Aller au contenu

Les fossoyeurs ( EHPADs) ??

Noter ce sujet


new caravage

Messages recommandés

Membre, 70ans Posté(e)
petirobert Membre 6 976 messages
Maitre des forums‚ 70ans‚
Posté(e)
il y a 15 minutes, ouest35 a dit :

L'auteur était sur la 5 hier soir .... ça fiche les jetons !!!

Hier un nouveau témoignage d une famille,  rien n a changé  depuis cette affaire 3500 euros par mois  et la mémé est maltraitée , on la place sur  fauteuil toute la journée  pour la déplacer ,  alors qu elle peut marcher et on lui met des couches  pour éviter de l accompagner aux toilettes.

Il vaut mieux  crever avant  d atteindre ces lieux sordides et enrichir ces actionnaires , apparemment rien ne change .    

  • Like 2
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, 88ans Posté(e)
ouest35 Membre 28 208 messages
Maitre des forums‚ 88ans‚
Posté(e)
Le 25/01/2023 à 12:38, jeremie974 a dit :

Je préfère une injection létale à un Ehpad.

Mais comble du sadisme, on me la refuserait.

Certes ... il ne faut pas y compter !

Je suis au seuil et c'est ma hantise ... ma résistance c'est de ne pas me plaindre, souffrir en silence ... mais c'est difficile !

Surtout quand on vieilli seul ... et qu'on ne veut pas peser ni sur la société et surtout ses enfants c'est une lutte quotidienne, mal comprise ... Dire que les enfants ne sont pas a la hauteur c'est se tromper souvent ... c'est la personne âgée qui ne veut pas être un boulet ... et pourtant sait que c'est "inexorable" qu'à un moment ça arrive ! C'est la pire des défaites à vivre ... la déchéance et la dépendance sont des étapes qu'on aimerait éviter !

Mais quand le cognitif est encore présent j'ose dire que l'on a pas le droit de se plaindre ... car un cognitif déficient oblige au "placement" parfois ce n'est pas gérable pour les familles (des neveux vivent cela avec leur mère qui n'a que 73 ans ... un crève coeur mais pas le choix !!! ) ....

Notre grand Charles disait "la vieillesse est un naufrage" ... et oui pour les naufragés la bouée miracle n'existe pas ... ils demandent à ce que le bateau coule et vite !!!

S'ajoute l'échéance cependant proche, inévitable qui puisque qu'on ne connait pas comment se fera le point d'orgue final c'est très anxiogène !!!

Nous ne sommes pas égaux envers la longévité .... mais perso c' est plus une punition qu'un bienfait !!!!! :) Je me suis toujours crue programmée pour ne jamais connaître mes 80 piges ... et bin non j'ai dû continuer !

Modifié par ouest35
  • Like 1
  • Waouh 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 88ans Posté(e)
ouest35 Membre 28 208 messages
Maitre des forums‚ 88ans‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, petirobert a dit :

Hier un nouveau témoignage d une famille,  rien n a changé  depuis cette affaire 3500 euros par mois  et la mémé est maltraitée , on la place sur  fauteuil toute la journée  pour la déplacer ,  alors qu elle peut marcher et on lui met des couches  pour éviter de l accompagner aux toilettes.

Il vaut mieux  crever avant  d atteindre ces lieux sordides et enrichir ces actionnaires , apparemment rien ne change .    

Il a été bien expliqué qu'il y a un manque de personnel ... dans les pays voisins du Nord il y a un employé (soin, aide etc... toutes spécilaités comprises) par résident ! En France c'est maximum 6 sur 10 ! Mal payé ces métiers n'attirent plus, ... le grand âge est une industrie on doit faire du pognon !

  • Like 2
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, forumeur, Posté(e)
Rhodo Membre 1 539 messages
forumeur,
Posté(e)
Il y a 4 heures, ouest35 a dit :

Il a été bien expliqué qu'il y a un manque de personnel ... dans les pays voisins du Nord il y a un employé (soin, aide etc... toutes spécilaités comprises) par résident ! En France c'est maximum 6 sur 10 ! Mal payé ces métiers n'attirent plus, ... le grand âge est une industrie on doit faire du pognon !

Et pourtant Orpéa et les autres EHPAD privés distribuent des dividendes !..............

Mr Macron, les milliards que vous utilisez pour la guerre Ukraine-Russie, employez-les pour les EHPAD.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

  • 5 mois après...
Nouveau, 70ans Posté(e)
Cassiope21 Nouveau 2 messages
Baby Forumeur‚ 70ans‚
Posté(e)

Il existe quelques établissements qui échappent à cette dure réalité et ces modèles de respect devraient être l'objet d'une note de service engageant les directeurs d'établissement à en prendre modèle.

 

Le 16 juin 2014, ma mère Madame Gisèle TECHER était admise à l'EHPAD d'Auxonne atteinte de la maladie d'Alzheimer au stade qui ne lui permettait plus l'autonomie dans sa résidence.

Au cours des années qui s'ensuivirent, la maladie a fait son chemin, entraînant démence, agitation et troubles liés à cette affection.

En 2020, elle ne pouvait plus se déplacer et la position alitée devint son quotidien. Elle ne reconnaissait personne et ses propos étaient désordonnés . Le passage du COVID n'a rien arrangé, les visites étant suspendues - ce que je conçois.

Elle a perdu beaucoup de poids atteignant selon les médecins environ 37 kg. Elle restait cependant très agitée. Je lui ai rendu visite dans cet établissement pendant 8 ans, chaque semaine (à quelques exceptions près) à trente kilomètres de mon domicile. A l'époque où un placement d'urgence était nécessaire, c'était le seul lieu disponible.

En2020, la situation était devenue angoissante et je sentais un mal être (psychologique et physique) important à chacune de mes visites. Son visage exprimait de l'inconfort parfois, de la contrariété souvent.

J'ai demandé à consulter le médecin du service et celui-ci de m'assurer que des tests antidouleurs étaient réalisés quotidiennement ( bilans ALGO PLUS, ECPA). Un deuxième rendez-vous quelques semaines plus tard, auprès d'un autre médecin du service – j'étais accompagnée d'un médecin libéral- nous a tracé un bilan somme toute plus réaliste de l'évolution de la maladie et de l'incapacité de la médecine d'appréhender la souffrance psychologique du patient.

Entre 2020 et 2022, son état est devenu difficilement tolérable ( pour moi) : allongée sur le dos,( ad eternam) des traversins à droite, à gauche pour la maintenir et un traversin sous un genou pour empêcher le frottement de ses jambes l'une contre l'autre et ainsi éviter les escarres. Parfois je la retrouvais les jambes coincées dans les barreaux , parfois son visage...

En2021 il n'y avait plus de contact entre nous. Mes visites étaient réglées sur l'heure du goûter que je lui administrais. Désormais elle ne pouvait plus absorber de liquide (eau gélifiée, yaourt, crème...) ; elle était définitivement couchée sur le dos, -sans escarre -bénéficiant d'un matelas spécial et de manipulations sommaires lors de la toilette.

Je suis arrivée, un jour, son lit était dans le couloir. Il fallait le changer suite à un mauvais fonctionnement. Je ne voyais pas où on l'avait mise . Soudain j'ai vu deux pieds au bout de deux jambes émaciées sortir du lève-malade dans lequel on l'avait placée. Elle gisait, pauvre petite chose, recroquevillée comme dans une coquille d'oeuf. Je n'ai pu retenir mes larmes de la voir ainsi et de demander au personnel présent de définir ce qu'est la Vie. Il me faudra dire que le personnel est ampathique dans cette unité.

Nouveau rendez-vous au médecin : je suis consciente que je commence à importuner. Le premier médecin, (rhumatologue à Juvignac???) puis un second . Chacun de m'affirmer qu'on ne peut explorer le domaine de la douleur, qu' elle n'était pas en fin de vie et qu'elle était dans la main de Dieu! Quelle ne fut pas ma stupeur d'entendre ces paroles dans un hôpital publique et laïque.

Je n'ai jamais demandé une quelconque euthanasie, consciente - même si je le regrette- qu'elle est intredite en France. Je souhaitais seulement plus de sédation afin qu'elle ne souffre pas.

La situation ne s'améliorait pas bien sûr et en juillet 2022, j'adressais un courrier au Directeur de l'établissement pour l'informer de ma détresse devant nos souffrances et solliciter l'accès à son dossier médical. Je préconisais, sur les conseils de mon médecin et d'un médecin de ma famille l'avis d'une équipe de soins palliatifs du CHU de Dijon.

Le 27 août 2022, ma mère décède après quelques jours au cours desquels elle refuse d'absorber quoique ce soit . Libérée de ce corps momifié. 4 h 30 du matin

Lorsque je me suis rendue au reposoir, son corps était statufié dans la position qu'elle occupait depuis tant de mois sans qu'il ait été possible de l'allonger correctement.

 

 

 

Le 16 septembre, je réitère ma demande de dossier médical. Il n'est sans doute pas coutumier que de telles démarches soient maintenues après le décès .

J'ai envoyé au ministre de la santé un courrier relatant les difficultés à me faire entendre. Le 3 septembre 2022, une partie du dossier m'est parvenue. Des pièces prises ici et là ne correspondant pas à mes attentes : échelles d'évaluation de 2015, 2018, transm!missions incomplètes de début 2022, comptes rendus orthopédiques, anésthésique de 2015...

Il me fallait consulter les situations de 2021, 2022 pour me persuader que je ne m'étais pas égarée dans sa souffrance comme on me le laissait entendre.

Le 30 mars 2023, sans réponse à mon questionnement, je m'adressais de nouveau au Directeur de l'EHPAD pour obtenir les documents qui m'intéressent ainsi qu'un rendez-vous auprès d'un médecin de service (celui qui s'occupait de ma mère étant en congé maladie) comme il me l'avait proposé lors de ses condoléances. Rendez-vous pris pour le 14 avril auprès d'une personne responsable mais la situation s'est compliquée quand j'ai appris par un autre médecin qu'il n'y avait eu aucune évaluation en 2020 2021. Aucune trace. Les documents durement obtenus sont les ECPAentre le 27 mai et le 9 juin 2022.

A la lecture de ces relevés, -ma mère devenant un sujet- ( sans verbe), voici quelques remarques :

  • Le sujet bouge comme d'habitude mais évite certains mouvements

  • cris soupirs gémisssements

  • le sujet grimace de temps en temps

  • Le sujet choisit une position antalgique

  • Le sujet a un regard attentif et semble craindre la mobilisation

  • angoisse du regard, impression de peur

  • le sujet se plaint si le soignant s'adresse à lui

  • absence de mouvement ou forte agitation contrairement à son habitude...

Peut-on encore m'affirmer qu'elle n'avait pas conscience de son état même pour quelques secondes ? Je n'ose imaginer ! J'ai des photos et de courtes vidéos qui témoignent de ce qui a été des mois voir des années de calvaire.

 

Aujourd'hui, pour lutter contre ce sentiment de culpabilité qui m'obsède, j'ai adhéré à l'Association au Droit de Mourir dans la Dignité . Encore faut-il définir auprès des médecins ce qu'est la dignité. Loin de moi l'idée de généraliser ce propos .

 

 

"Etre statufié de son vivant, ça vous pétrifie." Louis Scutenaire

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 88ans Posté(e)
ouest35 Membre 28 208 messages
Maitre des forums‚ 88ans‚
Posté(e)
il y a 7 minutes, Cassiope21 a dit :

Il existe quelques établissements qui échappent à cette dure réalité et ces modèles de respect devraient être l'objet d'une note de service engageant les directeurs d'établissement à en prendre modèle.

 

Le 16 juin 2014, ma mère Madame Gisèle TECHER était admise à l'EHPAD d'Auxonne atteinte de la maladie d'Alzheimer au stade qui ne lui permettait plus l'autonomie dans sa résidence.

Au cours des années qui s'ensuivirent, la maladie a fait son chemin, entraînant démence, agitation et troubles liés à cette affection.

En 2020, elle ne pouvait plus se déplacer et la position alitée devint son quotidien. Elle ne reconnaissait personne et ses propos étaient désordonnés . Le passage du COVID n'a rien arrangé, les visites étant suspendues - ce que je conçois.

Elle a perdu beaucoup de poids atteignant selon les médecins environ 37 kg. Elle restait cependant très agitée. Je lui ai rendu visite dans cet établissement pendant 8 ans, chaque semaine (à quelques exceptions près) à trente kilomètres de mon domicile. A l'époque où un placement d'urgence était nécessaire, c'était le seul lieu disponible.

En2020, la situation était devenue angoissante et je sentais un mal être (psychologique et physique) important à chacune de mes visites. Son visage exprimait de l'inconfort parfois, de la contrariété souvent.

J'ai demandé à consulter le médecin du service et celui-ci de m'assurer que des tests antidouleurs étaient réalisés quotidiennement ( bilans ALGO PLUS, ECPA). Un deuxième rendez-vous quelques semaines plus tard, auprès d'un autre médecin du service – j'étais accompagnée d'un médecin libéral- nous a tracé un bilan somme toute plus réaliste de l'évolution de la maladie et de l'incapacité de la médecine d'appréhender la souffrance psychologique du patient.

Entre 2020 et 2022, son état est devenu difficilement tolérable ( pour moi) : allongée sur le dos,( ad eternam) des traversins à droite, à gauche pour la maintenir et un traversin sous un genou pour empêcher le frottement de ses jambes l'une contre l'autre et ainsi éviter les escarres. Parfois je la retrouvais les jambes coincées dans les barreaux , parfois son visage...

En2021 il n'y avait plus de contact entre nous. Mes visites étaient réglées sur l'heure du goûter que je lui administrais. Désormais elle ne pouvait plus absorber de liquide (eau gélifiée, yaourt, crème...) ; elle était définitivement couchée sur le dos, -sans escarre -bénéficiant d'un matelas spécial et de manipulations sommaires lors de la toilette.

Je suis arrivée, un jour, son lit était dans le couloir. Il fallait le changer suite à un mauvais fonctionnement. Je ne voyais pas où on l'avait mise . Soudain j'ai vu deux pieds au bout de deux jambes émaciées sortir du lève-malade dans lequel on l'avait placée. Elle gisait, pauvre petite chose, recroquevillée comme dans une coquille d'oeuf. Je n'ai pu retenir mes larmes de la voir ainsi et de demander au personnel présent de définir ce qu'est la Vie. Il me faudra dire que le personnel est ampathique dans cette unité.

Nouveau rendez-vous au médecin : je suis consciente que je commence à importuner. Le premier médecin, (rhumatologue à Juvignac???) puis un second . Chacun de m'affirmer qu'on ne peut explorer le domaine de la douleur, qu' elle n'était pas en fin de vie et qu'elle était dans la main de Dieu! Quelle ne fut pas ma stupeur d'entendre ces paroles dans un hôpital publique et laïque.

Je n'ai jamais demandé une quelconque euthanasie, consciente - même si je le regrette- qu'elle est intredite en France. Je souhaitais seulement plus de sédation afin qu'elle ne souffre pas.

La situation ne s'améliorait pas bien sûr et en juillet 2022, j'adressais un courrier au Directeur de l'établissement pour l'informer de ma détresse devant nos souffrances et solliciter l'accès à son dossier médical. Je préconisais, sur les conseils de mon médecin et d'un médecin de ma famille l'avis d'une équipe de soins palliatifs du CHU de Dijon.

Le 27 août 2022, ma mère décède après quelques jours au cours desquels elle refuse d'absorber quoique ce soit . Libérée de ce corps momifié. 4 h 30 du matin

Lorsque je me suis rendue au reposoir, son corps était statufié dans la position qu'elle occupait depuis tant de mois sans qu'il ait été possible de l'allonger correctement.

 

 

 

Le 16 septembre, je réitère ma demande de dossier médical. Il n'est sans doute pas coutumier que de telles démarches soient maintenues après le décès .

J'ai envoyé au ministre de la santé un courrier relatant les difficultés à me faire entendre. Le 3 septembre 2022, une partie du dossier m'est parvenue. Des pièces prises ici et là ne correspondant pas à mes attentes : échelles d'évaluation de 2015, 2018, transm!missions incomplètes de début 2022, comptes rendus orthopédiques, anésthésique de 2015...

Il me fallait consulter les situations de 2021, 2022 pour me persuader que je ne m'étais pas égarée dans sa souffrance comme on me le laissait entendre.

Le 30 mars 2023, sans réponse à mon questionnement, je m'adressais de nouveau au Directeur de l'EHPAD pour obtenir les documents qui m'intéressent ainsi qu'un rendez-vous auprès d'un médecin de service (celui qui s'occupait de ma mère étant en congé maladie) comme il me l'avait proposé lors de ses condoléances. Rendez-vous pris pour le 14 avril auprès d'une personne responsable mais la situation s'est compliquée quand j'ai appris par un autre médecin qu'il n'y avait eu aucune évaluation en 2020 2021. Aucune trace. Les documents durement obtenus sont les ECPAentre le 27 mai et le 9 juin 2022.

A la lecture de ces relevés, -ma mère devenant un sujet- ( sans verbe), voici quelques remarques :

  • Le sujet bouge comme d'habitude mais évite certains mouvements

  • cris soupirs gémisssements

  • le sujet grimace de temps en temps

  • Le sujet choisit une position antalgique

  • Le sujet a un regard attentif et semble craindre la mobilisation

  • angoisse du regard, impression de peur

  • le sujet se plaint si le soignant s'adresse à lui

  • absence de mouvement ou forte agitation contrairement à son habitude...

Peut-on encore m'affirmer qu'elle n'avait pas conscience de son état même pour quelques secondes ? Je n'ose imaginer ! J'ai des photos et de courtes vidéos qui témoignent de ce qui a été des mois voir des années de calvaire.

 

Aujourd'hui, pour lutter contre ce sentiment de culpabilité qui m'obsède, j'ai adhéré à l'Association au Droit de Mourir dans la Dignité . Encore faut-il définir auprès des médecins ce qu'est la dignité. Loin de moi l'idée de généraliser ce propos .

 

 

"Etre statufié de son vivant, ça vous pétrifie." Louis Scutenaire

Merci... mais ça me fiche la trouille !

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 81ans Posté(e)
lafeeclochette Membre 6 372 messages
Maitre des forums‚ 81ans‚
Posté(e)
Le 26/01/2023 à 15:36, petirobert a dit :

et 2 la nuit 

Quant en fait il n'y a qu'une aide soignante, j'en parle en connaissance de cause, je l'ai fait. En plus, la nuit interdiction de prendre l'ascenseur (très mauvais état), je me tapais les deux étages à pieds. 

On garde la forme. :dance:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 80ans Posté(e)
rogmor Membre 1 395 messages
Mentor‚ 80ans‚
Posté(e)

Rien n'a changé, malgré les livres et les rapports. Le secteur privé commercial continue à faire son beurre.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

  • 1 an après...
Membre, 25ans Posté(e)
Marcuse Membre 502 messages
Forumeur alchimiste ‚ 25ans‚
Posté(e)
Le 13/07/2023 à 16:56, rogmor a dit :

Rien n'a changé, malgré les livres et les rapports. Le secteur privé commercial continue à faire son beurre.

Exact.

Les « Fossoyeurs » sévissent toujours dans les Ehpad : l'exemple par la Villa d’Avril

Une nouvelle recrue, candidate aux élections des instances représentatives du personnel, doit parer plusieurs tentatives de licenciement. 

Son tort ? Avoir dénoncé les mauvaises conditions de travail dans son Ehpad, maltraitantes pour les résidents. 

Par Xavier Sauvignet, avocat au barreau de Paris.

https://www.humanite.fr/social-et-economie/chronique-juridique/les-fossoyeurs-sevissent-toujours-dans-les-ehpad-lexemple-par-la-villa-davril

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 77ans Posté(e)
G2LLOQ Membre 26 219 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)

Il faut placer des caméras et des micros cachés  !  pour constituer un dossier  béton  !   

Ma belle -mère  8 ans dans un Epadh , aucun problème , mais nous y passions 3 fois / semaine  ; 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 0ans Posté(e)
Xp4k Membre 340 messages
Forumeur accro‚ 0ans‚
Posté(e)
Le 26/01/2023 à 13:52, ouest35 a dit :

Certes ... il ne faut pas y compter !

Je suis au seuil et c'est ma hantise ... ma résistance c'est de ne pas me plaindre, souffrir en silence ... mais c'est difficile !

Surtout quand on vieilli seul ... et qu'on ne veut pas peser ni sur la société et surtout ses enfants c'est une lutte quotidienne, mal comprise ... Dire que les enfants ne sont pas a la hauteur c'est se tromper souvent ... c'est la personne âgée qui ne veut pas être un boulet ... et pourtant sait que c'est "inexorable" qu'à un moment ça arrive ! C'est la pire des défaites à vivre ... la déchéance et la dépendance sont des étapes qu'on aimerait éviter !

Mais quand le cognitif est encore présent j'ose dire que l'on a pas le droit de se plaindre ... car un cognitif déficient oblige au "placement" parfois ce n'est pas gérable pour les familles (des neveux vivent cela avec leur mère qui n'a que 73 ans ... un crève coeur mais pas le choix !!! ) ....

Notre grand Charles disait "la vieillesse est un naufrage" ... et oui pour les naufragés la bouée miracle n'existe pas ... 

j'aime bien ton com

dire que nous les jeunes sont pas responsable des anciens ?

es que l'educations national a fait sont boulot sur ce sujet ?

a par nous mettre. d'accepter les homos les bis les lesbienes .

mais les vieux ils sont ou ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 0ans Posté(e)
Xp4k Membre 340 messages
Forumeur accro‚ 0ans‚
Posté(e)

deja annoncer a nos jeunes qui vont crever dans l'oublie..c la moindre des chose d'une societer evoluer .

 

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 0ans Posté(e)
Xp4k Membre 340 messages
Forumeur accro‚ 0ans‚
Posté(e)

personnellement a l'ecole on ma jamais confronter a ce genre situation

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 0ans Posté(e)
Xp4k Membre 340 messages
Forumeur accro‚ 0ans‚
Posté(e)

et tu sais\ ouest 35 / notre societer elle nous a juste eduquer a baiser notre voisins de 2500e pour payer ton ehpade .pour avoir la paix et la conscience tranquille sur ta tombe 

quel misere ! a gerber

Modifié par Xp4k
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

Chargement

×