La santé est-elle une valeur supérieure a la liberté ?

il y a 45 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Je trouve terrifiante cette idée de vouloir "sauver" à tout prix. Qu'est-ce qui légitime ce désir forcené d'imposer une vie dont quelqu'un ne veut plus ? Quelles sont ces "valeurs" qui passent outre l'autre pour décider à sa place ?

C'est ridicule. Tu trouves donc la civilisation et l'humanité terrifiantes ? Il suffit d'analyser un peu les choses pour comprendre que ce sont des enjeux omniprésents. Je n'ai fait que te décrire l'état actuel de la loi. Si la vie n'est plus une valeur plus rien n'en est une. Tu ne peux pas décider le fait qu'un être humain ne veut jamais mourir : c'est notre nature profonde qui implique de lutter pour la vie, et ceux qui se suicident ne veulent que cesser de souffrir. J'ai bien conscience qu'avoir des valeurs aujourd'hui c'est terrifiant aux yeux de la majorité qui n'en a plus.

il y a 7 minutes, hanss a dit :

Quand tu n’es pas en bonne santé tu n’as aucune liberté . 

Tout dépend de ce qu’on entend par liberté.
On peut se sentir libre même en étant physiquement entravé. 
( là dessus je rejoins complètement @Mite_Railleuse) 

il y a 1 minute, Quasi-Modo a dit :

C'est ridicule.

L'échange se termine donc.

il y a 2 minutes, Mite_Railleuse a dit :

L'échange se termine donc.

Et bien bonne journée, je trouve que tu te braques bien vite quand je te fais juste remarquer que tout va dans ce sens là depuis l'aube de l'humanité et que c'est même le fondement de la civilisation humaine. Et tu trouves cela terrifiant. Moi c'est ton propos qui, si je le prenais au premier degré, me terrifierait.

il y a 2 minutes, Quasi-Modo a dit :

Et bien bonne journée, je trouve que tu te braques bien vite quand je te fais juste remarquer que tout va dans ce sens là depuis l'aube de l'humanité et que c'est même le fondement de la civilisation humaine. Et tu trouves cela terrifiant. Moi c'est ton propos qui, si je le prenais au premier degré, me terrifierait.

Je ne cherche à convaincre personne, je dis ce que je pense. Et je ne fais que poser des questions. Si on me rétorque que ce que je pense est "ridicule", de fait la discussion devient stérile. A quoi bon la poursuivre ?

il y a 1 minute, Mite_Railleuse a dit :

Je ne cherche à convaincre personne, je dis ce que je pense. Et je ne fais que poser des questions. Si on me rétorque que ce que je pense est "ridicule", de fait la discussion devient stérile. A quoi bon la poursuivre ?

Je ne suis pas particulièrement non plus dans une démarche visant à convaincre, j'énonce surtout des poncifs qui semblent échapper à la plupart de mes contemporains, et des forumeurs, et j'observe l'oeil rieur que beaucoup ont oublié des choses pourtant omniprésentes, triviales et fondamentales, tandis qu'ils sont prêts à se tirer une balle dans le pieds sans même en être complètement conscients. Il faut voir la "big picture" comme diraient les anglo-saxons. Cela dit le titanic est en train de couler je le sais bien.

il y a 17 minutes, Izanami a dit :

Tout dépend de ce qu’on entend par liberté.
On peut se sentir libre même en étant physiquement entravé. 
( là dessus je rejoins complètement @Mite_Railleuse) 

Tout à fait, c’était pour faire référence aux personnes dans le coma en réa ou qui sont dans l’obligation d’être dans une chambre stérile. Pour ceux là les pauvres leur état de santé ne leur permet aucune pseudo liberté. 

à l’instant, hanss a dit :

Tout à fait, c’était pour faire référence aux personnes dans le coma en réa ou qui sont dans l’obligation d’être dans une chambre stérile. Pour ceux là les pauvres leur état de santé ne leur permet aucune pseudo liberté. 

Là encore je dirais ça dépend, on peut s’évader par l’esprit et se sentir libre. 
Est ce que tu te souviens du dessin animé "Clémentine" quand on était enfant? la gamine était alité et elle "voyageait" dans ses rêves (ou délires dû aux médocs va savoir). 
Bon l’exemple est glauque mais c’est juste pour dire que d’une certaine façon c’est nous qui nous enchaînons et entravons notre liberté. 

il y a 21 minutes, Quasi-Modo a dit :

C'est ridicule. Tu trouves donc la civilisation et l'humanité terrifiantes ? Il suffit d'analyser un peu les choses pour comprendre que ce sont des enjeux omniprésents. Je n'ai fait que te décrire l'état actuel de la loi. Si la vie n'est plus une valeur plus rien n'en est une. Tu ne peux pas décider le fait qu'un être humain ne veut jamais mourir : c'est notre nature profonde qui implique de lutter pour la vie, et ceux qui se suicident ne veulent que cesser de souffrir. J'ai bien conscience qu'avoir des valeurs aujourd'hui c'est terrifiant aux yeux de la majorité qui n'en a plus.

Une loi occidentale construite sur des valeurs religieuse douteuse, qui n'a rien d'universelle, car des peuples considèrent les choses différemment. Aurais tu comme chez les racistes la conviction intime que tu possèdes la connaissance suprême, les valeurs absolues qui ne peuvent que faire référence. Le bien étant toi, et les valeurs auxquelles tu crois soit le bien, comme les autres conception impérativement mal. Nous sommes dans un relatif complet, personne n'a la vérité là dedans et chacun agit avec ses convictions intimes les tiennes sont bonnes pour toi, mais accepte d'autres vues différentes.

Une chose que tu as oublié dans ton argumentaire, c'est la production, le suicide est interdit car non productif de richesses, et qu'il puisse être contagieux, qu'il nuit à la consommation. Mais c'est un détail.

il y a 11 minutes, hanss a dit :

Tout à fait, c’était pour faire référence aux personnes dans le coma en réa ou qui sont dans l’obligation d’être dans une chambre stérile. Pour ceux là les pauvres leur état de santé ne leur permet aucune pseudo liberté. 

Bonjour Hanss, bisous

J'ai connu cet état il y a deux ans, j'étais dans un coma profond, bien je vais te dire pour l'avoir expérimenté, que l'esprit est libre d'aller ou il veut, j'avais une liberté de l'esprit. C'était un peu fou, puisque je me vivais en jeune fille qui attendait son mec parti à la guerre.

Tant que la maladie ne touche pas le cerveau, enfin les partie n'altérant pas l'esprit, l'esprit est libre d'aller ou il veut, mais si la maladie touche le cerveau comme le ventre, là là liberté est vraiment entravée.

En ce moment ma seule liberté est dans ma tête, mon corps peut plus rien faire, 50 m à pied et c'est tout, pas plus, quelques minutes debout juste de quoi faire le minimum de cuisine c'est tout. Quand je dis aux médecins donnez-moi ma santé que je puisse bouger, vivre décemment, ils me disent de quoi vous plaignez vous vous êtes vivant.  Mon corps n'a plus de liberté, ma tête oui, mais pour combien de temps.

Il y a 3 heures, Crève a dit :

La santé prime t-elle sur la liberté ? Non seulement oui, mais elle en est même une condition sine qua non. Il faut la santé pour prétendre à la liberté. 

Pour toi le contraire ne peut même pas être envisagé ?

il y a 23 minutes, Promethee_Hades a dit :

Une loi occidentale construite sur des valeurs religieuse douteuse, qui n'a rien d'universelle, car des peuples considèrent les choses différemment. Aurais tu comme chez les racistes la conviction intime que tu possèdes la connaissance suprême, les valeurs absolues qui ne peuvent que faire référence. Le bien étant toi, et les valeurs auxquelles tu crois soit le bien, comme les autres conception impérativement mal. Nous sommes dans un relatif complet, personne n'a la vérité là dedans et chacun agit avec ses convictions intimes les tiennes sont bonnes pour toi, mais accepte d'autres vues différentes.

Une chose que tu as oublié dans ton argumentaire, c'est la production, le suicide est interdit car non productif de richesses, et qu'il puisse être contagieux, qu'il nuit à la consommation. Mais c'est un détail.

C'est faux, je n'ai aucun mal à accepter d'autres points de vue, c'est très exactement l'inverse.

Ce que tu décris n'est que le processus normal d'un être humain qui pense. Tout le monde, lorsqu'il pense, a l'impression qu'il pense vrai et juste. Tout le monde lorsqu'il philosophe tente d'être lucide. C'est une tautologie et ce n'est en rien condamnable puisque encore une fois, c'est notre nature et tu n'es pas mieux que moi ou que quiconque en t'exprimant de la sorte.

C'est du même ordre que ceux qui reprochent aux autres de vouloir que la réalité soit toujours telle qu'ils la pensent. C'est juste stupide comme reproche, sauf ton respect, et je n'ai rien contre toi pour autant.

Si on regarde au niveau des arguments c'est le néant dans la discussion, et cela ne m'étonne guère, les gens ne savent plus s'entendre, ils ne savent plus s'écouter, nous avons même des personnes comme @Mite_Railleuse qui préfèrent fuir face à la contradiction qu'elles identifient comme un potentiel conflit.

Grand bien vous fasse, je n'ai aucune leçon à recevoir et je n'en donne aucune pour autant. Encore une fois, je me marre, parce que ce que j'énonce ce sont des évidences quand on observe un peu les humains. Tout le projet de la civilisation est la conservation et la perpétuation de la vie humaine. C'est même le projet de la vie en général, et qu'y a-t-il de si étonnant ou révoltant voir "terrifiant" là dedans ?

Je n'ai pas du tout besoin de parler de religion pour tenir les mêmes propos.

Il y a 5 heures, hell-spawn a dit :

Vous n'avez pas compris le sujet.

Ce qui n'a rien d'étonnant car vous êtes manifestement profondément embrigadé dans le discours officiel qui véhicule la peur.

Vous n'avez meme pas regardé la video de 2 minutes, c'est évident.

 

Moi ce que je vois depuis 1 an c'est a quel point la société est devenue décadente, une société de faibles, de débiles ( au sens premier du terme) qui ne peut plus qu'engendrer de la laideur morale, et même physique ( le sens du beau décline ).

En réalité la simple d'esprit avait raison . C'est bien un enième sujet contre les restrictions dues au covid .

il y a une heure, hanss a dit :

Tout à fait, c’était pour faire référence aux personnes dans le coma en réa ou qui sont dans l’obligation d’être dans une chambre stérile. Pour ceux là les pauvres leur état de santé ne leur permet aucune pseudo liberté. 

la liberté, la vraie, ce n'est pas nécessairement la possibilité de se mouvoir librement.

il y a 22 minutes, Quasi-Modo a dit :

C'est faux, je n'ai aucun mal à accepter d'autres points de vue, c'est très exactement l'inverse.

Ce que tu décris n'est que le processus normal d'un être humain qui pense. Tout le monde, lorsqu'il pense, a l'impression qu'il pense vrai et juste. Tout le monde lorsqu'il philosophe tente d'être lucide. C'est une tautologie et ce n'est en rien condamnable puisque encore une fois, c'est notre nature et tu n'es pas mieux que moi ou que quiconque en t'exprimant de la sorte.

C'est du même ordre que ceux qui reprochent aux autres de vouloir que la réalité soit toujours telle qu'ils la pensent. C'est juste stupide comme reproche, sauf ton respect, et je n'ai rien contre toi pour autant.

Si on regarde au niveau des arguments c'est le néant dans la discussion, et cela ne m'étonne guère, les gens ne savent plus s'entendre, ils ne savent plus s'écouter, nous avons même des personnes comme @Mite_Railleuse qui préfèrent fuir face à la contradiction qu'elles identifient comme un potentiel conflit.

Grand bien vous fasse, je n'ai aucune leçon à recevoir et je n'en donne aucune pour autant. Encore une fois, je me marre, parce que ce que j'énonce ce sont des évidences quand on observe un peu les humains. Tout le projet de la civilisation est la conservation et la perpétuation de la vie humaine. C'est même le projet de la vie en général, et qu'y a-t-il de si étonnant ou révoltant voir "terrifiant" là dedans ?

Je n'ai pas du tout besoin de parler de religion pour tenir les mêmes propos.

Je n'ai pas du tout vue, @Mite_Railleusefuir ton propos, je trouve même qu'elle a eu une attitude très saine, comme explicative. Mais passons. Après tout le monde pensent, non une majorité pense, car certain ont le doute en eux, sans compter ceux qui pensent avec à l'esprit d'autres cultures cela se trouve souvent chez les ethnologues, relis Lewis Strauss pour t'en rendre compte, quand il compare la pensée occidentale, à la pensée dite " sauvage ", donc que tous ceux qui pensent aient raison dans leur pensée, Einstein même se savait dans le relatif, Remy Chauvin aussi, je ne te fais pas la liste elle est trop longue.  La raison, la justesse se trouve par apport a un référentiel donné, après on peut toujours chercher la validité du référentiel, ce qui se fait en sciences, en philosophie.

Après que tu n'ai pas compris ce que l'on t'as dit, c'est pas important. 

il y a une heure, Promethee_Hades a dit :

Bonjour Hanss, bisous

J'ai connu cet état il y a deux ans, j'étais dans un coma profond, bien je vais te dire pour l'avoir expérimenté, que l'esprit est libre d'aller ou il veut, j'avais une liberté de l'esprit. C'était un peu fou, puisque je me vivais en jeune fille qui attendait son mec parti à la guerre.

Tant que la maladie ne touche pas le cerveau, enfin les partie n'altérant pas l'esprit, l'esprit est libre d'aller ou il veut, mais si la maladie touche le cerveau comme le ventre, là là liberté est vraiment entravée.

En ce moment ma seule liberté est dans ma tête, mon corps peut plus rien faire, 50 m à pied et c'est tout, pas plus, quelques minutes debout juste de quoi faire le minimum de cuisine c'est tout. Quand je dis aux médecins donnez-moi ma santé que je puisse bouger, vivre décemment, ils me disent de quoi vous plaignez vous vous êtes vivant.  Mon corps n'a plus de liberté, ma tête oui, mais pour combien de temps.

Pourquoi le cerveau et le ventre ?

il y a 7 minutes, Sittelle a dit :

Pourquoi le cerveau et le ventre ?

Par ce que pour la pensée l'un ne vas pas sans l'autre, le ventre est plus siège de nos émotions, c'est ce qui fut découvert assez récemment par des médecins, et même mieux c'est le microbiote importe le plus dans ce processus. Nous sommes d'une compléxité incroyable.

Ce microbiote nous le devons principalement à notre mère, qui nous le transmet à la naissance, par la suite nous nous faisons le notre propre, mais la majorité vient de notre mère.

Tiens une vidéo pour te montrer de quoi il retourne.

Donc même si on la perd, elle continue de vivre à travers nous.

il y a 5 minutes, Promethee_Hades a dit :

Par ce que pour la pensée l'un ne vas pas sans l'autre, le ventre est plus siège de nos émotions, c'est ce qui fut découvert assez récemment par des médecins, et même mieux c'est le microbiote importe le plus dans ce processus. Nous sommes d'une compléxité incroyable.

Ce microbiote nous le devons principalement à notre mère, qui nous le transmet à la naissance, par la suite nous nous faisons le notre propre, mais la majorité vient de notre mère.

Tiens une vidéo pour te montrer de quoi il retourne.

 

Donc même si on la perd, elle continue de vivre à travers nous.

Je ne savais pas que le ventre pouvait être le siège de nos émotions .. 

Pour la vidéo .. je ne peux pas   

il y a 4 minutes, Sittelle a dit :

Je ne savais pas que le ventre pouvait être le siège de nos émotions .. 

Pour la vidéo .. je ne peux pas   

Pourquoi grand Dieu ?

il y a 22 minutes, Promethee_Hades a dit :

Pourquoi grand Dieu ?

Pourquoi pas la vidéo ? Parce que je n'ai pas le son .. du coup aucun intérêt ..