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Invité JOSEPH DELETRE

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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à l’instant, JOSEPH DELETRE a dit :

Dès lors que toute chose existante est sujet du verbe substantif, sans lequel rien ne saurait être défini, alors il ne saurait y avoir de concept plus fondamental qu'être, telle que la récursivité de l'essence de ce qui est le démontre, faisant ainsi de l'existence un concept secondaire.

Il faut donc nécessairement être en premier lieu pour pouvoir exister.

C'est tout le problème 

Être sujet du verbe substantif, c'est une structure grammaticale de convenance appartenant à la structure du langage.

Comme l'oeuf ou la poule, faut il un verbe pour définir le nom associé ou le nom mis en dynamique conduit il au verbe ?

Marcher et marche ne relève pas d'une différence de nature.

La marche mise en dynamique implique de marcher et le fait de marcher implique qu'il faille définir la marche.

Cette dualité de nature entre un verbe et son substantif est une séparation de convenance et du reste, la structure grammaticale de l'anglais par exemple introduit d'autres subtilités dans ce rapport du sujet mis en dynamique dans le temps par exemple sous sa forme progressive 

Mais notre perception du temps et sa domestication grammaticale...n'est pas le temps.

Un des problèmes de la philosophie est d'aimer la langue pour la maîtrise de ses pièges qui finissent par être ceux qu'on a soi même posé.

Comme je le disais, penser le monde en langage structure le monde dans sa langue.

Vous pensez grammaire et construction de convenance 

Mais cette dichotomie ne résiste pas à l'analyse 

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

Dès lors que toute chose existante est sujet du verbe substantif, sans lequel rien ne saurait être défini, alors il n'y a aucun problème d'antécédence, puisque l'essence de l'existence est ce qu'elle est, tandis que l'essence de ce qui est - est - récursive en l'absence de concept plus fondamental qu'être.

Le langage, issu de la pensée, est donc logiquement conforme à la vérité de ce qui est toujours par soi, pour n'avoir d'autre cause que soi.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Le langage est ... presque ... cohérent, presque.

Accordons lui les caractéristiques d'être totalement logique et totalement cohérent, donc d'être dans l'incapacité de dire une chose et son contraire 

Et admettons qu'ici, c'est de la science fiction tant les représentations philosophiques exprimées par le langage aboutissent à des philosophies totalement contradictoires entre elles...

Mais admettons que le langage soit ET logique ET totalement cohérent 

Alors...

Tout système complexe et cohérent logiquement contenant a minima l'arithmétique de robinson est incomplet

Ce formidable théorème logique de Gödel dit d'incomplétude aboutit au fait que Certaines vérités restent hors de portée d'une construction logique y ccompris celles aussi complexes que le langage

Votre conception aboutit a echec et mat

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
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Il ne saurait donc y avoir de concept plus fondamental qu'être en raison même de la récursivité de l'essence de ce qui est.

Sans quoi il s'agirait de remettre en cause l'essence elle-même dans une quête du néant absolu déguisée en existentialisme affirmant le primat de l'existence sur l'être pour n'être plus à son insu.

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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à l’instant, JOSEPH DELETRE a dit :

Il ne saurait donc y avoir de concept plus fondamental qu'être en raison même de la récursivité de l'essence de ce qui est.

Sans quoi il s'agirait de remettre en cause l'essence elle-même dans une quête du néant absolu déguisée en existentialisme affirmant le primat de l'existence sur l'être pour n'être plus à son insu.

Si être, c'est physiquement occuper une position dans l'espace, avoir une vitesse et déboucher sur le concept de trajectoire alors un champ quantique ou une particule quantique n'est pas.

Pourtant les champs quantique sont expérimentalement plus fondamentaux que la matière qui en est issue.

Le temps, l'espace lui-même comme pre requis de l'existence, de l'être dans sa dynamique temporelle ne sont pas fondamentaux.

En fait, tous les fondements du langage concernant l'existence, l'être et le néant sont chimériques 

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Il faut distinguer le fait d'être par soi: ressentir et se déterminer librement.

Du fait d'exister: avoir un corps.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 5 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Il faut distinguer le fait d'être par soi: ressentir et se déterminer librement.

Du fait d'exister : avoir un corps.

On en revient aux limites du langage.

L'attribut être est ainsi réservé pour vous à une partie du vivant même s'il m'est plutôt difficile à lecture de savoir si une plante, un arbre, une bactérie, un cochon domestique, un handicapé mental, un "vieux" fortement dépendants puissent encore être qualifiés d'êtres.

Par ailleurs, un atome, une plante, un arbre, un rocher, l'espace, le temps n'ont pas de corps donc pas d'existence, ils n'existent donc pas a priori.

La plupart des philosophes se reattribuent le langage, ils l'éclairent en tout cas par une certaine application en redéfinissant le contour des mots dans un système global qui finit par avoir une certaine cohérence, la plupart des oeuvres nécessite de comprendre ces définitions et ce système 

J'avoue ne pas y parvenir a votre lecture mais sans doute ne suis je pas câblé pour ça il est certain que notre construction diffère.

Je lis des juxtapositions de mots sans que l'ensemble ne permet de les eclairer les uns par rapport aux autres, le contexte éclairant le paysage 

Ceci étant on est dans votre philosophie ou les mots finalement devraient avoir un sens présumé universel à eux seuls, un sens en soi donc une liberté et une indépendance d'emploi avec un ensemble plus vaste sans lequel ils ne seraient rien.

être et exister pour moi ne signifient rien en soi, hors contexte compte tenu de leur énorme polysémie.

Et votre explication m'éclaire insuffisamment 

Ces 2 mots ont une littérature complète pour leur donner sens et la présence d'un corps n'a jamais été un attribut qui m'ait sauté aux yeux pour définir l'existence par exemple 

Bref je m'accroche comme je peux

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Par corps, il faut entendre extension spatiale.

 

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 2 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Par corps, il faut entendre extension spatiale.

 

Du coup, si exister nécessite une extension spatiale, doit on conclure que cette simple pensée n’existe pas ?

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Certaines choses n'existent pas. Elles sont.

A commencer par le sentiment du fait qu'il ne puisse être spatialisé.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 17 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Certaines choses n'existent pas. Elles sont.

A commencer par le sentiment du fait qu'il ne puisse être spatialisé.

Il me semble donc que, dans votre conception, les sentiments, les idées, les concepts relèvent exclusivement du domaine de l’être, ce qu’on pourrait rapprocher du concept antique de l’essence

Et un peu à l’instar du monde parfait des idées de Platon

Alors que leur manifestation physique définie par "ayant une extension spatiale" relèverait quant à elle de l’existence

Est-ce que je me trompe dans ma compréhension ? 

Est-ce que je me trompe dans cette représentation 

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Dès lors que le vrai est conforme à la vérité par définition, alors il ne saurait y avoir de vrai sans vérité préalable à laquelle il faille être conforme en toute logique.

En conséquence, sans vérité, point de vrai possible.

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 9 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Dès lors que le vrai est conforme à la vérité par définition, alors il ne saurait y avoir de vrai sans vérité préalable à laquelle il faille être conforme en toute logique.

En conséquence, sans vérité, point de vrai possible.

Disons qu'on peut admettre qu'une philosophie dessine ou redessine les contours du langage par convention où pour appuyer une spécificité, une particularité 

Admettons que la grande Vérité se tienne là quelque part et d'où émanerait "le vrai".

Pourquoi pas ?

Mais où celà mène ce postulat ?

Il faudrait que vous poussiez bien plus loin la présentation de cet espace éthéré où se cache la grande vérité et quels sont ses liens avec le "vrai"

Le vrai nous serait il accessible quand la Grande Vérité serait la réalité fondamentale 

Un copier coller de Platon ?

Vous énoncez vos définitions comme une grande vérité, comme un dogme, comme un mantra, une prière presque.

Mais en philosophes curieux, nous ne voyons pas où ce postulat conduit.

Le vrai émane de la vérité quand l'ensemble du vrai n'est pas nécessaire à la Vérité 

Doit on mettre ce verset dans un livre saint ?

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
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Posté(e)

Si le langage est défaillant, alors la pensée l'est aussi du fait qu'il en soit l'émanation.

Dans ce cas, plus rien ne pourrait être soutenu, pas même la défaillance du langage, en cela que les mots n'auraient plus de sens admis.

Dans ce cas, aucun raisonnement ne serait possible du fait que toute pensée relèverait d'une faculté défaillante incapable de comprendre.

Par conséquent, la remise en cause du langage dessert en premier lieu les tenants d'une telle posture qui détruisent ainsi leurs propres arguments de manière lamentable.

Pour tenter de défaire toute vérité et finir par être sans raison, dans tous les sens du terme, se rendant ainsi inutiles à eux mêmes dès lors que le sujet conscient doive nécessairement comprendre sa propre condition.

Or, se rendre inutile à soi, c'est se soumettre à la contingence.

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Membre, 58ans Posté(e)
azed1967 Membre 4 597 messages
Forumeur expérimenté‚ 58ans‚
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il y a 25 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Si le langage est défaillant, alors la pensée l'est aussi du fait qu'il en soit l'émanation.

Dans ce cas, plus rien ne pourrait être soutenu, pas même la défaillance du langage, en cela que les mots n'auraient plus de sens admis.

Dans ce cas, aucun raisonnement ne serait possible du fait que toute pensée relèverait d'une faculté défaillante incapable de comprendre.

Par conséquent, la remise en cause du langage dessert en premier lieu les tenants d'une telle posture qui détruisent ainsi leurs propres arguments de manière lamentable.

Pour tenter de défaire toute vérité et finir par être sans raison, dans tous les sens du terme, se rendant ainsi inutiles à eux mêmes dès lors que le sujet conscient doive nécessairement comprendre sa propre condition.

Or, se rendre inutile à soi, c'est se soumettre à la contingence.

ah bon ????

il y a des muets qui ont une belle pensée.

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
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Le nihilisme ne serait donc rien sans une vérité préalable à détruire, consacrant ainsi la vanité de cette première doctrine, vouée à l'échec dans l’œuf.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 3 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Si le langage est défaillant, alors la pensée l'est aussi du fait qu'il en soit l'émanation.

Dans ce cas, plus rien ne pourrait être soutenu, pas même la défaillance du langage, en cela que les mots n'auraient plus de sens admis.

Dans ce cas, aucun raisonnement ne serait possible du fait que toute pensée relèverait d'une faculté défaillante incapable de comprendre.

Par conséquent, la remise en cause du langage dessert en premier lieu les tenants d'une telle posture qui détruisent ainsi leurs propres arguments de manière lamentable.

Pour tenter de défaire toute vérité et finir par être sans raison, dans tous les sens du terme, se rendant ainsi inutiles à eux mêmes dès lors que le sujet conscient doive nécessairement comprendre sa propre condition.

Or, se rendre inutile à soi, c'est se soumettre à la contingence.

Disons que le langage est nécessaire puisqu’en effet il formalise notre pensée, il met le concept à notre portée 

Je suis un ardent défenseur du langage et quand je m’approprie l’idée qu’il est la cage de notre esprit, j’invite et à le développer tout en gardant l’esprit critique et à préserver l’esprit critique et la réserve liés notamment à sa polysémie mais aussi pour des raisons beaucoup plus profondes 

Mais comme le pensait Bergson, le langage comme structure intermédiaire entre la nature et notre entendement sert il fidèlement le monde en soi où le monde en soi est il torturé, mis au pas par nos concepts humanisés via les mots, la grammaire, la structure des phrases...

Par exemple, galilée en faisant le pari métaphysique que le langage de la nature est mathématique nous a doté d’outils de compréhension que la langue ne parvenait pas à saisir et n’aurait en aucun cas pu saisir même si elle nous traduit en mots les généralités et le sens général 

 

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
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Il faut donc admettre qu'il n'y ait d'autre concept plus fondamental qu'être en raison de la récursivité de l'essence de ce qui est.

Faisant ainsi de ce qui existe, un concept secondaire pour la pensée.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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Il y a 3 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Il faut donc admettre qu'il n'y ait d'autre concept plus fondamental qu'être en raison de la récursivité de l'essence de ce qui est.

Faisant ainsi de ce qui existe, un concept secondaire pour la pensée.

Et pourquoi donc ?

Être est une simple convenance tirée du latin populaire "essere” ou du latin classique "esse" qui, comme la racine grecque est tirée d’une racine indo européenne "es" 

En soi, exister comme être recoupent tellement de notions que ce sont des mots totems qui n’ont aucune définition précise ni lien convaincant, au point qu’être et exister sont souvent considérés synonymes 

Je n’aime pas heidegger mais il a le mérite non seulement d’avoir réalisé une fort belle étude étymologique faisant ressortir les éventuelles nuances mais de les préciser de manière rigoureuse

Ek-sistence, être, étant, étantité, essence, advenir, avoir à être, dasein, déloignement, différence ontologique, étant là devant, être accordé, être vers la mort, être au monde, être en propre, être été etc etc etc sont des notions longuement explicitées et reliées pour établir un système philosophique précis cohérent et explicite

Mais proclamer que l’être est premier et l’existence second parce que ces 2 mots sont dans le dictionnaire sans définir les contours, c’est davantage de la religion que de la philosophie

Une religion primaire pour le coup sans exégèse possible.

Faites un lexique, détaillez, explicitez...

Attention je ne parle pas de superposer des mots comme vos emplois abusifs en physique mais d’élaborer un véritable système de pensée 

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

Dans ce cas, plus rien ne peut être soutenu si les mots n'ont plus de sens.

A commencer par le nihilisme qui s'autodétruirait en remettant en cause la vérité dont il dépend.

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