-
Compteur de contenus
48 051 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par Jedino
-
Les yeux plus gros que son ventre
Jedino a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
C'est bien normal, pour un conformiste, cher ami. -
Ballade pour les gens qui ne me lisent pas
Jedino a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
En étant vache? -
Les yeux plus gros que son ventre
Jedino a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Là, comme ça, je dirais : les idiots? -
Les yeux plus gros que son ventre
Jedino a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Euh, comment tu sais ça? -
Ballade pour les gens qui ne me lisent pas
Jedino a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
C'est joli, une fleur! J'aime bien les fleurs! -
Les yeux plus gros que son ventre
Jedino a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Ah, je ne t'ai jamais dit que j'ai toujours lu les choses de la fin vers le début? C'est ma prof de lettres. Je t'en prie. -
Ballade pour les gens qui ne me lisent pas
Jedino a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Tu me connais mal, cher ami! J'aime la modestie pour m'afficher, mais j'aime encore mieux recevoir les flatteries! -
Ballade pour les gens qui ne me lisent pas
Jedino a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Je tiens à te faire remarquer que sur un des billets où j'ai le moins participé tu m'as quand même cité trois fois, et pour des flatteries. Pire! Tu admets une certaine estime et te mets à faire des concessions. Tu es donc amoureux. -
Du génie et de l'art de rencontrer les idées
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Jedino dans Blog de Jedino le bouleau
"Certains croient que le génie est héréditaire, les autres ont des enfants." -
Les yeux plus gros que son ventre
Jedino a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Bon, t'as au moins un mérite au préalable, t'écoutes pas que des trucs étranges. Et, après étude approfondie, t'as, comme dirait l'autre, "le sens poétique". -
Du génie et de l'art de rencontrer les idées
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Jedino dans Blog de Jedino le bouleau
Désolé, Tequila, tu n'es donc pas génie! C'est pas grave, hein! Tu t'en sors bien quand même -
S'autoriser à imaginer une utopie ...
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Docteur CAC dans L'Economie Sans Frontières
Non mais on est d'accord : se dire pragmatique n'a pas valeur d'argument, et certainement pas d'argument absolu. Déjà, parce que se prétendre être, ce n'est pas forcément l'être. Et puis, parce qu'on le démontre par l'argumentaire, et non par l'affichage d'une philosophie ou croyance. Oh, j'essaie. Je ne suis pas certain d'entendre comme toi le matérialisme historique. Qu'entends-tu par là, ou Marx par ce terme? Le fait que l'Histoire est une sorte de guide? Mais, le pragmatisme ne me semble pas subjectif. Pas plus qu'un quelconque matérialisme. Tu trouveras forcément du subjectif en toute science, et la réalité n'est jamais pour nous qu'une réalité à notre échelle, c'est vrai. Je ne suis pas certain que le sens que nous donnons jusque là au pragmatisme peut s'appliquer à l'échelle d'une personne sans passer par l'autre sens qui veut que l'attitude pragmatique veut que tu préfères rester à ta place. Maintenant oui, il existe sans doute un "mauvais" pragmatisme qui peut te terrer dans l'inaction. Je connais assez mal le marxisme, je dois l'admettre. -
https://www.youtube.com/watch?v=bWCqRoEcmqs
-
Les chapitres de la Serie Fanfiction Serie portal.
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Haku dans Haku Blog
Haha, j'y songerai, oui! -
(Je ne sais pas pour le cas de Schoringer et Heisenberg, pour le coup, et je ne sais pas si je tombe dans le travers que je souhaite justement éviter non plus) Ouaip, je participe à la catégorie sciences, mais assez modestement, disons, quand je trouve un truc qui me semble intéressant à partager. Oh, j'ai plutôt la flemme de me relire, mais si j'ai écrit quelque chose qui laisse penser que je confonds réalité et vérité, c'est que je travestis ma propre pensée. Je fais une distinction entre les deux qui me semble capitale en science. D'où la catégorie, qui s'apparente oui, à la vérité pour ce qui est d'une réalité, puisque tu rassembles des choses avec des points de convergence. Le problème que je vois est peut-être davantage celui pour l'humain que pour l'idée et la théorie. Et je me demande seulement, en fait, si nous sommes vraiment dans le vrai lorsque nous formons des lois. Problème de philosophie car la science "pratique" se fiche pas mal de savoir ce qui est vrai tant que cela fonctionne en chaque cas. En revanche, tu poses un problème intéressant : qu'est-ce que LA réalité? Le quantique, la nôtre, autre chose? L'erreur serait de penser, d'une part, que notre réalité est la réalité, et qu'une autre le serait. La réalité est effectivement subjective, ou plutôt, elle est en rapport avec notre échelle, tout comme l'atome nous paraît infiniment petit et l'univers infiniment grand, alors que si nous étions un univers, il nous paraîtrait tout à fait normal, etc. Bref, nous faisons du "la" notre monde parce qu'il serait absurde de faire du "la" un autre monde. Bref, je ne sais pas si le monde quantique existe, et tel qu'il est vu, il est sans nul doute vu assez naïvement, si je puis dire, donc nous sommes d'accord. Maintenant oui, j'ai peut-être été trop radical sur le propos, je ne sais pas. Disons que je crois/sais que la science cherche la réalité, implicitement, pour une raison très simple : si tu as ce qui est, tu es sûre que ce que tu comptes faire fonctionne. Tout le problème est de savoir ce qu'elle est. Et ce n'est pas un mince problème, en effet. Je ne nie pas la non conscience d'un acte. Je nie seulement l'inconscient psychanalytique. Il est vrai, oui, que nous avons du mal à toujours expliquer un comportement ou une réaction, parce que celui n'est, effectivement, non conscient chez la personne. Nous sommes tout à fait d'accord, par ailleurs, que la "psyche" influence le "soma", et inversement, la "psyche" étant une partie du "soma". En fait, le fossé majeur qu'il existe entre toi et moi, je crois, c'est que tu fais une distinction nette, sans être forcément métaphysique au sens fort du terme, entre les deux. Ou plutôt, tu fais de l'inconscient quelque chose de plus "fort" que moi, dans la mesure où ce n'est pas simplement une non conscience, mais une entité à part entière fortement en lien avec le conscient, ce que je rejette. La "psyche" est pour moi une fonction organique. Elle est liée au corps, en dépend entièrement. Elle est notre atout, ce qui fait que nous pouvons nous réfléchir et réfléchir le monde, en effet. Mais elle est aussi notre fardeau, dans la mesure où nous sommes parfaitement incapable de nous nourrir, par exemple, sans le penser. Cela doit être un acte conscient, voulu. Est-ce différent chez les animaux? Là est toute la question, à vrai dire. Nous n'en savons rien. Et je comprends bien l'intérêt premier de l'inconscient qui est, plus que de comprendre, aider. La question que je pose, que je me pose, concrètement, c'est : est-ce que nous avons la bonne approche? Est-ce que notre tendance à vouloir tout rendre irrationnel ne fait pas que nous nous éloignons, justement, du réel? La métaphysique a sans doute son mérite et sa noblesse, mais ce serait une grave erreur s'il s'agit d'aider des gens à. Je ne sais pas si j'ai tort, ou si j'ai raison. Dans la mesure où je suis seul, probablement, j'ai probablement tort. Mais je continue à m'interroger : où est l'inconscient, dans ces pathologies? Cela dit, tu me diras, oui, que l'essentiel est d'avoir un système de pensée qui te convienne et permette de t'accepter tel que tu es ou serais, plus que d'être dans ce qui est tout à fait réel. Une bonne vie vaut mieux qu'une vie bien comprise, peut-être. L'ordinateur nous ressemble, et l'analogie est souvent faite. Il lui manque cela dit une chose essentielle : le sensible. Il est pure rationalité, calcul, une espèce de supra-raison dont certains rêvent parfois. Mais nous sommes dans un monde où il est préférable de cacher sa sensibilité pour n'afficher que son "esprit". Peut-être que là est le problème, que nous rejetons une part de nous-mêmes jusqu'à l'occulter et tenter de la remplacer par quelque chose qui agirait en nous, une force plus grande que le conscient? Mais on va tourner en rond si nous en parlons sans vraiment en parler. Si tu veux me convaincre de mon tort, il va falloir que tu te lances dans l'explication d'un cas particulier qui ne puisse en aucun cas être explicable par ce que je défends moi. Puisque jusque là, nous ne faisons que dire, chacun, que les origines sont chez toi l'inconscient, morceau de l'esprit, et chez moi la sensibilité, morceau du corps.
-
S'autoriser à imaginer une utopie ...
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Docteur CAC dans L'Economie Sans Frontières
Oh, je ne peux pas t'en parler très (trop) précisément en économie. Je sais surtout ce que ça peut être en philosophie, ou en sociologie, les pragmaticistes étant pour les premiers liés à la sociologie aussi, il me semble. Maintenant, si les pragmatiques en économie renient toute forme de réflexion, par une espèce de pragmatisme radicale, c'est assez idiot, dans la mesure où l'économie cherche, oui, à anticiper un minimum. La borne pour un pragmatique est simple : le réel. Il est le juge, et le seul, de ce qu'est une bonne ou une mauvaise idée. C'est moins subjectif qu'une pure théorie. Une théorie pure, donc une construction intellectuelle pure, peut sembler très bonne, et l'être, mais elle restera un système. A nouveau, la réalité, ce qui est, est là pour arbitrer ce qui, dans l'idée, mérite d'être ou non objet d'attention. Autrement dit, la réalité détermine ce qui, dans les constructions, a du sens. Tu peux toujours t'en éloigner pour créer quelque chose de très plaisant, mais cela sera subjectif, et davantage que ce qui cherche à se borner à ce qui est comme socle de départ. Enfin, il me semble que l'économie est concrète, que la politique est concrète. Je ne sais pas si je suis clair et si je réponds vraiment, là. Je ne connais pas le vocabulaire marxiste, donc je ne peux pas le discuter, là. Mais, de ce que je sais de Marx, je reste assez sceptique. Notamment parce que je crois assez moyennement aux histoires de classe. Mais c'est un autre sujet. J'aurais plutôt dit le dernier, pour le coup : l'utopie, c'est la dernière étape. C'est ce qui est tellement loin que tu sais pertinemment que tu ne le rencontreras, ce qu'on conjecture, en général, en ce qui n'existe pas. Et, nous sommes d'accord que cela peut avoir un intérêt intellectuel. Mais toi qui est lecteur de Marx, tu dois connaître la fameuse phrase "les philosophes ont longtemps pensé le monde, il est temps de le changer" (de mémoire, mais c'est l'idée). Le pragmatisme, en philosophie, est le retour d'une philosophie qui se borne à la réalité, sort de son côté métaphysique. Ailleurs, c'est pour retourner un peu moins dans les théories, à l'image des sciences se voulant être comme les mathématiques, pour retrouver la réalité des choses. Ce qui n'exclut pas, nous sommes d'accord, l'intérêt des réflexions. Seulement, celle-ci ne permet pas une quelconque avancée sociale. Elle donne des idées, c'est vrai. Reste à savoir si elle est cohérente avec le monde en l'état : nous pouvons avoir l'idée d'une égalité sociale parfaite, sa réalisation est plus complexe et sujet à débat encore aujourd'hui. Mais oui, l'idée a pour mérite d'exister, et elle le doit. Je ne comprends pas, par contre, ce que tu reproches à un dialogue de personnes d'une même société. -
Du génie et de l'art de rencontrer les idées
Jedino a posté un billet dans Blog de Jedino le bouleau
Notre héros, homme charmant et intelligent, capable de discerner les traits d'esprit et les âmes qui méritent une quelconque attention. Bref, il appartenait à ces rares qui savent tout avant même de le savoir. Vous l'aurez compris, c'est un génie. Ne vous étonnez donc pas si, par la suite, ses attitudes, réactions et comportements vous échappent. Il faut être d'une espèce tout à fait supérieure pour comprendre que les questions les plus essentielles ne sont jamais les plus existentielles. Voyez plutôt. Alors qu'il quittait sa modeste demeure, car la modestie est l'essence même du génie, il s'arrêta, estomaqué, alors qu'il s'apprêtait à fermer à clef la serrure de sa porte. Il se sentit transporté, tout d'abord, par l'idée qui le transcendait là : à quoi bon tout fermer, toujours, tout le temps. Et dès lors, insérer la clef dans la serrure l'exaspérait au plus haut point, au degré le plus noble qui soit. Car enfin, à quoi bon se fatiguer chaque jour, plusieurs fois (inutile de vous dire que le geste se fait par paire : ce qui se ferme s'ouvre, et ce qui s'ouvre se ferme), quand il serait possible d'économiser ces gestes vains et lassants? Immédiatement, pour ne pas dire avant même que la question ne se pose consciemment en lui, les raisons les plus diverses, les explications les plus complexes, avait émergé comme si elles avaient toujours été là, attendant le moment pour se montrer. Par décence, je ne les exposerai pas ici. Je me contenterai d'ajouter qu'il décida, à partir de cet instant, de ne plus jamais s'encombrer de ces actions. J'ignore si vous parvenez à en comprendre et l'origine, et l'intérêt, mais pour ma part, cela m'échappe. Toutefois, si vous êtes en mesure de saisir cela, vous êtes probablement l'un des membres de cette caste si précieuse à notre bonne humanité, et vous trouverez alors ce propos tout à fait ridicule et risible. Excusez-m'en, donc, n'étant qu'un humble parmi les humbles. Mais continuons notre petit voyage. Non, encore un ajout, avant cela : deux mois après sa nouvelle habitude, il rentra un soir pour constater que sa maison avait été réaménagée par de généreux inconnus qui y libérèrent l'espace. Vous n'auriez pas tort si vous songiez, là, qu'il en fût heureux : il voyait en cela l'idéal du partage. Il rencontra, un beau jour comme ils le sont tous, même ceux semblant laids au commun des mortels, un de ces mortels, précisément. Quel choc! Quelle curiosité! Il crût être tombé sur un chimpanzé ayant sût s'échapper de sa cage tant ce corps qui lui ressemblait en apparence manquait, en réalité, de profondeur. Il tenta vainement de lui parler de quelques sujets dignes d'intérêt, resta perplexe, puis horrifié, face à un tel hermétisme. Lui vînt alors l'image, la fameuse, celle où il se vît à sa place de son interlocuteur, celle où il serait, à son tour, aussi haut qu'un arbuste et intelligible que le discours d'une huître. Il se sentît très mal, de ces maux qui ne sont connus que par les plus grands, de ces maux non véritablement réel mais davantage virulent. Les génies qui liront, s'ils s'abaissent une heure à me lire, comprendront sans aucune difficulté de quoi je veux parler ici, bien que maladroitement. En tous les cas, leur conversation, c'est-à-dire d'un échange de politesses, s'acheva, ô fort gentiment, par le départ de notre cher ami qui ne supportait plus de parler tout seul. C'est qu'un homme de qualité apprécie les discussions qui ont une portée, un sens, ce quelque chose qui donne du poids à l'ensemble. Bref, quand le commun voyage ailleurs, le génie voyage au milieu des idées. Ne soyez ainsi pas surpris si, dans votre vie, vous croisez la route d'un de ces êtres surplombant, très au-dessus de nous, notre monde. Vous penserez, et ceci est inévitable, qu'il est un pédant. Ce n'est pas de la jalousie, uniquement une réaction logique, très humaine chez nous la masse. Mais nous sommes cependant en train de fauter : parce qu'il est trop sublime, nous ne réussissons pas à voir clair. Ne vous blâmez pas pour autant : nul n'a choisi d'être idiot, et il n'est pas mal de l'être. Seulement, il vous faudra admettre que vous l'êtes, et que le génie, lui, fait le choix de l'être. Ne cherchez pas à trouver la raison qui le justifierait, votre intellect n'est pas assez élevé pour appréhender la réalité d'une liberté si parfaite qu'elle offre le choix d'être autre. Ne cherchez pas à la trouver : cela se fait alors même que vous ne pensez pas encore, quand vos attentes et vos tourments se tournent vers ce qui occupera votre existence, du début jusqu'à la fin. Le génie, lui, pense déjà, en cette période-ci. Il pense avant même de penser, et sait avant même de savoir. Comment donc s'étonner, alors, qu'il sache qu'il lui faut être ce qu'il sera avant même qu'il ne le soit? Résumons, résumons. N'est pas génie qui veut, mais est génie celui qui veut avant même de vouloir. Si vous y voyez un paradoxe, une contradiction, une ânerie ou un caprice de l'imagination, vous appartenez sûrement aux bonnes gens. Si vous y voyez que clarté, qu'évidence, j'ai le bonheur de vous apprendre ce que vous avez déjà en connaissance : vous êtes l'un d'eux. -
S'autoriser à imaginer une utopie ...
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Docteur CAC dans L'Economie Sans Frontières
C'est mal comprendre ce qu'est le pragmatisme, alors. Pourquoi? Parce que le pragmatique ne cherche qu'une chose : régler le présent, et non pas imaginer le futur. Bien entendu, cela peut être intéressant, surtout à qui aime anticiper (mais un pragmatique que je suis éternue face à un tel mot : qui peut dire comment sera le monde demain?). Mais de manière générale, il n'est pas contre l'idée et contre l'imaginaire : il tient seulement, et c'est là en fait l'alpha et l'oméga, à ce que cette idée soit profondément ancrée sur le réel. Autrement dit, plutôt qu'un système parfait, utopique, justement, il préfère un système imaginé meilleur, mais possible. Autrement dit, il te répondrait qu'au lieu de vouloir sauter dans une piscine vide, il préfère celle qui est pleine et celle qu'il est en mesure de voir. Dire qu'un pragmatique est incapable de créer une idée, d'apporter, cela me semble bien caricaturer la pensée : personne ne prétend, à ma connaissance, qu'il est interdit de rêver. En revanche, quand il s'agit d'agir, de politique ou d'économie, ou de ce que tu veux d'autre, le rêve n'a pas sa place : tu pourras toujours rêver d'un monde à la Moore ou d'un système à la néoclassique, mais cela n'empêche que c'est le réel qui borne les idées et dit laquelle est bonne ou non, et pas l'inverse. Le pragmatique ne dit pas davantage : ne pas oublier le réel, redescendre un peu sur notre planète. Bref, le concret, et non pas que la pensée. -
Du lapin à cinq pattes et de la chèvre de monsieur Seringue
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Jedino dans Blog de Jedino le bouleau
Toujours ! -
Du lapin à cinq pattes et de la chèvre de monsieur Seringue
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Jedino dans Blog de Jedino le bouleau
Je ne suis pas comme ça, moi, môssieur! -
Du lapin à cinq pattes et de la chèvre de monsieur Seringue
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Jedino dans Blog de Jedino le bouleau
J'avais pas dit que je soignerais le titre? Hein? Hein? Je dois admettre avoir hésité, d'ailleurs, avec "Du ricolé et de la cafetière", mais j'étais trop fier de ma petite trouvaille sur ledit monsieur. -
Du lapin à cinq pattes et de la chèvre de monsieur Seringue
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Jedino dans Blog de Jedino le bouleau
Et ça fait chier, les fautes, ouai, mais j'avais pas la tête à y réfléchir :D -
Du lapin à cinq pattes et de la chèvre de monsieur Seringue
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Jedino dans Blog de Jedino le bouleau
Faut pas être triste :( -
Du lapin à cinq pattes et de la chèvre de monsieur Seringue
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Jedino dans Blog de Jedino le bouleau
Il manque d'ailleurs un accent dans le titre! -
Du lapin à cinq pattes et de la chèvre de monsieur Seringue
Jedino a posté un billet dans Blog de Jedino le bouleau
Moi, je. Cherchez pas une logique à ce début, il n'en a pas. C'est que je suis fatigué de la vie. Faut me comprendre, avec mes petites jambes et mon dos de limace mal digérée, je m'écroule sous sa masse. Mais cessons de parler physique. Prenons un cas. Je me suis levé ce matin, plutôt content. Je me coucherai ce soir grandement malheureux. Que me vaut cette évolution? Rien, car rien ne s'est passé entre ces deux moments. Et pourtant, tout a changé. Cherchons du sens. Qui peut saisir qu'un dé qui s'arrête sur un six se tourne, sans aucun mouvement, sans aucune raison, sur son un? Si c'est le cas pour vous, tant mieux. Je ne veux pas le savoir. Taisez-vous. P'tit con. Faut rendre un peu la monnaie de la pièce. Tu connais des gens, des gens sympas. Personne ne l'est pas, et tu le sais bien. Personne. Et alors? Alors quoi? T'as rien à dire? Abruti. Tu ne sais pas comment? Retourne étudier ton dictionnaire. Tu prends un mot, tu prends le suivant, tu les assembles, ça fait ce que ça fait. "Moi, je. Moi, je." T'as rien dit avec ça. Tu dis tout avec ça. Ferme-la, je t'encadre pas. V'là le poème : un coup de mélancolie "J'ai mangé un clown estropié de la cervelle", un coup de poésie "Connard de vécu, va chier tes événements". Pas fameux. Faut aimer la merde. N'en rigolez pas, ça existe bel et bien. Pourquoi croyez-vous que nous préférons dormir sous terre, sinon? Certainement pas pour bouffer des vers. Ils nous ressemblent que trop, les bougres : laid, dégueulasse et envahissant. Un peu comme ces enfoirés de personnages. Non, pas ceux que certains font mignons comme des tondus, les autres. Ceux qu'y se promènent la chemise bien mise, les chaussures trop propres. Bonjour! Qu'il te dit de la main qui s'est torchée plus tôt. A quoi bon s'offusquer? Nous lui retournons la politesse. Du coup tu te retrouves là, bordel. Tu te retrouves là, ta vie est merdique, t'as plus de potes, t'as plus de filles, t'as plus de quoi perdre ton temps, et tu n'as jamais été en cours. Bref, t'as pas signé ton contrat. Et tu veux échanger ton indifférence contre une chance? Allez hop! A la rue, va gratter les poubelles. Chacun sa loterie. Allez, vous m'énervez. A vous prendre au sérieux, à vous croire comme une fleur que tout le monde souhaite admirer. N'oubliez pas, cependant : restez comme vous êtes, mais ne soyez jamais ce que vous êtes. Précisément, un tas de cellules qui ne pensent qu'à se goinfrer. Un intestin qui ne pense qu'à s'évacuer. Cachez-le si vous y tenez derrière vos jeans en plomb et vos conneries de moeurs en société, vous n'y changerez rien. Vous n'êtes, et serez éternellement, qu'un sac à merde.
