Jedino

Ca me détend également

Nous sommes venus du ventre du néant? Hm. Possible, mais c'est loin d'être sûr, non? Sinon, j'aime bien la suite

Toi, tu ne sais pas? Bah nous, on est pas mal barré alors, tiens x)

Vous saurez tout ça au prochain épisode!

Malgré tes mots compliqués tous les deux mots, j'ai réussi à en comprendre une partie. Me voilà rassuré

Le poème est, dans le fond, assez pessimiste, ou plutôt, triste. Tu (?) y vois la vie comme, oui, "pas la peine d'être vécue". Cela dit, ça ne me pose aucun souci particulier.

Bien sûr qu'il t'était destiné :blush:

Tu insinues quoi là? :D

Bonne journée, oui!

Oui, ça fait un billet sympa'. Et effectivement, nous avons ce besoin d'exister chez les autres. Je ne suis pas certain que les groupes soient toujours aussi "clairs" que ceux que tu cites (par ignorance peut-être, je ne sais pas), mais ils me semblent bien là. La parenthèse je la mets par rapport à un ressenti personnel qui fait que je ne saurais pas te dire, là, comme ça, à qui je ressemble. Peut-être parce qu'on refuse en partie l'idée d'être "comme les autres". Le second phénomène, je le saisis un peu moins. Ou plutôt, je le renvoie sûrement de trop au déterminisme? Parce que c'est de ça dont il s'agit, quelque part : l'inconscient serait la cause de ce qu'on croit ou pense consciemment après. Donc, si j'ai bien suivi, l'inconscient nous préparerait à nous insérer dans des groupes sociaux, groupes que nous pensons avoir choisi parce que nous pensons avoir choisi de penser ainsi. Cela me semble assez logique. En fait, tout cela me fait penser à un phénomène tout à fait différent : celui consistant à se croire différent de la "masse", de la "normalité". Serait-ce un nouveau groupe social très en vogue?

Tu fais dans l'humour, haha. Entre le ver de terre et les femmes (quoi que dire que les femmes ne sont pas résistantes, ça peut être mal interprété, fait gaffe!).

Pas mal de belles choses

En effet!

Oui, on m'a déjà dit comme quoi j'écrivais des choses assez "noires" Merci d'avoir lu :)