En Floride, Ron de Santis veut interdire l’enseignement des questions LGBT +

il y a 57 minutes, eriu a dit :

Le gouverneur Ron DeSantis, nouvel homme fort de la droite dure, est vu comme un probable prétendant à l'investiture républicaine pour l'élection présidentielle de 2024, même s'il n'a pas encore officialisé sa candidature.

Le républicain mène une politique très conservatrice, en matière de mœurs notamment. Il porte une attention particulière aux thématiques et livres étudiés dans les écoles, qu'il accuse d'endoctriner les élèves.

Absolument , c'est le digne successeur de Donald .

Il égrène ses thèmes de campagne en vue des élections de 2024.

il y a 3 minutes, Crabe_fantome a dit :

En fait la question ce n'est pas pourquoi interdire un enseignement LGBT mais qui a foutu un enseignement LGBT dans un cursus scolaire ?! Qu'il y ait en revanche des options ou une association étudiants/professeurs/infirmières pour discuter avec des étudiants un peu perdu dans la vie, pas seulement des sujets qui tournent autour de leur bite ou de leur trou de balle, ce serait dommage de l'interdire. 

C'est ça, on reste dans le domaine du perso. 

il y a 2 minutes, chanou 34 a dit :

La dysphorie de genre? Ben déjà parce que le moins qu'on puisse dire est que médicalement parlant, et quoi qu'en disent les médias en ce moment, les choses sont tout sauf claires sur le sujet. et qu'il n'est pas du tout inenvisageable que d'ici quelques années on la requalifie en pathologie parce qu'on aura trouvé un profil génétique/enzymologique/autre/ne rien barrer...

Qu'est-ce qu'une pathologie après tout? Quelle est la définition? Si c'est défini par la souffrance, alors il est assez clair que ça en est une. Sinon on en revient toujours au même débat sur les maladies psychiatriques qui sont au fond définie par une certaine norme sociale comme le disait Foucault. Et donc les classifications et les terminologies se modifient suivant les époques et les normes. Mais quel est le problème de dire qu'il faut être tolérant au fond à l'école? On n'est pas là pour faire un cours sur la dysphorie de genre, juste dire qu'il y a des personnes qui souffrent de penser ne pas être né avec le bon genre, et que ces gens là on le droit à la tolérance et de pouvoir vivre.

il y a 3 minutes, Virtuose_en_carnage a dit :

Qu'est-ce qu'une pathologie après tout? Quelle est la définition? Si c'est défini par la souffrance, alors il est assez clair que ça en est une. Sinon on en revient toujours au même débat sur les maladies psychiatriques qui sont au fond définie par une certaine norme sociale comme le disait Foucault. Et donc les classifications et les terminologies se modifient suivant les époques et les normes. Mais quel est le problème de dire qu'il faut être tolérant au fond à l'école? On n'est pas là pour faire un cours sur la dysphorie de genre, juste dire qu'il y a des personnes qui souffrent de penser ne pas être né avec le bon genre, et que ces gens là on le droit à la tolérance et de pouvoir vivre.

Le problème n'est pas là ; il est dans le fait d'aborder ce sujet, en cours, tout simplement.

Que je sache on ne l'a jamais fait pour les schizophrènes ou les T21...pourquoi le ferait-on pour  ce problème en particulier?

il y a 5 minutes, chanou 34 a dit :

La dysphorie de genre? Ben déjà parce que le moins qu'on puisse dire est que médicalement parlant, et quoi qu'en disent les médias en ce moment, les choses sont tout sauf claires sur le sujet. et qu'il n'est pas du tout inenvisageable que d'ici quelques années on la requalifie en pathologie parce qu'on aura trouvé un profil génétique/enzymologique/autre/ne rien barrer...

En faire une matière à l'école , en effet ça n'a pas de sens . Mais lorsque des questions se présentent de la part de jeunes , le faire taire et interdire toute écoute ou encore éliminer tout sujet ou texte ou supports quelconques est stupide et nuisible .. et donc , faire plutôt intervenir des personnes légitimes , pro , avec un propos et un discours adapté peut au contraire éviter des abus de rigidité ou de d'inconséquence .. communiquer , reste ce qui est le mieux dans tous les domaines mais chacun son rôle .. 

à l’instant, eriu a dit :

En faire une matière à l'école , en effet ça n'a pas de sens . Mais lorsque des questions se présentent de la part de jeunes , le faire taire et interdire toute écoute ou encore éliminer tout sujet ou texte ou supports quelconques est stupide et nuisible .. et donc , faire plutôt intervenir des personnes légitimes , pro , avec un propos et un discours adapté peut au contraire éviter des abus de rigidité ou de d'inconséquence .. communiquer , reste ce qui est le mieux dans tous les domaines mais chacun son rôle .. 

Ah mais si c'est dans le  cadre d'une réponse à un élève oui bien sûr qu'il faut répondre. Comme pour toute autre question. Ni plus ni moins.

il y a 1 minute, chanou 34 a dit :

Le problème n'est pas là ; il est dans le fait d'aborder ce sujet, en cours, tout simplement.

Que je sache on ne l'a jamais fait pour les schizophrènes ou les T21...pourquoi le ferait-on pour  ce problème en particulier?

Mais je pense que ça peut s'insérer dans un discours sur toutes les pathologies en effet, il n'y a pas de raison de ne s'arrêter qu'à la dysphorie de genre. Mais quid du problème et de la vacuité du programme de toutes les matières scientifiques? On dirait que 5 minutes de cours sur les LGBT+, c'est plus important que la nullité du programme de mathématique sur une année entière.

il y a 15 minutes, Crabe_fantome a dit :

En fait la question ce n'est pas pourquoi interdire un enseignement LGBT mais qui a foutu un enseignement LGBT dans un cursus scolaire ?! Qu'il y ait en revanche des options ou une association étudiants/professeurs/infirmières pour discuter avec des étudiants un peu perdu dans la vie, pas seulement des sujets qui tournent autour de leur bite ou de leur trou de balle, ce serait dommage de l'interdire. 

Tout à fait !

il y a 1 minute, Virtuose_en_carnage a dit :

Mais je pense que ça peut s'insérer dans un discours sur toutes les pathologies en effet, il n'y a pas de raison de ne s'arrêter qu'à la dysphorie de genre. Mais quid du problème et de la vacuité du programme de toutes les matières scientifiques? On dirait que 5 minutes de cours sur les LGBT+, c'est plus important que la nullité du programme de mathématique sur une année entière.

oui là je suis d'accord.

il y a 1 minute, chanou 34 a dit :

Ah mais si c'est dans le  cadre d'une réponse à un élève oui bien sûr qu'il faut répondre. Comme pour toute autre question. Ni plus ni moins.

Mais tout le monde n'est pas en capacité de répondre , profs ou autres professions au sein d'une école ou collège ou lycée ... si le sujet est mit en exergue par des élèves , cela peut être bénéfique de faire venir des intervenants en capacité de répondre de façon adapté ..

il y a 1 minute, eriu a dit :

Mais tout le monde n'est pas en capacité de répondre , profs ou autres professions au sein d'une école ou collège ou lycée ... si le sujet est mit en exergue par des élèves , cela peut être bénéfique de faire venir des intervenants en capacité de répondre de façon adapté ..

Sur demande des élèves, ou alors participe qui veut. Il ne faut pas que ce soit obligatoire pour les élèves d'y assister.

il y a 36 minutes, Virtuose_en_carnage a dit :

Pourquoi elle ne serait pas un sujet d'enseignement à l'école? Mais bon dans le monde libéral, en effet, l'enseignement civique devrait être proscrit de l'école et réservé aux riches dans leur tour familiale pendant que le prolétaire, lui n'aurait accès à aucun enseignement quelconque le tout en souffrant souvent de dysfonctionnement dans la cellule familiale.

Pourquoi ? Parce que les jeunes doivent d'abord à l'école apprendre à écrire, compter, penser avant de savoir qu'il existe ces minorités ... Mais je comprends mal le sens de ton intervention qui tourne sur l'instruction civique et non le lobbying LGBTQI+ ... Pourquoi faire intervenir les riches et les prolétaires là-dedans ?

Citation

La vraie assertion, c'est "on veut proscrire l'enseignement civique de l'école car on juge que ce n'est pas le rôle de l'école".

Nous ne nous comprenons, pas, je pense. Plus haut, j'ai dit que l'enseignement de la tolérance est une  bonne chose pour notre jeunesse mais relève plus de l'instruction civique que du lobbying LGBTQI+ ... 

à l’instant, chanou 34 a dit :

Sur demande des élèves, ou alors participe qui veut. Il ne faut pas que ce soit obligatoire pour les élèves d'y assister.

Oui , en effet , cela va de soi .

il y a 40 minutes, pic et repic a dit :

bonjour,

bon, venant de ceux qui croient au dessin orienté ... il ne faut s'étonner de rien !

?????..... trouble, maladie ?

bonne journée.

Bonjour, je faisais allusion à la dysphorie de genre, ALD 110, pris en charge par notre sécurité sociale si un psychiatre confirme le diagnostic. C'est donc une maladie reconnue comme une affection de longue durée. Ensuite, trouble, maladie ... c'est bonnet blanc et blanc bonnet ...

il y a 31 minutes, chanou 34 a dit :

La dysphorie de genre? Ben déjà parce que le moins qu'on puisse dire est que médicalement parlant, et quoi qu'en disent les médias en ce moment, les choses sont tout sauf claires sur le sujet. et qu'il n'est pas du tout inenvisageable que d'ici quelques années on la requalifie en pathologie parce qu'on aura trouvé un profil génétique/enzymologique/autre/ne rien barrer...

Mais chenu 34, le dysphorie de genre est une maladie reconnue et inscrite dans la liste ALD (affections de longue durée) au titre ALD110 et prise en charge par notre sécu pour rembourser les traitements médicaux et éventuellement chirurgicaux qui s'y rapportent ! Il n'y a que les médias justement où sévissent les 'lobbyings' (quel vilain mot !) LGBTQI+ qui nous présentent ces gens comme des personnes 'libérées' car emprisonnées dans un corps dans lequel il ou elle (ou iel pour faire tendance  ) ne se reconnaitrait pas ...

il y a 3 minutes, Saturne06 a dit :

Pourquoi ? Parce que les jeunes doivent d'abord à l'école apprendre à écrire, compter, penser avant de savoir qu'il existe ces minorités ... Mais je comprends mal le sens de ton intervention qui tourne sur l'instruction civique et non le lobbying LGBTQI+ ... Pourquoi faire intervenir les riches et les prolétaires là-dedans ?

Nous ne nous comprenons, pas, je pense. Plus haut, j'ai dit que l'enseignement de la tolérance est une  bonne chose pour notre jeunesse mais relève plus de l'instruction civique que du lobbying LGBTQI+ ... 

Tu m'expliques comment tu enseignes la tolérance si tu ne dis pas qu'il existe des minorités et des gens différents? L'école est aussi le premier lieu de vie où tu rencontres des gens différents, apprendre à accepter la différence est tout aussi capital que d'apprendre à compter. Car tu as une vision libérale de l'enseignement, d'où les riches et les prolétaires.

Si si nous nous comprenons, je suis juste harassé et usé par ces discours récurrents que j'entends, que ça soit toi ou un autre qui les prononcent. On peine à comprendre leur utilité. Car tu fais exactement ce que tu reproches au LGBT+: tu te focalises sur une minorité plutôt que d'élever le débat. Au fond, tu ne fais pas mieux qu'un discours réactionnaire qui ne vaut pas mieux que le prétendu lobby LGBT+ que tu dénonces, et que tu entretiens aussi de facto. Autant, de la part d'un idiot, je peux comprendre qu'il s'abaisse à ça. Autant j'ai plus d'estime pour toi, tu dois être capable de faire mieux sur la place publique.

il y a 1 minute, Saturne06 a dit :

Mais chenu 34, le dysphorie de genre est une maladie reconnue et inscrite dans la liste ALD (affections de longue durée) au titre ALD110 et prise en charge par notre sécu pour rembourser les traitements médicaux et éventuellement chirurgicaux qui s'y rapportent ! Il n'y a que les médias justement où sévissent les 'lobbyings' (quel vilain mot !) LGBTQI+ qui nous présentent ces gens comme des personnes 'libérées' car emprisonnées dans un corps dans lequel il ou elle (ou iel pour faire tendance  ) ne se reconnaitrait pas ...

ca peut changer...

De toute façon , si on se trouve en présence d'un jeune qui est en souffrance , quelque soit la raison , une école , collège , lycée va diriger le jeune et /ou sa famille pour une prise en charge ponctuelle ou plus longue , par un professionnel . Il y a peu , j'ai assisté à une réunion dans ce sens ( en qualité de témoin ) et les établissements , les personnels sont très vigilants et réactifs . 

Il y a 2 heures, Saturne06 a dit :

https://fr.news.yahoo.com/floride-ron-santis-veut-interdire-074201579.html

On ne peut qu'être d'accord avec cette vision de l'école: les enfants et adolescents doivent apprendre (et maîtriser) les matières scolaires générales (langue natale et étrangères, mathématiques, sciences, Histoire, Géographie, culture générale etc ...) et non l'intérêt pour un garçon de devenir fille ou vice versa ... Il n'est pas étonnant que le camp démocrate ait immédiatement soulevé les supposées législations "anti-LGBTQI+" (on aurait aimé avoir la suite de l'alphabet genre a p 'asexuel, pansexuel, j'en passe et des meilleurs) et "anti-trans" ...

Beh, c'est le problème des Américains, ça m'empêchera pas de dormir la nuit.

De plus et quel que soit le lieu , il y a un milieu , des actions réfléchies et constructives possibles , entre une vision" satanique" et " angélique" . Mais l'opportunisme politique , idéologique se fiche des conséquences sur les personnes .