Cela donne quoi ce nouveau gouvernement ?

il y a 15 minutes, Pensée philo a dit :

Qu'a-t-elle de catholique ? A-t-elle la foi ou les valeurs de la religion ?

Elle a fait toute sa carrière de prof dans les établissements cathos !!!!

Son dernier poste pour suivre Choupinet dans la capitale : Établissement jésuite très prisé de la capitale, le Lycée Franklin /St Louis de Gonzague ....

Et c'est chez les Jésuites itou qu'ils se sont  connus : elle enseigne le français et le latin au lycée privé jésuite La Providence (wiki)

Le 26/12/2024 à 14:46, Demsky a dit :

 

Surabondance.

Quantité qui déborde, trop plein.

 

redondance

Action de dire la même chose sous différentes formes (superfluité, verbiage)

Deux femmes ministres du travail, ça peut paraitre redondant. Mais c'était indispensable pour faire la parité hommes/femmes sur la liste.

Dans le même genre, on a aussi Aurore Berger et Amélie de Montchalin. Les second couteaux de la macronie ont leur place réservée pour la photo de famille. Ce n'est pas un gouvernement, c'est une réunion entre copains pour les fêtes de fin d'année.

Le 26/12/2024 à 11:23, Pheldwyn a dit :

I

 

Son mantra : tout sauf ce qui mettrait en cause ses "avancées" pour sa caste.

Tu denies à Macron d'avoir des convictions économiques, Il serait juste au service de sa caste.

Fais tu de même avec tous les économistes qui défendent les mêmes thèses ? Seuls les économistes de gauche ont des convictions je suppose...

Une partie du Gouvernement est a Mayotte  ,  auront ils le temps de se baigner ................? un bain de foule au minimum  ;  l'occasion pour François de Navarre de rassurer les habitants de Mayotte     

On devrait les emmailloter...

Le 25/12/2024 à 20:52, Totof44 a dit :

Le climat n'attend pas lui. Chaque fois qu'on reporte, on se condamne à faire plus d'efforts à l'avenir pour limiter le réchauffement d'une part mais aussi, en plus, d'autres investissements pour s'adapter à ce dérèglement. Ne rien faire coûte plus cher, c'est démontré.

Taxer les riches ne doit pas être présenté comme une panacée contre la dette, mais comme une mesure d'équité dans les contributions communes. En l'occurrence, ils polluent bien davantage que les pauvres, il me semble donc juste qu'un ISF vert finance le coût de la dette générée par les investissements en faveur de la transition écologique.

Si Macron veut un accord de non censure avec une partie de la gauche, la moindre des choses c'est de proposer au moins l'équivalent de ce que la gauche proposait au centre : un ordre du jour mieux partagé, la fonction de rapporteur sur un certain nombre de textes accordée régulièrement à l'opposition, aucun passage en force et au moins une suspension de la réforme des retraites.

 

Je suis d'accord pour le climat, je rappelle juste que la part de la France dans les émissions est de 1% et est en baisse.

Taxer les riches, oui, le faire intelligemment en ayant à l'esprit la croissance, la justice sociale, la dette, le climat. Une partie de la démarche doit revêtir un caractère exceptionnel et temporaire.

Enfin, sur la non censure je serais plus exigeant que toi : agir aussi sur le fond. Il faut infléchir la politique en prenant en compte ce que nous disons plus haut en termes de fiscalité. 

Il y a 2 heures, Panopticom a dit :

Tu denies à Macron d'avoir des convictions économiques, Il serait juste au service de sa caste.

Fais tu de même avec tous les économistes qui défendent les mêmes thèses ?

Ils défendent ces thèses par dogmatisme et idéologie pour beaucoup, par cynisme et intérêts pour d'autres.

Cela a toujours existé.

Par exemple, pendant très longtemps, tu avais de nombreux politiques ou patrons qui t'expliquaient que le travail des enfants était une bonne chose et qu'il serait totalement inconcevable de le remettre en cause. C'était d'ailleurs la norme, et ceux qui la contre-disaient étaient perçus comme des utopistes, des gauchistes, des fantaisistes.

Bref, les politiques et économistes de l'époque avaient ces convictions, basées sur la tradition et la manière d'opérer alors.

Et sans compter bien évidemment que cette tradition leur allait bien, puisqu'elle servait leurs intérêts : ce n'étaient pas leurs enfants qui travaillaient, mais ceux des castes inférieures.

Il y a 2 heures, Panopticom a dit :

Seuls les économistes de gauche ont des convictions je suppose...

Non, mais l'économie est un sujet éminemment politique, et forcément les convictions ne sont pas les mêmes suivant les intérêts que tu veux défendre.

Lorsque tu es issu de l'aristocratie ou de classes privilégiées, avec ton réseau, les filières de grandes écoles privées pour tes enfants, que tu n'évolues que dans des sphères avec des gens de la même caste sociale que toi, ton engagement politique est traditionnellement dans une logique de notables et de perpétuation de ce régime de privilèges, que tu ne cherches donc pas à remettre en cause.

Ce sont des convictions.

Les progressistes et les républicains en ont d'autres, et donc forcément promeuvent d'autres voies économiques.

il y a 7 minutes, Pheldwyn a dit :

Ils défendent ces thèses par dogmatisme et idéologie pour beaucoup, par cynisme et intérêts pour d'autres.

Cela a toujours existé.

Par exemple, pendant très longtemps, tu avais de nombreux politiques ou patrons qui t'expliquaient que le travail des enfants était une bonne chose et qu'il serait totalement inconcevable de le remettre en cause. C'était d'ailleurs la norme, et ceux qui la contre-disaient étaient perçus comme des utopistes, des gauchistes, des fantaisistes.

Bref, les politiques et économistes de l'époque avaient ces convictions, basées sur la tradition et la manière d'opérer alors.

Et sans compter bien évidemment que cette tradition leur allait bien, puisqu'elle servait leurs intérêts : ce n'étaient pas leurs enfants qui travaillaient, mais ceux des castes inférieures.

 

Non, mais l'économie est un sujet éminemment politique, et forcément les convictions ne sont pas les mêmes suivant les intérêts que tu veux défendre.

Lorsque tu es issu de l'aristocratie ou de classes privilégiées, avec ton réseau, les filières de grandes écoles privées pour tes enfants, que tu n'évolues que dans des sphères avec des gens de la même caste sociale que toi, ton engagement politique est traditionnellement dans une logique de notables et de perpétuation de ce régime de privilèges, que tu ne cherches donc pas à remettre en cause.

Ce sont des convictions.

 

Les progressistes et les républicains en ont d'autres, et donc forcément promeuvent d'autres voies économiques.

Vous ne changerez jamais vous...si vous comptez sur la lutte des classes pour exister...vous faites fausse route!

Mélenchon, plus intelligent que vous, l'a compris, il se rabat sur des minorités qui exècrent la France et les français...le ptit gars de Tanger revient à la surface...il va se faire laminer...

Il y a 2 heures, Pheldwyn a dit :

Ils défendent ces thèses par dogmatisme et idéologie pour beaucoup, par cynisme et intérêts pour d'autres.

 

 

Non, mais l'économie est un sujet éminemment politique, et forcément les convictions ne sont pas les mêmes suivant les intérêts que tu veux défendre.

Tout le monde peut défendre ses thèses par dogmatisme et idéologie, pas seulement en économie d'ailleurs. Oui l'économie est un sujet politique, oui on est influencé par son origine sociale, mais rien n'empêche la réflexion personnelle. Tu parles de grandes écoles privées mais les meilleures écoles d'ingénieurs sont publiques... Les écoles de commerce c'est autre chose mais on acquiert aussi ses convictions par les études, son vécu.

Bref, qu'on soit de gauche, de droite ou d'ailleurs, on peut construire son point de vue de multiples façons sans être taxé à priori de n'avoir aucune réflexion personnelle et de ne défendre que sa classe d'origine.

Le 25/12/2024 à 19:05, Panopticom a dit :

Autant j'ai pu reprocher au NFP de s'arc bouter sur ses positions avant le gouvernement Barnier, autant je reproche à Macron de ne pas avoir sû infléchir sa politique pour satisfaire au moins le PS. Il est  vrai que la situation est difficile : alourdir les impôts ne va pas relancer une croissance atone, investir massivement pour le climat (isolation des logements par exemple) suppose d'abord de s'endetter sans être certain d'avoir un retour en termes de recettes : les marchés d'emprunt nous le feraient peut-être payer très cher. Taxer massivement "les riches",  outre l'impact évoqué sur la croissance n'est pas suffisant pour se désendetter ET investir. Bref, comme d'habitude la marge de manoeuvre est réduite. Toucher à un paramètre modifie tous les autres Mieux vaut sans doute agir avec modération avec un objectif à moyen terme qui suppose quand même de trouver des recettes. Tant que Macron n'ira pas dans ce sens, il ne trouvera pas de soutien à gauche.

Bonne analyse de la situation financière et économique.  Quel que soit la couleur du gouvernement, les grands problèmes sont là. Il n'y a que les "yaka" pour croire qu'il existe des solutions faciles.

il y a une heure, Panopticom a dit :

 mais rien n'empêche la réflexion personnelle. 

Voilà. Mais je n'ai jamais dit le contraire.

Simplement, ce n'est clairement pas le cas de Macron.

Il veut interdir la construction de bidonvilles sur l'ile  de Mayotte ? Il y en a sur Paris...

il y a 7 minutes, Herman1 a dit :

Il veut interdir la construction de bidonvilles sur l'ile  de Mayotte ? Il y en a sur Paris...

Sont ils aux normes  ?   

il y a 1 minute, G2LLOQ a dit :

Sont ils aux normes  ?   

Lol! C'est pas drôle

Plus sérieusement beaucoup de logements ne le sont pas, alors les bidonvilles.

Il y a 13 heures, Pheldwyn a dit :

Ils défendent ces thèses par dogmatisme et idéologie pour beaucoup, par cynisme et intérêts pour d'autres.

Cela a toujours existé.

Par exemple, pendant très longtemps, tu avais de nombreux politiques ou patrons qui t'expliquaient que le travail des enfants était une bonne chose et qu'il serait totalement inconcevable de le remettre en cause. C'était d'ailleurs la norme, et ceux qui la contre-disaient étaient perçus comme des utopistes, des gauchistes, des fantaisistes.

Bref, les politiques et économistes de l'époque avaient ces convictions, basées sur la tradition et la manière d'opérer alors.

Et sans compter bien évidemment que cette tradition leur allait bien, puisqu'elle servait leurs intérêts : ce n'étaient pas leurs enfants qui travaillaient, mais ceux des castes inférieures.

 

Non, mais l'économie est un sujet éminemment politique, et forcément les convictions ne sont pas les mêmes suivant les intérêts que tu veux défendre.

Lorsque tu es issu de l'aristocratie ou de classes privilégiées, avec ton réseau, les filières de grandes écoles privées pour tes enfants, que tu n'évolues que dans des sphères avec des gens de la même caste sociale que toi, ton engagement politique est traditionnellement dans une logique de notables et de perpétuation de ce régime de privilèges, que tu ne cherches donc pas à remettre en cause.

Ce sont des convictions.

 

Les progressistes et les républicains en ont d'autres, et donc forcément promeuvent d'autres voies économiques.

C'est ce que Helmut Krebs appelait "la convoitise des ratés". Vous voulez devenir riche comme les riches ou à leur place. 

Il y a 10 heures, Herman1 a dit :

Il veut interdir la construction de bidonvilles sur l'ile  de Mayotte ? Il y en a sur Paris...

La France ne sait pas combien elle compte de bidonvilles. Leur retour  suscite effarement et exaspération. Sans compter les poches urbaines délabrée, les territoires perdus de la République. La fracture sociale est de plus en plus visible, bobo Land d'un côté, et les logements dégradés de l'autre. Mais le bidonville, tant décrié, tant honni, ne serait il pas un modèle d'urbanisme plus convivial, un accès à la propriété démocratisé ! La spécialiste des favelas, janice Perlman soutient que les villes sans bidonvilles, sont des villes sans âme. Si vous voulez vraiment savoir ce qu'est un bidonville... 

https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&opi=89978449&url=https://www.slate.fr/story/153840/eloge-du-bidonville&ved=2ahUKEwi_kMKOp9GKAxVUUGwGHdzOFtkQFnoECEEQAQ&usg=AOvVaw0PMW0xP3K6fo4_pQy_FGc9

La honte...Voilà ce que m'inspire ce nouveau gouvernement

Citation

Une réaction qui ne passe pas.

Venue avec la délégation ministérielle de François Bayrou constater les dégâts au collège Kawéni 2, à Mayotte, lundi 30 décembre 2024, Élisabeth Borne a été interpellée par deux enseignants.

Et après avoir commencé par défendre la réponse des services de l'État à la suite du passage du cyclone Chido, la nouvelle ministre de l'Éducation nationale a fui le débat, tournant le dos aux deux professeurs en plein échange, ce qui lui vaut des critiques unanimes des oppositions.

 

https://x.com/i/status/1873744913935794267

il y a une heure, Kid_Ordinn a dit :

La honte...Voilà ce que m'inspire ce nouveau gouvernement

https://x.com/i/status/1873744913935794267

Elle se donne des airs de mami nova avec des trémolo dans la voix, mais en réalité, elle est un caporal chef toxique et despotique 

https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&opi=89978449&url=https://www.vanityfair.fr/article/elisabeth-borne-est-elle-une-manager-toxique&ved=2ahUKEwixtufFvtGKAxWvS2cHHYtEGlUQFnoECBIQAQ&usg=AOvVaw02cGFHAOE-ITlce0XH0ers

Il y a 12 heures, Pheldwyn a dit :

Voilà. Mais je n'ai jamais dit le contraire.

Simplement, ce n'est clairement pas le cas de Macron.

Si. On lui a suffisamment reproché d'avoir travaillé dans la finance, il a des convictions basées sur son expérience, il a été ministre des finances, il a tout loisir pour échanger avec de multiples économistes, chefs d'entreprises....il sait de quoi il parle. Qu'on soit en désaccord avec lui est un autre sujet.

Les bidonvilles sont des abris précaires. Ce sont des matériaux de récupération qui sont assemblés tant bien que mal. Ils ne résistent évidemment pas aux intempéries. Mais ils sont vite reconstruits. Le temps qu'un ministre prenne des mesures, c'est déjà trop tard. François de Navarre s'est encore ridiculisé.