Clairvoyance sur l'avenir humain

L’espèce humaine descend du règne animal et par conséquent elle porte en elle des caractéristiques archaïques, vestiges datant des millions d’années d’évolution. Mais l’humanité a dépassé le stade animal et ne fait plus partie du règne animal, notre espèce humaine est aujourd’hui une espèce qui se situe « au-delà » du règne animal, une nouvelle forme du vivant qui a transcendé le règne animal, nous ne faisons plus partie du règne animal.

Or je pense que la plupart des problèmes graves de l’humanité qu’ils soient dans le domaine social, politique ou simplement existentiel prennent racine dans notre héritage du règne animal. Il faut que l’humanité puisse dépasser son héritage animal par l’éducation et par une prise de conscience que la seule et unique voie du salut se trouve dans la tolérance et dans l’unité de tous les hommes. Ce n’est qu’en s’unissant tous, tous les humains venant de tous les horizons que nous pourrions nous en sortir. Et ceci n’est pas une posture morale ou philosophique ni même scientifique, mais les trois à la fois ! Il s’agit là d’une question de logique, de bon sens, de discernement : « voir plus loin que le bout de son nez ». Pour le dire clairement, en une phrase : « Seule et isolée, une imaginaire race ou plutôt tribu humaine est vouée à disparaître et ne pourrait survivre à terme ».

Il y a 7 heures, Groenland a dit :

L’espèce humaine descend du règne animal et par conséquent elle porte en elle des caractéristiques archaïques, vestiges datant des millions d’années d’évolution. Mais l’humanité a dépassé le stade animal et ne fait plus partie du règne animal, notre espèce humaine est aujourd’hui une espèce qui se situe « au-delà » du règne animal, une nouvelle forme du vivant qui a transcendé le règne animal, nous ne faisons plus partie du règne animal.

Or je pense que la plupart des problèmes graves de l’humanité qu’ils soient dans le domaine social, politique ou simplement existentiel prennent racine dans notre héritage du règne animal. Il faut que l’humanité puisse dépasser son héritage animal par l’éducation et par une prise de conscience que la seule et unique voie du salut se trouve dans la tolérance et dans l’unité de tous les hommes. Ce n’est qu’en s’unissant tous, tous les humains venant de tous les horizons que nous pourrions nous en sortir. Et ceci n’est pas une posture morale ou philosophique ni même scientifique, mais les trois à la fois ! Il s’agit là d’une question de logique, de bon sens, de discernement : « voir plus loin que le bout de son nez ». Pour le dire clairement, en une phrase : « Seule et isolée, une imaginaire race ou plutôt tribu humaine est vouée à disparaître et ne pourrait survivre à terme ».

"Plus partie du règne animal"? Encore une illusion de grandeur! A 99 %, nous sommes semblables à nos cousins les grands singes. La différence entre eux et nous, c'est qu'eux vivent en harmonie avec leur environnement; pas nous. Plutôt que de rejeter notre nature animale, qui conditionne tant de nos comportements, le plus sage est au contraire de la connaître et de l'accepter. Comme dit Pascal : "Qui veut faire l'ange fait le bête".

Il y a 7 heures, Groenland a dit :

Il faut que l’humanité puisse dépasser son héritage animal

Bravo, c'est le grand dessein de l'Eglise qui réprouve le plaisir charnel, reste d'animalité.

Nous étions, sommes et restons des animaux. Sauf les jeunes qui sont accros au smartphone.

il y a 22 minutes, Gouderien a dit :

"Plus partie du règne animal"? Encore une illusion de grandeur! A 99 %, nous sommes semblables à nos cousins les grands singes. La différence entre eux et nous, c'est qu'eux vivent en harmonie avec leur environnement; pas nous. Plutôt que de rejeter notre nature animale, qui conditionne tant de nos comportements, le plus sage est au contraire de la connaître et de l'accepter. Comme dit Pascal : "Qui veut faire l'ange fait le bête".

Oui Merci pour le rappel à l'ordre et je suis sincère là. Cela me fait d'ailleurs penser au roman "1984" de George Orwell : A force de vouloir tout encadrer on finit par tout étouffer et s'étouffer soi-même à la fin... (d'ailleurs cela me fait penser de loin à un pays que je ne nommerai pas ici ... !)

Mais que faire ? Il est pourtant évident que tous nos problèmes sociétaux et politiques et même existentiels viennent de notre nature "animale". Alors que faire ? Rien en fait.

il y a 11 minutes, Groenland a dit :

 

Mais que faire ? Il est pourtant évident que tous nos problèmes sociétaux et politiques et même existentiels viennent de notre nature "animale". 

 

Ça c'est toi qui le dis.

il y a 41 minutes, Gouderien a dit :

 Comme dit Pascal : "Qui veut faire l'ange fait le bête".

  qui veut faire le chimpanzé fait son tarzan

il y a 6 minutes, Gouderien a dit :

Ça c'est toi qui le dis.

Tous les problèmes de société et même certains problèmes politiques actuels, sont des problèmes purement humains. Par conséquent ce sont là des problèmes qui relèvent de notre nature animale. Cela ne veut pas dire qu'il n'y a rien de bon dans notre nature animale et que tout est à rejeter. C'était justement là où j'étais dans l'erreur, on ne peut pas purement et simplement effacer notre nature animale car cela ramènerait d'autres problèmes encore plus graves.

Je pense que le tout c'est de trouver un "équilibre" entre l'encadrement et la libre expression de notre nature animale. Différents pays et gouvernements jouent chacun à leur manière sur cette balance entre l'encadrement et liberté. Certains échouent et finissent en dictature.

Il y a 8 heures, Groenland a dit :

L’espèce humaine descend du règne animal et par conséquent elle porte en elle des caractéristiques archaïques, vestiges datant des millions d’années d’évolution. Mais l’humanité a dépassé le stade animal et ne fait plus partie du règne animal, notre espèce humaine est aujourd’hui une espèce qui se situe « au-delà » du règne animal, une nouvelle forme du vivant qui a transcendé le règne animal, nous ne faisons plus partie du règne animal.

Or je pense que la plupart des problèmes graves de l’humanité qu’ils soient dans le domaine social, politique ou simplement existentiel prennent racine dans notre héritage du règne animal. Il faut que l’humanité puisse dépasser son héritage animal par l’éducation et par une prise de conscience que la seule et unique voie du salut se trouve dans la tolérance et dans l’unité de tous les hommes. Ce n’est qu’en s’unissant tous, tous les humains venant de tous les horizons que nous pourrions nous en sortir. Et ceci n’est pas une posture morale ou philosophique ni même scientifique, mais les trois à la fois ! Il s’agit là d’une question de logique, de bon sens, de discernement : « voir plus loin que le bout de son nez ». Pour le dire clairement, en une phrase : « Seule et isolée, une imaginaire race ou plutôt tribu humaine est vouée à disparaître et ne pourrait survivre à terme ».

En fait en venant de me relire je me rends compte que c'est du délire tout ça ! Je n'étais pas dans état normal quand j'ai écrit ça je pense. Tant pis ! 

il y a 26 minutes, Groenland a dit :

En fait en venant de me relire je me rends compte que c'est du délire tout ça ! Je n'étais pas dans état normal quand j'ai écrit ça je pense. Tant pis ! 

Bonjour Groenland,

Je ne trouve pas... Il y a une pertinence dans ton raisonnement, notre évolution  est atavique. Si tous les idiots se donnaient la , nous serions moins bestiales...

Bonne journée Monsieur

il y a une heure, Ohissa a dit :

Bonjour Groenland,

Je ne trouve pas... Il y a une pertinence dans ton raisonnement, notre évolution  est atavique. Si tous les idiots se donnaient la , nous serions moins bestiales...

Bonne journée Monsieur

Atavisme ? Hummmm... on y croit ou on n'y croit pas mais ce qui est sûr c'est que la bêtise elle n'est pas atavique mais continuelle et personne n'y est immunisé.

il y a 2 minutes, Groenland a dit :

Atavisme ? Hummmm... on y croit ou on n'y croit pas mais ce qui est sûr c'est que la bêtise elle n'est pas atavique mais continuelle et personne n'y est immunisé.

Bonjour Groenland

Nous sommes d'accord sur le second point, même si cela relève de l'utopie.

Bonne journée Monsieur

P - S : j'apprécie les sujets que vous postez, vous posez souvent les bonnes questions.

Il y a 17 heures, Groenland a dit :

L’espèce humaine descend du règne animal et par conséquent elle porte en elle des caractéristiques archaïques, vestiges datant des millions d’années d’évolution. Mais l’humanité a dépassé le stade animal et ne fait plus partie du règne animal, notre espèce humaine est aujourd’hui une espèce qui se situe « au-delà » du règne animal, une nouvelle forme du vivant qui a transcendé le règne animal, nous ne faisons plus partie du règne animal.

Or je pense que la plupart des problèmes graves de l’humanité qu’ils soient dans le domaine social, politique ou simplement existentiel prennent racine dans notre héritage du règne animal. Il faut que l’humanité puisse dépasser son héritage animal par l’éducation et par une prise de conscience que la seule et unique voie du salut se trouve dans la tolérance et dans l’unité de tous les hommes. Ce n’est qu’en s’unissant tous, tous les humains venant de tous les horizons que nous pourrions nous en sortir. Et ceci n’est pas une posture morale ou philosophique ni même scientifique, mais les trois à la fois ! Il s’agit là d’une question de logique, de bon sens, de discernement : « voir plus loin que le bout de son nez ». Pour le dire clairement, en une phrase : « Seule et isolée, une imaginaire race ou plutôt tribu humaine est vouée à disparaître et ne pourrait survivre à terme ».

L'univers objet vivant

L'univers est un objet vivant. Car il est composé d'objets comme le soleil, les étoiles, les planètes... Et composé aussi du vivant je parle du végétal. Tout cet univers alors indolore car les objets ou les végétaux sont inoffensifs. Car quand ils sont négatifs, ils ne sont pas qu'avec douleur, mais pas qu'avec la douleur qui est, ils sont avec la douleur qui n'est pas.

Mis à part s'ils ne sont utilisés qu'avec douleur qui est. Comme un caillou inoffensif transformé en arme par un animal qui n'est pas qu'avec douleur quand jeté violemment pour porter un coup douloureux. L'univers lui est un objet vivant hyper connecté car la conséquence des actes est causée par ce qui est perçu.

Alors autant ceux qui ne sont pas qu'avec douleur que ceux que sans douleur y sont connectés avec bien sûr la douleur comme intruse. Car sa connexion empêche les autres existences alors indolores d'être sans douleur même entre elles.

Puisque pour aussi les animaux qui ne sont pas qu'avec douleur ils ne sont pas qu'avec douleur mais pas que sans douleur.
Alors bien sûr les animaux qui ne sont que sans douleur permettent eux que les animaux qui ne sont pas qu'avec douleur ne soient que sans douleur.

Quelqu'un a dit: " Qui veut faire l'ange fait la bête".

Et la perversion n'est pas chez l'animal.

ê

Le 19/02/2021 à 01:32, Groenland a dit :

L’espèce humaine descend du règne animal et par conséquent elle porte en elle des caractéristiques archaïques, vestiges datant des millions d’années d’évolution. Mais l’humanité a dépassé le stade animal et ne fait plus partie du règne animal, notre espèce humaine est aujourd’hui une espèce qui se situe « au-delà » du règne animal, une nouvelle forme du vivant qui a transcendé le règne animal, nous ne faisons plus partie du règne animal.

Or je pense que la plupart des problèmes graves de l’humanité qu’ils soient dans le domaine social, politique ou simplement existentiel prennent racine dans notre héritage du règne animal. Il faut que l’humanité puisse dépasser son héritage animal par l’éducation et par une prise de conscience que la seule et unique voie du salut se trouve dans la tolérance et dans l’unité de tous les hommes. Ce n’est qu’en s’unissant tous, tous les humains venant de tous les horizons que nous pourrions nous en sortir. Et ceci n’est pas une posture morale ou philosophique ni même scientifique, mais les trois à la fois ! Il s’agit là d’une question de logique, de bon sens, de discernement : « voir plus loin que le bout de son nez ». Pour le dire clairement, en une phrase : « Seule et isolée, une imaginaire race ou plutôt tribu humaine est vouée à disparaître et ne pourrait survivre à terme ».

J'ai plutôt tendance à penser que, au contraire, plus on s'éloigne du règne animal et plus on aggrave notre cas. 

Le 19/02/2021 à 01:32, Groenland a dit :

Seule et isolée, une imaginaire race ou plutôt tribu humaine est vouée à disparaître et ne pourrait survivre à terme ».

Survivre au terme de quoi ? Combien de temps. C'est flou.

il y a 43 minutes, Crève a dit :

Survivre au terme de quoi ? Combien de temps. C'est flou.

En fait c'était une manière de m'opposer au "séparatismes", terme qui est devenu à la mode actuellement.

Mais comme je disais plus haut, je ne suis pas satisfait de ce topic que j'ai créé... sur le fond ce n'est pas bon.

il y a une heure, hell-spawn a dit :

Quelqu'un a dit: " Qui veut faire l'ange fait la bête".

 

Et la perversion n'est pas chez l'animal.

ê

Sauf peut-être chez le Crocodile qui tue pour et par plaisir.

Le 19/02/2021 à 01:32, Groenland a dit :

L’espèce humaine descend du règne animal et par conséquent elle porte en elle des caractéristiques archaïques, vestiges datant des millions d’années d’évolution. Mais l’humanité a dépassé le stade animal et ne fait plus partie du règne animal, notre espèce humaine est aujourd’hui une espèce qui se situe « au-delà » du règne animal, une nouvelle forme du vivant qui a transcendé le règne animal, nous ne faisons plus partie du règne animal.

Or je pense que la plupart des problèmes graves de l’humanité qu’ils soient dans le domaine social, politique ou simplement existentiel prennent racine dans notre héritage du règne animal. Il faut que l’humanité puisse dépasser son héritage animal par l’éducation et par une prise de conscience que la seule et unique voie du salut se trouve dans la tolérance et dans l’unité de tous les hommes. Ce n’est qu’en s’unissant tous, tous les humains venant de tous les horizons que nous pourrions nous en sortir. Et ceci n’est pas une posture morale ou philosophique ni même scientifique, mais les trois à la fois ! Il s’agit là d’une question de logique, de bon sens, de discernement : « voir plus loin que le bout de son nez ». Pour le dire clairement, en une phrase : « Seule et isolée, une imaginaire race ou plutôt tribu humaine est vouée à disparaître et ne pourrait survivre à terme ».

Bonjour,

Votre discours m'inspire une réponse de normand.

D'abord, oui, l'unité est salutaire.

La mondialisation est un facteur accélérateur.

Un pays qui s'isolerait du monde en perdrait l'accélération.

Ensuite, l'unité est synergique (1+1=3) :

Imaginez que nos deux pays puissent fabriquer chacun une chaise et une table.

Si nos deux pays se spécialisent, mon pays pourra fabriquer trois chaises et le vôtre trois tables, par économie d'échelle et spécialisation.

On aura donc gagné 50% de productivité.

Mais l'unité a aussi sa part d'ombre.

L'actualité récente du Covid nous montre, une énième fois, que la fusion entre les hommes n'est pas hygiénique.

On peut également interpréter que l'homogénéisation du monde est une dissipation qualitative : quel serait l'intérêt pour mon fils d'hériter de globules rouges de népalais, adaptés à la haute altitude ?

En outre, la communauté fusionnelle Internet fait la part belle à la violence et la médiocrité, et plus le réseau s'élargit en quantité et en qualité, plus son Babel culturel démontre son chaos stérile.

La vie en communauté à la 70's n'est pas viable ni pérenne, parce que l'égoïsme est plus naturel que l'altruisme, et qu'il dispose de moyens plus coordonnés et d'une motivation plus intime.

Réprimer les intérêts égoïstes légitimes est contre-nature, et cela se traduit historiquement par un despotisme impotent.

Cordialement, Fraction

Il y a 10 heures, Fraction a dit :

Bonjour,

Votre discours m'inspire une réponse de normand.

 

D'abord, oui, l'unité est salutaire.

La mondialisation est un facteur accélérateur.

Un pays qui s'isolerait du monde en perdrait l'accélération.

Ensuite, l'unité est synergique (1+1=3) :

Imaginez que nos deux pays puissent fabriquer chacun une chaise et une table.

Si nos deux pays se spécialisent, mon pays pourra fabriquer trois chaises et le vôtre trois tables, par économie d'échelle et spécialisation.

On aura donc gagné 50% de productivité.

 

Mais l'unité a aussi sa part d'ombre.

L'actualité récente du Covid nous montre, une énième fois, que la fusion entre les hommes n'est pas hygiénique.

On peut également interpréter que l'homogénéisation du monde est une dissipation qualitative : quel serait l'intérêt pour mon fils d'hériter de globules rouges de népalais, adaptés à la haute altitude ?

En outre, la communauté fusionnelle Internet fait la part belle à la violence et la médiocrité, et plus le réseau s'élargit en quantité et en qualité, plus son Babel culturel démontre son chaos stérile.

La vie en communauté à la 70's n'est pas viable ni pérenne, parce que l'égoïsme est plus naturel que l'altruisme, et qu'il dispose de moyens plus coordonnés et d'une motivation plus intime.

Réprimer les intérêts égoïstes légitimes est contre-nature, et cela se traduit historiquement par un despotisme impotent.

 

Cordialement, Fraction

Oui je suis d'accord avec vous. J'ai déjà fait mon mea-culpa. Il ne s'agit pas de réprimer notre nature animale mais de l'encadrer pour en tirer une vraie bénéfice dans le respect de chacun et aussi de l'environnement. 

Il y a dans ce fil une attitude mentale absurde, qui consiste à séparer l'individu en deux mondes, le monde animal (en lui) et, je suppose, un monde civilisé (en lui), dont je suppose encore qu'il s'agit de l’être conscient (en lui, ou même lui, si le locuteur s'identifie à cette partie de lui-même, et non au tout qu'il forme).

A partir de cette division il est évident que nous ne pouvons aller que dans le mur. Diviser une unité mentale, spirituelle ou pour les matérialistes, cérébrale, se démembrer soi-même pour opposer ses propres membres mentaux,  désarticulés, dans une guerre, c'est là se préparer à verser dans un chaos (personnel).

il y a 9 minutes, Annalevine a dit :

Il y a dans ce fil une attitude mentale absurde, qui consiste à séparer l'individu en deux mondes, le monde animal (en lui) et, je suppose, un monde civilisé (en lui), dont je suppose encore qu'il s'agit de l’être conscient (en lui, ou même lui, si le locuteur s'identifie à cette partie de lui-même, et non au tout qu'il forme).

A partir de cette division il est évident que nous ne pouvons aller que dans le mur. Diviser une unité mentale, spirituelle ou pour les matérialistes, cérébrale, se démembrer soi-même pour opposer ses propres membres mentaux,  désarticulés, dans une guerre, c'est là se préparer à verser dans un chaos (personnel).

 

Oui il faut effectivement arrêter d'être schizophrène et séparer l'homme en deux ou plus...

De toute façon ce fil est pourri, il n'est plus possible de l'effacer malheureusement.