Jedino

On n'est jamais content de voir son adversaire encore debout x)

Oh, faut pas t'en faire pour ça, ma libido est basse

On est, globalement, d'accord

Un flash blanc. Celui de la prise de conscience. Je fais erreur. C'est de la folie. J'ai été naïf de le croire. Bien qu'au fond, rien ne l'indique, je doute. Ce serait idiot de sa part, en réalité. L'argument suffit à détruire. Il incendie l'espoir, cet espoir qui n'est rien. Rien qu'une perte de temps. Mais qu'est-ce que le temps, sinon un bien à consommer bêtement? Alors j'attends. Inutilement. Bêtement. Quoi? Je ne sais pas. Et là n'est pas l'essentiel. Pas pour moi. Lâche que je suis. Regarde mes yeux. Regarde-les. Il n'y a rien. Vide de substance, vide de sentiments, vide de toi. Non, ne t'en fais pas : cela n'importe pas. Le feu ardent de la vie n'existe qu'à travers le feu ardent d'une passion qu'on oublie. Suis-je vraiment ce que je suis?

La conclusion est un peu la même que le dernier chapitre, non? x) Enfin, conclusion. La question, quoi!

J'en ai lu quatre de Teulé qui est, je trouve, un bon auteur Pour ma part, j'ai commencé ça :

C'est ce que je disais maladroitement pour les amis On peut voir ça ainsi. Même si ça change. Et même si je crois que c'est de mauvaise foi de pointer les Etats-Unis sans parler du fait que les communistes cherchaient à faire exactement la même chose. Donc, oui, mais non. J'ai trop l'impression que tu cherches à descendre les Etats-Unis en sortant tout ça du contexte qui était quand même, durant la Guerre Froide, de rafler un maximum de pays sous sa tutelle. Partout dans le monde, dis-tu? Si les Etats-Unis sont une puissance économique, il n'empêche qu'elle est, si j'ai bien compris un peu ce dont on dit sur elle, en déclin. Peut-être en avait-elle l'intention? Ca, je ne sais pas.

Comparer les Etats-Unis et l'Iran avant 1991, ça me semble assez... Ambitieux. La situation n'était pas tout à fait la même à l'époque. Et, chacun sait, je pense, que les Etats-Unis ne sont pas des enfants de coeur tout le temps. De là à les juger forcément comme pire que l'Iran? Je ne sais pas. Je sais que les médias font voir l'Iran comme le "mal", que pour eux, les USA, il n'y a rien de pire. Mais, je serais incapable de juger justement de qui est le plus dangereux. Ce qui est sûr, en revanche, c'est que oui, les USA n'aident pas toujours à la stabilité (l'unilatéralisme américain). Les USA étaient anticolonialistes. A la limite, tu peux imaginer qu'ils ont créé des situations qui les "arrangent" comme à Cuba, mais de là à penser qu'ils voulaient faire un coup d'état pour prendre, eux, le pouvoir, j'ai comme un doute...

Vois-tu, c'est plutôt ces questions qui m'ont poussés à lire ce genre de livres :smile2:

Il peut, oui. Mais, parfois, il se joue trop de nous.

Je progresse! Me voilà rassuré :D Bah, si tu passes les mille gonzesses, tu passes sur arte, et là, c'est la consécration J'ai commencé un livre sur l'histoire de France. Rien à voir, quoi! Mais, elles me viennent essentiellement de ma tête, tu sais.

Avec un billet, tu t'achètes tout ce que tu veux : à manger, à t'occuper, à aimer, à vivre. Tu peux aussi le jeter, le brûler, le perdre, le donner. Bref, il a de nombreuses fonctionnalités. Ce qui est d'autant mieux, c'est que depuis la mondialisation, il a un côté universel permettant d'acheter étranger. Faut dire qu'avant, fallait se cantonner au français. C'était pas gagné. Mais soyons sérieux, et racontons ce dont il n'y a rien à raconter : Il était une fois une histoire. Nous ne savons ni de quoi, ni de qui. En fait, nous n'en savons rien, sinon qu'elle est. Ce qui, contrairement à ce que l'on peut penser, est déjà pas mal du tout. Nous aimerions connaître ses tenants et ses aboutissants et, pourtant, nous ne pouvons qu'ignorer ce qui la compose. Au fond, cela n'importe pas tant, à nos yeux. Nous ne recherchons pas vraiment une histoire, mais plutôt une situation à la fois particulière et commune. Particulière parce que différente, et commune parce que fondée sur un socle qui fait notre intérêt. La lecture ne tient pas de la raison, mais du sensible. Et ceci, pour tous les genres. Pourquoi? Parce que nous n'adhérons qu'à ce qui, de prêt ou de loin, nous affecte, dans le sens où ce qui ne nous ressemble pas ne nous marque pas. Nous le lirons sans rien en retenir. Voilà pourquoi cette histoire ne comporte pas le moindre intérêt, si ce n'est celle d'exister, sans réellement exister. Elle aura ce don peut-être unique de plaire sans en être capable. Ou alors, elle aura l'effet inverse. Difficile, pour moi, d'en juger. La seule chose que je puisse remarquer, c'est que, même cette histoire, qui n'en est pas une, possède deux finalités hypothétiques, finalités qui tiendront surtout, ici, de ma façon d'assembler les mots et de rassembler les idées. Mais cela passera bien au-delà de celui qui cherche la poésie du vers et la frivolité amoureuse. Que puis-je faire face à moi-même? Que puis-je faire face à la vie, et à sa mélodie? Si, comme tout art, elle a de ses qualités qui frappent les esprits les plus égarés, elle ne dépend, malheureusement, ou non, pas de moi. Il ne tient qu'à moi d'apprendre à l'écouter. Mieux que je ne l'écoute déjà. Ou plutôt, l'entende, car je n'ai pas réussi à atteindre cette attention que nécessite cet exercice. Mais, qu'elle est cette obstination à vouloir se cultiver? Pourquoi tenons-nous tant à posséder des connaissances inutiles? Question de concurrence? D'avidité? A l'heure actuelle, nous le faisons pour des raisons que je considère mauvaises. Le savoir n'est pas une médaille, et il n'est pas un billet. ll n'est que la sublimation d'un esprit se souhaitant davantage éveillé qu'il ne l'est. Foutue époque où tout n'est que marchandise. Même les idées. Alors, continuons, oui, continuons. Un jour viendra où, de cette fausse raison, nous passerons à la juste déraison. Seule la folie peut sauver ce qui, au demeurant, se meurt de n'être que trop peu vivant. Monstre perfide et affamé d'hommes dépravés. Si vous n'y comprenez rien, estimez-vous heureux : lorsqu'on comprend l'incompréhensible, on finit par être soupçonné. De quoi? De ne plus être comme on était. Désuet. Uni. Conditionné. Ensemble de termes inutilement raccordés pour simuler un semblant de texte raisonné.

L'union fait la force, oui

Je ne regarde pas Gad elmaleh! En fait, ce doit être une chanson (le rythme de tes vers, quoi). Mais, je n'arrive pas à mettre de nom dessus. Tant pis^^

C'est pas faux, en plus! J'ai l'impression d'avoir une gueule de bois à cause de l'eau Sinon, les deux dernier vers, ça me dit quelque chose, sans que je sache quoi exactement.

(ils vont appeler superman) Ils vont faire comme dans tous les films : s'unir?