Le défi écriture du mois de juillet 2024

le 21 juil', dans mes mails intempestifs, on me propose un produit pour une érection puissante ; pourquoi les algorithmes ont senti un amollissement de ce côté-là ? je n'ai rien senti, moi. tout marche, la pression est dans le slip, comme dirait h. bref, à demain pour de nouvelles aventures !

Jour 21

J'ai pas envie de partir taffer. A quoi bon ? Gagner du fric. Super. Un de ces jours où je crois plus à rien. Où je me branle de tout. Sauf que même ça j'ai pas envie.

J'ai besoin de vacances, avec eux, avec moi. C'est pas possible, ça règle la question.

Il me reste une heure pour me mentir à moi même et me croire utile à quelque chose.

Je ne veux pas rater mon rdv quotidien ici.

Je viens de nourrir le poisson du voisin qui bulle dans un charmant village des Pyrénées-Orientales.

Ce matin kiné. Je vais dans un cabinet situé à 20 minutes de route de chez moi, je l'ai choisi pour les forêts que je dois traverser. Je vis là une aventure grisante bien que je n'ai toujours pas vu de rhinocéros traverser la chaussée.

J'ai mis des tongs, un short noir et un bob, noir aussi. La kiné est une jeune asiatique, une chinoise donc selon mon épouse pour qui tous les asiatiques sont des Chinois même les Japonais.

Elle râle :

- Monsieur A. Bcde vous avez mis des tongs !

- Oui j'ai pensé que ça vous déplairait.

J'examine son visage impassible qui s'est figé quand même. J'aime les asiatiques. Ma mère a  des origines mongoles en plus d'avoir des origines russes. Je dis cela pour terroriser les gentils foromeurs. Je vais surgir de l'écran  tout casqué et sabré, attention vos yeux, le barbare arrive.

Je suis couché, elle s'arcboute sur mon genou et VLAN ! Il y a encore du jeu avec le lit me dit elle, le lit a tout du brancard. Je reste impassible, mongol oblige.

J'étais un peu électrisé en début d'après midi. La faute à @Pirene qui a publié sur le forum, à l'état brut, un collier tout droit sorti de la collection de Maitresse Françoise (qui connait Maitresse Françoise ici ?). Je me dis que le Je non-conscient de Pirene, comme sont d'abord non conscients tous les Je, dont le mien, mériterait d'être exploré. Mais j'imagine qu'elle va dénéguer (pas mal ce mot créé).

Bon je n'ai rien exploré du tout je suis allé marcher.

Il y a 3 heures, chekhina a dit :

Je ne veux pas rater mon rdv quotidien ici.

Je viens de nourrir le poisson du voisin qui bulle dans un charmant village des Pyrénées-Orientales.

Ce matin kiné. Je vais dans un cabinet situé à 20 minutes de route de chez moi, je l'ai choisi pour les forêts que je dois traverser. Je vis là une aventure grisante bien que je n'ai toujours pas vu de rhinocéros traverser la chaussée.

J'ai mis des tongs, un short noir et un bob, noir aussi. La kiné est une jeune asiatique, une chinoise donc selon mon épouse pour qui tous les asiatiques sont des Chinois même les Japonais.

Elle râle :

- Monsieur A. Bcde vous avez mis des tongs !

- Oui j'ai pensé que ça vous déplairait.

J'examine son visage impassible qui s'est figé quand même. J'aime les asiatiques. Ma mère a  des origines mongoles en plus d'avoir des origines russes. Je dis cela pour terroriser les gentils foromeurs. Je vais surgir de l'écran  tout casqué et sabré, attention vos yeux, le barbare arrive.

Je suis couché, elle s'arcboute sur mon genou et VLAN ! Il y a encore du jeu avec le lit me dit elle, le lit a tout du brancard. Je reste impassible, mongol oblige.

J'étais un peu électrisé en début d'après midi. La faute à @Pirene qui a publié sur le forum, à l'état brut, un collier tout droit sorti de la collection de Maitresse Françoise (qui connait Maitresse Françoise ici ?). Je me dis que le Je non-conscient de Pirene, comme sont d'abord non conscients tous les Je, dont le mien, mériterait d'être exploré. Mais j'imagine qu'elle va dénéguer (pas mal ce mot créé).

Bon je n'ai rien exploré du tout je suis allé marcher.

 

J'en peux plus !! Vite l'adresse du kiné que je me remette en place aussi ! 

Il y a 9 heures, Pirene a dit :

J'en peux plus !! Vite l'adresse du kiné que je me remette en place aussi ! 

Je ne m'attendais pas à votre réponse. Je me sens honoré et un peu intimidé.

Jour 23

Toutes ces fenêtres qui renferment leur lot de souffrances, de luttes, de tragédies. Que faire face au désespoir ? au renoncement ? à l'abandon ? à l'injustice ? 

Ces regards, ces larmes, ces vécus.

Les miroirs, le passé, les souvenirs, la culpabilité, l'impuissance.

Ne rien louper, ne pas se râter, accepter.

23 juillet 2024

Amy a écrit à J. : pas d'inquiétude L. me protège et je le protège.

Heureusement que L. a rencontré cette jeune femme, tous les deux font front vaillamment. Si L. décide finalement de quitter la Nouvelle Calédonie ca va être dur pour elle de le suivre, elle qui est née là bas.

Les départs sont maintenant effectifs, la communauté juive commence elle aussi à partir. 

Il est nécessaire que je me mette la pression et que j'achève les études jusque là engagées pour situer les horizons. Je tergiverse de trop, je m'enlise dans de nouvelles études inutiles et je me sers du forum pour gagner du temps. 

J'ai peur d'affronter l'empêchement. L'empêchement d'écrire. Ca me fout la trouille ça. Et s'il s'avère que l'empêchement soit insurmontable ? Encore un peu de temps et j'irai à l'affrontement. Si je ne passe pas le verrou, si je ne passe pas l'interdit, je devrais changer de projet.

Un interdit verrouille ma puissance d'écrire.

Ce serait la victoire posthume de mon frère contre moi s'il s'avère que je ne peux pas écrire. Il en aura déployer des trésors de perversité pour inhiber mon désir d'écrire. Et le pire c'est que je suivais ses avis, j'étais trop jeune et il me tenait dans les anneaux de sa sexualité démente.

24 juillet,

le footing matinal s 'est fait dans la souffrance , l 'impression de me trainer , mais bon au final 45 minutes bénéfiques tout de meme , pas beau de vieillir ,

abnégation ,c 'est ce qu'il va falloir pour progresser et retrouver ce plaisir , ce besoin, ce cercle vertueux .

Jour 24

Le sentiment d'avancer dans un monde qui s'effondre. J'ai beau m'accrocher à mes idéaux, à mes valeurs, essayez de faire de mon mieux pour lutter contre le sombre en moi, la réalité me fracasse. C'est comme si un mauvais génie invisible munit d'une masse explosait chacun de mes chateau de sable.

Les héros n'existent pas, les gens  "bien" non plus. C'est simplement une question de temps pour voir au delà du "bien", pour découvrir le sombre, voir l'odieux. 

Comment vais-je avancer si je ne vois plus que le sombre, si je ne crois plus en personne, ni en rien. 

C'est quoi le sujet ? Ah... d'accord....

24 juillet..... Hum, le quatorze juillet on a libéré le Marquis de Sade. Tout le monde en a fait des choux gras. Comme quoi, ça serait la "Terreur" après. Là on a juste voté pour la énième fois... j'ai pas compris l'histoire. La liberté oui mais pourquoi. J'ai quarante cinq ans et j'ai jamais connu la vie des autres. Je ne la connais qu'à travers les écrits. Les écrits.... Comme si le papier était un être vivant, comme les Dinosaures qui nous ont donné le pétrole pour faire autre chose après...

Bref, je trempe ma plume (à défaut du biscuit). Et je commence, nous sommes le 24. Pas envie de prendre la moindre résolution, genre comme le 2 janvier voyez. Même pas un jour de répit à ma détermination de rien changer. Même mon toubib est d'accord, c'est pas de la dépression. J'écris sans savoir ce qu'il y aura avant le point final.

Bon ok, je suis peut-être H.S 

Extrait de ce qui aurait pu être une page de journal intime :

Bordel, il fait une chaleur à crever. Me repasse Johnny Hallyday : ö marie, qu'est ce que j'ai fait ? Demain je suis en première ligne. Peux plus respirer. Vais pas mourir, mais souffrir. Convocation de pensées positives pour affronter la journée. L'air est sec. On dirait un parchemin. Tandis que que quelqu'un me propose une bière, je suis ailleurs. J'ai plus envie d'être saoul. J'ai ma dose de réalité. Multipliée par dix, la réalité. De manière ordinaire, je mate les strings, les soutifs... Là c'est mort, comme à la fin du Jurassique.

Je n'en veux à rien de mes choix (quels choix ?) ou de ma funeste destinée, vu que je la partage avec des millions de semblables. Demain, ils vont sonner l'alerte météo. Alerte canicule ils appellent ça. Sans penser aux chiens. Lesquels tirent la gueule.... Aucune pensée pour l'Abbé Pierre. Nous sommes en été. Tout ce sable... Est-ce un mirage ?

En fin de compte, mon smart sonne. Ouf ! J'y croyais plus. Le réchauffement climatique a enseveli le monde entier, on en parle moins parce que c'est pas comme la C.o.v.id. Là, tout le monde était responsable.

J'entends du bruit, mais je capte rien autour de moi. Je scrute le ciel, j'essaye de me dire qu'il y a des nuages, donc un océan pas trop trop loin. Demain, je sens bien qu'il va falloir se réveiller. Certes pas pour chasser le gnou. Mais pour activer ses genoux cela dit. Quel est le crétin qui a dit que la vie est un long fleuve tranquille. Le fleuve, on le cherche. Mon dieu, pourquoi m'as-tu créé ? C'est vrai qu'"on" avait multiplié les alertes natalité. Il valait mieux pas... par les temps qui couraient. Courir, j'aurais bien aimé.

Mais je ne suis qu'un doigt. Qui courent sur des touches probablement imaginaires. Parce que ce qu'on n'a pas le droit d'écrire ça.

A demain, ça je me le souhaite. Ainsi qu'aux êtres uniques à qui je devrai éventuellement ma future renommée.

24 juillet 2024, hantologie

La peur, fidèle conseillère

En l’aliénation déclinante

Quand se répand dans l’atmosphère

L’égal futur d’une mort lente

Kiné à nouveau ce matin.

- Bonjour Caroline, je n'ai pas mis de tongs ce matin, j'ai décidé de ne plus vous provoquer.

- Bonjour Monsieur A. Bcde (grand sourire).

Je vais m'allonger comme d'habitude et Vlan sur le genou. Puis elle papote et me demande où je vais passer mes vacances. Je m'aperçois qu'elle a vraiment envie de papoter, alors je papote. Elle met une main sur mon épaule et l'y laisse. L'ambiance est devenue familiale, j'aime.

Ca ne traine pas ce matin, il faut que j'aille régler une facture de 4 euros qui provient d'un labo que je ne connais pas et qui m'écrit que c'est la deuxième fois qu'il réclame le paiement de sa facture. Finalement j'identifie la facture comme le reliquat du cout d'une analyse de sang exécutée à Sarcelles  par une infirmière venue à domicile ( et qui donc doit vivre à Sarcelles, ça fait une trotte pour venir chez moi). Comment l'infirmière s'y est prise pour qu'il reste 4 euros à payer. Mystère. "Je vais payer" dis je à la secrétaire toute soulagée que je ne fasse pas un esclandre.

Caroline, la dernière fois que je lui ai dit au revoir, à la fin d'une séance, je me trompe et je lui dis : au revoir Béatrice. Enorme confusion, j'ai même rougi un peu. Une patiente qui sort avec moi, sympa et souriante, se marre. Je bafouille quelques mots et je cherche désespérément dans ma mémoire qui est Béatrice. La patiente me regarde avec une lueur espiègle (qui m'alerte) et me dit : cela aurait pu être pire, vous auriez pu lui dire : au revoir Raymond. Là pour le coup je ne me marre plus du tout. D'abord Béatrice et maintenant Raymond.

25 juillet  déjà !

je ne l'ai pas vu passer ce mois .

la nature est bien faite, l'horloge biologique au top ,

je me suis réveillé ou du moins dans mon sommeil, une petite voix m'a suggéré de me réveiller ,

et...dans cet éveil, au moment ou je prenais conscience que j'avais la veille ,oublié de remettre mon réveil ,programmé en tant normal à 6h05,

j'ai ouvert les yeux pensant que je serais certainement à la bourre ,

j'ai regardé l heure et je vous le donne en mille ,

il était très exactement 6h05 !

magnifique .

il y a 7 minutes, sphynxxxix a dit :

25 juillet  déjà !

je ne l'ai pas vu passer ce mois .

 

la nature est bien faite, l'horloge biologique au top ,

je me suis réveillé ou du moins dans mon sommeil, une petite voix m'a suggéré de me réveiller ,

et...dans cet éveil, au moment ou je prenais conscience que j'avais la veille ,oublié de remettre mon réveil ,programmé en tant normal à 6h05,

j'ai ouvert les yeux pensant que je serais certainement à la bourre ,

j'ai regardé l heure et je vous le donne en mille ,

il était très exactement 6h05 !

 

magnifique .

 

C'est très souvent que ça m'arrive et même si dans ma tête la veille je me dis qu'il faut que ce soit 1/2 heure avant , ce sera 1/2 h avant . Je pense que ce sont les micro siestes et le travail de nuit /jour qui a conduit mon cerveau à cette capacité là . 

Désolée , fin de la parenthèse .

Il y a 2 heures, eriu a dit :

C'est très souvent que ça m'arrive et même si dans ma tête la veille je me dis qu'il faut que ce soit 1/2 heure avant , ce sera 1/2 h avant . Je pense que ce sont les micro siestes et le travail de nuit /jour qui a conduit mon cerveau à cette capacité là . 

Désolée , fin de la parenthèse .

Au contraire, pas de désolation @eriu! vous venez d'écrire un petit peu de votre intimité, là dans ce journal intime collectif.  Ecrivez encore et toujours, ne vous mettez pas entre parenthèse, ou alors n'écrivez que la première parenthèse, et ne fermez jamais la seconde. Ca me fait plaisir de vous voir intervenir ici, du coup j'ai accouru vous lire (syntaxe interdite mais vive la création !).

Jour 25

L'apparence, le paraitre est devenu la nouvelle norme, le nouveau graal. Si on est beau, on est quelqu'un de bien. Du coup comme la valise à l'aeroport, si on entre pas dans le gabarit, tu finis dans la cale avec un supplément à payer.

Si tu parles bien, tu es quelqu'un de bien et tu as le droit de dire les pires horreurs; si les apparences sont sauvées, ça passe. Dis la même chose avec un langage cash et tu deviens agressif et bon à mettre au ban de la société.

Le mensonge est finalement le seul code social à apprendre pour survivre. Mentir, cacher, se taire pour faire comme les autres, pour être comme les autres. Pour être une bonne personne, il suffit juste de savoir travestir et dire ce que la foule veut entendre. 

25 juillet 2024

Je n'ai pas répondu à cet appel d'un numéro inconnu, mais il y a un message laissé dans la boite, je vais consulter, c'est le cimetière russe de Saint Geneviève les Bois qui me demande si je n'ai pas perdu son appel de cotisation pour l'année 2024.

Non je n'ai pas perdu cet appel mais j'hésite. Vais-je reconduire l'entretien de la tombe où gisent ma mère, mon père et deux autres ascendants russes ?

Vais-je t'abandonner mère ? ou pas ? Toi qui m'a harcelé des années et des années jusqu'à ce que je décide d'en finir. As tu voulu que j'en finisse ? as tu désiré ma mort ?

Mais tu m'as transmis aussi beaucoup. C'est grâce à ta transmission que j'ai pu me hisser dans les strates élevées de la société française, tu m'as transmis le verbe, et la violence. sans lesquels je serai aujourd'hui mort.

Je vais payer cette cotisation mais je garde ma rage contre toi. Comment une mère peut elle choisir de tuer son enfant ? en revanche je ne paye pas la cotisation pour mon frère, là c'est trop demandé. 

C'est incroyable tout de même, ma mère et mon frère abandonnés par ceux là même qui leur doivent tout. Et c'est celui qu'ils ont tenté de tuer qui choisit encore de prendre soin d'eux. Sauf mon frère, pour l'instant je l'abandonne encore.

Prout ... !

26 juillet 2024

Journée calme. L'ouverture des Jeux olympiques n'incite pas à sortir. En plus il fait gris, en plus je suis fatigué, en plus j'ai mal à l'épaule...En plus quoi.

Je fais le point sur les livres commencés et dont je me demande si je vais les continuer ou les ranger.

Celui de Yann Mambrini, la Nouvelle Physique, permet de muter tous les concepts usuels de la physique classique en d'autres significations. Mais déjà en lisant les ouvrages de Carlo Rovelli je sais que l'espace et le temps ne sont plus ce qu'ils étaient, l'espace est désormais un champ "matériel", quant au temps...Il faudrait que je retravaille la vidéo de Zwirn/Connes dans laquelle les deux savants posent le concept de variabilité, ce concept désigne "quelque chose" qui est antérieur au temps, quelque chose dont PROCEDE le temps (fascinant). Mais ai-je besoin d'approfondir ? Il me semble que savoir que le temps lui même procède d'autre chose est suffisant. Cela tout de même implique l'existence de quelque chose identique à soi même depuis la nuit des temps et pour la prochaine nuit des temps. Difficile à imaginer. Je me balade dans la montagne et je sais qu'il y a là quelque chose qui est là pour l'éternité, présent toujours, dans lequel le temps s'écoule. Les morts enterrés sous mes pieds, et bien, cette chose était là déjà et les enveloppait. Du coup les morts sont ils là ? et les vivants à venir aussi ? Enfin quand je dis là, là, dans la chose, bien sûr. Fascinant.

Il y a le livre de Pierre Dardot/Laval, la Nouvelle raison du monde, que je n'ai pas ouvert, mais dont je connais la substance après avoir visionné une vidéo. Ce livre qui traite de l'idéologie du néo libéralisme risque d'être un peu déprimant car les auteurs nous montrent que presque toutes nos valeurs sont en fait téléphonées depuis les années 40 par des penseurs anglo-saxons. NOS VALEURS ON Y TIENT, ce sont les nôtres, tu parles. 

Même Jancovici se fait avoir. L'apôtre de la décroissance (de toute façon dit il avec un sérieux sadique vous allez tous décroitre bande de zouaves et déjà vous décroissez sans le savoir, bande de zigs) y fout le bourdon. Donc Janco y dit : nous avons tous un capital que nous devons faire fructifier ! Bonjour la décroissance si je me mets à faire des petits à mon capital, qui vont s'ajouter à mon capital initial, et hop c'est parti l'accumulation ! Il est un peu aliéné le Janco.

Bon aujourd'hui, à part penser, je ne fous rien. Quand je pense que certains sont payés pour penser, et penser en plus de sacrées conneries. Mais le pire ce sont les journalistes qui sont maintenant PAYES pour donner leur OPINION. Dingue quand même, madame, monsieur, vient devant les caméras et micros et donne son opinion, à condition d'être PAYE. C'est fou. 

Si je bosse : je viens écrire ici, ce qui me force à l'entrainement quotidien d'écriture.