Déficit public: supprimer 100 000 emplois dans les collectivités...

Il y a 2 heures, G2LLOQ a dit :

Absolument  ! il faut mettre sur la touche , tous ces figurants qui ne servent a rien  !  et nous ruinent  !  ils ont la culture du  glandage très poussée , des orfèvres en la matière  !       

 Ils ne sont pas des figurants, loin de là car la tendance à la professionnalisation de la vie politique, les partis ont acquis un rôle de sélection des responsables appelés à gouverner. 

Le retour de Barnier comme premier ministre en est le parfait exemple...

" Toujours les mêmes, rien ne change" 

il y a 2 minutes, MASSOT a dit :

 Ils ne sont pas des figurants, loin de là car la tendance à la professionnalisation de la vie politique, les partis ont acquis un rôle de sélection des responsables appelés à gouverner. 

Le retour de Barnier comme premier ministre en est le parfait exemple...

" Toujours les mêmes, rien ne change" 

Un état dans l'état  !  

il y a 13 minutes, G2LLOQ a dit :

Un état dans l'état  !  

en quelque sorte  ( le microcosme dénoncé par Raymond Barre )

Le 24/10/2024 à 21:02, DKKRR a dit :

Je ne pense pas cela souhaitable mais c'est un peu l'histoire du choix entre la grippe et la peste. Aucune des deux situations n'est bonne mais l'une est sans doute préférable à l'autre. Une fois tous les points négatifs relatifs à ce "clientélisme" pris en compte, je trouve que cela vaut néanmoins mieux qu'un chômage de masse accru dans les régions.

Alors oui cela crée des effets indésirables que vous avez su parfaitement décrire, mais malheureusement à choisir je préfère. Sachant par-ailleurs que les droits des salariés du privé, leur paye, leur motivation, le sens qu'ils peuvent voir dans leur travail ne sont pas corrélés au nombre de fonctionnaires embauchés par des pouvoirs locaux (ils ne seront pas + heureux si ce phénomène se réduisait, à-priori).

Mais le solutionnisme ainsi dégagé n'empêche-t-il pas l'émergence d'autres régulations (plus de précarité, moins d'enfants, une baisse démographique en adéquation avec la disponibilité de tâche et/OU pauvreté et pression au changement de répartition des moyens de production et/OU migration périurbaine accrue et neo ruralisation accrue par pression urbaine, etc.), mais aussi le fait de penser autrement l'activité humaine que par le travail salarié.

J'ai, de plus, l'impression que les humains ont bien du mal à ne pas voir le monde comme si leur époque, leur mode d'organisation était un absolu tant pour celles et ceux qui l'adorent que pour celles et ceux qui l'abhorrent (mais auraient surtout peur de n'avoir plus rien à abhorrer !).

Car est-ce bien la grippe ou la peste ?

Ou plutôt, la grippe n'est-elle pas le chômage et la peste la continuité folle d'une distribution de salaire aidant à la continuité d'une surconsommation qui tue l'écosystème terrestre et donc les humains incapable de percevoir le trop lointain impact de leurs actions à court terme et en tel ou tel lieu hyper localisé ?

Le 09/11/2024 à 19:33, MASSOT a dit :

Plus personne ne s'intéresse aux débats qui agitent l'AN, ce théâtre d'ombres, où les intérêts partisans et les postures ont pris depuis longtemps le dessus sur les intérêts du pays, pourtant si mal en point. En attendant le dégagement général, en 2027 au plus tard, qui renverra à son néant toute cette classe politique inutile.

Dans la situation actuelle de la France, augmentation des impôts et des taxes va entraîner la baisse des recettes… le cercle vicieux est enclenché par Barnier et sa clique ...

 

Baisser les recettes ? L'augmentation d'impôt ?

Il y a 3 heures, Easle a dit :

 

Mais le solutionnisme ainsi dégagé n'empêche-t-il pas l'émergence d'autres régulations (plus de précarité, moins d'enfants, une baisse démographique en adéquation avec la disponibilité de tâche et/OU pauvreté et pression au changement de répartition des moyens de production et/OU migration périurbaine accrue et neo ruralisation accrue par pression urbaine, etc.), mais aussi le fait de penser autrement l'activité humaine que par le travail salarié.

J'ai, de plus, l'impression que les humains ont bien du mal à ne pas voir le monde comme si leur époque, leur mode d'organisation était un absolu tant pour celles et ceux qui l'adorent que pour celles et ceux qui l'abhorrent (mais auraient surtout peur de n'avoir plus rien à abhorrer !).

 

Car est-ce bien la grippe ou la peste ?

Ou plutôt, la grippe n'est-elle pas le chômage et la peste la continuité folle d'une distribution de salaire aidant à la continuité d'une surconsommation qui tue l'écosystème terrestre et donc les humains incapable de percevoir le trop lointain impact de leurs actions à court terme et en tel ou tel lieu hyper localisé ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Baisser les recettes ? L'augmentation d'impôt ?

Je pense, qu’on est arrivé à un stade de l’humanité où on pourrait ne plus vouloir « perpétuer l’humanité » 

Notre présence n'est qu'une ère. Et comme toute ère : il y a un début et surtout une fin.

il y a 19 minutes, MASSOT a dit :

Je pense, qu’on est arrivé à un stade de l’humanité où on pourrait ne plus vouloir « perpétuer l’humanité » 

Notre présence n'est qu'une ère. Et comme toute ère : il y a un début et surtout une fin.

Oui, mais les êtres vivants se suicident assez rarement et les espèces plus rarement encore.

Nous ne provoquerons pas une extinction de notre espèce. Nous pourrions nous diminuer de 98 % avec des armes, virus, etc. mais pas nous faire totalement disparaître volontairement. Au plus, nous verrions les 2 % avoir du mal à se relever et mettre quelques siècles à effectivement disparaître, mais même cela est très très improbable.

Par contre les occidentaux, surtout blancs, aspirent à disparaître puisqu'ils n'apprennent plus qu'une chose : ils sont le mal incarné (ils ont INVENTE l'esclavage, la colonisation, le racisme, la totalitarisme, etc. et donc les seuls à les avoir pratiqué, ils doivent donc payer et disparaître. C'est l'impression qui leur est en permanence donné). Si vous ajoutez à cela le fait que pour être féministe beaucoup (pas toutes) de jeunes femmes considèrent qu'il ne faut surtout pas vouloir d'enfant (qui est une assignation patriarcale sans rapport avec la nature qui n'existe en aucune molécule chez l'être humain), et effectivement vous avez une programmation de disparition ethno-culturelle, c'est évident.

Mais cela ne fait pas disparaître l'humanité pour autant. Certain-e-s pensent même avec une touchante naïveté venimeuse envers le passé, les vieux, les boomer etc. que le paradis leur est promis s'ils réussissent à exterminer tous ces trucs anciens !

Mais en attendant, ils aiment consommer, se différencier, se comparer, juger (différement mais juger lourdement), haïr, stigmatiser comme ils des comme eux l'ont été (avant qu'ils ne naissent le plus souvent).

Et donc continuer allègrement le travail, le salariat, la propriété privé, la surproduction, etc. Hors de question pour elles et eux de vraiment remettre ça en cause ! Mieux vaut s'intéresser aux pronoms personnels.

« On a l’impression que c’est le bingo. » s’est étonnée celle qui fut stagiaire, durant six mois, de Valérie Pécresse...

« Reprendre la main » sur un sujet longtemps utilisé par les oppositions pour dénoncer les errements de la dépense publique à l’heure où les comptes de l’Etat s’enfoncent dans le rouge.