https://sites.google.com/site/esclangonphilosophie/La-mthode/la-dissertation/l-introduction/des-exemples-d-introduction/peut-on-vouloir-etre-esclave

Pourquoi la question semble ne pas se poser ?

Le travail forcé nous apprend que seule la contrainte peut réduire un homme en esclavage.

Pourquoi elle se pose quand même ?

Mais la question suggère qu'il faut interroger les raisons profondes de la servitude.

Pourquoi est-il essentiel de se la poser quand-même ?

Mais si on affirme trop vite qu'on peut vouloir sa servitude, ne risque-t-on pas de faire de l'esclave le coupable et du maître la victime ?

“

Il faut que l'homme libre prenne quelquefois la liberté d'être esclave.

” Jules Renard. 

On est esclave de tout , même du quotidien , qu'on le veuille ou non .

à l’instant, Gepetto a dit :

On est esclave de tout , même du quotidien , qu'on le veuille ou non .

De tout ? Mais apparemment c'est pas un côté à explorer Lucky Luck

il y a 6 minutes, Pirene a dit :

De tout ? Mais apparemment c'est pas un côté à explorer Lucky Luck

Bon alors, c'est quoi ton esclavage ?

Cette question te taraude non ? 

à l’instant, #LN a dit :

Cette question te taraude non ? 

Si c'est à moi que tu parle , non ça me taraude pas car on est tous esclave de quelqu'un dans sa vie 

il y a 8 minutes, Gepetto a dit :

Bon alors, c'est quoi ton esclavage ?

... 

Je vois le but du sujet comme un exercice intellectuel de ce paradoxe pas de confidences gros malin. 

il y a 1 minute, Pirene a dit :

.

Je vois le but du sujet comme un exercice intellectuel de ce paradoxe pas de confidences gros malin. 

Exercice intellectuel , là ça va loin ton truc, grosse maligne 

il y a 49 minutes, Gepetto a dit :

Si c'est à moi que tu parle , non ça me taraude pas car on est tous esclave de quelqu'un dans sa vie 

Non c'était pour @Pirene

Je crois que c'est son 3eme sujet sur cette thématique 

il y a 14 minutes, #LN a dit :

Non c'était pour @Pirene

Je crois que c'est son 3eme sujet sur cette thématique 

Ah, non ça ne m'intéresse qu'en tant qu'exercice. Le premier sujet a été totalement saccagé et déplacé , le deuxième verrouillé alors je recommence avec autre chose. 

Ça parle toujours d'esclavagisme. En lisant vos trois topics, je me suis demandé s'il ne s'agissait pas de minimiser l'esclavagisme et le traumatisme qu'il en découle pour les victimes et pour les descendants. 

En supposant qu'on fait le choix d'être esclave, ça minime la gravité de ce crime. 

L'esclave a moins de soucis. Ni remords, ni regret.

il y a 2 minutes, Talon 1 a dit :

L'esclave a moins de soucis. Ni remords, ni regret.

Oui il se fait frapper, torturer, violer. Il est considéré comme un objet dont on abuse, qu'on rêvent, à une époque on les faisait même se reproduire pour avoir de futurs esclaves gratuits.

Oui ils avaient moins de soucis.

Bon je vais aller gerber là tout de suite.

Il y a 2 heures, Pirene a dit :

https://sites.google.com/site/esclangonphilosophie/La-mthode/la-dissertation/l-introduction/des-exemples-d-introduction/peut-on-vouloir-etre-esclave

Pourquoi la question semble ne pas se poser ?

Le travail forcé nous apprend que seule la contrainte peut réduire un homme en esclavage.

Pourquoi elle se pose quand même ?

Mais la question suggère qu'il faut interroger les raisons profondes de la servitude.

Pourquoi est-il essentiel de se la poser quand-même ?

Mais si on affirme trop vite qu'on peut vouloir sa servitude, ne risque-t-on pas de faire de l'esclave le coupable et du maître la victime ?

“

Il faut que l'homme libre prenne quelquefois la liberté d'être esclave.

” Jules Renard. 

 

Être esclave est un statut, certainement le plus bas qui puisse y avoir dans les sociétés qui l'ont pratiqué. Pourquoi voudrait on être esclave ? 

Les citoyens romains qui devenaient esclaves l'étaient pour dettes. Difficile de croire qu'ils le devenaient par gaieté de cœur. 

Les raisons profondes de la servitude :

Peut on troquer sa liberté pour sa survie ? Évidemment, c'est ce qu'on fait tous plus ou moins. 

Il y a 2 heures, Gepetto a dit :

Exercice intellectuel , là ça va loin ton truc, grosse maligne 

Non à peine, si je disais "si un arbre tombait sans que personne ne puisse l'entendre est ce qu'il ferait du bruit ? "est une question du même type.

esclave est un mot trop fort, on est plutôt tenus à faire certaines choses qu'on le veuille ou non

mais je ne me sens pas esclave

Il y a 3 heures, Pirene a dit :

https://sites.google.com/site/esclangonphilosophie/La-mthode/la-dissertation/l-introduction/des-exemples-d-introduction/peut-on-vouloir-etre-esclave

Pourquoi la question semble ne pas se poser ?

Le travail forcé nous apprend que seule la contrainte peut réduire un homme en esclavage.

Pourquoi elle se pose quand même ?

Mais la question suggère qu'il faut interroger les raisons profondes de la servitude.

Pourquoi est-il essentiel de se la poser quand-même ?

Mais si on affirme trop vite qu'on peut vouloir sa servitude, ne risque-t-on pas de faire de l'esclave le coupable et du maître la victime ?

“

Il faut que l'homme libre prenne quelquefois la liberté d'être esclave.

” Jules Renard. 

 

Il y a plusieurs niveaux dans votre interrogation et je pense qu'il y a plusieurs niveaux dans votre propre recherche.

Si j'avance en philosophe autorisé j'attends que vous traitiez ce sujet comme je l'entends : traitez le sous la contrainte de la norme sociale, dites vous bien : je dois traiter ce type de sujet comme ca HEIN, ou comme ca HEIN parce que tout de même il faut que j'ai une bonne note à la fin HEIN.

Hors de question que vous le traitiez sous l'inspiration de désirs tus, tus et en fait pas tus du tout, alors nous risquerions de subir la corrosion diffusée par les philosophes sadiens, nous serions tentés de déguster la pourriture exquise mijotée depuis des siècles par les religions (dont notamment le catholicisme) et par les colons. 

Mais alors nous ne pourrions traiter ce sujet que dans l'environnement économique ?

Je pense que vous êtes vous même partagée entre une vision de l'esclavage qui vous conduit à condamner l'esclavage social, économique, et une vision privée, qui tient éveillée votre curiosité, vision que vous résumez ainsi à la fin de votre exposé :

Il faut que l'homme libre prenne quelquefois la liberté d'être esclave.

Je crois que c'est cela qui vous intéresse. Car, pour l'esclavage social, nous pouvons partir dans des considérations depuis longtemps pratiquées en longueur, en largeur, en profondeur, sans que nous apportions quoi que ce soit de nouveau.

Mais ça, cette inclination privée, profondément privée à laquelle réfère cette phrase : il faut que l'homme libre prenne quelquefois la liberté d'être esclave, elle est très difficile à traiter en public. Parce qu'elle heurte la bonne conscience, les conventions. 

Cette inclination privée nous préférons la cantonner au domaine sexuel ou amoureux, mais en vérité, cette inclination est agissante même dans nos rapports sociaux. Et là ca devient très, très compliqué pour quiconque veut tout trancher en mal ou en bien. 

Cette mouvance privée, où alterne le désir de dominer et celui de se soumettre, cette mouvance sexuelle où alterne ces injonctions violentes et intenses : "je veux te baiser" et  "baise moi",  me fait penser à la mécanique quantique. La fluctuation du quantique c'est notre fluctuation privée. Mais cette fluctuation il est impossible de la limiter au sexe ; malgré son caractère éminemment privé, cette fluctuation est une palpitation qui anime aussi le domaine public. 

A bientôt Maitresse Françoise !

Cela dit vos interrogations me font moi même progresser dans l'élaboration de mes nouvelles représentations, merci !

Il y a 2 heures, Pirene a dit :

Ah, non ça ne m'intéresse qu'en tant qu'exercice. Le premier sujet a été totalement saccagé et déplacé , le deuxième verrouillé alors je recommence avec autre chose. 

Je crois pas que l'on va aller bien loin avec ton exercice , et si au moins on gagnait quelque chose 

il y a 24 minutes, Gepetto a dit :

Je crois pas que l'on va aller bien loin avec ton exercice , et si au moins on gagnait quelque chose 

Pourquoi ça ? À notre époque la notion d'esclavage au quotidien existe, la question traditionnelle aussi. La question de la liberté s'exprime beaucoup de le fait de vouloir obéir ou ou non, même des fois à qui et comment.

Vous avez dit vous même qu'on etait tous l'esclave de. L'avez choisi a minima ? Comment vous le voyez d'avoir céder ? Ca peut etre interessant et @chekhinaet @Fraction se débrouille bien à en parler et on peut même en rire. 

Quand tu "tombes" sur une fille ou une femme , qui aime ètre attachée sur le lit pendant l' acte , et réclame une fessée , on peut penser qu'elle a des idées la reliant a l esclavage ? ou alors elle répète pour une pièce de théatre ...........................