifier cela?
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Je me disais plus ou moins la même chose pour une raison que je ne connaissais pas, même en soupçon. Jusqu'au jour où je me suis dit : "et si je n'avais pas de problème?". Parce que oui, autant que je me souvienne, j'ai toujours eu cet air déprimé, un peu à côté, etc. Mais au fond, peut-être que j'ai une façon d'être, disons, un peu en marge? Ce que je veux dire, c'est que tu t'accroches au terme de dépression, comme si cela était l'ami que tu n'avais pas réellement. Ce que je vais te dire n'est pas une chose facile à faire, mais elle est essentielle : accepte-toi comme tu es. A partir de là, les autres y parviendront aussi, à moins de rencontrer quelqu'un capable de te comprendre et de t'aider. C'est rare, mais ça existe. Tu le dis toi-même à demi-mot, au final : tu ne comprends pas ton problème. Possiblement parce qu'il n'existe pas. Ce n'est pas le "malade imaginaire". Il y a bien une chose qui fait que c'est le cas, mais ce n'est pas forcément ce que nous croyons.
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Euh, j'ai la flemme de le lire, mais la phrase de Tocqueville, comme je la lis, c'est plutôt un reproche envers les Français et non pas un une apologie de l'esclavage. Pour le reste, c'est à voir. Mais l'européen de l'époque dont on parle se pensait souvent réellement comme devant apporter aux inférieurs le savoir que nous, les supérieurs, avons. Cela a changé. Je vois pas en quoi j'aurais à souffrir de propos que je n'ai pas tenu et qui sont parfaitement hors cadre, là.
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Rien qui vaille la peine d'en parler
Jedino a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Autant pour moi! -
Rien qui vaille la peine d'en parler
Jedino a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Tatata! La modestie est la compensation des médiocres, l'ami, tu le sais très bien! Et que tu me donnes raison sent le coup-fourré, alors comment l'accepter? (C'est l'ironie de paysan, forcément lourd et mauvais! Quel philosophe!) -
Rien qui vaille la peine d'en parler
Jedino a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Tu déformes mon propos! J'te dis descendant, pas ascendant! Et de mauvaise foi, en plus! Et je compatis! Quoi que j'en ai pas tellement souffert, perso'! (Quel génie tu fais!) -
Rien qui vaille la peine d'en parler
Jedino a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
konvicted : allons allons, ne fais donc pas ton condescendant! Ma pédanterie n'a d'égale que mon ignorance, tu le sais très bien! En cela, je suis nécessairement modeste, ne serait-ce que dans le fond! -
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Je perds mes mots. Ne sais plus quoi dire. D'où me vient cette accoutumance? L'état de bien être me fait du mal. Plus rien à raconter. Plus rien à plaindre. Plus rien. Un vide complet, parfait. Comment accepter d'être dans une telle futilité? Je me sens comme un poisson sans son eau, étouffant dans un monde qui n'est pas le sien. Mes nageoires ne sont pas des ailes. Je ne pourrai m'envoler. C'est à peine si je sais me trainer, peinant à avancer. Je n'ai rien à dire, mais je le dirai car cela tient de ma nécessité. Je gagne en cécité. Retrouverai-je un jour l'état dans lequel j'étais? Un mélange de souffrance apaisante et d'extase pesante, un rêve aussi noir que le coeur qui se cache sous ma chair. Peut-on seulement croire que la joie se trouve dans sa négation? Ma gorge est sèche, serrée. J'attends. Je n'ai su apprendre à trouver. Je perds mes maux.
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Cette étoile que tu tiens dans le creux de ta main, cet écran de chaleur qui se meurt à mesure que tu le tiens... La lumière m'atteint sans jamais m'étreindre, me touche sans que jamais je ne la saisisse. Son pouvoir bienveillant me glisse entre les doigts, son dessein me brûle la peau : ai-je vraiment à ce point perdu la foi pour rêver d'un échafaud? Qu'ai-je fait pour que le matin devienne soir et l'éclair son absence? Pourquoi ce poignard qui m'incendie les tripes? J'implose. Mon énergie disparaît. Les choses tournent autour de moi, si lointaines, si disparates. Lesquelles me voient encore? Lesquelles sont toujours sous mon joug? Cette étoile se meurt. Nul n'a su la sauver, perdue dans l'immensité de l'obscurité.
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Rien qui vaille la peine d'en parler
Jedino a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Merci pour tes éclaircissements qui sont, et c'en devient lourd de le rappeler après "éclaircissements", lumineux. Cela dit, ne te sens pas obligé de me nommer en particulier. Je sais que tu m'aimes, mais tout de même, j'ai une certaine réputation de modestie à tenir! -
Rien qui vaille la peine d'en parler
Jedino a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Sans le troisième, ç'aurait été limite une description de l'absurde de la vie. Avec le troisième, la chose devient plus complexe. -
Tout dépend si tu y mets des degrés!
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Pourquoi devenir original lorsque nous le sommes déjà, à notre façon?
