La vraie médecine naturelle (sans les sectes, les religions et les charlatans) on en parle ?

il y a 1 minute, Sittelle a dit :

Je n'aime pas les bananes .. et surtout je ne jeune pas .. 

Nous en avions déjà parlé il y a quelques années .

Je ne sais si vous vous en souvenez . 

J'ai fait de l'anorexie et en jeûnant j'ai peur de rechuter .. 

C'est en effet un cas de contre indication...

Il y a 10 heures, apis 32 a dit :

La paille et le parasol si tu veux.

Les olives, heu... non !

Des olives de NYONS  !!   

Il y a 16 heures, hanss a dit :

Tous les ans pendant un mois les muzz sont compétents en matière de jeûne  

compétants ? mon oeil ! bourrés de préjugés , de superstitions , de conformisme .....mon voisin , grand diabétique sous dialyse , s'obstine à jeûner , persuadé que Dieu le récompensera de son sacrifice !

Bonjour !

L'initiateur du sujet devrait quand même donner une définition de la médecine naturelle, et a fortiori de la vraie médecine naturelle.

Autres remarques : quand on aborde un tel sujet on devrait exiger un minimum de preuves de ce que l'on avance et défend. Après quatre pages d'échanges seuls des témoignages personnels ont été proposés. C'est maigre, pour ne pas dire complètement inconsistant sur le plan épistémique.

On donnerait plus de crédit au propos si, a minima, on nous donnait quelques billes comme celles-ci :

• Une définition claire, non ambiguë, partagée et référencée (si la définition est assez élastique et ne fait pas consensus on proposera une définition minimale sur laquelle tout le monde s'entend.) ;
• Des exemples de vraie médecine naturelle et des exemples de charlatans selon la définition du créateur de la discussion ;
• L'abandon du « ça marche » fondé sur l'expérience personnelle isolée ;
• Des études dûment publiées dans des revues scientifiques.

Je pense que le discours n'a aucune implication sur le plan de la connaissance si ces quatre points au moins ne s'y trouvent pas.

Il y a 7 heures, G2LLOQ a dit :

Des olives de NYONS  !!   

Pardon ! Les olives, j'ai dit non en même temps que l'eau d'ortie en tant que boisson détox.

Sinon, hors détox, c'est très bon, les olives, et j'en mange souvent !

Il y a 1 heure, Jean-EB a dit :

Bonjour !

L'initiateur du sujet devrait quand même donner une définition de la médecine naturelle, et a fortiori de la vraie médecine naturelle.

Autres remarques : quand on aborde un tel sujet on devrait exiger un minimum de preuves de ce que l'on avance et défend. Après quatre pages d'échanges seuls des témoignages personnels ont été proposés. C'est maigre, pour ne pas dire complètement inconsistant sur le plan épistémique.

On donnerait plus de crédit au propos si, a minima, on nous donnait quelques billes comme celles-ci :

• Une définition claire, non ambiguë, partagée et référencée (si la définition est assez élastique et ne fait pas consensus on proposera une définition minimale sur laquelle tout le monde s'entend.) ;
• Des exemples de vraie médecine naturelle et des exemples de charlatans selon la définition du créateur de la discussion ;
• L'abandon du « ça marche » fondé sur l'expérience personnelle isolée ;
• Des études dûment publiées dans des revues scientifiques.

Je pense que le discours n'a aucune implication sur le plan de la connaissance si ces quatre points au moins ne s'y trouvent pas.

Moi je pense que ça n'a pas de sens de vouloir faire entrer la médecine naturelle dans la méthode scientifique.

Tout à l'heure, mon compagnon, qui est un peu patraque depuis quelques jours m'a demandé s'il "avait le droit" de prendre une bière, aujourd'hui.

Je lui ai répondu que je n'en savais rien, qu'il était le seul à pouvoir le savoir : Est-ce que tu en as vraiment envie, est-ce que ton corps va l'accepter ?

Il a bu sa bière, qui ne lui a pas fait de mal et lui a fait plaisir...
Nous n'avons pas consulté les statistiques sur les méfaits de l'alcool ( on en garde la conscience et n'en buvons que rarement ), ni cherché d'étude sur les interactions entre l'alcool et la gastro.

Si une maladie grave m'était diagnostiquée, je m'en réfèrerai à la science.

Pour mon hygiène de vie et les bobos du quotidien je me base sur une expérience acquise petit à petit et dont je n'ai pas besoin qu'elle soit validée scientifiquement pour constater qu'elle me convient.

il y a 5 minutes, apis 32 a dit :

Moi je pense que ça n'a pas de sens de vouloir faire entrer la médecine naturelle dans la méthode scientifique.

On n'a toujours rien défini mais deux questions me viennent :

1. Pourquoi ?
2. Sur quoi fondez-vous vos connaissances ?

il y a 9 minutes, apis 32 a dit :

[...]

Tout à l'heure, mon compagnon, qui est un peu patraque depuis quelques jours m'a demandé s'il "avait le droit" de prendre une bière, aujourd'hui.

Je lui ai répondu que je n'en savais rien, qu'il était le seul à pouvoir le savoir : Est-ce que tu en as vraiment envie, est-ce que ton corps va l'accepter ?

Il a bu sa bière, qui ne lui a pas fait de mal et lui a fait plaisir...
Nous n'avons pas consulté les statistiques sur les méfaits de l'alcool ( on en garde la conscience et n'en buvons que rarement ), ni cherché d'étude sur les interactions entre l'alcool et la gastro.

Si une maladie grave m'était diagnostiquée, je m'en réfèrerai à la science.

Pour mon hygiène de vie et les bobos du quotidien je me base sur une expérience acquise petit à petit et dont je n'ai pas besoin qu'elle soit validée scientifiquement pour constater qu'elle me convient.

En gros quand on est dans la bobologie spontanément résolutive on peut se faire plaisir avec un produit qui, consommé sans excès, n'est pas mauvais pour la santé et fait du bien au moral de celui qui le consomme. Ce genre de trivialité vaut-il les grands airs et les flonflons, les grands mots qui ronronnent à nos oreilles, l'association marketing de la médecine et de la Nature ?

En revanche si l'on vous diagnostique une maladie grave vous choisissez la science, celle fondée sur les preuves. Comme je vous comprends !

il y a 4 minutes, Jean-EB a dit :

On n'a toujours rien défini mais deux questions me viennent :

1. Pourquoi ?
2. Sur quoi fondez-vous vos connaissances ?

 

En gros quand on est dans la bobologie spontanément résolutive on peut se faire plaisir avec un produit qui, consommé sans excès, n'est pas mauvais pour la santé et fait du bien au moral de celui qui le consomme. Ce genre de trivialité vaut-il les grands airs et les flonflons, les grands mots qui ronronnent à nos oreilles, l'association marketing de la médecine et de la Nature ?

En revanche si l'on vous diagnostique une maladie grave vous choisissez la science, celle fondée sur les preuves. Comme je vous comprends !

En fait de grands airs et de flonflons...

Je ne suis pas sûre que le mépris soit bon pour la santé, notre "échange" va donc s'arrêter là.

il y a 41 minutes, apis 32 a dit :

Moi je pense que ça n'a pas de sens de vouloir faire entrer la médecine naturelle dans la méthode scientifique.

Tout à l'heure, mon compagnon, qui est un peu patraque depuis quelques jours m'a demandé s'il "avait le droit" de prendre une bière, aujourd'hui.

Je lui ai répondu que je n'en savais rien, qu'il était le seul à pouvoir le savoir : Est-ce que tu en as vraiment envie, est-ce que ton corps va l'accepter ?

Il a bu sa bière, qui ne lui a pas fait de mal et lui a fait plaisir...
Nous n'avons pas consulté les statistiques sur les méfaits de l'alcool ( on en garde la conscience et n'en buvons que rarement ), ni cherché d'étude sur les interactions entre l'alcool et la gastro.

Si une maladie grave m'était diagnostiquée, je m'en réfèrerai à la science.

Pour mon hygiène de vie et les bobos du quotidien je me base sur une expérience acquise petit à petit et dont je n'ai pas besoin qu'elle soit validée scientifiquement pour constater qu'elle me convient.

L'alcool a tendance à déshydrater, peut être pas sur une seule bière, mais en cas de gastro au contraire il faut réhydrater le corps qui a perdu beaucoup d'eau. 

C'est là où la science peut aider, connaitre les effets de tels ou tels aliments sur notre organisme. Par exemple une grande consommation d'alcool va donner l'impression que ça réchauffe le corps dans le froid, or ce n'est pas le cas et c'est malheureusement ainsi que meurt les gens dans la rue, en pensant que la chaleur de l'alcool allait les aider à tenir. C'est un faux ami en cas d'extrême consommation dans une situation extrême. Mais si ça réchauffe le coeur après un sale moment j'aurais tendance à penser que c'est une bonne nouvelle, ça signifie qu'on va mieux. C'est un bon test parce que la bière mousse et si l'estomac l'accepte c'est qu'on va mieux. 

Mon astuce en cas de gastro/tourista : du coca sans bulle. C'est pas naturel mais pour moi ça marche: sans bulle pour ne pas surcharger l'estomac, il y a de l'eau pour réhydrater, et du sucre pour son apport d'énergie.

Et effectivement pour la bobologie, comme dit précédemment, l'essentiel c'est que tu te sentes bien avec. 

Et il est bien évidemment important de rappeler qu'une maladie grave ne se soigne pas à la sauvette dans un studio de particulier qui le sent le patchouli. 

il y a 2 minutes, apis 32 a dit :

il y a 9 minutes, Jean-EB a dit :

On n'a toujours rien défini mais deux questions me viennent :

1. Pourquoi ?
2. Sur quoi fondez-vous vos connaissances ?

 

En gros quand on est dans la bobologie spontanément résolutive on peut se faire plaisir avec un produit qui, consommé sans excès, n'est pas mauvais pour la santé et fait du bien au moral de celui qui le consomme. Ce genre de trivialité vaut-il les grands airs et les flonflons, les grands mots qui ronronnent à nos oreilles, l'association marketing de la médecine et de la Nature ?

En revanche si l'on vous diagnostique une maladie grave vous choisissez la science, celle fondée sur les preuves. Comme je vous comprends !

En fait de grands airs et de flonflons...

Je ne suis pas sûre que le mépris soit bon pour la santé, notre "échange" va donc s'arrêter là.

La contradiction était pourtant à dose homéopathique... C'est bien connu : il en faut bien peu pour obtenir de grands effets !

Il y a 4 heures, Ximène a dit :

compétants ? mon oeil ! bourrés de préjugés , de superstitions , de conformisme .....mon voisin , grand diabétique sous dialyse , s'obstine à jeûner , persuadé que Dieu le récompensera de son sacrifice !

A propos du ramadan , pour avoir été longtemps dans le Golfe , ce dont je me souviens surtout c'est que pendant cette période , les gens sentent mauvais de la bouche !!  (pour ètre poli) 

il y a 15 minutes, Crabe_fantome a dit :

L'alcool a tendance à déshydrater, peut être pas sur une seule bière, mais en cas de gastro au contraire il faut réhydrater le corps qui a perdu beaucoup d'eau. 

C'est là où la science peut aider, connaitre les effets de tels ou tels aliments sur notre organisme. Par exemple une grande consommation d'alcool va donner l'impression que ça réchauffe le corps dans le froid, or ce n'est pas le cas et c'est malheureusement ainsi que meurt les gens dans la rue, en pensant que la chaleur de l'alcool allait les aider à tenir. C'est un faux ami en cas d'extrême consommation dans une situation extrême. Mais si ça réchauffe le coeur après un sale moment j'aurais tendance à penser que c'est une bonne nouvelle, ça signifie qu'on va mieux. C'est un bon test parce que la bière mousse et si l'estomac l'accepte c'est qu'on va mieux. 

Mon astuce en cas de gastro/tourista : du coca sans bulle. C'est pas naturel mais pour moi ça marche: sans bulle pour ne pas surcharger l'estomac, il y a de l'eau pour réhydrater, et du sucre pour son apport d'énergie.

Et effectivement pour la bobologie, comme dit précédemment, l'essentiel c'est que tu te sentes bien avec. 

 

Et il est bien évidemment important de rappeler qu'une maladie grave ne se soigne pas à la sauvette dans un studio de particulier qui le sent le patchouli. 

L'effet déshydrateur de la bière ( une seule ) j'en ai fait l'expérience dans un festival en août il y a 2 ans : dernier jour de festival, canicule.

Le dernier groupe était gascon j'ai donc tout dansé en oubliant ma gourde d'eau... et ça s'est terminé par un malaise vagal. La leçon m'a servi, maintenant je vais toujours boire quelques gorgées d'eau toutes les 2- 3 danses.

Pour mon compagnon, la soupe grecque d'hier l'a pratiquement remis sur pieds et il va beaucoup mieux !

il y a 11 minutes, G2LLOQ a dit :

A propos du ramadan , pour avoir été longtemps dans le Golfe , ce dont je me souviens surtout c'est que pendant cette période , les gens sentent mauvais de la bouche !!  (pour ètre poli) 

Alors... c'est un effet du jeûne très désagréable mais impossible à contourner !

Il y a 5 heures, Ximène a dit :

compétants ? mon oeil ! bourrés de préjugés , de superstitions , de conformisme .....mon voisin , grand diabétique sous dialyse , s'obstine à jeûner , persuadé que Dieu le récompensera de son sacrifice !

C’était ironique d’où le smiley. Justement le jeûne n’est pas une réponse à tout. En cas de gastro par ex  il vaut bien évidemment mieux ne rien bouffer juste boire un peu si ça reste mais il y a des cas où il ne faut absolument pas jeûner mais y’a des gens qui en font qu’à leur tête. Je sais ma pauvre. Des comme ton voisin j’en connais. 

il y a une heure, G2LLOQ a dit :

A propos du ramadan , pour avoir été longtemps dans le Golfe , ce dont je me souviens surtout c'est que pendant cette période , les gens sentent mauvais de la bouche !!  (pour ètre poli) 

Mais ça fait partie du folklore,  il paraît,  je cite (que ) Dieu aime l'haleine du jeûneur ! Faut pas prendre le tram près de l'heure de la rupture du jeûne..

Méfions-nous des jeûnes quand même :

Le jeûne est-il bon pour la santé ? | France Culture | Les Idées claires | Nicolas Martin reçoit Mouna Hanachi, médecin nutritionniste et cheffe du service de nutrition clinique à l’hôpital Paul-Brousse, Villejuif. | 21-04-2021

Le 06/01/2024 à 12:52, Sittelle a dit :

La même efficacité je dirai .. mais c'est moins facile pour les citadins . 

as-tu essayé ? C'est d'une amertume insoutenable et en plus c'est douloureux pour l'estomac.

L'invention de l'aspirine par Hofmann en 1897 a consisté à placer le groupement "acétyle" (CH3CHO-) sur l'acide salicylique. Cela a diminué l'amertume et surtout à diminué l'agressivité envers l'estomac.

Il y a 1 heure, Répy a dit :

as-tu essayé ? C'est d'une amertume insoutenable et en plus c'est douloureux pour l'estomac.

L'invention de l'aspirine par Hofmann en 1897 a consisté à placer le groupement "acétyle" (CH3CHO-) sur l'acide salicylique. Cela a diminué l'amertume et surtout à diminué l'agressivité envers l'estomac.

Non je ne suis pas un caribou .

Il y a 1 heure, Sittelle a dit :

Non je ne suis pas un caribou .

Alors pourquoi recommander ce remède imbuvable ?

la manie actuelle de rejeter tout progrès fait des ravages dans les têtes !

Le 06/01/2024 à 18:21, hanss a dit :

Tous les ans pendant un mois les muzz sont compétents en matière de jeûne  

ça dépend du soleil .... Un jeûne en hiver, c'est moins difficile qu'un jeûne en été...

il y a 1 minute, guernica a dit :

ça dépend du soleil .... Un jeûne en hiver, c'est moins difficile qu'un jeûne en été...

Ah bon… j’aurais plutôt dit l’inverse dans la mesure où en tout cas, en qui me concerne j’ai plus faim l’hiver ac le froid que l’été.