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Changement aveux employé

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fuuuulll

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sirielle Membre 9 309 messages
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il y a 40 minutes, fuuuulll a dit :

Très bien mais se que je voulais dire c'est qu'il s'imagine que la sécurité ainsi qu'éventuellement sa hiérarchie ai pu croire qu'il a dit 200€ car il aurait eu la naïveté de croire que la sécurité avait en sa possession pour 200€ de preuves. 

Comme si ils auraient attendu qu'il vol pour autant avant de l'interpeller...

Pensez vous qu'ils aient pu penser cela? Ça paraît tiré par les cheveux mais il a cette pensée quelque fois 

J'avais compris.

Je reformule.

Effectivement il n'est pas impossible que la sécurité par exemple, puisse avoir eu des doutes avant le flagrant délit sans avoir de preuve formelle, ou que faute d'avoir pu réagir assez rapidement lors de vols précédents pour permettre un flagrant délit, il y ait eu une forme de tolérance au départ, et que l'employé ait pu le deviner, ou le supposer à tort ou à raison, et que sa hiérarchie ait pu le prendre en considération.

Quoi qu'il en soit, si sa hiérarchie n'a que la parole de l'employé pour évaluer assez précisément le montant, elle aura à priori tendance à estimer que cette parole est peut-être vraie ou peut-être fausse (pour diverses raisons dans les deux cas). Mais dans un sens ou dans un autre elle ne peut avoir alors de certitude. Ni se dire que cet employé est sans le moindre doute un menteur essayant de surminimiser sa responsabilité à sa façon. Ni se dire qu'il est sûr et certain qu'il est sincère en tout point.  

Cependant si elle lui a accordé une nouvelle chance, c'est qu'elle a considéré qu'il était assez digne de confiance pour ça.

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Membre, 34ans Posté(e)
fuuuulll Membre 27 messages
Forumeur balbutiant‚ 34ans‚
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Il y a 4 heures, sirielle a dit :

J'avais compris.

Je reformule.

Effectivement il n'est pas impossible que la sécurité par exemple, puisse avoir eu des doutes avant le flagrant délit sans avoir de preuve formelle, ou que faute d'avoir pu réagir assez rapidement lors de vols précédents pour permettre un flagrant délit, il y ait eu une forme de tolérance au départ, et que l'employé ait pu le deviner, ou le supposer à tort ou à raison, et que sa hiérarchie ait pu le prendre en considération.

Quoi qu'il en soit, si sa hiérarchie n'a que la parole de l'employé pour évaluer assez précisément le montant, elle aura à priori tendance à estimer que cette parole est peut-être vraie ou peut-être fausse (pour diverses raisons dans les deux cas). Mais dans un sens ou dans un autre elle ne peut avoir alors de certitude. Ni se dire que cet employé est sans le moindre doute un menteur essayant de surminimiser sa responsabilité à sa façon. Ni se dire qu'il est sûr et certain qu'il est sincère en tout point.  

Cependant si elle lui a accordé une nouvelle chance, c'est qu'elle a considéré qu'il était assez digne de confiance pour ç

 

 

Il y a 4 heures, sirielle a dit :

J'avais compris.

Je reformule.

Effectivement il n'est pas impossible que la sécurité par exemple, puisse avoir eu des doutes avant le flagrant délit sans avoir de preuve formelle, ou que faute d'avoir pu réagir assez rapidement lors de vols précédents pour permettre un flagrant délit, il y ait eu une forme de tolérance au départ, et que l'employé ait pu le deviner, ou le supposer à tort ou à raison, et que sa hiérarchie ait pu le prendre en considération.

Quoi qu'il en soit, si sa hiérarchie n'a que la parole de l'employé pour évaluer assez précisément le montant, elle aura à priori tendance à estimer que cette parole est peut-être vraie ou peut-être fausse (pour diverses raisons dans les deux cas). Mais dans un sens ou dans un autre elle ne peut avoir alors de certitude. Ni se dire que cet employé est sans le moindre doute un menteur essayant de surminimiser sa responsabilité à sa façon. Ni se dire qu'il est sûr et certain qu'il est sincère en tout point.  

Cependant si elle lui a accordé une nouvelle chance, c'est qu'elle a considéré qu'il était assez digne de confiance pour ça.

Ok très bien donc la direction aura plutôt tendance à penser que si l'employé a fait de telles aveux c'est qu'il se doutait que celle ci avait de sérieux doutes voir des certitudes sur lui selon vous?

En gros se qu'il espère c'est que la direction ainsi que la sécurité aient bien compris qu'il a fait ses aveux en sachant qu'il y avait simplement des soupçons sur lui et non des preuves et encore moins 200€ de preuves.

Se dire que la direction ai pu penser que son employé a pu croire que la sécurité avait en sa possession 200€ de preuves peut paraitre surealiste non? 

Il espère qu'elle ne l'a pas cru assez bête pour croire cela .

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Membre, 37ans Posté(e)
sirielle Membre 9 309 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
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il y a 36 minutes, fuuuulll a dit :

Ok très bien donc la direction aura plutôt tendance à penser que si l'employé a fait de telles aveux c'est qu'il se doutait que celle ci avait de sérieux doutes voir des certitudes sur lui selon vous?

Pas forcément. Une personne qui avoue spontanément peut le faire par simple conscience morale aussi, ou parce qu'elle est intimidée par l'interrogatoire, ou parce qu'elle espère que sa bonne foi sera récompensée, etc.... Il peut y avoir diverses explications à des aveux spontanés, ils ne proviennent pas exclusivement de personnes pensant que les preuves les accablent totalement. Et normalement dans le doute, on ne tire pas de conclusion hâtive, on peut par exemple se contenter d'imaginer les diverses explications plausibles. 

D'autre part, encore une fois, l'impression que l'employé a faite devant la sécurité et sa hiérarchie dépend aussi de son attitude physique et de ses tournures de phrases au moment des aveux et de l'entretien, ce dont personnellement je ne peux pas juger n'y ayant pas été présente.

il y a 47 minutes, fuuuulll a dit :

Mais le fait qu'il en dise pour 200€, est ce qu'elle peut penser qu'il a cru que celle ci avait en sa possession 200€ de preuves et non simplement des soupçons ?

Car de telles aveux peuvent paraître surprenants 

Même réponse que précédemment.

il y a 49 minutes, fuuuulll a dit :

Il ne s'agissait que de passages en caisse donc a moins de contrôler le ticket a la sortie de caisse il ne peut pas y avoir de preuves et il en était conscient.

Cependant il a peur que la sécurité et sa direction aient cru que l'employé puisse penser qu'ils pouvaient prouver tout ces vols. En gros qu'ils le croient assez bête pour penser cela.

Cette expression me paraît appropriée ici: "Avec des si on mettrait Paris en bouteille."

La sécurité et la direction ne peuvent pas savoir avec certitude quelles étaient les motivations de l'employé à avouer, car l'état d'esprit d'une personne n'est pas totalement transparent. Certes ils peuvent en imaginer des explications mais difficilement les affirmer. Et à priori, ils n'ont pas de temps à perdre à essayer de deviner le pourquoi du comment hasardeusement. Il est question d'un vol d'un montant total relativement peu élevé, ayant été reconnu facilement, y compris davantage que ce que les preuves démontraient. S'ils ont décidé de maintenir l'employé dans l'entreprise c'est probablement qu'ils ont considéré que la faute n'était pas extrêmement grave, et que l'attitude de l'employé était suffisamment appropriée ensuite, sauf si l'employé est simplement "pistonné" par exemple.

 

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Membre, 34ans Posté(e)
fuuuulll Membre 27 messages
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Le 17/08/2023 à 17:33, sirielle a dit :

Pas forcément. Une personne qui avoue spontanément peut le faire par simple conscience morale aussi, ou parce qu'elle est intimidée par l'interrogatoire, ou parce qu'elle espère que sa bonne foi sera récompensée, etc.... Il peut y avoir diverses explications à des aveux spontanés, ils ne proviennent pas exclusivement de personnes pensant que les preuves les accablent totalement. Et normalement dans le doute, on ne tire pas de conclusion hâtive, on peut par exemple se contenter d'imaginer les diverses explications plausibles. 

D'autre part, encore une fois, l'impression que l'employé a faite devant la sécurité et sa hiérarchie dépend aussi de son attitude physique et de ses tournures de phrases au moment des aveux et de l'entretien, ce dont personnellement je ne peux pas juger n'y ayant pas été présente.

Même réponse que précédemment.

Cette expression me paraît appropriée ici: "Avec des si on mettrait Paris en bouteille."

La sécurité et la direction ne peuvent pas savoir avec certitude quelles étaient les motivations de l'employé à avouer, car l'état d'esprit d'une personne n'est pas totalement transparent. Certes ils peuvent en imaginer des explications mais difficilement les affirmer. Et à priori, ils n'ont pas de temps à perdre à essayer de deviner le pourquoi du comment hasardeusement. Il est question d'un vol d'un montant total relativement peu élevé, ayant été reconnu facilement, y compris davantage que ce que les preuves démontraient. S'ils ont décidé de maintenir l'employé dans l'entreprise c'est probablement qu'ils ont considéré que la faute n'était pas extrêmement grave, et que l'attitude de l'employé était suffisamment appropriée ensuite, sauf si l'employé est simplement "pistonné" par exemple.

 

 

Le 17/08/2023 à 17:33, sirielle a dit :

Pas forcément. Une personne qui avoue spontanément peut le faire par simple conscience morale aussi, ou parce qu'elle est intimidée par l'interrogatoire, ou parce qu'elle espère que sa bonne foi sera récompensée, etc.... Il peut y avoir diverses explications à des aveux spontanés, ils ne proviennent pas exclusivement de personnes pensant que les preuves les accablent totalement. Et normalement dans le doute, on ne tire pas de conclusion hâtive, on peut par exemple se contenter d'imaginer les diverses explications plausibles. 

D'autre part, encore une fois, l'impression que l'employé a faite devant la sécurité et sa hiérarchie dépend aussi de son attitude physique et de ses tournures de phrases au moment des aveux et de l'entretien, ce dont personnellement je ne peux pas juger n'y ayant pas été présente.

Même réponse que précédemment.

Cette expression me paraît appropriée ici: "Avec des si on mettrait Paris en bouteille."

La sécurité et la direction ne peuvent pas savoir avec certitude quelles étaient les motivations de l'employé à avouer, car l'état d'esprit d'une personne n'est pas totalement transparent. Certes ils peuvent en imaginer des explications mais difficilement les affirmer. Et à priori, ils n'ont pas de temps à perdre à essayer de deviner le pourquoi du comment hasardeusement. Il est question d'un vol d'un montant total relativement peu élevé, ayant été reconnu facilement, y compris davantage que ce que les preuves démontraient. S'ils ont décidé de maintenir l'employé dans l'entreprise c'est probablement qu'ils ont considéré que la faute n'était pas extrêmement grave, et que l'attitude de l'employé était suffisamment appropriée ensuite, sauf si l'employé est simplement "pistonné" par exemple.

 

Oui la raison principale pour laquelle il a fait ces aveux était qu'il espérait que ça bonne foi soit récompensée.

Le problème c'est qu'il a fait ses aveux sans expliquer qu'il savait qu'il n'y avait que des soupçons sur lui (sauf le vol du jour qui était avéré). Il pense qu'il aurait dû leur signifier qu'il était parfaitement conscient qu'il pouvait nier les antécédents mais qu'il a décidé de ne pas le faire. Lui, c'est contenté d'avouer. Se qui laisse place à plusieurs interprétations. Mais la seule qui le dérange c'est qu'on l'ai cru capable de croire que 200€ de preuves planait au dessus de sa tête...

Il se dit que si il s'était exprimé, il n'aurait pas ce doute. 

Bien sûr, c'est sujet a plusieurs interprétations mais il envisage la pire a ses yeux évidemment... Même si je trouve cette interprétation un peu irrationnelle pas vous?

il y a 27 minutes, fuuuulll a dit :

 

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Membre, 37ans Posté(e)
sirielle Membre 9 309 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
Posté(e)
il y a 39 minutes, fuuuulll a dit :

 

Oui la raison principale pour laquelle il a fait ces aveux était qu'il espérait que ça bonne foi soit récompensée.

Le problème c'est qu'il a fait ses aveux sans expliquer qu'il savait qu'il n'y avait que des soupçons sur lui (sauf le vol du jour qui était avéré). Il pense qu'il aurait dû leur signifier qu'il était parfaitement conscient qu'il pouvait nier les antécédents mais qu'il a décidé de ne pas le faire. Lui, c'est contenté d'avouer. Se qui laisse place à plusieurs interprétations. Mais la seule qui le dérange c'est qu'on l'ai cru capable de croire que 200€ de preuves planait au dessus de sa tête...

Il se dit que si il s'était exprimé, il n'aurait pas ce doute. 

Bien sûr, c'est sujet a plusieurs interprétations mais il envisage la pire a ses yeux évidemment... Même si je trouve cette interprétation un peu irrationnelle pas vous?

Je crois qu'il devrait rendre ses regrets et inquiétudes constructifs en allant de l'avant, c'est à dire en tentant de se montrer aussi irréprochable que possible au sein de l'entreprise où il travaille afin de tenter de se racheter au yeux de sa hiérarchie. Ce qui est plus facile en s'efforçant de garder le moral, sans donc trop se retourner sur le passé. Car ce qui est fait est fait, et ce qui est dit est dit, il doit composer avec, et assumer la mauvaise impression qu'il a provoquée à son encontre, aussi implicite et intrigante puisse-t-elle être aussi. Dans un tel cas il est important évidemment de tenter d'éviter de se retrouver à nouveau dans une situation embarrassante, comme il le sait sans doute, d'autant que peut-être qu'il est à présent sur la sellette. S'il parvient à faire en sorte que l'eau ait coulé sous les ponts sans nouvel accroc, il retrouvera sans doute de la sérénité, un regard différent sur lui, et cessera plus facilement de ressasser cet incident au fil du temps. Cela dit, il aurait peut-être encore davantage à regretter son attitude s'il avait été licencié (du moins s'il tient véritablement à cet emploi), si ce n'est qu'il est du coup encore entouré dans le cadre de son travail de ceux qui l'ont pris sur le fait et sanctionné, mais il a eu la chance d'avoir été traîté avec indulgence sur ce point, donc il a aussi de quoi positiver.

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Membre, 34ans Posté(e)
fuuuulll Membre 27 messages
Forumeur balbutiant‚ 34ans‚
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il y a 13 minutes, sirielle a dit :

Je crois qu'il devrait rendre ses regrets et inquiétudes constructifs en allant de l'avant, c'est à dire en tentant de se montrer aussi irréprochable que possible au sein de l'entreprise où il travaille afin de tenter de se racheter au yeux de sa hiérarchie. Ce qui est plus facile en s'efforçant de garder le moral, sans donc trop se retourner sur le passé. Car ce qui est fait est fait, et ce qui est dit est dit, il doit composer avec, et assumer la mauvaise impression qu'il a provoquée à son encontre, aussi implicite et intrigante puisse-t-elle être aussi. Dans un tel cas il est important évidemment de tenter d'éviter de se retrouver à nouveau dans une situation embarrassante, comme il le sait sans doute, d'autant que peut-être qu'il est à présent sur la sellette. S'il parvient à faire en sorte que l'eau ait coulé sous les ponts sans nouvel accroc, il retrouvera sans doute de la sérénité, un regard différent sur lui, et cessera plus facilement de ressasser cet incident au fil du temps. Cela dit, il aurait peut-être encore davantage à regretter son attitude s'il avait été licencié (du moins s'il tient véritablement à cet emploi), si ce n'est qu'il est du coup encore entouré dans le cadre de son travail de ceux qui l'ont pris sur le fait et sanctionné, mais il a eu la chance d'avoir été traîté avec indulgence sur ce point, donc il a aussi de quoi positiver.

Honnêtement il ne travail même plus là bas, cette inquiétude est arrivée peu de temps après qu'il soit partie (environ 8 mois après l'incident)

De plus, quelques mois après l'incident il a parlé avec la chef sécurité qu'il l'avait interpellé et elle lui avait dit qu'elle avait envisagé de le prévenir d'arrêter ses larcins avant qu'elle finisse par le prendre en flagrant délit mais qu'elle n'a pas osée car elle l'avait fait avec une autre personne qui l'avait accusé de faire des accusations sans preuves et ça c'était retourné contre elle.

Elle lui a aussi confié qu'elle n'avait rien notée ( je pense qu'elle parle des fois où elle a visionné et a eu des soupçons)

Quand elle dit ce genre de choses, cela veut dire qu'elle n'a jamais eu de preuves avant l'interpellation non? Ça m'a l'air assez clair non?

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Membre, 37ans Posté(e)
sirielle Membre 9 309 messages
Maitre des forums‚ 37ans‚
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Il y a 2 heures, fuuuulll a dit :

Honnêtement il ne travail même plus là bas, cette inquiétude est arrivée peu de temps après qu'il soit partie (environ 8 mois après l'incident)

De plus, quelques mois après l'incident il a parlé avec la chef sécurité qu'il l'avait interpellé et elle lui avait dit qu'elle avait envisagé de le prévenir d'arrêter ses larcins avant qu'elle finisse par le prendre en flagrant délit mais qu'elle n'a pas osée car elle l'avait fait avec une autre personne qui l'avait accusé de faire des accusations sans preuves et ça c'était retourné contre elle.

Elle lui a aussi confié qu'elle n'avait rien notée ( je pense qu'elle parle des fois où elle a visionné et a eu des soupçons)

Quand elle dit ce genre de choses, cela veut dire qu'elle n'a jamais eu de preuves avant l'interpellation non? Ça m'a l'air assez clair non?

Après huit mois et davantage il se soucierait encore fortement de savoir si sa hiérarchie de l'époque, d'une entreprise où il ne travaille plus, se moque ou non de lui pour avoir rectifié par la suite à la baisse le montant d'un petit vol avoué, etc...? Si vraiment cet évènement est réel et non tout bêtement fictif, peut-être ferait-il bien de consulter un psychologue par exemple.

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Membre, 34ans Posté(e)
fuuuulll Membre 27 messages
Forumeur balbutiant‚ 34ans‚
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il y a une heure, sirielle a dit :

Après huit mois et davantage il se soucierait encore fortement de savoir si sa hiérarchie de l'époque, d'une entreprise où il ne travaille plus, se moque ou non de lui pour avoir rectifié par la suite à la baisse le montant d'un petit vol avoué, etc...? Si vraiment cet évènement est réel et non tout bêtement fictif, peut-être ferait-il bien de consulter un psychologue par exemple.

Ah mais c'est totalement réel .

Et se qui est étrange justement, c'est que ces inquiétudes soient arrivées peu de temps après qu'il est quitté l'entreprise et non lorsqu'il y travaillait. 

Car évidemment si ces inquiétudes avaient eu lieu lorsqu'il y travaillait, il aurait éclairci les choses avec les personnes concernées.

Donc oui très frustrant pour lui mais aussi très étrange que ees inquiétudes interviennent une fois l'entreprise quittée.

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  • 3 mois après...
Membre, 34ans Posté(e)
fuuuulll Membre 27 messages
Forumeur balbutiant‚ 34ans‚
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Le 30/07/2023 à 18:27, Mr_Fox a dit :

C'est assez anormal qu'ils n'ait pas à rembourser et ne soit pas viré, dans les supermarchés ils ont plutôt tendance à licencier pour un vol de 1c parce que c'est une question de principe. Licenciement pour récupération d'une salade périmée dans la poubelle, ça s'est déjà vu.

Que je comprenne bien, on parle de vol dans la caisse, pas de marchandise ?

Normalement le montant de chaque caisse est connu par la compta, les comptes sont faits chaque jour, on sait quel employé a quelle caisse et donc combien il y a en plus ou en moins en fin de journée. Donc le préjudice réel peut être calculé relativement précisément.

 

Si on se met à la place de l'employeur qui a pardonné, le fait de revenir sur la déclaration initiale peut instiller le doute. Revenir sur le montant peut vouloir dire que le montant était en fait différent. C'est à dire qu'il a peut-être eu tort d'accorder son pardon.

Bien sur le fait de minimiser revient aussi à dire à l'employeur qu'il a moins perdu qu'il ne le pensait, mais c'est une question d'état d'esprit de l'employeur et de son représentant à ce moment là.

Changer ça, c'est remettre en cause, c'est redonner du doute, c'est dire qu'on a menti en plus d'avoir volé, et redemander encore une nouvelle fois la confiance.

Si c'était moi, j'éviterai à moins d'avoir des preuves.

 

 

 

 

Cela pourrait être perçue comme une tentative maladroite d'arranger quelque peu sont image vous pensez ? 

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