Alimentation : le gouvernement ne veut pas des pesticides sur l’étiquette.

Alimentation : le gouvernement ne veut pas des pesticides sur l’étiquette.

Le gouvernement ne veut pas d’un affichage environnemental trop exigeant. Tout comme le Nutri-score pour la santé, cette information figurerait sur l’emballage des aliments et renseignerait sur leur impact sur l’environnement. D’après le site d’informations Contexte, cette future étiquette environnementale pourrait ne pas prendre en compte la présence de pesticides. Le mode d’élevage (intensif ou en plein air) pourrait ne pas non plus être intégré au score.

Depuis plus d’un an, les pouvoirs publics planchent dessus. C’était une des revendications de la Convention citoyenne sur le climat, avec une idée simple : inciter les consommateurs à privilégier les aliments les plus écolos et les moins polluants. Sauf que l’affaire est bien plus épineuse que prévu. Car comment évalue-t-on le coût écologique d’un produit ? Une première méthode d’évaluation, nommée « éco-score », s’est ainsi révélée trop favorable à l’agriculture industrielle.

Source et suite de l'article.

Consternant mais guère surprenant : quand t'as des gens proches de la FNSEA, Danone... dans ton gouvernement et un ficus à l'écologie, faut pas s'attendre à des miracles qui édifieraient le consommateur à ce qu'il consomme, le laissant trancher faute de couilles politiques pour le faire avant lui...

l'industrie agroalimentaire et chimique qui orientent la réglementation en leurs faveurs !!

c'est bio on va vous dire !!!!!!

A croire que le gouvernement est pour que les agriculteurs continuent d'émettre ces pesticides malgré les divers preuves qui ont été montrées sur leurs conséquences sur la santé, les insectes, les oiseaux,... Ils semblent aveugle et sourd vu un des problèmes qu'il y a actuellement en Guadeloupe suite à un pesticide, le chlordécone, qui avait été utilisé sur les bananes utilisé officiellement de 1968 à 1993 du fait que le gouvernement et les agriculteurs n'ont pas réagit malgré se qui avait été annoncé alors que les premières données toxicologiques du chlordécone datait depuis un moment.

bonsoir

le problème est qu'il y à beaucoup de monde à nourrir et que cultiver naturellement ne serait pas assez ?

ce n'est qu'une hypothèse .

bonne soirée

Je crois que si on était informés des pesticides sur les étiquettes, nous ne mangerions plus rien. 

Le 29/11/2021 à 19:05, le merle a dit :

bonsoir

le problème est qu'il y à beaucoup de monde à nourrir et que cultiver naturellement ne serait pas assez ?

ce n'est qu'une hypothèse .

bonne soirée

c'est pas faux , mais on n'est pas obligé d'étre le pays qui utilise le plus de produits phytosanitaires !

nous sommes 2éme  derriére les USA  !!!!!!

Le 29/11/2021 à 20:47, Doïna a dit :

Je crois que si on était informés des pesticides sur les étiquettes, nous ne mangerions plus rien. 

mais quand méme on peut certainement réduire les doses  en modifiant , un peu ,le mode de production !

Le 29/11/2021 à 16:26, Dedictio a dit :

et un ficus à l'écologie,

.......

Le 29/11/2021 à 19:05, le merle a dit :

bonsoir

le problème est qu'il y à beaucoup de monde à nourrir et que cultiver naturellement ne serait pas assez ?

ce n'est qu'une hypothèse .

bonne soirée

Il y a toujours des solutions, car regardes par exemple en Guadeloupe à propos du pesticide le chlordécone qui servaient à tuer le charançon du bananier et bien il a été trouvé une solution sans utiliser ce pesticide ou un autre. Maintenant ils utilisent une sorte de piège qui les attire dans de l'eau et ils s'y noient donc qui n'a pas d’effets sur l'environnement et la santé. Tout comme on le fait avec les frelons asiatiques...

Le 29/11/2021 à 21:24, williams a dit :

Il y a toujours des solutions, car regardes par exemple en Guadeloupe à propos du pesticide le chlordécone qui servaient à tuer le charançon du bananier et bien il a été trouvé une solution sans utiliser ce pesticide ou un autre. Maintenant ils utilisent une sorte de piège qui les attire dans de l'eau et ils s'y noient donc qui n'a pas d’effets sur l'environnement et la santé. Tout comme on le fait avec les frelons asiatiques...

bonjour

oui , c'est sur mais , il y à un deuxième problème : la vente des pesticides rapportent gros et cela sera dure à abandonner ?

bonne journée

Si on devait mettre toutes les molécules étrangères qui entrent dans un produit de l'agroalimentaire, il faudrait éditer un fascicule d'accompagnement !

En effet il y a les pesticides répandus par l'agriculteur mais il y a toutes les substances ajoutées par les industriels de la transformation, du conditionnement et parfois du transport.

Actuellement c'est la saison ds agrumes (citrons, oranges, mandarines et clémentines. Bien malin celui qui connaît la liste à la production dans des pays producteurs. Ensuite les transformateurs ne veulent pas de pourriture et donc ils traitent avec au moins un antifongique qui va entrer dans ton corps quand tu vas peler le fruit sans te laver les mains avant de tripoter les quartiers ! A cela il faut ajouter la paraffine qui rend brillant ( mais heureusement ,la paraffine n'est pas toxique mais seulment laxative.

Et j'ai choisi un produit banal. Pour un jus d'orange, c'est déjà nettement plus chargé !

Le 30/11/2021 à 09:19, Répy a dit :

Ensuite les transformateurs ne veulent pas de pourriture et donc ils traitent avec au moins un antifongique

Selon Maryse Bouchard, on devrait limiter l’utilisation de ces produits-là et favoriser des approches alternatives, comme l’utilisation d’agents microbiens qui peuvent venir naturellement combattre le développement des champignons, par exemple.

Ces solutions de rechange existent, mais les grands producteurs résistent, car elles coûtent beaucoup plus cher et demandent des changements de mentalité tant de la part des producteurs que de celle des consommateurs.

Source.

Le 30/11/2021 à 09:32, goods a dit :

Selon Maryse Bouchard, on devrait limiter l’utilisation de ces produits-là et favoriser des approches alternatives, comme l’utilisation d’agents microbiens qui peuvent venir naturellement combattre le développement des champignons, par exemple.

Ces solutions de rechange existent, mais les grands producteurs résistent, car elles coûtent beaucoup plus cher et demandent des changements de mentalité tant de la part des producteurs que de celle des consommateurs.

Source.

sans parler de l'argent  pour  l'industrie chimique  !!

ben oui ,vous voulez les ruiner !!!

Le 30/11/2021 à 08:26, le merle a dit :

bonjour

oui , c'est sur mais , il y à un deuxième problème : la vente des pesticides rapportent gros et cela sera dure à abandonner ?

bonne journée

Bonjour, ceci n'a pas de sens car toujours l'argent. Regardes, la drogue,... cela pourrait rapporter gros aussi si le gouvernement l'autoriserait dans la vente pourtant c'est interdit suite aux conséquences que cela apportent aussi à la santé, à la violence...

De plus maintenant en Guadeloupe beaucoup ont des cancers suite à cet ancien pesticide le chlordécone ce qui nous revient chère dans la santé. Donc il faut tout voir.

Puis il faut voir qu'au fur et à mesure que le temps passe tous changent, tous évoluent,... donc toutes nos divers méthodes doivent évoluer et ceci dans le bon sens,... et tout le monde doit s'adapter à ceci dont aussi les entreprises. Par exemple les entreprises de construction de voitures évoluent au fur et à mesure en passant de voiture à essence à électrique.