Aller au contenu

Jedino

Membre
  • Compteur de contenus

    48 051
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Jedino

  1. magali, je te souhaite tout de même :)

  2. Jedino

    Quizz

    Le temps, je l'ai, la motivation, si c'est pour finir comme la dernière fois
  3. Jedino

    Quizz

    Ah, tu nous prépares un truc? :D
  4. Le problème de ta question, c'est que c'est une réponse qui va dans le sens : "oui et non". Non, parce qu'en général, ce que tu donnes est une caractéristique assez importante de la tâche de la personne. Mais oui aussi, parce que tu trouveras toujours un contre-exemple qui t'empêchera de dire qu'il faut être comme ça pour être ainsi. Après, j'ai pas sondé toutes tes propositions, mais dans les premières, ça ne me semble pas impossible du tout.
  5. Laisse-le donc, konvicted! Il cherche à se persuader de son hétérosexualité!
  6. Jedino

    De la connerie

    Je dissocie chaque seconde, effectivement. Pourquoi? Parce que l'une comme l'autre, elles sont différentes : je peux changer du tout au tout entre les deux. Mais oui, nous avons besoin d'une finalité, paraît-il. Reste une question : en quoi serait-ce mal, d'errer? N'est-ce pas ce que nous faisons, à notre façon, et que nous nous cachons au mieux? Ne vaut-il pas mieux l'accepter? En effet. Mais quelle est cette forêt? De quoi faudrait-il sortir?
  7. Jedino

    De la connerie

    Je te pardonne :D
  8. Bah si! Nous voulons le beurre, l'argent du beurre, et le crémier!
  9. Jedino

    Dernier avertissement ?

    En effet, le citoyen lambda ne peut pas prendre les décisions. En revanche, il peut se décider lui-même : il y a mille choses à faire, même minimes, sans importance aucune à l'échelle globale (effectivement), mais qui ont de leur importance. Comme dirait l'autre : "Chaque action est une réaction."
  10. Jedino

    Dernier avertissement ?

    Quand il fait chaud, t'as beau remettre un glaçon dans ton eau, cela ne change en rien le problème initial! Au mieux, tu réutilises la même eau, au pire, tu en ajoutes. Mais de toute façon, je vois mal comment cela serait possible :D Seulement, si ce n'est pas un problème pour nous, c'est un problème pour d'autres. Et ce n'est pas qu'une question de quantité d'eau : même si la montée des eaux peut être assez mineures, elle recouvrera forcément des zones habitées. Et nous voyons souvent l'une des faces, à savoir la fonte des glaces. Nous ne voyons pas l'autre : un risque d'aggravation de là où les terres sont déjà assez chaudes. Mais en effet, la montée des eaux n'est pas si évidente : il peut y avoir des facteurs inverses. Je te cite néanmoins ce passage-ci : Source : http://www.futura-sciences.com/magazines/environnement/infos/dossiers/d/climatologie-rechauffement-problemes-climatiques-36/page/4/ Alors effectivement, c'est pas dans mes Vosges que je risque grand chose, à ce niveau-là. Au pire des cas, l'hiver sera plus doux et l'été moins supportable. Mais je ne suis pas tout seul.
  11. Jedino

    De la connerie

    Si tu fais lien entre le titre et le texte, oui!
  12. Nous avons appris, tout jeune, que des méchants sur internet pouvaient désirer nous faire du mal. Nous avons donc tendance à nous méfier de ceux qui nous font des compliments.
  13. Jedino

    De la connerie

    C'est intéressant. Si j'ai pu entendre le titre pour quelqu'un, ce n'était pas pour les autres, mais bien pour moi. Tu as complètement inversé ma pensée. Mais, c'est ton droit, sachant que tu l'ignores! Eh oui, la sécurité importe bien plus que la liberté.
  14. J'apprécie ta sympathie... Mais enfin... Comment te l'expliquer... Tu sais, sans vouloir être vexant ou méchant, j'ai une préférence pour les femmes. Cela dit, ça dépend des idées qui me viennent. Je ne pompe pas sur mes anciens textes, MOI!
  15. Nous sommes, paraît-il, incapables de comprendre les autres, et d'autant plus lorsqu'ils vont mal. Le problème tient sûrement en ce que seul un souffrant conçoit la vie de cette manière-là, de celle qui consiste à vivre l'existence comme une prison. N'est-il pas courant de voir le malheureux comme embourbé dans son passé, comme suivant le pas de ce qui a été, ou est déposé en lui? Une espèce de déterminisme horripilant faisant de chacun un esclave pour qui croit en la liberté. Mais qui irait penser que ce qui n'est pas encore puisse, aussi, donner le rythme? Quoi de plus normal! Qu'un homme qui marche vers son destin, vers son a-venir. Comment mieux justifier la négation du présent? Si tu es, ce n'est que pour goudronner la route vers ton demain. Pire, si tu ne le fais pas, tu finiras en marge, méprisé pour avoir préféré faire que prévoir. Allons, comprenez-moi : puis-je vraiment accepter, après avoir mis tant de temps à me détacher, rien qu'un peu, de ce qui n'est plus, de m’assujettir à ce qui n'est pas encore? De sortir partiellement d'une forme d'esclavage par le temps pour sombrer dans une autre, plus vilaine à mes yeux? Je n'ai jamais eu le sentiment d'être compris à ce propos : cela tient presque de l'inconcevable pour de nombreuses personnes. De là découle sans doute mon incapacité à travailler : parce qu'il a été associé à ce qui doit arriver, je ne saisis pas son intérêt, et donc m'en désintéresse. Quand je me lève le matin, je ne le fais pas dans le but de réussir un concours et de parvenir à un salaire, mais uniquement pour comprendre des choses. Je sais, cependant, que mon regard est mauvais. Quoi de plus normal pour un myope? Je sais aussi que j'entends très bien. Trop bien. Peut-être parce que je fais attention aux détails. Peut-être parce que je suis toujours ailleurs. Peut-être, oui, parce que même en l'actuel je me sens enchaîné. Ou alors parce que celui-ci a été instrumentalisé pour l'après, me poussant ainsi à le rejeter, lui aussi. Je ne m'attends pas à être compris. En réalité, cela n'a pas grande importance. Mais, si la vie consiste réellement à toujours préparer ce qui vient, quitte à en oublier de vivre, pourquoi ne pas mourir tout de suite, en ce cas? Si je peux saisir les raisons d'un suicidé emporté par ses plaies ouvertes, je ne le peux pas quand il s'agit de cheminer vers un quelque part inexistant. Vraiment, je trouve cela absurde. Probablement parce que j'ai un pied qui reste à l'arrière. Une sorte de boulet que je déplace avec peine pour l'empêcher de m'y renvoyer. Car il n'y a pas plus risible que celui qui choisit de respirer sans damnation et sans prétention.
  16. Dans une logique capitaliste, ta seule façon de survivre, c'est de jouer un minimum le jeu. Mais nous sommes d'accord, l'idéal serait de changer la logique en elle-même. Reste que ceux qui préfèrent la pauvreté à de quoi manger sont rares. Mais ils existent, nous sommes d'accord aussi.
  17. Ce mec est définitivement taré :D
  18. L'éternel problème entre le "commercial" et le "culturel". Le même problème existe en littérature, où tu trouverais les types qui font la soupe qui passe partout et ceux qui font quelque chose considéré comme supérieur. C'est vrai pour la musique aussi. Mais, si je peux me permettre un avis sur un art qui m'intéresse finalement assez peu, je dirais qu'il n'existe pas qu'un cinéma. On peut mépriser le "commercial", on peut reprocher aux autres de ne pas l'être assez. Les deux ont leurs raisons d'être. L'idéal étant, peut-être, d'allier les deux. Je pense notamment à Inception, par exemple. Bref, je n'ai pas grand chose à dire, sinon que la culture est une bonne chose, c'est sans doute incontestable. Mais, le divertissement n'est pas une mauvaise chose pour autant. Non, je ne suis pas franchement pascalien, et la raison est celle-ci : qu'est-ce qui justifierait de se cultiver sans cesse? La culture n'a pas grande valeur si elle est usée à mauvais escient. Le divertissement ne finit par être un problème que s'il envahit l'existence de quelqu'un, s'il l'empêche de voir qu'il existe autre chose. Tout ça pour dire, donc, que catégoriser, dans le but de hiérarchiser, est une utilisation que je trouve mauvaise de la culture. Quand je lis un manuel, il n'a certainement pas la même fonction que lorsque je lis un thriller. Les deux peuvent être agréables, mais ils ne le sont que très rarement de la même manière, il ne faut pas se mentir. Le cinéma, c'est un peu la même chose. Reste le problème économique sur lequel vous discourez depuis le départ : non, il n'est pas normal de laisser crever des gens. Et oui, il faut viser quelque chose d'un peu rentable, sans pour autant faire du "commercial", si cela est si terrible. Il est possible de faire quelque chose de bien et qui se vend. Tout ça pour vous prévenir que votre débat va tourner en rond parce qu'en fait, vous avez tous un peu raison. Et tort, en même temps.
  19. Il régnait sur un îlot de désespoir. Déterminé à ne jamais le quitter. Nous n'avons le choix que dans la souffrance : le bonheur, lui, est fugace. Il lui sourit de son air diabolique, cherchant à le tenter. Il l'appelle à lui, il appelle son coeur affamé. Quoi de plus normal pour un corps que de quêter l'énergie qui le maintient en activité? Non, il ne l'atteindra pas : cette immensité de douleurs qui protège du démon. Il avait pourtant succombé au dogme enseigné. Il s'était mis à y croire, à tout ceci. Que l'homme se doit de vouloir être heureux, qu'il doit marcher en ce sens. Et en effet, comme tout bon naïf, ses jambes l'ont mené vers l'enfer de la quiétude, vers un idéal que chacun désire et que personne ne trouve. Pourquoi croyez-vous donc qu'un homme monte au plus haut lorsqu'il compte se suicider? Pour mieux chuter. Pourquoi croyez-vous, oui, que nous érigeons des immeubles qui dépassent les nuages? Pour mieux voler. L'océan de ses peines bordait le rivage de son humeur. Même le temps se perdait : passé, présent, futur? Il en perd la main. Dans la solitude, seule l'éternité compte. Tout le reste est futilité. Son humanité continuait, pourtant, de courir après la vie. Comment peut-il oublier la femme qui l'a enfanté? Comment se défaire de l'instinct qui ronge ses sens, sa viande et son âme? Il préférait la certitude du mauvais à la sournoiserie du bon. En un sens, il aime. Chose inconcevable, pour un être justement formé. Chose inévitable, pour le ténébreux crusoé. Qui vient, au loin, sur une barque? Est-ce un nouveau colon? Quelqu'un voulant être pardonné? Elle venait. Encore. Elle ne le lâcherait jamais. La joie voguait vers lui. Pour le pervertir. Pour lui montrer ses charmes avant de l'abandonner. Il ne serait pas pris. Lui vivant, cela ne se fera pas. Il s'y refuse. Car il ne sera plus possible de s'offrir. De se faire capturer, emprisonné par l'ordinaire poison. Du haut de sa corde, calme, sur l'île qui l'a accueilli, l'a construit, il se pendra avant que n'arrive celle qui, toujours, voudra le contrôler. Il rejoindra les anges enflammés. La fidélité d'une inexistence. Ailleurs.
  20. Jedino

    De l'âme d'un objet

    Nous verrons, nous verrons.
  21. Jedino

    De l'âme d'un objet

    Hahaha, non non. J'ai juste pas le temps. Et pas forcément l'envie, là.
  22. Jedino

    Doit-on parler aux cons ?

    Nous sommes tous cons. Le plus dur, en fait, c'est de l'accepter.
  23. Comme quelqu'un l'a suggéré plus tôt, la solution est très simple : faire lire les gens. On peut faciliter la langue, rendre la notation plus souple, et tout ce qui peut bien faire que la note sera moins durement vécue, cela ne changera pas grand chose. On nous bassine avec le fait qu'il faut s'exercer en mathématiques, comprendre ce qu'on fait, et au départ, y réfléchir. C'est pareil ici. Pour la maîtriser, il faut d'une part la lire, et d'autre part la penser. Maintenant, c'est vrai, tout le monde fait des fautes. Ca se glisse facilement, ici ou là. Mais dire que la langue est complexe... C'est possiblement vrai, mis en rapport avec d'autres. Je ne vois pas le souci. Si demain je voulais pouvoir écrire et parler l'anglais, je saurais comment m'y prendre : me mettre à la lire, et à la penser quand je l'écris. Parce que oui, je trouve la langue anglaise plus complexe que la langue française. Tout ça, c'est une question d'habitude. Reste, peut-être, que certains ont plus de mal à l'apprendre. C'est un fait. Moi-même j'ai mis du temps à vraiment limiter mes erreurs. Et sans avoir de très mauvaises notes en dictée, le fait que j'en avais de plus en plus mauvaises m'avait énervé, plus jeune : ce jour-là, le langage sms, c'était fini. Avec le recul, ça me montre à quel point, tout ceci, ce n'est réellement qu'une question d'expérience : je pensais qu'avec cette façon d'écrire, tout était plus rapide. Finalement, une fois que j'ai eu une base, sans forcément être solide, du français à proprement parler, je me suis rendu compte que j'écrivais aussi vite, sinon plus vite, ce qui peut paraître paradoxal en sachant que le sms cherche justement à réduire le nombre de lettres dans les mots. C'est vrai aussi, par exemple, pour la différence entre un clavier sur ordinateur et un stylo : ce n'est pas uniquement une "accélération" du rythme d'écriture, c'est une façon différente d'écrire. Les règles sont les mêmes, mais les automatismes ne le sont pas.
×