Vos raisons pour rester vivants ?

Imaginez que vous soyez au bord du suicide, et que vous tentiez de vous raccrocher à l'existence : quelles seraient les raisons qui vous pousseraient à rester en vie ?

Ou alors, imaginez que vous deviez convaincre un assassin de ne pas vous éradiquer : qu'est-ce que vous rajouteriez après "pitié" pour le convaincre ?

Mes deux enfants qui sont trop jeunes.

Compter tout ce que vous avez. Et comprendre: "there's no way out". (Tu va revenir)

Il me reste tant à lire...

il y a une heure, Tequila Moor a dit :

Imaginez que vous soyez au bord du suicide, et que vous tentiez de vous raccrocher à l'existence : quelles seraient les raisons qui vous pousseraient à rester en vie ?

Ou alors, imaginez que vous deviez convaincre un assassin de ne pas vous éradiquer : qu'est-ce que vous rajouteriez après "pitié" pour le convaincre ?

Et toi ? C est quoi tes raisons ?

il y a une heure, Tequila Moor a dit :

n de ne pas vous éradiquer : qu'est-ce que vous rajouteriez après "pitié" pour le convaincre ?

              J'essaie de le fûmer en premier!

à l’instant, Yemaia a dit :

Et toi ? C est quoi tes raisons ?

La lâcheté.

Mais ça ne marche que pour le suicide (quoique ce serait une réponse intéressante à donner à un assassin) puis c'est probablement en train de disparaître.

il y a 3 minutes, Tequila Moor a dit :

La lâcheté.

Mais ça ne marche que pour le suicide (quoique ce serait une réponse intéressante à donner à un assassin) puis c'est probablement en train de disparaître.

 

Qu est ce qui disparaît ?

il y a 1 minute, Yemaia a dit :

Qu est ce qui disparaît ?

La lâcheté. Tout du moins je le pense, mes peurs n'étant plus aussi prégnantes qu'auparavant. Qui vivra verra.

il y a 3 minutes, Tequila Moor a dit :

Qui vivra verra.

Excellente raison...

il y a 2 minutes, Henri. a dit :

Excellente raison...

Non, c'est un résultat.

il y a une heure, Tequila Moor a dit :

- imaginez que vous soyez au bord du suicide, et que vous tentiez de vous raccrocher à l'existence : quelles seraient les raisons qui vous pousseraient à rester en vie ?

- Ou alors, imaginez que vous deviez convaincre un assassin de ne pas vous éradiquer : qu'est-ce que vous rajouteriez après "pitié" pour le convaincre ?

- la peur de la douleur physique avant de mourir. 

- je lui proposerai un marché lui disant que je suis déjà tenté par le suicide : s'il accepte de me tirer une balle dans la tête pour que je meurs en un coup, je lui ferai une part d'héritage dans mon testament.

La lâcheté aussi et ce/ceux que je laisserais derrière .

il y a 10 minutes, Tequila Moor a dit :

Non, c'est un résultat.

Vivre, oui. Pour voir, il faut attendre...

à l’instant, Henri. a dit :

Vivre, oui. Pour voir, il faut attendre...

C'est une anticipation téléologique, donc un résultat. Il n'y a que pour quelqu'un voulant piéger ou se laisser piéger par la rhétorique que cela pourrait être considéré comme une raison.

Mourir, ça fait mal et je suis très douillette...

Pitié...Qui va nourrir le chat qui est resté enfermé à la maison?

Il y a 1 heure, Tequila Moor a dit :

Imaginez que vous soyez au bord du suicide, et que vous tentiez de vous raccrocher à l'existence : quelles seraient les raisons qui vous pousseraient à rester en vie ?

Ou alors, imaginez que vous deviez convaincre un assassin de ne pas vous éradiquer : qu'est-ce que vous rajouteriez après "pitié" pour le convaincre ?

Tu ne peux pas comparer les deux situations. La première est que tant qu'il peut encore rester des raisons de vivre, tu ne te suicides pas. Ceux qui en arrivent la estiment que la mort vaut mieux que la vie.

L'assassin, c'est un tout autre cas, s'il a décidé de te dégommer, tu ne pourras pas l'en empêcher, quoi que tu dises, car vouloir tuer un autre, prouve que tu n'as aucune estime de la valeur de la vie, et donc des sentiments de l'autre.

à l’instant, soisig a dit :

Tu ne peux pas comparer les deux situations. La première est que tant qu'il peut encore rester des raisons de vivre, tu ne te suicides pas. Ceux qui en arrivent la estime que la mort vaut mieux que la vie.

L'assassin, c'est un tout autre cas, s'il a décidé de te dégommer, tu ne pourras pas l'en empêcher, quoi que tu dises, car vouloir tu un autre, prouve que tu n'as aucune estime de la valeur de la vie, et donc des sentiments de l'autre.

Je n'ai pas comparé les 2 situations. J'ai proposé 2 scénarios à imaginer, que je crois à même de faire ressortir chez chacun leurs raisons profondes pour rester vivants.

La véritable ressemblance entre les 2 situations est la spontanéité qu'elle suppose, qui doit nous permettre d'exprimer ce en quoi l'on tient le plus pour s'accrocher à la vie.

Mais on peut tout à fait répondre différemment aux 2 questions, comme on peut ne rien avoir à y répondre.

il y a 14 minutes, Tequila Moor a dit :

C'est une anticipation téléologique, donc un résultat. Il n'y a que pour quelqu'un voulant piéger ou se laisser piéger par la rhétorique que cela pourrait être considéré comme une raison.

La téléologie étant l'étude des finalités, donc des résultats, leur anticipation est un non-sens dans l'expression "qui vivra verra", qui en souligne justement la totale ignorance. Voir est une excellente raison de vivre. Pas de piège réthorique ici, sauf pour qui veut en voir un. Je ne cherche ni à piéger, ni à avoir raison, juste à expliciter ma réponse...

il y a 2 minutes, Henri. a dit :

La téléologie étant l'étude des finalités, donc des résultats, leur anticipation est un non-sens dans l'expression "qui vivra verra", qui en souligne justement la totale ignorance. Voir est une excellente raison de vivre. Pas de piège réthorique ici, sauf pour qui veut en voir un. Je ne cherche ni à piéger, ni à avoir raison, juste à expliciter ma réponse...

Si c'est TA réponse, alors tout va bien. Car l'espace d'un instant, j'ai cru que tu voulais me convaincre de la justesse de ce que j'avais dit en passant, et qui n'est pour moi nullement une raison... Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, donc.