Défi lecture 2024

Le 02/02/2024 à 15:18, Sittelle a dit :

J'ai lu

Le capitaine Burle de Emile Zola

J'ai trouvé cette lecture assez agréable, pour autant je ne suis pas persuadé qu'elle sera capable de me motiver à relire du Zola.

je fais partie de cette génération d'élèves ou nous devions lire ce genre de classiques dès le collège et n'étant pas doué pour l'exercice, c'était une torture.

J'ai finit par prendre beaucoup d'auteur en grippe.

 

@Noisettes à mettre dans un roman de Zola siouplait

Voilà j’ai fini Kafka sur le rivage.

J’ai beaucoup aimé, je relirais cet auteur. 
Je ne sais pas pourquoi mais ça me faisait penser un peu à du Ghibli mais en plus adulte. Le côté fantastique, zen, c’était une lecture que j'ai trouvé apaisante. 
 

Lorsqu'on se penche sur le parcours de pays aussi différents que le Japon, la Russie, la Chine et les Etats-Unis, on est naturellement amené à se demander pourquoi l'un ou l'autre d'entre eux a pu, à certains moments, "perdre la tête", et compromettre ainsi le bénéfice des réalisations qu'il avait su accomplir. Je me garderai bien de chercher, en la matière, des lois universelles, me contentant de celle qui est clairement inhérente à la nature humaine, à savoir qu'il existe chez tous ceux qui acquièrent une prééminence, un début d'aveuglement, un risque d'ivresse.

Les dieux rendent arrogant celui dont ils veulent la perte, disaient les Grecs anciens. Dans leur mythologie, où les sentiments étaient représentés par des divinités allégoriques, l'arrogance s'appelait Hubris.

Tous les hommes qui parviennent à s'élever au-dessus de leurs semblables, par le statut, par la richesse, par la puissance, par le talent, ou même par la sainteté, croisent, un jour ou l'autre, le chemin de cette tentatrice. Et rares sont ceux qui savent résister.

La chose est vraie des individus, ainsi que des communautés humaines, et singulièrement des nations. Les quatre dont je viens d'évoquer le parcours ne dérogent pas à la règle. Chacune d'elles avait le désir légitime de réparer des injustices, et a fini par commettre, parfois à son corps défendant, des injustices plus flagrantes encore.

Extrait. "Le Labyrinthe des égarés". Amin Maalouf. (Éditions Grasset octobre 2023.)

19. Un roman historique.

Catégorie 25  littérature africaine : Alain Mabanckou Les cigognes sont immortelles.

Le livre relate le coup d'état au Congo en 1977 lors de 3 journées décisives : le renversement, l'assassinat du Président puis la mise du pays sous couvre-feu à travers les yeux candides de Michel, un adolescent rêveur de 12 ou 13 ans. Avant l'irruption de la violence, la vie de Michel est assez simple : être le plus fort à l'école pour aller faire des études en France; écrire un poème à Louise sans qu'elle sache que, en fait, et bien oui, c'est pour elle (c'est compliqué....); et retrouver Chien Méchant qui s'est enfuit.

Une découverte

Fini Tragédies d’Eschyle. 
À mettre dans livre d’un auteur antique. 
 

Ce matin j’ai lu Le retour de Lagaffe à mettre dans le défi bande dessinée! 
Je l’ai trouvé bien, j'avais lu tous les autres plus jeune et on y retrouve la patte de Franquin je trouve. 

Il y a 3 heures, Izanami a dit :

Ce matin j’ai lu Le retour de Lagaffe à mettre dans le défi bande dessinée! 
Je l’ai trouvé bien, j'avais lu tous les autres plus jeune et on y retrouve la patte de Franquin je trouve. 

Je suis allée voir des images de l'album : c'est bluffant

Aujourd’hui j’ai lu Tristan et Iseult. À mettre dans lecture médiévale.  

il y a 1 minute, Izanami a dit :

Aujourd’hui j’ai lu Tristan et Iseult. À mettre dans lecture médiévale.  

Ouh là je l’ai lu et même étudié, il y a fort longtemps : j’avais adoré mais je sais pas si aujourd’hui je le relisais, j’aurais le même ressenti, peur d’être déçue… 

Il faudrait peut-être citer @Noisettes , qu’elle sache qu’il y a eu des lectures...

il y a 6 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Il faudrait peut-être citer @Noisettes , qu’elle sache qu’il y a eu des lectures...

Ah oui effectivement. Faut que j’y pense pour la prochaine fois. 

il y a 8 minutes, Elisa* a dit :

Ouh là je l’ai lu et même étudié, il y a fort longtemps : j’avais adoré mais je sais pas si aujourd’hui je le relisais, j’aurais le même ressenti, peur d’être déçue… 

J’ai beaucoup aimé aussi. 
Je ne l’avais encore jamais lu, juste entendu parlé et connaissait un peu l’histoire. 

il y a 24 minutes, Izanami a dit :

Ah oui effectivement. Faut que j’y pense pour la prochaine fois.

Je ne disais pas ça pour toi en particulier, je ne l’ai pas cité non plus quand j’ai écrit ce que j’avais lu. Mais comme ça fait un bout de temps et que ce n’est pas à jour, faut p’être l’interpeller. Ou alors elle est overbooké ! Si j’ose dire...

Il y a 16 heures, Mite_Railleuse a dit :

Je ne disais pas ça pour toi en particulier, je ne l’ai pas cité non plus quand j’ai écrit ce que j’avais lu. Mais comme ça fait un bout de temps et que ce n’est pas à jour, faut p’être l’interpeller. Ou alors elle est overbooké ! Si j’ose dire...

Je l'ai citée et mais c'est comme le génie de la lampe, ça marche pas .

 Depuis j'ai lu

Ma très grande sœur de Ji-yong Gong.

Ce roman est une autobiographie de l'auteur enfant, ce pourrait être n'importe quel enfant, riche, et pauvre d'amitié.  Evoluant entre la misère des bidonvilles et les rubans de soie

Écrit tout en finesse, tout en tendresse, et néanmoins comme le cri douloureux d'une enfance délaissée.

@Noisettespourriez vous le mettre dans " Littérature Asiatique"

Merci

Voici les derniers mises à jour (en espérant de pas avoir fait d'oubli) : https://docs.google.com/spreadsheets/d/1-eKVkajypth6JxcdgkLq7sZ0inoiOAYlytMYPEp3ZG0/edit?usp=sharing

Je suis désolée pour le retard mais depuis trois semaines, à cause d'une charmante collègue qui s'est mise en arrêt pendant un mois sans nous informer (chez certains, l'esprit d'équipe est inexistant) je me retrouve en heures supplémentaires à trois, alors que nous sommes sensés être cinq dans le groupe. Dont les journées sont longues entre celles du travail et celle de ma vie de famille mais bons, passons.

Le 26/01/2024 à 19:23, Gouderien a dit :

Hello!

Et je continue avec Agatha Raisin : n° 20 "Voici venir la Mariée", n° 21 "Trouble-Fête", n° 22 "Du lard ou du cochon".

 

 

Vous avez déjà compris : je vais lire toute la série. Ça peut cocher les lignes n° 5 ("Un roman policier") et 27 ("Littérature britannique").

Ces bouquins sont toujours aussi excellents. Bien sûr, ce sont des variations sur un même thème, mais M.C. Beaton a une imagination inépuisable, et ne raconte jamais la même histoire. C'est aussi une plongée dans la vie quotidienne d'une Angleterre sur le déclin : même si l'héroïne est à l'abri du besoin, elle a bien conscience de la récession qui frappe le pays (ça se passe après la crise de 2008). Et en plein hiver les coupures d'électricité se multiplient. Je ne sais pas si la série va jusqu'au Brexit; je l'espère, parce que j'aimerais bien savoir ce que l'auteur en pense.

Mais je vous rassure, je ne vais pas lire que ça.

Dis-moi lesquels vont dans quelle catégorie, s'il te plaît 

Il y a 8 heures, Noisettes a dit :

Voici les derniers mises à jour (en espérant de pas avoir fait d'oubli) : https://docs.google.com/spreadsheets/d/1-eKVkajypth6JxcdgkLq7sZ0inoiOAYlytMYPEp3ZG0/edit?usp=sharing

Je suis désolée pour le retard mais depuis trois semaines, à cause d'une charmante collègue qui s'est mise en arrêt pendant un mois sans nous informer (chez certains, l'esprit d'équipe est inexistant) je me retrouve en heures supplémentaires à trois, alors que nous sommes sensés être cinq dans le groupe. Dont les journées sont longues entre celles du travail et celle de ma vie de famille mais bons, passons.

Dis-moi lesquels vont dans quelle catégorie, s'il te plaît 

"Voici venir la mariée" : Un roman policier, ligne 5.

"Trouble fête" : Littérature britannique, ligne 27.

Il y a 9 heures, Noisettes a dit :

Voici les derniers mises à jour (en espérant de pas avoir fait d'oubli)

Juste un livre non noté en ce qui me concerne : Le complexe d'Eden Bellwether de Benjamin WOOD en défi 27 - Littérature Britanique

Bon courage à toi et merci pour ton travail ici.

Voici les dernières mises à jour : https://docs.google.com/spreadsheets/d/1-eKVkajypth6JxcdgkLq7sZ0inoiOAYlytMYPEp3ZG0/edit?usp=sharing

38/ Un livre avec un nom de femme dans le titre.

« Pauline avait un grand principe dans la vie : l’amour sert à construire une véritable amitié. Maxime et moi en sommes la démonstration vivante. Nous aurions pu nous contenter d’aimer la même femme, d’être des rivaux compréhensifs… Mais non. Maxime, pour appliquer le principe de Pauline, a voulu devenir mon protecteur. Et c’est ainsi qu’un voyou à la générosité catastrophique a pris en main le destin d’un romancier dépressif. »

Haletant, poignant, irrésistible de drôlerie, le nouveau (2014) roman de Didier van Cauwelaert nous plonge dans la tourmente d’une amitié encore plus ravageuse que la passion. 

Défi 8 - Auteur Nord Américain : L'homme qui voulait vivre sa vie de Douglas Kennedy

C'est du Douglas Kennedy, autant dire que ça se lit tout seul, les rebondissements sont surprenants, une fin un peu trop hollywoodienne mais qui dit que ça ne va pas à nouveau déraper....

En revanche, j'ai lu quelques critiques à la volée sur Babelio et je ne suis pas forcément d'accord sur le sort de ce "pauvre" Ben Bradford au début du roman. C'est bien lui qui piège sa femme dans un schéma extrêmement classique mariage - enfant - réussite sociale - maison dans le Connecticut, absolument pas l'inverse. C'est bien lui qui la pousse à abandonner ses velléités d'autrice (peu douée), la vie bohème à New York, son travail.... Et en faisant ça, pour la garder, il a perdu à ce jeu de dupes : son métier certes rémunérateur, ne lui apporte que stress et frustration. Le petit dernier a des problèmes de sommeil, les empêchant de dormir plus de 3 heures d'affilée. Et il assouvit sa passion pour la photographie essentiellement en se payant des appareils de plus en plus chers.

Alors, évidemment, quand il massacre le voisin, tout bascule.

Mais j'ai pas dis pourquoi

Je crois que mes "naufragés du Wager" sont partis dans la mauvaise catégorie, c'était "livre évoquant la mer"  

Et sinon catégorie n°6, Biographie : 

Le bouleversant destin de Flor de Oro Trujillo, la fille d'un des plus sinistres dictateurs que la terre ait portés.