mange-t-on vraiment par faim ?

Il y a 4 heures, Gepetto a dit :

Manger pour vivre et non vivre pour manger , ça vous parle ça 

rhooo , quel rabat-joie tu fais !

Il m'est arrivé d'avoir réellement faim dans des périodes difficiles quand j'étais jeune; mais meme là, c'était plus une forte envie de manger qu'autrechose. La vraie faim qui fait mal, je n'ai jamais connu; contrairement à la soif.

Ceci dit, je n'attends pas d'avoir faim pour manger, vu que c'est moi qui fais la cuisine, et j'adore manger, donc  un gros repas par jour, le soir.

Le matin, c'est une demi-pomme ou un yaourt; et à midi, un bout de pain et fromage ou un sandwiche.

Il y a 4 heures, Gepetto a dit :

Manger pour vivre et non vivre pour manger , ça vous parle ça 

Pas du tout!

Encore que du temps d'Harpagon, les menus étaient plutôt spectaculaires; du moins d'après les récits de l'époque. On a l'impression qu'ils mangeaient en un repas, ce qu'on mange en un mois.

il y a 13 minutes, Atipique a dit :

Le matin, c'est une demi-pomme ou un yaourt; et à midi, un bout de pain et fromage ou un sandwiche.

moi , j'en suis restée au schéma de mon enfance où le repas de midi était le principal , tout le monde rentrait à la maison pour manger , l'école , l'usine ....étaient à 2 pas , le soir , c'était soupe -fromage ou les restes de midi .

Il y a 5 heures, Gepetto a dit :

Manger pour vivre et non vivre pour manger , ça vous parle ça 

Je préfère effectivement l'inverse. La graille, ya qu'ça d'vrai !

Il y a 3 heures, Ximène a dit :

moi , j'en suis restée au schéma de mon enfance où le repas de midi était le principal , tout le monde rentrait à la maison pour manger , l'école , l'usine ....étaient à 2 pas , le soir , c'était soupe -fromage ou les restes de midi .

Cela a souvent été comme ça pour moi aussi durant mon enfance; pourtant, ça ne m'a jamais vraiment convenu.

Sauf en vacances, où je fais deux bons repas par jour, midi et soir.

Il y a 20 heures, soisig a dit :

Coucou Ximène, 

On peut manger pour toutes les raisons que tu évoques. Nous sommes dans un pays ou les trois, voire 4 repas par jour est la norme, avec le petit déjeuner considéré comme le repas le plus important de la journée ... 

Mais en fait, c'est trop car l'organisme passe sa vie à digérer et n'a donc plus le temps de s'occuper d'autres choses. 

Tu vois, ça fait plusieurs années que je ne mange qu'une fois par jour. Et franchement, la différence est énorme, je n'ai jamais été en si belle forme. Au départ, j'ai perdu du poids, mais parce que j'en avais à perdre. Je précise que je fais beaucoup de sport et que je suis bien plus performante, avec l'estomac léger. 

Et vous avez suffisamment de calories en un seul repas? pour ne pas vous sentir fatiguée d'autant que vous dépensez de l'énergie en faisant du sport ?

Il y a 21 heures, Ximène a dit :

ou par habitude , gourmandise , ennui .........ayant perdu le goût et l'odorat à la suite d'une rhinite infectieuse depuis qq semaines , je me rends compte que je n'ai réellement faim qu'une fois par jour , au petit dèj' et je sauterais allègrement les deux autres repas si je n'avais pas peur de maigrir , ce qui , dans mon cas serait assez dangereux .

J'aime bien manger. J'ai dit manger pas m'empiffrer. Je fais 3 repas/jour, équilibrés au mieux car ma fatigue est mon ennemie majeure. Je prends plaisir à me mettre à table. J'ai un poids de croisière et à 1 kilo près je tiens à ne pas le dépasser donc dans l'ensemble je fais un peu attention. Mais manger oui, pour moi c'est un plaisir et l'idée de sauter le petit-déj ou un des deux repas ne me tente pas.

Il y a 1 heure, MadeleinedeProut a dit :

Et vous avez suffisamment de calories en un seul repas? pour ne pas vous sentir fatiguée d'autant que vous dépensez de l'énergie en faisant du sport ?

Oui, car c'est un repas complet, incluant tout ce dont j'ai besoin. Le week-end, je le fractionne en deux, pour le plaisir. C'est à dire que je prends un petit déjeuner et un déjeuner. En fait, ce n'est pas vraiment le nombre de repas qui est important, ce qui compte c'est de jeuner pendant 20 heures. Cela s'appelle le jeune intermittent. Nombreux le pratique sur 16 heures, pour ma part, je le pratique sur 20 heures, car je trouve que c'est ce qui me correspond le mieux. 

Il y a 16 heures, soisig a dit :

Oui, car c'est un repas complet, incluant tout ce dont j'ai besoin. Le week-end, je le fractionne en deux, pour le plaisir. C'est à dire que je prends un petit déjeuner et un déjeuner. En fait, ce n'est pas vraiment le nombre de repas qui est important, ce qui compte c'est de jeuner pendant 20 heures. Cela s'appelle le jeune intermittent. Nombreux le pratique sur 16 heures, pour ma part, je le pratique sur 20 heures, car je trouve que c'est ce qui me correspond le mieux. 

C'est une pratique connue, mon fils le fait aussi: un gros repas le soir et "jeune" le reste du temps. Il prétend que c'est bien meilleur pour la santé ainsi.

Je le faisais aussi quand j'étais jeune, mais c'était davantage par manque de moyens financiers, que par volonté diététique. 

Je mange par faim pour ma part oui. Je ne mange jamais pour m'occuper ou seulement parce que j'aime le met en question. Je n'ai pas de plaisir à manger si je n'ai pas faim, même si l'alimentation est normalement l'un des plaisirs de base dans la vie. Et je déteste la gourmandise, j'aime allier toujours alimentation et santé, sinon j'aurais l'impression d'être ma propre ennemie.

Il y a 19 heures, soisig a dit :

Oui, car c'est un repas complet, incluant tout ce dont j'ai besoin. Le week-end, je le fractionne en deux, pour le plaisir. C'est à dire que je prends un petit déjeuner et un déjeuner. En fait, ce n'est pas vraiment le nombre de repas qui est important, ce qui compte c'est de jeuner pendant 20 heures. Cela s'appelle le jeune intermittent. Nombreux le pratique sur 16 heures, pour ma part, je le pratique sur 20 heures, car je trouve que c'est ce qui me correspond le mieux. 

Oui j'ai entendu parler du jeûne intermittent. Personnellement je ne pourrais pas ou alors très occasionnellement. Je pense qu'il faut trouver chacun la manière de s'alimenter qui convient le mieux à sa nature et si vous trouvez du bienfait dans cette pratique il n'y a pas de raison de ne pas l'adopter définitivement.

il y a 2 minutes, sirielle a dit :

Et je déteste la gourmandise, j'aime allier toujours alimentation et santé, sinon j'aurais l'impression d'être ma propre ennemie.

A l’inverse, je suis fort gourmande : donc je joins l’utile à l’agréable. Je  mange lorsque la faim se fait sentir mais je peux aussi le faire juste pour me régaler. 

Cela me fait du bien mentalement et physiquement par le plaisir que ça me procure.

Ceci n’étant pas antinomique d’une bonne hygiène de vie alimentaire. 
 

Il y a 1 heure, Elisa* a dit :

A l’inverse, je suis fort gourmande : donc je joins l’utile à l’agréable. Je  mange lorsque la faim se fait sentir mais je peux aussi le faire juste pour me régaler. 

Cela me fait du bien mentalement et physiquement par le plaisir que ça me procure.

Ceci n’étant pas antinomique d’une bonne hygiène de vie alimentaire. 
 

C'est selon ce que l'on entend par "gourmandise". Souvent le terme représente avant tout, en première définition, l'excès alimentaire, pas forcément seulement en quantité, mais aussi par rapport au type d'alimentation, les "gourmandises", représentent généralement des mets trop gras, trop sucrés, etc... Il est rare de dire qu'on s'offre une gourmandise par exemple lorsqu'on prend une simple poire. Mais effectivement, le terme est aussi parfois employé autrement, ce que pour ma part je ne fais normalement pas, pour éviter un surplus d'ambiguïtés.

il y a 1 minute, sirielle a dit :

C'est selon ce que l'on entend par "gourmandise". Souvent le terme représente avant tout, en première définition, l'excès alimentaire, pas forcément seulement en quantité, mais aussi par rapport aux type d'alimentation, les "gourmandises", représentent généralement des mets trop gras, trop sucrés, etc... Il est rare de dire qu'on s'offre une gourmandise par exemple lorsque qu'on prend une simple poire. Mais effectivement, le terme est aussi parfois employé autrement, ce que pour ma part je ne fais normalement pas, pour éviter les ambiguïtés.

Oui un p’tit plaisir « coupable » donc pas bien dièt’, healthy c’est sûr mais par ailleurs on peut manger sainement, savoir gérer son alimentation de façon équilibrée. 

Le jeûne "intermittent" lorsque l'on travaille de nuit...un repas juste le soir pour tenir la nuit, n'est pas à recommander...

Me suis retrouvée diabétique à ce rythme là...et aujourd'hui je suis obligée de "consommer" 3 fois/jour...avec un piqure à chaque fois et une lente pour 24h!

Un jour ou l'autre on paye...

il y a une heure, Morfou a dit :

Le jeûne "intermittent" lorsque l'on travaille de nuit...un repas juste le soir pour tenir la nuit, n'est pas à recommander...

 

Quelle différence avec un repas unique, pour une personne qui travaille le jour ? 

il y a une heure, Morfou a dit :

Me suis retrouvée diabétique à ce rythme là...et aujourd'hui je suis obligée de "consommer" 3 fois/jour...avec un piqure à chaque fois et une lente pour 24h!

Un jour ou l'autre on paye...

Ce n'est surement pas le jeune intermittent qui t'a rendu diabétique, d'autant que ta consommation de sucre s'en trouve naturellement réduite. Par contre, je pense qu'effectivement, ce mode alimentaire n'est pas compatible avec le diabète qui impose plusieurs repas par jour. 

Il y a 3 heures, sirielle a dit :

Je mange par faim pour ma part oui. Je ne mange jamais pour m'occuper ou seulement parce que j'aime le met en question. Je n'ai pas de plaisir à manger si je n'ai pas faim, même si l'alimentation est normalement l'un des plaisirs de base dans la vie. Et je déteste la gourmandise, j'aime allier toujours alimentation et santé, sinon j'aurais l'impression d'être ma propre ennemie.

Roooo z'êtes pas une p'tite rigolote vous dites donc!

Vous détestez la gourmandise car elle ne rime pas avec santé mais savez-vous que la gourmandise n'est pas systématiquement ennemie de notre santé?

Le chocolat est une gourmandise par exemple, mais le chocolat noir a des propriétés intéressantes pour la santé.

Les fruits secs aussi. Les dattes également. Et bien d'autres choses. Il faut je pense savoir allier santé et gourmandise/plaisir ou l'inverse. Evidemment l'excès n'est recommandé dans aucun domaine.

il y a 42 minutes, soisig a dit :

 

Quelle différence avec un repas unique, pour une personne qui travaille le jour ? 

Ce n'est surement pas le jeune intermittent qui t'a rendu diabétique, d'autant que ta consommation de sucre s'en trouve naturellement réduite. Par contre, je pense qu'effectivement, ce mode alimentaire n'est pas compatible avec le diabète qui impose plusieurs repas par jour. 

De jour, j'ignore...si, reconnu par la sécurité sociale...le travail de nuit peut déjà donner le même résultat, alors ajoutez y ce "jeûne intermittent"...

La consommation de sucre n'a rien à faire dans l'affaire ...

D'ailleurs la non consommation de sucre mène à l'acidose et peut être mortelle...je sais, ça m'est arrivée...coma...hospitalisation de 3 semaines suite à une  perte de 10kg de poids...(descendue à 56k) et devenue insulino-dépendante...

Il faut faire attention déjà soi-même et éviter de donner des conseils qui peuvent être dangereux pour la santé!

J'ai du mal à croire que votre toubib soit d'accord avec ce mode de vie...

il y a 29 minutes, MadeleinedeProut a dit :

Roooo z'êtes pas une p'tite rigolote vous dites donc!

Vous détestez la gourmandise car elle ne rime pas avec santé mais savez-vous que la gourmandise n'est pas systématiquement ennemie de notre santé?

Le chocolat est une gourmandise par exemple, mais le chocolat noir a des propriétés intéressantes pour la santé.

Les fruits secs aussi. Les dattes également. Et bien d'autres choses. Il faut je pense savoir allier santé et gourmandise/plaisir ou l'inverse. Evidemment l'excès n'est recommandé dans aucun domaine.

A mes yeux il serait trop facile de ne voir que les avantages d'un aliment pour le qualifier sans bémol de bon pour la santé. Il faut tenir compte aussi de ses inconvénients. Et tendre à ne consommer, en quantité appropriée, des aliments qu'exclusivement bénéfiques à la santé, ou en tout cas optimiser son alimentation en fonction de ce que nécessite la santé. Et ceci, par extension, en tenant compte également de l'impact de sa consommation sur l'écosystème et la biodiversité entre autres...

Je ne peux m'enlever l'idée de la tête que le bien-être, et donc aussi la bonne humeur, dépendent avant tout de la santé, et que la mettre en péril est le plus grand des sacrifices, qu'une lubie alimentaire ne suffit pas à justifier. J'ai un réel plaisir à consommer des aliments sains (des fruits frais par exemple), (bien que j'ai conscience que tout le monde n'a pas exactement la même idée de ce qu'est vraiment une alimentation saine au quotidien). Et je n'éprouve aucune frustration à agir en fonction de ce principe, au contraire c'est ainsi que je me sens en accord avec moi-même.