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La Commission Inceste recommande de suspendre le droit de visite d’un parent soupçonné


Mórrígan

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MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 50ans‚
Posté(e)
Le 27/10/2021 à 15:56, January a dit :

Développe aussi, merci. C'est quoi le rapport entre "l'intérêt supérieur de l'enfant et la pma sans père" ? 

Petit rappel : Ca fait 25 ans que je milite contre la maltraitance infantile, sur le terrain. La dernière fois que j'ai assisté à une visite encadrée c'était l'année dernière. Pour ceux qui critiquent et qui apparemment ne savent pas comment ça se passe mais pour autant, ne posent pas de question : c'était quand ? 

C'était quand la dernière fois que tu t'es investi contre la maltraitance infantile ? Vraiment investi je veux dire.

Autant je ne réponds pas à la provoc, autant je crois pouvoir répondre à pas mal de questions. Je suis disponible et humble, mais si vous préférez vos fantasmes, les uns et les autres, pas de problèmes.

Développe aussi, merci. C'est quoi le rapport entre "l'intérêt supérieur de l'enfant et la pma sans père" ? 

 

Je vais me répéter mais…TU VOIS QUE TU SAIS ETRE DROLE !

Plus sérieusement, l’intérêt de l’enfant est de bénéficier de ses DEUX parents (hors rares cas d’incapacité, maltraitance…) ; toutes les études le montrent (doit-on y revenir pour la N-ième fois ???), et ce pour au moins 30% du temps chacun, car sinon il y un risque de délitement du lien (là-encore d’après les études).

La PMA sans père est, du point de vue politique (je ne parle pas de tel ou tel cas particulier d’un couple de femmes ou d’une femme seule…et en ce cas il faudrait tenir compte de tel et tel cas particulier d’un couple d’hommes ou d’un homme seul ET adopter la GPA altruiste pour tous), pour les tenants du lobby que TU soutiens et dont TU te fais toujours l’écho sur ce forum, le dernier avatar de la lutte pour la disparition progressive des pères ( empêchement de vote d’une loi tendant à l’égalité parentale, refus d’accorder la naissance sous X pour les hommes, la recherche systématique de paternité, PMA pour toutes…).

RAPPEL DES ENGAGEMENTS DE LA FRANCE:

signataire dla résolution 2079 votée par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, le 2 octobre 2015 et intitulée « Égalité et coresponsabilité : le rôle des pères » ; elle énonce un certain nombre d’objectifs tels que l’égalité parentale, l’égale implication des parents dans l’éducation de leur enfant, la reconnaissance et la valorisation du rôle des pères auprès de leurs enfants. D’ailleurs, la réflexion de ce texte repose sur la recommandation 5.5 dans laquelle l’Assemblée appelle les États « à introduire dans leur législation le principe de résidence alternée des enfants après une séparation, tout en limitant les exceptions aux cas d’abus ou de négligence d’un enfant, ou de violence domestique, et en aménageant le temps de résidence en fonction des besoins et de l’intérêt des enfants » ?

Oui, un enfant né par PMA « sans père »…est sans père, ce qui est contraire à son intérêt fondamental, d’après le conseil de l’Europe et toutes les études. En outre, c’est inégalitaire car on n’a pas donné de droit équivalent aux hommes (GPA altruiste pour tous) et on l’a fait sans mesure (pour n’importe quelle femme dans n’importe quelle situation dès 18ans…).

 

Rappel des actes du lobby que TU soutiens concernant l’égalité parentale et la possibilité des enfants de davantage bénéficier de la présence de leur père :

1)

https://www.lesinrocks.com/cheek/belgique-residence-alternee-enfants-egalite-femmes-hommes-312770-30-11-2017/

EXTRAIT :

En Belgique, la garde alternée égalitaire existe depuis plus de 10 ans et tout va bien!

par Marie Thibaut de Maisières

 

La semaine dernière, Le Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes (HCE) a demandé le retrait immédiat de la proposition de loi sur la résidence alternée systématique. Ai-je bien compris? Le HCE voudrait empêcher que les deux parents soient -de manière systématique- reconnus comme équitablement responsables de leur enfant en cas de divorce? En Belgique, une loi similaire qui favorise l’hébergement égalitaire a été votée il y a plus de dix ans (1). Et mon expérience de mère de famille féministe belge me permet de dire que le HCE est vraiment tombé sur la tête!...

2)

OBONO, députée féministe, déposant une motion et vomissant les pires arguments éculés et sans rapport des néoféministes , pour simplement gagner du temps et que le vote pour la loi modem 2017 pour une moindre inégalité parentale passe au vote( de manière anti-démocratique), en arrivant ainsi au terme de la période législative- LE VOTE N' A JAMAIS EU LIEU :

 

 

3)

Commission aux droits des femmes de l’assemblée ( il n’y a pas de commission aux droits des hommes !) :

https://www.liberation.fr/societe/2014/05/16/les-derives-inquietantes-de-la-loi-famille_1018851/

https://www.lemonde.fr/idees/article/2013/02/22/defendre-les-peres-sans-attaquer-les-meres_1836980_3232.html

4)

 

Attitude des asso féministes 2.0 :

https://www.lexpress.fr/actualites/1/styles/tribune-de-11-associations-feministes-contre-la-garde-alternee-automatisee_1964918.html

 

 

Donc, oui la PMA sans père est le dernier avatar des inégalités obtenues par le  lobby que TU soutiens pour empêcher l’égalité hommes-femmes sur le plan intime et familial en particulier et sa volonté de faire disparaitre de plus en plus le fait d’être père (au détriment de tous), d’affirmer de plus en plus la primauté de la mère sur l’enfant ( au mépris de l’intérêt de ce dernier et de l’égalité hommes-femmes), d’assurer que de plus en plus  la mère décide seule pour la vie de l’enfant( là-encore au mépris de l’intérêt de ce dernier et de l’égalité hommes-femmes).

 

Enfin, pour en revenir au sujet, la maltraitance à l’encontre d’un enfant doit évidemment être très durement réprimée, notamment par la déchéance de parentalité, mais AUTANT et SANS DISTINCTION pour les mères que les pères…mais les fausses déclarations à ce propos, le plus souvent utilisées ( sans sanction !!!) dans le but d’exclure un père de la vie de son enfant(au détriment de ces deux-ci, pour simplement satisfaire la volonté hégémonique d’une mère-heureusement, toutes ne veulent pas écarter un père de la vie de son enfant en bénéficiant du sexisme anti-père et d’une justice pro-mère et avec peu de moyens, ouf!) devraient AUSSI et ENFIN être réellement sanctionnées-voir la source EDIFIANTE fournie dans mon précédent billet  ( ceci devant etre considéré comme une violence immense à l’égard de son enfant).

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 088 messages
108ans‚ ©,
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Le 27/10/2021 à 16:50, MarcThor a dit :

La PMA sans père

Quel est le rapport avec le sujet ?  Aucun, tu es complètement hs. Ouvre un sujet sur la pma.

Et respecte ce sujet-là et accessoirement les enfants abusés par leurs parents, merci. Il est question ici de la ciivise et de ses propositions. 

Les pauvres pères injustement accusés peuvent faire l'objet d'une digression, mais ils ne doivent pas devenir le coeur du sujet. Le coeur du sujet c'est la protection des victimes tu comprends ? 

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 63 097 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
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Le 27/10/2021 à 15:55, MarcThor a dit :

Pourquoi n'évoques-tu de maltraitances à signaler uniquement du fait "des pères"?

C'est tout bonnement HALLUCINANT !

Tu veux faire croire que seuls les pères sont maltraitants avec leur enfant? Aucune mère? Aucune tierce personne? As-tu lu les données d'Enfance en danger" sur la maltraitance???

 

Juste un exemple récent ( j'en ai déjà rappelé bien d'autres aisi que des données générales à ce sujet sur d'autres topics):

https://www.ledauphine.com/faits-divers-justice/2021/08/31/une-mere-condamnee-pour-agression-sexuelle-sur-sa-fille

J'ai sexué la maltraitance en général?

J'ai plus sexué, c'est vrai, l'inceste...

https://www.leparisien.fr/archives/le-tabou-se-leve-sur-l-inceste-maternel-06-11-2014-4268607.php

Le lien date de 2014 mai l'inceste féminin reste rare...c'est plus la complicité de la mère qui "sait" et se tait qui peut être importante!

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Membre, 50ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 50ans‚
Posté(e)
Le 27/10/2021 à 17:32, January a dit :

Quel est le rapport avec le sujet ?  Aucun, tu es complètement hs. Ouvre un sujet sur la pma.

Et respecte ce sujet-là et accessoirement les enfants abusés par leurs parents, merci. Il est question ici de la ciivise et de ses propositions. 

Les pauvres pères injustement accusés peuvent faire l'objet d'une digression, mais ils ne doivent devenir le coeur du sujet. Le coeur du sujet c'est la protection des victimes tu comprends ? 

 

Quel est le rapport avec le sujet ?  Aucun, tu es complètement hs. Ouvre un sujet sur la pma.

Alors là, c'est excellent...oui, la PMA n'est pas le sujet (il y en a déjà et j'y ai participé)...c'était TA QUESTION et je TE cite :Développe aussi, merci. C'est quoi le rapport entre "l'intérêt supérieur de l'enfant et la pma sans père" ? 

Nies-tu que ce sont tes propos ? Chacun peut te lire…

En outre, comme la réponse te laisse sans argument, tu ne réponds pas et tu détournes " comme d'hab"...

 

Et respecte ce sujet-là et accessoirement les enfants abusés p

ar leurs parents, merci. Il est question ici de la ciivise et de ses propositions. 

N'ai-je pas répondu au sujet???

J'ai même recadré sur le sujet après avoir répondu à TA question qui s'écartait du sujet dans ma réponse  précédente... comme la réponse te laisse là-encore sans argument, tu ne réponds pas et tu détournes " comme d'hab"...

 

Les pauvres pères injustement accusés peuvent faire l'objet d'une digression, mais ils ne doivent devenir le coeur du sujet. Le coeur du sujet c'est la protection des victimes tu comprends ? 

Encore une fois, j’ai répondu au sujet et j'ai élargi, comme d'autres, aux conséquences évidentes: l'utilisation d'accusations mensongères qui ne servent déjà que trop souvent, et en toute impunité, à écarter un père de la vie de son enfant.

 

 

Je reviens sur le sujet et les accusations de maltraitance sur enfant de la part de l'autre parent et reviens sur l'article du point à propos de cette "arme fatale des divorces" qui y fait référence et je cite:

SOURCE:

https://www.lepoint.fr/debats/fausses-accusations-de-maltraitances-conjugales-et-infantiles-l-arme-fatale-des-divorces-16-11-2019-2347785_2.php

..."C'est ainsi que les choses se passent : au début du divorce, l'un des parents va accuser à tort l'autre de violences sur sa personne et/ou celle de leurs enfants, et déclarer craindre de nouveaux abus. En fonction des pays et des juridictions, une simple déposition est parfois suffisante. Oubliez les droits de la défense, le témoignage d'un tiers ou des éléments de preuve ne sont pas nécessaires. À partir de là, la police va venir au domicile familial et demander au parent incriminé de quitter les lieux, parfois avec des mesures d'éloignement le privant de tout recours immédiat. Qu'importe ce qu'il ou elle a à dire pour sa défense, on lui enlèvera ses enfants pour des jours, des semaines, des mois. Parfois des années.

Englué au carrefour du droit de la famille et du droit pénal comme dans une fosse à bitume, le parent incriminé va vouloir se débattre et générer par la même occasion une hémorragie de frais juridiques sur deux fronts simultanés. Quand vous n'êtes pas millionnaire, cela signifie dormir sur le canapé d'amis et craindre la banqueroute. Risquer non seulement de perdre votre liberté, mais aussi votre foyer et vos enfants. Et se retrouver avec un casier judiciaire qui vous suivra jusqu'à la fin de votre vie. Rideau.

Pourquoi ces mensonges sont-ils une solution miracle ? Parce qu'ils marchent même lorsqu'ils échouent. Qu'importe que les accusations s'effondrent dans les semaines ou les mois qui suivent – il faut simplement qu'elles tiennent assez longtemps pour asséner un coup suffisamment fort et vous offrir ainsi la victoire dans la Blitzkrieg du divorce.

Dans la salle des machines du divorce, cette arme fatale est un secret de Polichinelle. Certains avocats peu scrupuleux la recommandent même à leurs clients. Les fausses accusations peuvent être brandies par l'un ou l'autre des parents, mais vu la direction des vents culturels actuels, l'arme se retrouve le plus souvent dans les mains d'une femme. Si une telle affirmation peut sembler controversée, elle ne l'est pas aux yeux de bien des avocats spécialistes de ces questions"...

 

 

C'est tout le problème de la période actuelle et de la société sous propagande néoféministe permanente dans laquelle les hommes sont présumés coupables et dans laquelle oser incriminer une femme, fusse-t-elle coupable, vous fait clouer au pilori.

 

J'ajoute que la fausse accusation n'a le plus souvent pas besoin d'être portée, la menace de le faire suffit. En effet, tu évoquais ton expérience (que je n’ai pas, ne travaillant pas dans ce secteur) ; pour ma part, je connais des personnes qui ont été mises face à ces accusations lors de divorces.Je connais notamment personnellement 3 cas parmi des proches dont un collègue-ami ( cas que j’ai déjà évoqué ici) :

Bon père « papa-poule », se pensant en couple aimant, heureux et stable, qui rentre chez lui…son épouse lui dit qu’elle va aller vivre avec le prof de…de leur fils de 5 ans, qu’elle va l’emmener vivre avec eux ( à 800Km) loin de ses familles, amis, école etc, qu’il doit accepter sinon elle déclarera qu’il est violent avec eux, qu’elle sait qu’on la croira ( car « moi, je suis la mère »-je cite les propos rapportés), qu’elle fera en sorte qu’il ne puisse plus voir son fils…Une fois contacté un avocat, il a dû se résigner à accepter le diktat par réalisme…puis faire 1600 Km toutes les 2 semaines pour voir son fils depuis…Nous l'avons vu au bord du suicide pendant longtemps (je rappelle que quelque 1300 pères privés injustement de leur enfant se suicident annuellement)...

...à mon tour de te poser, une première question sur l’équité :

EST-CE NORMAL POUR CE PERE ? (Puis-je espérer enfin une réponse ?)

 

 

Je réitère donc : il faut évidemment lutter avec encore plus de force contre les maltraitances VERITABLES perpétrées sur les enfants ET également (enfin!) il faudrait lutter sérieusement contre  l'instrumentalisation et l'utilisation de mensonges à ce propos au dessein d'écarter un parent (un père dans l'immense majorité des cas) de son enfant (nous en sommes TRES loin)...

...Les immondes maltraitances sur enfant devraient être traitées avec la plus grande sévérité autant de la part des mères que des pères et les fausses déclarations en ce sens ne devraient plus servir pour écarter, EN TOUTE IMPUNITE, un enfant de son père, et accentuer l' INEGALITE parentale subie par les hommes et dont la pérennité est entretenue par le lobby féministe 2.0 ...

 

Autres questions en rapport avec ce sujet « accusations- déchéance des droits parentaux » :

1)     Est-il normal que père et mère soient traités de manière différente en justice familiale, notamment devant des allégations de maltraitance, que l’on accrédite davantage la parole de l’un suivant son sexe?

2)     Est-il normal que père et mère soient traités de manière différente en justice familiale, notamment devant des allégations de maltraitance, que l’on minimise davantage la maltraitance de l’un suivant le sexe ?

 

3)     Un parent (un père dans l’immense majorité des cas) doit-il, comme le suggère le sujet, être mis à l’écart de la vie de son enfant, voire être suspendu de ses droits parentaux, SANS PREUVE, sur simple allégation ?

4)     Ceci ne renforce-t-il pas le pouvoir de malveillance d’un parent qui peut ainsi écarter encore plus facilement que précédemment l’autre parent de la vie de son enfant utilisant cette « arme fatale »t ?

5)     Le fait que de telles allégations soient par la suite infirmées ne devrait-il pas conduire à la déchéance des droits parentaux de celui qui a menti à dessein, au motif que cette allégation mensongère constitue elle-même une maltraitance à l’égard de l’enfant et de l’autre parent(le plus souvent, le père) ?

6)     Le fait que de telles allégations soient par la suite non confirmées ne devrait-il pas conduire à la déchéance des droits parentaux de celui qui a menti à dessein, au motif que cette allégation mensongère constitue elle-même une maltraitance à l’égard de l’enfant et de l’autre parent(le plus souvent, le père) ?

 

Nous sommes en plein dans le sujet. Peux-tu te prononcer sur ces 7 questions?

 

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Membre, 50ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 50ans‚
Posté(e)
Le 27/10/2021 à 18:10, Morfou a dit :

J'ai sexué la maltraitance en général?

J'ai plus sexué, c'est vrai, l'inceste...

https://www.leparisien.fr/archives/le-tabou-se-leve-sur-l-inceste-maternel-06-11-2014-4268607.php

Le lien date de 2014 mai l'inceste féminin reste rare...c'est plus la complicité de la mère qui "sait" et se tait qui peut être importante!

J'ai sexué la maltraitance en général?

 

Sérieusement, pour la maltraitance, avant que je dépose sur ce forum des études, tu aurais donné quelles proportions (avec la propagande ambiante)???

J'ai plus sexué, c'est vrai, l'inceste...

Tu crois?

https://www.leparisien.fr/archives/le-tabou-se-leve-sur-l-inceste-maternel-06-11-2014-4268607.php

Le lien date de 2014 mai l'inceste féminin reste rare...c'est plus la complicité de la mère qui "sait" et se tait qui peut être importante!

 

https://www.cairn.info/revue-l-information-psychiatrique-2013-9-page-723.htm

Extraits:

La nature du passage à l’acte

36De plus, des études plus récentes menées par Vandiver et Kercher [16] montrent en fait que la moitié des victimes d’inceste ont entre 12 et 17 ans et que presque la moitié des victimes sont de sexe féminin. Denov [17] énonce que les femmes sont plus à même d’abuser des garçons que des filles. Enfin, Kaplan et Green [18] ont noté que l’âge des victimes correspondait généralement à l’âge où l’auteur a lui-même était abusé. Saradjian [19] renouvelle cette idée en montrant que les femmes qui ont été victime d’infractions sexuelles dans leur enfance réitèrent certains aspects de cette infraction plus tard. Ainsi, les femmes peuvent abuser des enfants des deux sexes (préférentiellement de garçons) et la plupart de temps de leur propre famille.

37Plusieurs auteurs pensent que les abus commis par des femmes ne sont pas si différents de ceux commis par des hommes. En effet, selon Kaufman et al. [20], le type d’actes commis ne diffère pas significativement entre un homme et une femme qui abusent sexuellement d’enfantsMais les femmes commettent un plus grand nombre d’actes à caractère sexuel. Elles utilisent plus d’objets que les hommes et plus de masturbations. En effet, presque la moitié des femmes ont eu des rapports oraux, vaginaux et anaux avec les victimes, selon Allen et Pathast [21]. Ce même auteur, en 1991 [22], écrit que les femmes peuvent aussi bien être auteures de voyeurisme que de rapports avec pénétration. Les atteintes commises pas des femmes ne sont pas plus « graves » que celles commises par des hommes.

Une typologie des auteures

 

42C’est en 1996 que Saradjian [19] identifie trois grands types de femmes auteures d’incestes parmi ses patientes. Tout d’abord, il isole la catégorie des femmes qui agressent sexuellement des jeunes enfants. Pour lui, ces femmes ont le besoin d’obtenir une gratification physique et de sentir qu’elles ont le contrôle de l’enfant. De plus, il peut s’agir du besoin de se sentir plus proche encore de l’enfant, notamment quand la mère est isolée. C’est parfois le seul moyen que ces mères ont trouvé pour se sentir « connectée » à leur enfant. Parfois, il peut s’agir d’une punition donnée en cas de désobéissance de l’enfant, une punition qui se veut être une humiliation pour transférer en fait la faute sur l’enfant. Selon Mathews et al. [24], ces femmes agissent seules et s’en prennent le plus souvent à leurs propres enfants même si parfois il arrive que leurs victimes soient extérieures au foyer. Ces femmes ont également un passé traumatisant basé sur des atteintes sexuelles, une basse estime de soi et des difficultés psychologiques. Selon Cortoni [25], les femmes qui agressent sexuellement des jeunes enfants ont des fantasmes sexuels déviants et utilisent la violence pendant leurs actes.

 

 

https://facealinceste.fr/blog/temoignages/inceste-mere-fils-emprise-fusion-et-absence-de-limites

Ici, le jugement d'une mère pour inceste (fils de moins de 15ans) : un an avec sursis.

Une douloureuse affaire d’inceste, une mère sur son fils adolescent, était évoquée à la barre du tribunal. La femme a été condamnée à un an avec sursis.

https://www.leveil.fr/puy-en-velay-43000/actualites/la-mere-incestueuse-est-face-aux-juges_12409922/

Ce cas-ci est sidérant:

Etats-Unis: Une enseignante enceinte de son élève de 13 ans condamnée à dix ans de prison

JUSTICE Les parents du jeune garçon étaient au courant de la relation, l'acceptaient et ont même demandé au juge de faire preuve de clémence envers la jeune femme...

https://www.20minutes.fr/monde/1996675-20170116-etats-unis-enseignante-enceinte-eleve-13-ans-condamnee-dix-ans-prison

 

Bref, le sujet est:

Doit-on sur une simple allégation ( de la part d'une personne qui a tout à y gagner qui plus est), suspendre les droits parentaux ?

 

Autres questions en rapport avec ce sujet « accusations- déchéance des droits parentaux » :

1)     Est-il normal que père et mère soient traités de manière différente en justice familiale, notamment devant des allégations de maltraitance, que l’on accrédite davantage la parole de l’un suivant son sexe?

2)     Est-il normal que père et mère soient traités de manière différente en justice familiale, notamment devant des allégations de maltraitance, que l’on minimise davantage la maltraitance de l’un suivant le sexe ?

 

3)     Un parent (un père dans l’immense majorité des cas) doit-il, comme le suggère le sujet, être mis à l’écart de la vie de son enfant, voire être suspendu de ses droits parentaux, SANS PREUVE, sur simple allégation ?

4)     Ceci ne renforce-t-il pas le pouvoir de malveillance d’un parent qui peut ainsi écarter encore plus facilement que précédemment l’autre parent de la vie de son enfant utilisant cette « arme fatale »t ?

5)     Le fait que de telles allégations soient par la suite infirmées ne devrait-il pas conduire à la déchéance des droits parentaux de celui qui a menti à dessein, au motif que cette allégation mensongère constitue elle-même une maltraitance à l’égard de l’enfant et de l’autre parent(le plus souvent, le père) ?

6)     Le fait que de telles allégations soient par la suite non confirmées ne devrait-il pas conduire à la déchéance des droits parentaux de celui qui a menti à dessein, au motif que cette allégation mensongère constitue elle-même une maltraitance à l’égard de l’enfant et de l’autre parent(le plus souvent, le père) ?

 

Ton avis?

 

 

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Membre, 46ans Posté(e)
Beebee Membre 6 257 messages
Maitre des forums‚ 46ans‚
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Le 27/10/2021 à 20:09, MarcThor a dit :

Ton avis?

Que tu peux nous en faire des tartines idéologiques sur le sujet en te délectant de la description des sévices infligés par des femmes sur leurs victimes, mais ton lien est sans appel

https://www.leparisien.fr/archives/le-tabou-se-leve-sur-l-inceste-maternel-06-11-2014-4268607.php

95% des mis en cause dans les cas d'inceste intra-familial sont des hommes. Il n'y a aucune idéologie derrière, c'est factuel.

Maintenant on peut revenir à l'intérêt de l'enfant. Et pas aux tiens comme d'hab.

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Membre, 50ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 50ans‚
Posté(e)
Le 27/10/2021 à 21:31, Beebee a dit :

Que tu peux nous en faire des tartines idéologiques sur le sujet en te délectant de la description des sévices infligés par des femmes sur leurs victimes, mais ton lien est sans appel

https://www.leparisien.fr/archives/le-tabou-se-leve-sur-l-inceste-maternel-06-11-2014-4268607.php

95% des mis en cause dans les cas d'inceste intra-familial sont des hommes. Il n'y a aucune idéologie derrière, c'est factuel.

Maintenant on peut revenir à l'intérêt de l'enfant. Et pas aux tiens comme d'hab.

ton lien est sans appel

(pas le mien , celui de @Morfou... faut suivre et arrêter de dormir au fond de la classe près du radiateur...il va bientôt y avoir interro!!!).

 

Maintenant on peut revenir à l'intérêt de l'enfant. Et pas aux tiens comme d'hab.

Tu veux dire à l'intérêt du néoféminisme , à la diabolisation des hommes, c'est-à-dire à ton intérêt, tu veux dire?

 

 

 

 

Pour une fois, sors de ton idéologie sectaire, tente de penser en dehors du prisme de l'idéologie néoféministe, réponds à ces quelques questions en rapport avec et soulevées par le sujet:

 

 

0)Doit-on sur une simple allégation ( de la part d'une personne qui a tout à y gagner qui plus est), suspendre les droits parentaux ?

 

Autres questions en rapport avec ce sujet « accusations- déchéance des droits parentaux » :

1)     Est-il normal que père et mère soient traités de manière différente en justice familiale, notamment devant des allégations de maltraitance, que l’on accrédite davantage la parole de l’un suivant son sexe?

2)     Est-il normal que père et mère soient traités de manière différente en justice familiale, notamment devant des allégations de maltraitance, que l’on minimise davantage la maltraitance de l’un suivant le sexe ?

 

3)     Un parent (un père dans l’immense majorité des cas) doit-il, comme le suggère le sujet, être mis à l’écart de la vie de son enfant, voire être suspendu de ses droits parentaux, SANS PREUVE, sur simple allégation ?

4)     Ceci ne renforce-t-il pas le pouvoir de malveillance d’un parent qui peut ainsi écarter encore plus facilement que précédemment l’autre parent de la vie de son enfant utilisant cette « arme fatale » ?

5)     Le fait que de telles allégations soient par la suite infirmées ne devrait-il pas conduire à la déchéance des droits parentaux de celui qui a menti à dessein, au motif que cette allégation mensongère constitue elle-même une maltraitance à l’égard de l’enfant et de l’autre parent(le plus souvent, le père) ?

6)     Le fait que de telles allégations soient par la suite non confirmées ne devrait-il pas conduire à la déchéance des droits parentaux de celui qui a menti à dessein, au motif que cette allégation mensongère constitue elle-même une maltraitance à l’égard de l’enfant et de l’autre parent(le plus souvent, le père) ?

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 088 messages
108ans‚ ©,
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Protégeons les pères avant de protéger les enfants. Ben voyons.. :fool:

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Membre, 50ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 50ans‚
Posté(e)

 

 

Protégeons les pères avant de protéger les enfants. Ben voyons.:fool:

Qui a dit cela ? Pas moi, ou cite-moi...

Par contre, JE dis:

1) Protégeons les enfants des pères qui les maltraitent-vraiment ET des mères qui les maltraitent-vraiment.

Elles sont plus nombreuses- cf enfance en danger- et surtout beaucoup plus nombreuses à passer « entre les mailles du filet » pour le malheur des enfants.

C’est ce qui TE sied dans l’époque actuelle ?

2) Protégeons les enfants ET les pères des manipulatrices qui veulent écarter un enfant d’un bon père aimant, au détriment des deux…

 

…évitons donc de continuer et de poursuivre CE phénomène dommageable aux pères ET aux enfants :

..."C'est ainsi que les choses se passent : au début du divorce, l'un des parents va accuser à tort l'autre de violences sur sa personne et/ou celle de leurs enfants, et déclarer craindre de nouveaux abus. En fonction des pays et des juridictions, une simple déposition est parfois suffisante. Oubliez les droits de la défense, le témoignage d'un tiers ou des éléments de preuve ne sont pas nécessaires. À partir de là, la police va venir au domicile familial et demander au parent incriminé de quitter les lieux, parfois avec des mesures d'éloignement le privant de tout recours immédiat. Qu'importe ce qu'il ou elle a à dire pour sa défense, on lui enlèvera ses enfants pour des jours, des semaines, des mois. Parfois des années.

Englué au carrefour du droit de la famille et du droit pénal comme dans une fosse à bitume, le parent incriminé va vouloir se débattre et générer par la même occasion une hémorragie de frais juridiques sur deux fronts simultanés. Quand vous n'êtes pas millionnaire, cela signifie dormir sur le canapé d'amis et craindre la banqueroute. Risquer non seulement de perdre votre liberté, mais aussi votre foyer et vos enfants. Et se retrouver avec un casier judiciaire qui vous suivra jusqu'à la fin de votre vie. Rideau.

Pourquoi ces mensonges sont-ils une solution miracle ? Parce qu'ils marchent même lorsqu'ils échouent. Qu'importe que les accusations s'effondrent dans les semaines ou les mois qui suivent – ils faut simplement qu'elles tiennent assez longtemps pour asséner un coup suffisamment fort et vous offrir ainsi la victoire dans la Blitzkrieg du divorce.

Dans la salle des machines du divorce, cette arme fatale est un secret de Polichinelle. Certains avocats peu scrupuleux la recommandent même à leurs clients. Les fausses accusations peuvent être brandies par l'un ou l'autre des parents, mais vu la direction des vents culturels actuels, l'arme se retrouve le plus souvent dans les mains d'une femme. Si une telle affirmation peut sembler controversée, elle ne l'est pas aux yeux de bien des avocats spécialistes de ces questions"...

https://www.lepoint.fr/debats/fausses-accusations-de-maltraitances-conjugales-et-infantiles-l-arme-fatale-des-divorces-16-11-2019-2347785_2.php

 

 

3) Protégeons les enfants ET les pères d’une justice pro-mère.

L’égalité hommes-femmes n’est pas souhaitable là pour TOI ( comme par hasard) ?

4) Sanctionnons (enfin!) les parents manipulateurs qui utilisent la justice- qui semble ne pas y voir de souci dans de nombreux cas pour écarter l'autre parent de sont enfant au détriment de celui-ci en confiant notamment la garde au parent injustement accusé (le père dans l'immense majorité des cas).

 

En outre, évidemment, tu n’as répondu à rien (comme d’hab !).

 

 Je reviens sur le cas particulier que j’avais cité ( N-ième cas d’un père menacé de fausses déclarations de maltraitance et qui doit céder au diktat devant la réalité de « l’équité père-mère »)-tu n’as pas répondu , évidemment : dans le cas précis de la personne que j’ai citée, pour les tenants de ton lobby, c’est un père qui ne demande pas la garde et un couple qui est « d’accord sur le mode de garde »…Tant qu’on poursuivra avec cette justice-là, forcément, les manipulatrices auront toute latitude…

…à quand une justice qui tient davantage compte de l’enfant et non de ce que la mère veut pour l’enfant ( ce qu'elle veut qui, heureusement est « louable », dans la plupart des cas avec des mères non maltraitantes et non aliénantes, ouf !...mais et les autres cas?).

 

Donc pour TOI, c’est continuons de protéger les mères maltraitantes, les mères manipulatrices? C'est cela le "bon chemin"? C'est l'intérêt des enfants? C'est l'égalité hommes-femmes?

 

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 088 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Protégeons les enfants.  Qu'est ce que tu ne comprends pas dans ces trois mots ? A partir du moment où une enquête est ouverte, ou pire, une mise en examen est prononcée, jusqu'à l'issue il n'est plus question de droit de visite et d'hébergement. En revanche des visites encadrées devraient être prévues (mais c'est déjà comme ça). C'est ça : protéger l'enfant. 

Mais toi non, ça te gêne, donc CQFD : tu ne veux pas protéger les enfants

Des enfants sont absolument détruits parce-que des gens comme toi disent qu'ils doivent vivre ou visiter leur parent abuseur jusqu'à ce que ce soit prouvé qu'il est abuseur. 

Le réflexe, "la mère ou le père ment", "l'enfant ment", il faut y mettre fin. Ecoutez les enfants, protégez les enfants. 

Le coeur du sujet présent c'est ça : mettre fin à ce réflexe, pratiqué jusqu'au sein des commissariats de police et des gendarmeries, on voit l'affaire de l'appel enregistré qui vient de sortir, une honte. Une honte absolue. 

Du même acabit qu'une victime de viol à qui on demande "comment t'étais habillé(e) ? 

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Membre, 74ans Posté(e)
Morfou Membre 63 097 messages
Maitre des forums‚ 74ans‚
Posté(e)
Le 28/10/2021 à 10:11, January a dit :

Protégeons les enfants.  Qu'est ce que tu ne comprends pas dans ces trois mots ? A partir du moment où une enquête est ouverte, ou pire, une mise en examen est prononcée, jusqu'à l'issue il n'est plus question de droit de visite et d'hébergement. En revanche des visites encadrées devraient être prévues (mais c'est déjà comme ça). C'est ça : protéger l'enfant. 

Mais toi non, ça te gêne, donc CQFD : tu ne veux pas protéger les enfants

Des enfants sont absolument détruits parce-que des gens comme toi disent qu'ils doivent vivre ou visiter leur parent abuseur jusqu'à ce que ce soit prouvé qu'il est abuseur. 

Le réflexe, "la mère ou le père ment", "l'enfant ment", il faut y mettre fin. Ecoutez les enfants, protégez les enfants. 

Le coeur du sujet présent c'est ça : mettre fin à ce réflexe, pratiqué jusqu'au sein des commissariats de police et des gendarmeries, on voit l'affaire de l'appel enregistré qui vient de sortir, une honte. Une honte absolue. 

Du même acabit qu'une victime de viol à qui on demande "comment t'étais habillé(e) ? 

De psychologues aussi on dirait...sont pas toujours mieux!

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Membre, 132ans Posté(e)
soisig Membre 30 391 messages
132ans‚
Posté(e)

Je suis d'accord sur le principe, mais dans ce cas, que l'enfant soit confié à une tierce personne, le temps de l'enquête et pendant ce temps, que les deux parents puissent passer du temps avec leur enfant, dans des conditions de protection. Cette période permettrait d'établir la réalité des faits. Si le parents accusateur veut vraiment protéger son enfant, il acceptera la démarche. 

Le 27/10/2021 à 11:25, Mórrígan a dit :

Combien ? 

 

Cherche sur google si tu veux avoir un chiffre exact. 

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Membre, 50ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 50ans‚
Posté(e)

QUI A DIT CELA ? POURQUOI NE PAS ME REPONDRE ET VOULOIR ME FAIRE DIRE LE CONTRAIRE DE CE QUE J’AI DIT ??CITE-MOI (au lieu d’inventer…)

(Et pitié, stoppe avec ton "comment elle est habillée" à chaque topic...ai-je jamais dit qu'un accoutrement justifiait une agression?)

1)Je l’ai dit : je suis pour que l’on sanctionne encore plus durement les pères maltraitants, la déchéance de parentalité étant une mesure complémentaire.

2)Je suis pour que l’on sanctionne les mères maltraitantes, la déchéance de parentalité étant une mesure complémentaire pour protéger les enfants de celles-ci.

J’ai lu des témoignages de pères en réaction à des articles, précisant qu’on les avait renvoyés à leurs chères études quand ils avaient parlé de maltraitance subie par leurs enfants du fait de la mère…

3)Je suis pour que l’on sanctionne (enfin !) les déclarations mensongères faites dans le but d’écarter l’autre parent de la vie d’un enfant et que la déchéance de parentalité soit appliquée au parent ayant fait ces déclarations mensongères, car c’est un ACTE de VIOLENCE inouïe à l’égard de l’enfant (et de l’autre parent).

Quel est l' avis de chacun sur ce point ?

 

Je suis en outre très favorable à ce qu’évoquait @soisig : que l’enfant soit confié à une tierce personne (nous l’avions déjà évoqué sur un autre topic, t'en souviens-tu?), afin de ne pas avantager la personne qui accuse (tout le problème-revoir l’article du point « l’arme absolue »…), avant une enquête neutre à charge ET à décharge , avec sanctions et déchéance de parentalité à la clé en fonction de l’enquête et des preuves apportées…

 

Concernant l’article et la commission , on est là encore au niveau des Haut Commissariat à l’ (IN ?)égalité hommes-femmes , Secrétariat d’état à l’ (IN ?) égalité hommes-femmes…quel recrutement ? Quel discours !?C’est comme toujours : on n’y présente que les coupables hommes (aucune mention des femmes coupables), on tente d’y minimiser le problème qui est connexe au sujet : la protection de l’enfant et de l’autre parent des accusations mensongères et de l’instrumentalisation de la justice ... et  que dire du passage sur l’aliénation mentale parentale ( on croirait un « tract » noustoutes !)- il suffit de regarder le premier commentaire d’un lecteur du journal à ce propos(on peut en lire 4) . Bref, tout dans la neutralité, l’objectivité …à lire avec un sac à vomi à sa disposition.

Concernant les fausses déclarations, un débat intéressant de 2017 ( de la loi dont le lobby que TU défends a empêché le passage au vote !) dans lequel une avocate, Maître Perrine Wallois, avocate au barreau de Versailles (qui se dit « favorable » à la garde alternée  …mais contre son instauration en tant que système par défaut non obligatoire mais à n’invalider que de manière MOTIVEE- pour en venir enfin avec ce qui est le mieux pour les enfants, avancer vers la fin du sexisme anti-père et une justice pro-mère) évoque les fausses déclarations : c’est même l’un des deux seuls arguments qu’elle présente( avec un autre « à tirer par les cheveux sur les pères génés … ») : vers 25min40s:

…« j’ai peur qu’on multiplie les plaintes (ie de maltraitance, violence etc-évoquées précédemment par elle) ce qui serait pas du tout dans l’intérêt du papa »…

CECI EN DIT LONG SUR LA REALITE !

SOURCE (7 /8 Débat - Garde alternée : un bénéfice pour l'enfant ?)

 

 

 

 

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 14 034 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
Posté(e)
Le 27/10/2021 à 11:31, January a dit :

L'inverse peut être traumatisant aussi, c'est tellement complexe. Conflit de loyauté, culpabilité, etc. C'est aux professionnels de l'évaluer le mieux possible.. Je dirais que tous les cas sont particuliers, c'est un peu pour ça que je trouve gênant de trancher et de réduire à "une seule solution".  :mouai:

Ces mères ont le choix entre commettre un délit de non-représentation d’enfant ou bien un délit de non-assistance à personne en danger. Si les deux sont punis par la loi, le second semble bien plus lourd à endosser, ne serait-ce que du point de vue de sa conscience.
Face à un tel danger -présumé ou avéré- nombreuses sont celles qui choisissent de commettre un délit de non-représentation d’enfant, de protéger leur enfant, parce que la Justice reste sourde. 

Et ne serait-ce que pour entendre ce qu’est un pervers narcissique notamment, entendre que les violences psychologiques, physiques, sexuelles glissent (très souvent) vers l’enfant, puisqu’il ne lui est plus possible de maltraiter la mère de l’enfant, directement.
Des enfants violés et battus par leur père, leur sont toujours confiés. 

Les enquêtes ne durent ni toute l’enfance, et pas même toute une vie… qu’il s’agisse du père, de la mère, du maître d’école ou de la crémière, s’ils constituent ou s’ils sont suspectés être un danger pour l’enfant, il est logique de les en éloigner, au moins le temps de l’enquête, des enquêtes. C’est vraiment le minimum qui puisse être fait. 

À l’instar de la lutte contre les violences conjugales, si nous voulions vraiment éradiquer la pedocriminalité en France, nous y allouerions plus d’énergie et de fonds.
Force est de constater que ce ne sont toujours pas des priorités pour la France. 

Le 28/10/2021 à 11:15, soisig a dit :

Je suis d'accord sur le principe, mais dans ce cas, que l'enfant soit confié à une tierce personne, le temps de l'enquête et pendant ce temps, que les deux parents puissent passer du temps avec leur enfant, dans des conditions de protection. Cette période permettrait d'établir la réalité des faits. Si le parents accusateur veut vraiment protéger son enfant, il acceptera la démarche. 

Cherche sur google si tu veux avoir un chiffre exact. 

Pourquoi vouloir arracher l’enfant victime de pédocriminalité, au parent bienveillant et protecteur ? 

Aussi pratique que puisse être Google, il ne retranscrit pas avec exactitude les faits.
Parfois, les pédocriminels sont relaxés, avant d’être (enfin) sanctionnés des années plus tard… 

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Membre, #GauloisRéfractaire, Posté(e)
LulzLamo Membre 4 233 messages
#GauloisRéfractaire,
Posté(e)
Le 27/10/2021 à 11:19, Phylou a dit :

Et les mères abusives, pas de restriction pour elles?

Non et si tu la ramène de trop elle t'accuses et tu vois plus ton enfant.

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Membre, 132ans Posté(e)
soisig Membre 30 391 messages
132ans‚
Posté(e)
Le 05/11/2021 à 22:04, Mórrígan a dit :

 

Pourquoi vouloir arracher l’enfant victime de pédocriminalité, au parent bienveillant et protecteur ? 

 

Parce que le parent bienveillant et protecteur n'est peut être pas celui que l'on croit. C'est l'intérêt de l'enfant qui prime, si les deux parents aiment profondément leur enfant, ils accepteront cette séparation provisoire.

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 14 034 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
Posté(e)
Le 05/11/2021 à 22:11, LulzLamo a dit :

Non et si tu la ramène de trop elle t'accuses et tu vois plus ton enfant.

Sans avoir oublié, au préalable, de faire un collier de perles avec vos roustons.
Quelle méchanceté méchante ! 

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Le 06/11/2021 à 07:41, soisig a dit :

Parce que le parent bienveillant et protecteur n'est peut être pas celui que l'on croit. C'est l'intérêt de l'enfant qui prime, si les deux parents aiment profondément leur enfant, ils accepteront cette séparation provisoire.

La Civiise rappelle que les dénonciations calomnieuses sont insignifiantes. Malgré cela, subsiste toujours une présomption de culpabilité à l’endroit du parent protecteur. En l’occurence des mères, suspectées systématiquement de mal digérer une séparation ou un divorce -qu’elles initient souvent pourtant- et d’instrumentaliser alors l’enfant, pour se venger. 

« Le risque n’est pas d’inventer des violences mais de ne pas protéger des victimes, note la Ciivise, qui appelle à « croire l’enfant » et relève que « les études scientifiques montrent que les fausses dénonciations de maltraitance sont marginales dans un contexte de séparation parentale ».

Chaque année, 22 000 enfants subissent des violences sexuelles de la part de leur père, selon la Ciivise. Pourtant en 2020, seules 1 697 personnes ont été poursuivies pour viol incestueux sur mineur ou agression sexuelles sur mineur ».

Le syndrome d’aliénation parentale, introduit par un psychiatre américain, qui vantait aussi bien la pedocriminalité, que la zoophilie, a connu un succès notable avant d’être finalement proscrit en 2018. Ce pseudo concept psychiatrique a tout de même bien gangréné les cours, et continue d’alimenter négativement l’inconscient collectif. Il est toujours mis en avant, pire, brandi par des associations masculinistes (SOS papa notamment). 

« La « suspicion systématique » des professionnels à l’égard des mères est un « obstacle majeur » à la protection des enfants victimes, selon la Commission Inceste. Elle « appelle l’ensemble des professionnels à proscrire le recours au pseudo + syndrome d’aliénation parentale + », un concept non scientifique et controversé, qui prétend que la mère manipule l’enfant pour qu’il refuse de voir l’autre parent. »


Au sujet de la proscription du « syndrome d’aliénation parentale »

 https://www.village-justice.com/articles/Expertises-Judiciaires-recours-SAP-Syndrome-Alienation-Parentale-proscrit-tant,23689.html

J’en ai déjà fait mention sur un sujet qui a trait au masculinisme. Il me semble que ce sujet, vous l’avez initié.

Il y a tellement d’injustice et nous sommes souvent si peu informé(e)s. 

 

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Membre, 50ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 50ans‚
Posté(e)
Le 06/11/2021 à 19:53, Mórrígan a dit :

Sans avoir oublié, au préalable, de faire un collier de perles avec vos roustons.
Quelle méchanceté méchante ! 

 

 

Que dire ? Vous êtes à vomir!

Et évidemment dans le sujet...Il est vrai que vous faites partie de celles qui ont tous les droits ici...

Que dire pour se mettre à votre niveau ? Qu’on pourrait associer à ce collier un pendentif avec votre clito et les lèvres de votre moule nauséabonde qui vous sert de cerveau, de vos ovaires inutiles ? Cela permettrait, à la vue de ce pendentif, de rappeler  la "neutralité" légendaire de vos propos, votre misandrie, la haine des hommes que vous professez sans cesse, votre bienveillance envers toutes les actions immondes à condition qu'elles soient commises par des femmes sur des hommes et/ou des enfants.

Vous vous contentez de "recracher" des propos orientés (correspondant à votre propre vile orientation) d'autres. Répondre aux questions soulevées est, comme d'habitude, trop vous demander.

Le sort des enfants est trop important pour ne le laisser décider que par des personnes sectaires telles que vous, vous qui êtes là, comme toujours,  pour « taper » sur les hommes, coupables ou innocents, montrer votre bienveillance envers les femmes, coupables ou innocentes.

Protéger les enfants implique que l’on sanctionne encore plus durement les pères maltraitants ET les mères maltraitantes, la déchéance de parentalité étant une mesure complémentaire…ET protéger les enfants implique que l’on sanctionne (enfin !) les déclarations mensongères faites par un parent dans le but d’écarter l’autre parent de la vie d’un enfant, que la déchéance de parentalité soit appliquée au parent ayant fait ces déclarations mensongères, car ceci constitue un ACTE de VIOLENCE inouïe à l’égard de l’enfant (et de l’autre parent). Et, en effet, pour prévenir davantage cette violence qui consiste à vouloir éloigner un enfant d’un bon parent au moyen de déclarations mensongères, confier l’enfant en attendant les résultats d’une enquête neutre, à charge et à décharge, est une bonne idée.

Enfin, pour  tordre le coup à la propagande néoféministe concernant « l’inexistence » des accusations mensongères proférées pour écarter un bon père de la vie de son enfant, voici un reportage EDIFIANT ( QU’IL FAUDRAIT MONTRER  A TOUS LES JEUNES HOMMES NOTAMMENT) de « special investigation » intitulé « séparation, bassesses, divorces, coups vicieux » qui traite, entre autres (en plus des méthodes de certaines "avocates féministes"-je cite, à 28 min 40 sec et d’autres bassesses précédemment), de cette ignominie, de cette violence inouïe consistant à proférer de fausses accusations pour écarter un parent de la vie de son enfant:

 

 

 

 

 

…à 33min00sec, on y découvre Olivier,  accusé de violence conjugale   puis innocenté,  dont l’ex n’est pas sanctionnée, conserve la garde principale, qui ne peut voir sa fille qu’ 1 jour par mois (puis une sem) en parcourant 500 km, qui doit se prémunir de nouvelles fausses accusations de  la mère(il doit venir avec amie, ne jamais être seul avec la personne qui représente plus que sa vie)  aucunement sanctionnée  et qui tente de  récidiver…un déni de justice...Le cas évoqué à 26min 20sec est lui aussi très évocateur ( d'une femme qui veut piéger son mari pour l' écarter de la vie de ses enfants)...

…ensuite et surtout, des accusations mensongères d’INCESTE à l’encontre de Dominique Marion (et de certains autres pères) qui, pour certains, s’en sont parfois sortis au bout de plusieurs années, avec chance, médiatisation, pugnacité, énormes frais d’avocat etc… pour combien d’autres qui n’ont plus revu leur enfant ?combien de suicides et combien d’enfants malheureux ?…et de mères JAMAIS sanctionnées ?

Un documentaire EDIFIANT et des éléments à conserver pour l’histoire, pour témoigner de ce que les enfants et les pères subissent depuis des décennies.

…à 33min00sec, on y découvre Olivier,  accusé de violence conjugale   puis innocenté,  dont l’ex n’est pas sanctionnée, conserve la garde principale, qui ne peut voir sa fille qu’ 1 jour par mois (puis une sem) en parcourant 500 km, qui doit se prémunir de nouvelles fausses accusations de  la mère(il doit venir avec amie, ne jamais être seul avec la personne qui représente plus que sa vie)  aucunement sanctionnée  et qui tente de  récidiver…un déni de justice...Le cas évoqué à 26min 30sec est EDIFIANT lui-aussi...

…ensuite et surtout, des accusations mensongères d’INCESTE à l’encontre de Dominique Marion (et de certains autres pères) qui, pour certains, s’en sont parfois sortis au bout de plusieurs années, avec chance, médiatisation, pugnacité, énormes frais d’avocat etc… pour combien d’autres qui n’ont plus revu leur enfant ?combien de suicides et combien d’enfants malheureux ?…et de mères JAMAIS sanctionnées ?

Un documentaire EDIFIANT et des éléments à conserver pour l’histoire, pour témoigner de ce que les enfants et les pères subissent depuis des décennies.

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 14 034 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
Posté(e)
Le 08/11/2021 à 20:27, MarcThor a dit :

 

Que dire ? Vous êtes à vomir!

Et évidemment dans le sujet...Il est vrai que vous faites partie de celles qui ont tous les droits ici...

Que dire pour se mettre à votre niveau ? Qu’on pourrait associer à ce collier un pendentif avec votre clito et les lèvres de votre moule nauséabonde qui vous sert de cerveau, de vos ovaires inutiles ? Cela permettrait, à la vue de ce pendentif, de rappeler  la "neutralité" légendaire de vos propos, votre misandrie, la haine des hommes que vous professez sans cesse, votre bienveillance envers toutes les actions immondes à condition qu'elles soient commises par des femmes sur des hommes et/ou des enfants.

Vous vous contentez de "recracher" des propos orientés (correspondant à votre propre vile orientation) d'autres. Répondre aux questions soulevées est, comme d'habitude, trop vous demander.

Le sort des enfants est trop important pour ne le laisser décider que par des personnes sectaires telles que vous, vous qui êtes là, comme toujours,  pour « taper » sur les hommes, coupables ou innocents, montrer votre bienveillance envers les femmes, coupables ou innocentes.

Protéger les enfants implique que l’on sanctionne encore plus durement les pères maltraitants ET les mères maltraitantes, la déchéance de parentalité étant une mesure complémentaire…ET protéger les enfants implique que l’on sanctionne (enfin !) les déclarations mensongères faites par un parent dans le but d’écarter l’autre parent de la vie d’un enfant, que la déchéance de parentalité soit appliquée au parent ayant fait ces déclarations mensongères, car ceci constitue un ACTE de VIOLENCE inouïe à l’égard de l’enfant (et de l’autre parent). Et, en effet, pour prévenir davantage cette violence qui consiste à vouloir éloigner un enfant d’un bon parent au moyen de déclarations mensongères, confier l’enfant en attendant les résultats d’une enquête neutre, à charge et à décharge, est une bonne idée.

Enfin, pour  tordre le coup à la propagande néoféministe concernant « l’inexistence » des accusations mensongères proférées pour écarter un bon père de la vie de son enfant, voici un reportage EDIFIANT ( QU’IL FAUDRAIT MONTRER  A TOUS LES JEUNES HOMMES NOTAMMENT) de « special investigation » intitulé « séparation, bassesses, divorces, coups vicieux » qui traite, entre autres (en plus des méthodes de certaines "avocates féministes"-je cite, à 28 min 40 sec et d’autres bassesses précédemment), de cette ignominie, de cette violence inouïe consistant à proférer de fausses accusations pour écarter un parent de la vie de son enfant:

 

 

 

 

 

…à 33min00sec, on y découvre Olivier,  accusé de violence conjugale   puis innocenté,  dont l’ex n’est pas sanctionnée, conserve la garde principale, qui ne peut voir sa fille qu’ 1 jour par mois (puis une sem) en parcourant 500 km, qui doit se prémunir de nouvelles fausses accusations de  la mère(il doit venir avec amie, ne jamais être seul avec la personne qui représente plus que sa vie)  aucunement sanctionnée  et qui tente de  récidiver…un déni de justice...Le cas évoqué à 26min 20sec est lui aussi très évocateur ( d'une femme qui veut piéger son mari pour l' écarter de la vie de ses enfants)...

…ensuite et surtout, des accusations mensongères d’INCESTE à l’encontre de Dominique Marion (et de certains autres pères) qui, pour certains, s’en sont parfois sortis au bout de plusieurs années, avec chance, médiatisation, pugnacité, énormes frais d’avocat etc… pour combien d’autres qui n’ont plus revu leur enfant ?combien de suicides et combien d’enfants malheureux ?…et de mères JAMAIS sanctionnées ?

Un documentaire EDIFIANT et des éléments à conserver pour l’histoire, pour témoigner de ce que les enfants et les pères subissent depuis des décennies.

…à 33min00sec, on y découvre Olivier,  accusé de violence conjugale   puis innocenté,  dont l’ex n’est pas sanctionnée, conserve la garde principale, qui ne peut voir sa fille qu’ 1 jour par mois (puis une sem) en parcourant 500 km, qui doit se prémunir de nouvelles fausses accusations de  la mère(il doit venir avec amie, ne jamais être seul avec la personne qui représente plus que sa vie)  aucunement sanctionnée  et qui tente de  récidiver…un déni de justice...Le cas évoqué à 26min 30sec est EDIFIANT lui-aussi...

…ensuite et surtout, des accusations mensongères d’INCESTE à l’encontre de Dominique Marion (et de certains autres pères) qui, pour certains, s’en sont parfois sortis au bout de plusieurs années, avec chance, médiatisation, pugnacité, énormes frais d’avocat etc… pour combien d’autres qui n’ont plus revu leur enfant ?combien de suicides et combien d’enfants malheureux ?…et de mères JAMAIS sanctionnées ?

Un documentaire EDIFIANT et des éléments à conserver pour l’histoire, pour témoigner de ce que les enfants et les pères subissent depuis des décennies.

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Vous en ferez ce que vous voulez.

NB : merci de vouloir bien faire usage de votre propagande masculiniste avec vos pairs. 

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