Je vous parle d'un souvenir ?

Bonjour Tous Toutes  

Un nouveau sujet au format "je vous parle de", cette fois, le/les souvenirs. 

Le jour où je suis rentrée dans la Brinks.

La "Brinks" c'est ça : 

Et j'ai eu la mauvaise idée, en voiture, de leur rentrer dedans. C'est la Brinks, des convoyeurs de fonds donc. J'emboutis le petit camion à l'arrière, bonjour le choc (pour moi, parce-que le bazar il a pas bougé). Les types sautent du véhicule comme des furieux armés jusqu'aux dents.

Ben j'ai failli avoir une crise cardiaque. J'avais 18 ans, je venais d'avoir mon permis de conduire... 

A vous, racontez nous   ! 

il y a 13 minutes, January a dit :

A vous, racontez nous 

bonjour,

dans un genre similaire : le jour où je me suis permis en cyclomoteur d'aller emboutir ... l'arrière de la voiture de ma professeure de français !

je ne sais qui était le plus embêté ...

bonne journée.

Tu étais dans GTA?

Le jour où j’ai organisé une balade… 

Nous étions une dizaine, pour aller passer une journée dans le Sidobre. Ils n’étaient jamais venus, moi si, ils me faisaient confiance. Enthousiaste, j’avais oublié que je me perdais dans un couloir ! Alors dans une forêt…  

Le bon chemin était à 50 mètres. J’ai dû y passer 300 fois devant. Ça me suit encore… 

Le Sidobre, c’est ça

Rivières de rochers, rocs biscornus et légendes anciennes

C’est un monde à part, une expérience qui ne vous laissera pas de marbre. Mais dans le Sidobre c’est de granit dont il s’agit ! Cette terre de pierre au nord de Castres est une exception géologique unique en Europe. La légende dit que les dieux auraient jeté ces pierres un soir de colère… Il faut l’explorer avec son âme d’enfant, en se racontant des histoires et en écoutant les légendes de ce pays de rocs et d’eau.

Les adjectifs pour qualifier le Sidobre ne manquent pas. En plein coeur du parc naturel régional du Haut-Languedoc, le plus grand plateau granitique d’Europe est le paradis des géographes. Mais pas seulement ! À voir ces gigantesques cailloux défier les lois de la gravité, petits et grands ont de quoi s’interroger. Quels mystères cache la Peyro Clabado (la pierre clouée) ? Elle pèse près de 800 tonnes et tient miraculeusement en équilibre sur un roc plus petit et sur une surface d’un mètre carré !

Impressionnant ! 

il y a 11 minutes, January a dit :

Impressionnant ! 

Mon sens de l’orientation ou les gros cailloux ? 

Les deux !    

il y a 20 minutes, January a dit :

Les deux !    

 

Oh j'fais pas la maline, je me suis déjà perdue en forêt, la dernière fois j'étais à cheval, avec le géoportail sur le tél  

La fois où j'étais partie au ski avec des potes en 2006. Arrivée le samedi, je prends les forfaits, la location des skis tout ça.

Dimanche matin première descente, je me retrouve face à une piste noire (et pas d'autres choix) sauf que moi j'ai plus de genoux et les pistes noires ça fonctionne pas bien.

Donc je descends en mode j'y vais mais j'ai peur

Et ce qui devait arriver arriva, grosse boite dans les 50 premiers mètres et plus de genou.

La piste étant un champs de bosses monumental, impossible de faire venir une barquette. Mon pote a donc déchaussé, est remonté jusqu'à moi, a viré mes skis qu'il a refourgué à quelqu'un d'autre du groupe et m'a fait descendre la piste sur le dos, tête dans la pente, en me faisant glisser en calant ses bras sous les miens et moi je gardais la jambe en l'air et je tenais mon genou.

Une fois en bas de cette piste, on creuse la neige pour y caler ma jambe au froid, on se dit qu'on va appeler les secours, sauf que j'ai pas pris l'assurance. Donc la nana de mon pote a pris mon forfait, elle est partie en bas de la station (on était tout en haut évidemment), achète l'assurance pour moi et remonte. Son mec lui dit "t'as passé les remontées mécaniques avec quel forfait ? ", ok elle les a passées avec le sien, donc elle est redescendue et a validé les remontées avec mon forfait parce que je ne me suis pas téléportée entre l'achat de l'assurance et ma chute tout en haut.

On appelle les secours qui arrivent (ça faisait pas loin d'une heure que je m'étais vautrée avec tout ça), je finis dans la barquette, jusqu'à l'endroit où c'est trop plat et qu'ils peuvent plus me tirer.

Les secouristes ont donc appelé un scooter des neiges pour m'emmener, chose faite jusqu'à cet endroit où y'a pas assez de neige pour continuer.

Les secouristes ont donc appelé une ambulance qui est venue me chercher par la route pour me faire descendre.

Bilan, 3mn de descente, une semaine au ski à regarder mes potes partir tous les matins, plus de genou et 5 séances de kiné par semaine pendant un an.

Oh le périple !   Les pistes noires "ça fonctionne pas bien"  

Non mais les boules quand même. 

il y a 16 minutes, titenath a dit :

La fois où j'étais partie au ski avec des potes en 2006. Arrivée le samedi, je prends les forfaits, la location des skis tout ça.

Dimanche matin première descente, je me retrouve face à une piste noire (et pas d'autres choix) sauf que moi j'ai plus de genoux et les pistes noires ça fonctionne pas bien.

Donc je descends en mode j'y vais mais j'ai peur

 

Et ce qui devait arriver arriva, grosse boite dans les 50 premiers mètres et plus de genou.

La piste étant un champs de bosses monumental, impossible de faire venir une barquette. Mon pote a donc déchaussé, est remonté jusqu'à moi, a viré mes skis qu'il a refourgué à quelqu'un d'autre du groupe et m'a fait descendre la piste sur le dos, tête dans la pente, en me faisant glisser en calant ses bras sous les miens et moi je gardais la jambe en l'air et je tenais mon genou.

Une fois en bas de cette piste, on creuse la neige pour y caler ma jambe au froid, on se dit qu'on va appeler les secours, sauf que j'ai pas pris l'assurance. Donc la nana de mon pote a pris mon forfait, elle est partie en bas de la station (on était tout en haut évidemment), achète l'assurance pour moi et remonte. Son mec lui dit "t'as passé les remontées mécaniques avec quel forfait ? ", ok elle les a passées avec le sien, donc elle est redescendue et a validé les remontées avec mon forfait parce que je ne me suis pas téléportée entre l'achat de l'assurance et ma chute tout en haut.

On appelle les secours qui arrivent (ça faisait pas loin d'une heure que je m'étais vautrée avec tout ça), je finis dans la barquette, jusqu'à l'endroit où c'est trop plat et qu'ils peuvent plus me tirer.

Les secouristes ont donc appelé un scooter des neiges pour m'emmener, chose faite jusqu'à cet endroit où y'a pas assez de neige pour continuer.

Les secouristes ont donc appelé une ambulance qui est venue me chercher par la route pour me faire descendre.

Bilan, 3mn de descente, une semaine au ski à regarder mes potes partir tous les matins, plus de genou et 5 séances de kiné par semaine pendant un an.

Purée tu fais pas semblant !! 

J’arrive pas trop à visualiser la descente avec ton pote, toi sur le dos, la tête en bas et le genou en l’air… Un tit croquis peut-être ? 

il y a 8 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Purée tu fais pas semblant !! 

J’arrive pas trop à visualiser la descente avec ton pote, toi sur le dos, la tête en bas et le genou en l’air… Un tit croquis peut-être ? 

Alors pour le croquis, vu que mes compétences artistiques se limitent aux cascades, on va éviter...

Mais pour essayer d'expliquer, je suis parterre, allongée sur le dos, la tête direction la pente.

Et mon pote est devant moi, à genou du côté de ma tête, il glisse ses bras sous mes dessous de bras et me tire pour me faire glisser. Et moi pendant ce temps là, je tiens ma jambe en l'air. Si si, c'est faisable

Mais je sais pas si c'est plus facile à comprendre

@titenath "j'y vais mais j'ai peur" 

Pfiou j'en ai plein avec mon sens de l'orientation et mon incapacité à lire même un gps!

Celle qui me vient là tout de suite : en déplacement en Allemagne, j'ai l'habitude de prendre un taxi en sortant de la gare qui m'amène à l'hôtel. Là c'était à Cologne, je prends donc mon taco devant la grande cathédrale noire charbon. Bouchons, le chauffeur qui peste... arrivée 10mn plus tard devant l'hôtel "this is your hotel" me sort le gros moustachu la bave aux lèvres. Il était en face de la gare à 3mn à pied

Il pouvait pas me le dire lui aussi???

Un soir au restaurant, je mange mal, et je le dis quand ça ne va pas au restaurant. Le serveur se doute, mon assiette reste à moitié pleine et je n'y touche plus depuis un bon moment. Quand il se décide à venir, malgré l'assiette hein ? Il me dit : 

- Tout s'est bien passé ?    (t'sais les jeunes ils apprennent leurs formules ils n'en dérogent pas !)

moi :  ah ben non vous voyez..

Et là je lui explique. Gentiment hein ? Il est pressé de quitter la table mais quand je parle on m'écoute (non mais oh). 

J'abrège et là il me sort : 

- Vous prendrez pas d'dessert du coup ? 

Et là..... 

il y a 45 minutes, titenath a dit :

Alors pour le croquis, vu que mes compétences artistiques se limitent aux cascades, on va éviter...

Mais pour essayer d'expliquer, je suis parterre, allongée sur le dos, la tête direction la pente.

Et mon pote est devant moi, à genou du côté de ma tête, il glisse ses bras sous mes dessous de bras et me tire pour me faire glisser. Et moi pendant ce temps là, je tiens ma jambe en l'air. Si si, c'est faisable

Mais je sais pas si c'est plus facile à comprendre

Oui, merci, je vois mieux là 

Il y a 3 heures, January a dit :

A vous, racontez nous   ! 

Naufragé involontaire…
Je suis envoyé en mission par mon entreprise pour organiser le démontage du tunnel de soudage, pesant 140tonnes installé sur la barge qui pose des pipelines en mer, au large du fleuve Congo.

J’arrive de l’aéroport à Dakar, puis je suis transporté par un remorqueur pour rejoindre la barge au large à 150km dans le golfe de Guinée.
Je fais le nécessaire pour que le démontage de ce tunnel puisse permettre l’installation d’une plateforme pétrolière sur toute la largeur du pont de la barge.

Après quelques jours de préparation, le tunnel est enlevé par la grue de levage de la barge ayant une capacité de 1200 tonnes. Comme l’activité sur barge a lieu nuit et jour, le tunnel est déposé sur une barge annexe au cours de la nuit. Tout est terminé à 2 heures du matin, tout s’est bien passé.

De jour, une africain m’a déposé sur la barge annexe au moyen d’un zodiac pneumatique de 8 mètres de longueur, puis j’apprends que l’africain qui dirigeait le zodiac dort en cabine sur la barge annexe.
Je me retrouve donc seul sur la barge annexe.

Sans m’inquiéter outre mesure, je me dis que je vais utiliser le zodiac tout seul pour revenir dormir dans ma cabine qui se trouve sur la barge principale.
Les vagues au large ont une hauteur de 6 mètres et une période de 16 secondes. Je descends dans le zodiac, après avoir trifouillé à l’aveugle le moteur hors-bord du zodiac, tourné dans tous les sens l’arrivée d’essence, puis tiré plusieurs fois sur la corde pour le redémarrage le moteur.

Chouette, le moteur ronronne enfin, je m’assoie près du moteur et de l’accélérateur du zodiac, la nuit est douce, la lumière électrique provient des projecteurs des barges, la mer est verte, l’écume est blanche, c’est un moment de toute beauté.

Pourquoi ne pas profiter de ce moment suspendu pour faire un grand tour autour des barges ?
Sitôt dit sitôt fait, je profite de ce moment magique en solitaire et je fais un grand tour.

Soudain, le moteur du zodiac, crachote, toussote, puis s’arrête.

Au large dans l’estuaire du fleuve Congo, second fleuve après l’Amazone pour son débit, le courant me pousse au large et petit à petit ma frêle embarcation s’éloigne du point lumineux de référence.

Je commence à gamberger, d’essayer de me souvenir de mes lectures d’Alain Bombard, qui prouvait que les naufragés étaient en général tétanisés par la peur, bien avant la soif et la faim.  Je me raisonne, puis tourne les boutons du moteur à l’aveugle dans tous les sens, supposant avec justesse que j’avais peut-être fermé le bouton essence, croyant l’ouvrir ? Ce qui avait sans doute provoqué l’arrêt du moteur ?

Le point lumineux s’éloigne toujours de plus en plus de moi, la nuit noir m’enveloppe de plus en plus et ô miracle après toutes mes tentatives, ce putain de moteur redémarre enfin.

Au retour, je me dis que mes collègues ne vont jamais connaitre ma petite aventure et c’est heureux, car je n’aime pas qu’on se moque de moi.

Pour vous donner le principe d’accostage du hors-bord sur barge, de jour celui qui tient l’accélérateur, vise une crête de vague le long du bordé de la barge et une personne indépendante, accroche le nylon à un point haut.
Problème c’est que je suis tout seul à l’accélérateur, il me faut courir de 8 mètres vers l’avant à chaque fois pour accrocher le nylon. 

Après plusieurs tentatives infructueuses, je réussi enfin mon coup d’ amarrer le zodiac à la barge… 
Je grimpe à l’échelle encastrée dans la coque de barge, puis je souffle un bon coup, me disant quel bonheur d’être enfin sur cette barge stable alors que précédemment j’étais balloté par les mouvements de la mer.
 

il y a 17 minutes, Enchantant a dit :

Naufragé involontaire…
Je suis envoyé en mission par mon entreprise pour organiser le démontage du tunnel de soudage, pesant 140tonnes installé sur la barge qui pose des pipelines en mer, au large du fleuve Congo.

J’arrive de l’aéroport à Dakar, puis je suis transporté par un remorqueur pour rejoindre la barge au large à 150km dans le golfe de Guinée.
Je fais le nécessaire pour que le démontage de ce tunnel puisse permettre l’installation d’une plateforme pétrolière sur toute la largeur du pont de la barge.

Après quelques jours de préparation, le tunnel est enlevé par la grue de levage de la barge ayant une capacité de 1200 tonnes. Comme l’activité sur barge a lieu nuit et jour, le tunnel est déposé sur une barge annexe au cours de la nuit. Tout est terminé à 2 heures du matin, tout s’est bien passé.

De jour, une africain m’a déposé sur la barge annexe au moyen d’un zodiac pneumatique de 8 mètres de longueur, puis j’apprends que l’africain qui dirigeait le zodiac dort en cabine sur la barge annexe.
Je me retrouve donc seul sur la barge annexe.

Sans m’inquiéter outre mesure, je me dis que je vais utiliser le zodiac tout seul pour revenir dormir dans ma cabine qui se trouve sur la barge principale.
Les vagues au large ont une hauteur de 6 mètres et une période de 16 secondes. Je descends dans le zodiac, après avoir trifouillé à l’aveugle le moteur hors-bord du zodiac, tourné dans tous les sens l’arrivée d’essence, puis tiré plusieurs fois sur la corde pour le redémarrage le moteur.

Chouette, le moteur ronronne enfin, je m’assoie près du moteur et de l’accélérateur du zodiac, la nuit est douce, la lumière électrique provient des projecteurs des barges, la mer est verte, l’écume est blanche, c’est un moment de toute beauté.

Pourquoi ne pas profiter de ce moment suspendu pour faire un grand tour autour des barges ?
Sitôt dit sitôt fait, je profite de ce moment magique en solitaire et je fais un grand tour.

Soudain, le moteur du zodiac, crachote, toussote, puis s’arrête.

Au large dans l’estuaire du fleuve Congo, second fleuve après l’Amazone pour son débit, le courant me pousse au large et petit à petit ma frêle embarcation s’éloigne du point lumineux de référence.

Je commence à gamberger, d’essayer de me souvenir de mes lectures d’Alain Bombard, qui prouvait que les naufragés étaient en général tétanisés par la peur, bien avant la soif et la faim.  Je me raisonne, puis tourne les boutons du moteur à l’aveugle dans tous les sens, supposant avec justesse que j’avais peut-être fermé le bouton essence, croyant l’ouvrir ? Ce qui avait sans doute provoqué l’arrêt du moteur ?

Le point lumineux s’éloigne toujours de plus en plus de moi, la nuit noir m’enveloppe de plus en plus et ô miracle après toutes mes tentatives, ce putain de moteur redémarre enfin.

Au retour, je me dis que mes collègues ne vont jamais connaitre ma petite aventure et c’est heureux, car je n’aime pas qu’on se moque de moi.

Pour vous donner le principe d’accostage du hors-bord sur barge, de jour celui qui tient l’accélérateur, vise une crête de vague le long du bordé de la barge et une personne indépendante, accroche le nylon à un point haut.
Problème c’est que je suis tout seul à l’accélérateur, il me faut courir de 8 mètres vers l’avant à chaque fois pour accrocher le nylon. 

Après plusieurs tentatives infructueuses, je réussi enfin mon coup d’ amarrer le zodiac à la barge… 
Je grimpe à l’échelle encastrée dans la coque de barge, puis je souffle un bon coup, me disant quel bonheur d’être enfin sur cette barge stable alors que précédemment j’étais balloté par les mouvements de la mer.
 

La trouille ! Alors perso, m’en fous de passer pour une andouille, je hurle si fort pour qu’on  vienne me récupérer, que je rameute l’Afrique  entière et tous les continents limitrophes !!

A une époque lointaine j'habitais un petit appartement dans un grand immeuble peuplé surtout d'étudiants, de jeunes adultes. Une journée, alors que j'étais restée au lit, quelqu'un frappe à ma porte. Je décide de ne pas répondre car j'étais couchée et je n'attendais personne. Soudain, après avoir frappé plusieurs fois, la personne se met alors à donner de grands coups dans la porte qui finit par céder rapidement. De la porte ouverte de ma chambre je vois apparaître dans mon salon l'un de mes voisins (que je ne connaissais que de vue) en train d'enfiler des gants. Puis il tourne la tête et me voit qui le regarde effrayée. Il part de chez moi aussitôt... 

Cette fois où j'étais dans un resto à Koh Phi Phi en Thailande. Tellement marre de manger que des trucs thaï, épicés et à base de citronnelle ou de lait de coco (moi qui suis plutôt menu enfant en général), je finis par me faire un resto "européen".

La bonne française de base, donc, viande rouge, frites, le truc qui finit par manquer quoi  

"Vous la prendrez comment la viande ? " Oh bah saignante....

Ouais sauf que quand tu réfléchis 30s à leur mode de conservation, soit tu la bouffes cuite "semelle", soit tu t'abstiens.

Toute la nuit j'ai cru que j'allais crever !

Depuis, dans les pays étrangers, je ne mange que du local et rien d'autre.