Etre considéré(e) comme un morceau de viande

il y a 1 minute, Manrak a dit :

y a que deux possibilités : soit la nana est vulnérable et manipulée et elle est, de fait, victime d'une agression si on lui impose un truc qu'elle n'assume pas et qu'elle fait sous contrainte.

Soit la nana est excitée à l'idée d'être traitée comme un simple vide couilles, c'est juste son truc et elle apprécie qu'on la traite comme un morceau de viande.

C’est un raisonnement binaire hors c’est bien plus complexe que cela à mon sens… 

à l’instant, Elisa* a dit :

C’est un raisonnement binaire hors c’est bien plus complexe que cela à mon sens… 

libre à toi de penser ce que tu veux, mais binaire...... ça l'est. 

il y a 4 minutes, Manrak a dit :

libre à toi de penser ce que tu veux, mais binaire...... ça l'est. 

Ça l’est pour toi en tout cas !

il y a 5 minutes, Elisa* a dit :

Ça l’est pour toi en tout cas !

Comme c'est une discussion, il me semble que j'ai aussi le droit de penser ce que je veux sans que tu estimes que ton avis est le seul valable. 

à l’instant, Manrak a dit :

Comme c'est une discussion, il me semble que j'ai aussi le droit de penser ce que je veux sans que tu estimes que ton avis est le seul valable. 

Mon avis n’est absolument pas le seul valable : il n’engage que moi, il est subjectif et j’en ai totalement conscience. 

il y a 40 minutes, Manrak a dit :

y a que deux possibilités : soit la nana est vulnérable et manipulée et elle est, de fait, victime d'une agression si on lui impose un truc qu'elle n'assume pas et qu'elle fait sous contrainte.

Soit la nana est excitée à l'idée d'être traitée comme un simple vide couilles, c'est juste son truc et elle apprécie qu'on la traite comme un morceau de viande.

A mon idée il y a une différence entre le plaisir d'être objetisé(e), dans une certaine mesure, c'est à dire dans le sens d'être désiré(e) exclusivement pour son corps et le plaisir qu'il peut procurer, et d'être considéré(e) comme un morceau de viande, qui est plus péjoratif par rapport à la notion de proie que cela implique. Or être traîté(e) comme une proie, quelqu'un dont on abuse ou que l'on cherche à abuser, n'est pas raisonnablement souhaitable, et ce type de fantasme appartient à la perversion, qui donc, même si elle est consentie, est malsaine.

11 pages et il n’est question que de femmes. Les hommes n’ont jamais ce ressenti ?

il y a 6 minutes, Mite_Railleuse a dit :

11 pages et il n’est question que de femmes. Les hommes n’ont jamais ce ressenti ?

J'ai déjà répondu, je n'ai jamais eu ce ressenti. 

il y a 1 minute, Danoketian a dit :

J'ai déjà répondu, je n'ai jamais eu ce ressenti. 

Oups, j’ai dû louper des trucs...

Etre considéré comme 'un faux filet', pour un pécheur, c'est vexant non?

@Mr_Fox

Orange, sports et loisirs ?

il y a 6 minutes, Paléocène a dit :

@Mr_Fox

Orange, sports et loisirs ?

J'aurai plutôt dit science et nature, le seul à m'avoir jamais considéré comme un morceau de viande est un ours polaire mâle du zoo de la Palmyre.

Même si j'ai quelques doutes au sujet des êtres du crétacé.

il y a 39 minutes, sirielle a dit :

A mon idée il y a une différence entre le plaisir d'être objetisé(e), dans une certaine mesure, c'est à dire dans le sens d'être désiré(e) exclusivement pour son corps et le plaisir qu'il peut procurer, et d'être considéré(e) comme un morceau de viande, qui est plus péjoratif par rapport à la notion de proie que cela implique. Or être traîté(e) comme une proie, quelqu'un dont on abuse ou que l'on cherche à abuser, n'est pas raisonnablement souhaitable, et ce type de fantasme appartient à la perversion, qui donc, même si elle est consentie, est malsaine.

je suis d'accord avec toi. Mais le malsain ne se juge pas, pas plus que la perversion consentie. Certaines proies sont consentantes. En réalité tout est une question d'envie et de consentement. Si les deux sont réunis et réellement réunis, alors aucun problème. 

Mais te sentir considéré comme un morceau de viande quand tu ne l'assumes pas et ne le souhaite pas, c'est là que se situe le malaise.

il y a 30 minutes, Mite_Railleuse a dit :

11 pages et il n’est question que de femmes. Les hommes n’ont jamais ce ressenti ?

pourquoi donc y échapperaient ils ?

il y a 5 minutes, Manrak a dit :

pourquoi donc y échapperaient ils ?

La focalisation sur les femmes m’a fait me questionner...

il y a une heure, sirielle a dit :

A mon idée il y a une différence entre le plaisir d'être objetisé(e), dans une certaine mesure, c'est à dire dans le sens d'être désiré(e) exclusivement pour son corps et le plaisir qu'il peut procurer et d'être considéré(e) comme un morceau de viande, qui est plus péjoratif par rapport à la notion de proie que cela implique. Or être traîté(e) comme une proie, quelqu'un dont on abuse ou que l'on cherche à abuser, n'est pas raisonnablement souhaitable et ce type de fantasme appartient à la perversion, qui donc, même si elle est consentie, est malsaine.

Et puis on change, je suppose et ce que l'on appréciait et qui amusait pendant un temps on ne l'apprécie plus en avançant en âge, en reconsidérant ce qui est important pour soi, ses priorités; on a une autre vision des choses, voire une prise de conscience.

Il y a 11 heures, sirielle a dit :

Quelle est, selon vous, la différence entre être désiré(e), et être considéré(e) comme "un morceau de viande"?

Avez-vous déjà eu cette impression?

J'ai faim!

Il y a 1 heure, Mite_Railleuse a dit :

11 pages et il n’est question que de femmes. Les hommes n’ont jamais ce ressenti ?

Non Mite ...

Jamais une femme ne m'a dévoré d'un regard torve, concupiscent et obscène ...

Ah, juste une fois, une fille voulait rompre avec son copain et m'a attiré dans ses rêts : pas morceau de viande, juste un gars qui a servi à mettre le seum à un autre gars ...

Il y a 3 heures, lilineige a dit :

lis tout ce que j'ai mis et tu comprendras mieux , on a pas le choix .

C'est là où c'est pernicieux. La société te rentre dans le crâne que tu n'as pas le choix, mais en fait si totalement, et c'est aux autres de ne pas avoir le choix de vous accepter comme ça. Il faut totalement renverser la situation.

C'est en le faisant toutes et sans laisser le choix aux autres que les choses pouront avancer. Que ça soit la normalité, et pas que l'inverse le soit.

à l’instant, Neko86 a dit :

C'est là où c'est pernicieux. La société te rentre dans le crâne que tu n'as pas le choix, mais en fait si totalement, et c'est aux autres de ne pas avoir le choix de vous accepter comme ça. Il faut totalement renverser la situation.

C'est en le faisant toutes et sans laisser le choix aux autres que les choses pouront avancer. Que ça soit la normalité, et pas que l'inverse le soit.

Et risquer de me faire agresser une autre fois ? tu te rends compte de ce que tu dis ?

il y a 4 minutes, lilineige a dit :

Et risquer de me faire agresser une autre fois ? tu te rends compte de ce que tu dis ?

Et donc, tu ne te mets jamais en maillot de bain sur la plage non plus?