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  1. Hamourabi

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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 24/04/2011 dans toutes les zones

  1. Désolè, mais c est loin d être marginal. Et sur l autel de la lutte, je préfère y placer et militer pour les libertès individueller. Toi même tu aimerais bien que je pense autrement. Que ce serait joli un monde ou tout les êtres pensent la même chose... Limite de l esclavagiste mental (mais pourtant ote moi d un doute, tu es bien contre l esclavagisme non ? Une prostituée est toujours une esclave non ?) Ce que tu penses m importe peu, et ne prends pas ça comme un jugement. Ce ne sont pas mes pratiques, contrairement á d autres. Je comprend et accepte la prostitution, pas le proxènètisme (ca n a rien à voir)
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  2. Attention à moi... La foudre va me tomber dessus !!!! Pourquoi être dérangé par la prostitution ? Attention, j'exclue par là tout réseau et proxénétisme. Je parle de la prostitution choisie, voulue. Et oui cela existe. Quel mal il y a ? La liberté des uns ne s'arrête t-elle pas là ou commence celle des autres ? Chacun fait ce qu'il veut de son c... Ça ne me dérange pas. Ce qui me dérange plus c'est d'être racolé si je ne le souhaite pas. La effectivement ma liberté est dérangée. Mais sinon ? De quel droit, quelle légitimité a t-on pour interdire cela à une personne consentante, raisonnée et qui c'est ce qu'elle fait tout en s'assumant. Moi je me sens incapable de la juger. Elle fait ses choix, vit sa vie, et ne me dérange pas. Foutez la paix aux gens qui la veulent. Ils ne vous demandent rien... Et surtout n'ont pas besoin de vous pour leur dire ce qu'ils doivent faire.... Vaste sujet que les libertés individuelles, parce qu'au final c'est bien cela dont il s'agit en réfléchissant bien.
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  3. Ca tombe bien que tu parles de l'emploi d'un pronom plutôt qu'un autre, c'est justement le "on" du post d'intro de ce topic qui m'a d'abord fait réagir en prenant le contre-pied de ce qui était dit, mais en en conservant la forme... un "je" ne m'aurait pas fait réagir de cette manière.
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  4. tout dépend pourquoi et comment on "est" célibataire
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  5. Souvent des fan de rock prépubère qui ne connaisse même pas les bons groupes de "leurs" genre... Bah après soit tu vois le hip-hop par mcm soit tu le voit par Arte. Si tu vois ce que je veux dire. Soit on pense que ce qui est sortie des quartier pauvres américain est un gigantesque coup de pub à un mouvement barbare. Ensuite si le rap se déconnecte totalement du hip hop c'est comme si tu jugeais une personne par un de ses furoncles. Hip-hop : -Musique -Dance -Art graphique Le rap n'est que la musique. Le hip hop est un mouvement social qui n'a rien révolutionner du tout mais qui à changer des chose. Pas la situation social mais la culture de certain millieux pauvre. Le grand malheurs du hip-hop c'est que les grosse boite de musique se font des couilles en or dessus. Après ton avis n'engage que toi et ne persuade que toi. J'ai vu aucune vrais explications autre que "j'aime pas" Mais je conçois totalement moi je ne suis pas fan. Mais bon j'admet que c'est un mouvement artistique complet et élaboré.
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  6. Quelles techniques ? Après non ça n'a rien de révolutionnaire, c'est l'éclaircie médiatico-conceptuelle d'une population mise en quarantaine, mais qui ne boulverse rien dans son fondement, ni la société ni la politique ni la musique. Le hip hop en général, duquel on ne peut pas détacher le rap, est une émanation racaillesque complétement dans la logique des choses, idem pour son succès, il n'y a aucune cassure, aucune remise en cause, ce n'est donc pas une révolution mais une ligne de visibilité commerciale sur les ghettos, dans leur clichés les plus gras, quelque soit la pseudo finesse de la plume. Il y a eu des mecs doués, charismatique, potentiellement artistes, mais qui partaient sur des bases et dans des repères de conception artistique tellement merdiques que ça ne pouvait pas donner autre chose que tout ça. Qu'on puisse aimer pas de soucis, moi même j'aime assez certains trucs (fabe, sage po, fuzati, nas, cannibus entre autre ...), mais on peut pas du tout appeler ça une révolution tellement ça n'a rien changé, comme on ne peut pas appeler les rappeurs des rebelles puisqu'ils suivent le courant social d'une manière tellement conformiste que ça devient original. Magic Malik fait du free un peu à la Lockwood en tournant les samples pour Hendrixer dans les sons ... C'est un jazzman contemporain qui comme tout ses collègues, essaye de trouver LE vrai son de l'époque, donc il s'interesse à tout, puisqu'il veut tout sublimer, c'est la panacée de cettre troupe de venteux/gratteux qui cherchent leur vértié dans le présent de l'industrie musicale. Après parler de ponts c'est limite, le jazz c'est l'inverse d'un thème bouclé et samplouillé sur un Beat lourdingue, le jazz c'est l'impro live et la maitrise funambulaire de l'instrument et de ses harmonies à partir de n'importe quel thème (qu'on oubli en 30 secondes). Que les rappeurs samplent à tout va les thèmes de Davis ou Peterson pas de soucis, mais ce n'est pas du tout jazz, ça n'a rien à voir, c'est antinomique. Les Lagrene, Malik ou Stern font du bon taff en essayant d'élever le rap, mais c'est plus du jazz. Dans l'esprit jazz il faudrait une impro verbieuse en réponse à un chorus de trompette, par exemple, avec des mecs qui s'entrainent 10 heures par jour sur la maitrise du langage. Pour la musique classique c'est pareil, c'est pas parce que tu fous un orchestre derrière que c'est de la musique classique, on est toujours dans le clin d'oeil lointain et superficiel. Bref, faut pas dire n'importe quoi. Plaque tournante de l'histoire de la musique et toute la foutrade de légitimisations ... Dire que c'est de la merde avec sa pédanterie médiocre de mec qui croit que les Beatles et Jackson sont de la grande musique supérieure au rap je comprends que ça énerve, parce que c'est faux, mais faut pas tout mélanger. C'est pas que le jazz ou la musique classique soient au dessus, c'est trop contextuel pour que ça soit classé, mais justement, c'est complétement différent.
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  7. On y vient, tu n'admets pas ce que le rap peut être, et ce qu'il est surtout. Y'a eu assez d'informations à son sujet ici, à chacun de se faire sa propre réflexion sur ce qui a été dit à titre informatif pour ceux qui ignorent encore ce que c'est, et il y en a, certains posts sur ce topic le prouvent. Si cette musique engagée, et donc quelque part largement révolutionnaire, puisant ses inspirations musicales dans des genres aussi variés que la soul, le jazz, le blues, la musique classique etc... sans parler de l'art du sampling qui a connu ses lettres de noblesse grâce à ce style de musique, cet "art moderne" qui est une technique capable de mélanger et diversifier (des mots qui te font peur je le concède) des sonorités de tout horizon, ayant laissé place à des artistes capable de s'exprimer mieux que tout ceux qui le dénigrent sans le connaitre, ne mérite pas de figurer parmi les genres musicaux majeurs, voire n'est pas digne de l'appellation "genre musical" par ces mêmes personnes qui le dénigrent, soit. Cela dit, à titre personnel, on aime ou on aime pas. Je comprends que l'on puisse aimer, ne pas aimer, mais surtout, je comprends que tu ne l'aimes pas, étant donné qu'il lutte contre ce pour quoi tu es pour et ce que tu défends à chaque fois que je te lis (tu m'suis ?).
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  8. A Thordonard : Cette musique est révolutionnaire dans toute son essence. Elle est née par la prise de conscience d'une population qu'elle était capable d'autre chose que de sucer des chicken wings en contrôlant la verticalité des murs du ghetto. Elle a utiliser son vocable avec fierté, comme les créoles en leur temps. Musicalement, elle a introduit des techniques jusque là inconnues. Ce n'est pas rien. Après, j'aime le rap, mais pas que. J'écoute de tout. Vraiment de tout. Mais je n'irai pas dire que le rock est du bruit pour jeunes adorateur du diable. Le rap n'est pas meilleur ou pire, il est. Avec du pire comme du meilleur. Je ne comprends pas qu'un type se disant amoureux de la musique tire un trait sur ce style. Dire que c'est du bruit de non musicien illustre bien ta méconnaissance du sujet, et c'est dommage. Des gens comme Magic Malik, issu du conservatoire, y travail. Vas leurs dire qu'il n'y connaissent rien. Les ponts entre le jazz et rap sont innombrables. Ils commencent à se créer avec la musique classique. Le rap n'est pas un style musical, il est une plaque tournante entre les styles. Considérer le rap comme de la daube, c'est réduire toutes les musiques à de la daube. Ecoute par exemple K Naan, et son hip hop teinté de musique éthiopique, révélé par Mahmound Ahmed. Ecoute Cinematic Orchestra, et sa chanteuse, Fontela Bass (chanteuse du Art Ensemble Of Chicago), et peut être aurais-je réussi à te faire aimer ce que tu réduis à tort à du bruit. A Wapo, j'admets, c'est du lourd, mais dans ce titre du Wu Tang, c'est l'opposition entre les paroles très trash et la musique très douce qui est intéressant dans mon propos. Cela illustre à merveille le mélange possible des extrêmes. Le rap, c'est ça.
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  9. Il n’existe malheureusement pas de terme spécifique pour les hommes qui achètent des "services sexuels". L’utilisation généralisée du terme d’apparence neutre de "clients" contribue à renforcer l’invisibilité et l’impunité accordée aux hommes qui se donnent le droit d’acheter le corps des femmes. Ce terme banalise également les rapports de pouvoir qui sont au cœur de la prostitution et la double hiérarchie sociale qui en découle : la domination des hommes sur les femmes (l’assujettissement des femmes aux hommes) et celle des classes riches sur les classes pauvres. C’est pourquoi plusieurs groupes abolitionnistes dont, vous l’aurez deviné, la CLES, utilisent le terme plus juste de "prostitueur" ou "client-prostitueur" qui met en lumière le rôle de ces hommes dans le maintien de cette institution patriarcale. [ http://www.prostitut...nages/stephanie" target="_blank">Lire la suite de l'Article.. ] Sa perception et sa définition de la prostitution est la sienne, c'est son vécu dont elle parle et celui d'autres filles, en tout cas elle pointe les réelles maltraitances que certains hommes font à l'égard des prostituées, son discours est poignant, et elle dénonce aussi la société actuelle inégalitaire et certains moeurs dépravés, la "propagande" pornographique...et certains hommes qui viennent réaliser leurs fantasmes les plus pervers avec les prostituées. Certains hommes parce qu'ils payent se croient tout permis, l'autre n'est plus qu'une marchandise sans âme, ce genre de comportement maltraitant devrait être dénoncé et pénalisé plus souvent, et la prostituée devrait avoir le droit de porter plainte quand il y a maltraitance, car payer ne dédouane pas la violence ou les actes d'humiliation! Maintenant, moi aussi pour avoir été une femme libre sexuellement, j'ai été aussi parfois maltraité, et j'ai accepté, voir j'ai été conditionné à accepter des choses banalisées et suggérées par les films pornographiques, films réalisés par des Hommes pour les Hommes, vision et fantasmes souvent masculins...qu'on nous impose depuis des siècles! Aujourd'hui ma sexualité et désirs sont les miens et non plus ceux imposés par certains Hommes. Ce que je veux dire c'est qu'il y a pas que les prostituées qui se font maltraiter sexuellement, la maltraitance il peut y en avoir aussi de la part d'un mari envers sa femme, dans toute relation lambda. Il serait judicieux de donner des cours d'éducation sexuelle et les notions de respect de l'autre aux jeunes garçons et filles.
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  10. Stéphanie : "La prostitution est évidemment beaucoup plus facile à théoriser qu’à "exercer"..." Stéphanie est une survivante de la prostitution, elle milite au sein de la Concertation des luttes contre l’exploitation sexuelle (CLES). Le 11 octobre 2009, dans le cadre du Forum Social Québécois, la CLES a présenté les résultats d’une recherche sur les "clients" prostitueurs. Stéphanie est intervenue à propos des regards que des femmes ayant une expérience dans l’industrie du sexe portent sur les "clients". Merci à elle et à la CLES, qui nous ont autorisé à diffuser son intervention. J’aimerais débuter avec une citation tirée d’un livre qui m’a profondément marquée et qui, je suis certaine, est connu de toutes et de tous. Ce livre est Moi, Christiane F., 13 ans, droguée, prostituée [1]. Il n’existe malheureusement pas de terme spécifique pour les hommes qui achètent des "services sexuels". L’utilisation généralisée du terme d’apparence neutre de "clients" contribue à renforcer l’invisibilité et l’impunité accordée aux hommes qui se donnent le droit d’acheter le corps des femmes. Ce terme banalise également les rapports de pouvoir qui sont au cœur de la prostitution et la double hiérarchie sociale qui en découle : la domination des hommes sur les femmes (l’assujettissement des femmes aux hommes) et celle des classes riches sur les classes pauvres. C’est pourquoi plusieurs groupes abolitionnistes dont, vous l’aurez deviné, la CLES, utilisent le terme plus juste de "prostitueur" ou "client-prostitueur" qui met en lumière le rôle de ces hommes dans le maintien de cette institution patriarcale. [ Lire la suite de l'Article.. ]
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  11. Purée mais t'es bouché toi. Arrête-toi de dire que c'est de la merde, contente-toi de dire que t'aimes pas. Qu'est-ce qui ferait de toi une référence musicale ? Tu te fais tellement chier dans la vie qu'il faut à tout prix que tu cherches la bagarre ? Tu prétends ne pas émettre de jugement mais t'es hypocrite puisque derrière tu peux pas t'empêcher de faire des allusions débiles. T'as une conception de l'ouverture d'esprit des plus étranges. je ne vois pas ou les défenseurs du RAP font preuve de plus d'ouverture d'esprit que moi. Suffit de lire leurs posts... En tout cas, on dirait que le RAP n'adoucit pas les moeurs, contrairement à la musique Je n'aime pas le RAP car je n'aime pas les daubes musicales qui veulent se la jouer grandes musiques et que je ne me sens pas concerner par tout ce charabia à prétention "poétique". C'est attristant de voire des gens se prendre le bourrichon pour défendre un néant musical. Ceci dit, chacun aime ce qu'il veut, à partir du moment ou on ne me l'impose pas. Si certains veulent écouter quelqu'un qui tape avec un marteau sur de la tôle pendant des heures, je n'y vois strictement aucun inconvénient. La ou ça me gonfle, c'est quant on essaie de me prouver que c'est de la super musique, j'ai comme un sentiment de foutage de gueule caractérisé... :D
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  12. La lapidation des femmes en places publiques n'est-elle pas déjà inscrite au patrimoine immatériel par l'Iran , l'Aghanistan et d'autres pays du même acabit ? C'est la question que je me pose :D
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