Orages : des intempéries sans précédent en Corse.

il y a 4 minutes, Natco a dit :

Cette photo est impressionante. On dirait un tsunami. Quand on voit ça, on se doute que ça va mal finir.

Bien d'accord!! On fuit!!

il y a 3 minutes, kilitout a dit :

Bien d'accord!! On fuit!!

Pas facile de fuir quand derrière toi tu as une montagne de 1200m et apres de 2600m.

Je pense que tu te réfugie dans une maison solide!

il y a 11 minutes, dede 2b a dit :

Pas facile de fuir quand derrière toi tu as une montagne de 1200m et apres de 2600m.

Je pense que tu te réfugie dans une maison solide!

Vs avez compris!!

à l’instant, kilitout a dit :

Vs avez compris!!

De l'autre coté de la montagne le vent a soufflé à 80km mais rapidement et le ciel très couvert, on est rentré rapidement et fermé les fenêtres, et pourtant c'est une "paillotte"! La télé régionale nous parlait déjà de ce qui se passait à 50km.

Bonjour.

Il est, sans doute, encore trop tôt pour qualifier l’épisode météorologique dont il est question ici. Pour le qualifier en langage de météorologues j’entends. Cependant de plus en plus d’analyses préliminaires (oui, prudence) indiquent qu’il s’agit possiblement (prudence encore) d’un phénomène météorologique violent, orageux bien sûr, non inédit mais plutôt rare en Europe, défini par des critères très restrictifs : le derecho.

Pour une explication du phénomène, voir : Derecho | Wikipédia  et Les derechos | KERAUNOS - Observatoire français des tornades et orages violents

Pas beaucoup d'informations pour l’épisode du 18 août 2022 car les analyses sont en cours. Pour ceux qui ont Twitter je peux mettre des liens qui parlent de l’épisode et le qualifient de derecho. Les comptes qui relaient les résultats préliminaires me semblent fiables. À ma connaissance aucun service météorologique national, ou même simplement reconnu pour la qualité de ses analyses, n’a officiellement qualifié l’épisode récent de derecho.

Jean

Les pauvres gens qui ont tout perdu ..... Comme c'est triste !

Il y a 3 heures, lycan77 a dit :

Les pauvres gens qui ont tout perdu ..... Comme c'est triste !

Et combien çà va couter au contribuable le manque de prévisionnel ?

Pour les millionnaires propriétaires des campings dont celui de Cargese , je me fait pas de bile, pas plus que les propriétaire de voilier de 15 m échoué à Porto, mais pour les petits pécheurs et les communes ce sera difficile, le contribuable va une fois de plus devoir mettre la main à la poche!

On comprend les réflexions du président des maires de Corse:

« L'argent ne va pas arriver du soir au lendemain, il va falloir faire les travaux en urgence, et c'est l'avance de trésorerie. Par exemple, les bâtiments des communes sont pris en charge par nos assurances, mais pas les voiries. Les assurances des collectivités ne prennent pas par exemple les coulées de boue, les murs de soutènement effondrés, des routes défoncées... C'est l'État qui va prendre ça en charge et notre région. Et pour 20%, ce sera le contribuable de la commune qui va les payer. »

Pour lui, il faut repenser tout l'aménagement du territoire du bassin méditerranéen et se préparer aux futures catastrophes. 

« Il faut arrêter de planter des pins à côté des villas, dans les campings. Ca fait de l'ombre, ça fait joli, mais après ça fait des catastrophes aussi. Si l'on ne prépare pas l'avenir maintenant, nous aurons à déplorer d'autres victimes. »

Ange Pierre Vivoni souhaite aussi que la population soit mieux former pour se protéger des grosses intempéries. Il en est certain : à cause du changement climatique, cette tempête n'est pas la dernière qui frappera la Corse.

Il y a « un travail sur le moyen-long terme de nettoyage de la côte des bateaux échoués », avant « qu'ils ne deviennent un danger avec des débris flottants en mer ou un facteur de pollution », a indiqué à l'AFP vendredi le porte-parole de la préfecture maritime.

il y a 7 minutes, dede 2b a dit :

On comprend les réflexions du président des maires de Corse:

« L'argent ne va pas arriver du soir au lendemain, il va falloir faire les travaux en urgence, et c'est l'avance de trésorerie. Par exemple, les bâtiments des communes sont pris en charge par nos assurances, mais pas les voiries. Les assurances des collectivités ne prennent pas par exemple les coulées de boue, les murs de soutènement effondrés, des routes défoncées... C'est l'État qui va prendre ça en charge et notre région. Et pour 20%, ce sera le contribuable de la commune qui va les payer. »

Pour lui, il faut repenser tout l'aménagement du territoire du bassin méditerranéen et se préparer aux futures catastrophes. 

« Il faut arrêter de planter des pins à côté des villas, dans les campings. Ca fait de l'ombre, ça fait joli, mais après ça fait des catastrophes aussi. Si l'on ne prépare pas l'avenir maintenant, nous aurons à déplorer d'autres victimes. »

Ange Pierre Vivoni souhaite aussi que la population soit mieux former pour se protéger des grosses intempéries. Il en est certain : à cause du changement climatique, cette tempête n'est pas la dernière qui frappera la Corse.

Il y a « un travail sur le moyen-long terme de nettoyage de la côte des bateaux échoués », avant « qu'ils ne deviennent un danger avec des débris flottants en mer ou un facteur de pollution », a indiqué à l'AFP vendredi le porte-parole de la préfecture maritime.

Oui il a tout à fait raison.

il y a une heure, dede 2b a dit :

Et combien çà va couter au contribuable le manque de prévisionnel ?

Pour les millionnaires propriétaires des campings dont celui de Cargese , je me fait pas de bile, pas plus que les propriétaire de voilier de 15 m échoué à Porto, mais pour les petits pécheurs et les communes ce sera difficile, le contribuable va une fois de plus devoir mettre la main à la poche!

On comprend les réflexions du président des maires de Corse:

« L'argent ne va pas arriver du soir au lendemain, il va falloir faire les travaux en urgence, et c'est l'avance de trésorerie. Par exemple, les bâtiments des communes sont pris en charge par nos assurances, mais pas les voiries. Les assurances des collectivités ne prennent pas par exemple les coulées de boue, les murs de soutènement effondrés, des routes défoncées... C'est l'État qui va prendre ça en charge et notre région. Et pour 20%, ce sera le contribuable de la commune qui va les payer. »

Pour lui, il faut repenser tout l'aménagement du territoire du bassin méditerranéen et se préparer aux futures catastrophes. 

« Il faut arrêter de planter des pins à côté des villas, dans les campings. Ca fait de l'ombre, ça fait joli, mais après ça fait des catastrophes aussi. Si l'on ne prépare pas l'avenir maintenant, nous aurons à déplorer d'autres victimes. »

Ange Pierre Vivoni souhaite aussi que la population soit mieux former pour se protéger des grosses intempéries. Il en est certain : à cause du changement climatique, cette tempête n'est pas la dernière qui frappera la Corse.

Il y a « un travail sur le moyen-long terme de nettoyage de la côte des bateaux échoués », avant « qu'ils ne deviennent un danger avec des débris flottants en mer ou un facteur de pollution », a indiqué à l'AFP vendredi le porte-parole de la préfecture maritime.

c'est à la Corse de prévoir les risques, l' administrative corse est sur place, elle connait ses côtes et les risques encourus... mais non, on préfère demander à l'état tout en niant cet état. il faudra un jour que les corses disent réellement ce qu'ils veulent... 

Il y a 16 heures, kilitout a dit :

Dans les années 80 l'accueil et notamment dans de très petits et MAGNIFIQUES villages était super/excellent avec.... des mamies...qui nous indiquaient les fontaines points d'eau et endroits où ns pouvions camper...gratuitement et confortablement!! (qualité du terrain/panorama etc...): c'était dans les "eighties"....

Me souviens notamment des confins de Ponte Leccia/Merusaglia (comme ils disent...) et des routes bordées de micaschiste qui scintillait (le mica) au soleil: magnifique, comme bien d'autres endroits du nord au sud de l'est à l'ouest des littoraux ,comme dans l'intérieur de l'île à...cette époque...sans "resorts/campings labellisés et autres airbnb"...et..;des boissons rafraîchissantes au cedrat et orgeat! Huuummm

...ns étions moins...nombreux...

 

 

oui maintenant il y a un surplus de tourisme et comme je l ai dit c est surtout eux qui ont subi les intempéries 

il y a plus de bétonnages aussi la bas et je  comprends que les autochtones commencent à râler..

Il y a 3 heures, jacky29 a dit :

c'est à la Corse de prévoir les risques, l' administrative corse est sur place, elle connait ses côtes et les risques encourus... mais non, on préfère demander à l'état tout en niant cet état. il faudra un jour que les corses disent réellement ce qu'ils veulent... 

Encore faut-il qu'elle en ait et les moyens et l'autorisation, c'est ce que réclament les autonomistes. Il y a longtemp que les Corse ondit ce qu'ils veulent, mais à ne pas les écouter il se trouvent des extrémistes pour tuer un préfet!

Renseigne toi avant d'affirmer!

Il y a 6 heures, dede 2b a dit :

Et combien çà va couter au contribuable le manque de prévisionnel ?

Pour les millionnaires propriétaires des campings dont celui de Cargese , je me fait pas de bile, pas plus que les propriétaire de voilier de 15 m échoué à Porto, mais pour les petits pécheurs et les communes ce sera difficile, le contribuable va une fois de plus devoir mettre la main à la poche!

On comprend les réflexions du président des maires de Corse:

« L'argent ne va pas arriver du soir au lendemain, il va falloir faire les travaux en urgence, et c'est l'avance de trésorerie. Par exemple, les bâtiments des communes sont pris en charge par nos assurances, mais pas les voiries. Les assurances des collectivités ne prennent pas par exemple les coulées de boue, les murs de soutènement effondrés, des routes défoncées... C'est l'État qui va prendre ça en charge et notre région. Et pour 20%, ce sera le contribuable de la commune qui va les payer. »

Pour lui, il faut repenser tout l'aménagement du territoire du bassin méditerranéen et se préparer aux futures catastrophes. 

« Il faut arrêter de planter des pins à côté des villas, dans les campings. Ca fait de l'ombre, ça fait joli, mais après ça fait des catastrophes aussi. Si l'on ne prépare pas l'avenir maintenant, nous aurons à déplorer d'autres victimes. »

Ange Pierre Vivoni souhaite aussi que la population soit mieux former pour se protéger des grosses intempéries. Il en est certain : à cause du changement climatique, cette tempête n'est pas la dernière qui frappera la Corse.

Il y a « un travail sur le moyen-long terme de nettoyage de la côte des bateaux échoués », avant « qu'ils ne deviennent un danger avec des débris flottants en mer ou un facteur de pollution », a indiqué à l'AFP vendredi le porte-parole de la préfecture maritime.

Le "manque de prévisionnel" ..... De la part d'un militant Nupes, ben .....