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La fille aînée de Richard Berry porte plainte contre son père pour viol

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January

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Membre, 153ans Posté(e)
chanou 34 Membre 25 913 messages
Maitre des forums‚ 153ans‚
Posté(e)
à l’instant, metal guru a dit :

Oui, tu as toujours la possibilité d'expliquer pourquoi : " Bien sûr qu'il faut choisir entre la parole de l'un et celle de l'autre! " Mais visiblement tu as du mal à le faire ! :rolle:

Allons bon..quand je dis "je crois la victime" vous comprenez quoi? :hum:

Que j'ai pas choisi entre les deux? :hum:

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Membre+, 27ans Posté(e)
metal guru Membre+ 33 506 messages
Maitre des forums‚ 27ans‚
Posté(e)
il y a 8 minutes, goods a dit :

Richard Berry "a été l'agent de sa chute", selon l'avocate de sa fille, qui a porté plainte contre lui.

L'avocate joue son rôle, mais il y a un truc qui m'interpelle, ce sont les soutiens de sa famille et de ses proches, parce que là on parle d'agression sexuelle et peut être de viol sur mineur. Donc si des personnes de son entourage ont été témoin de ça ils pourraient ( sauf prescription ) être poursuivis pour non dénonciation de crime et risquer jusqu'à trois ans de prison, s'ils n'ont pas été témoin des faits pourquoi prendre partie si on ne sait pas vraiment ?

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Membre, Voyageur, 70ans Posté(e)
Plouj Membre 111 054 messages
70ans‚ Voyageur,
Posté(e)
il y a 2 minutes, hanss a dit :

Les faits remonteraient à une 30 aines d’années dans un huit clos familial, vraiment bon courage aux personnes en charge de l’enquête. 

Et à moins d'avoir des films, des aveux signés, je ne vois pas comment passer au-dessus des présomptions d'innocence.

J'ai demandé à plusieurs reprises des informations médicales sur ce genre de faits, mais, sur ce forum, malgré certaines aptitudes de membres semblant dans la partie, c'est le silence radio..

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Membre+, 27ans Posté(e)
metal guru Membre+ 33 506 messages
Maitre des forums‚ 27ans‚
Posté(e)
il y a 4 minutes, chanou 34 a dit :

Allons bon..quand je dis "je crois la victime" vous comprenez quoi?

Je te demande pas qui tu crois, je pense que tu l'as déjà dit ... quelques fois, ma question est de savoir pourquoi déclares tu que " Bien sûr qu'il faut choisir entre la parole de l'un et celle de l'autre! "  alors que c'est faux et que rien te t'oblige à la faire ? Pour moi c'est un besoin que tu as de devoir choisir et te placer du côté de la victime ! 

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Membre, 50ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 50ans‚
Posté(e)
il y a 25 minutes, Plouj a dit :

Et à moins d'avoir des films, des aveux signés, je ne vois pas comment passer au-dessus des présomptions d'innocence.

J'ai demandé à plusieurs reprises des informations médicales sur ce genre de faits, mais, sur ce forum, malgré certaines aptitudes de membres semblant dans la partie, c'est le silence radio..

J'ai trouvé ceci; c'est assez complet...

https://www.cairn.info/revue-l-information-psychiatrique-2013-9-page-723.htm

Extraits:

Psychocriminologie des auteurs

La nature du passage à l’acte

35Pour comprendre le passage à l’acte, il est nécessaire de relever les caractéristiques des victimes et ce qui amène les mères à abuser de leur jeune fils. De plus, il faut s’intéresser à la nature des actes qui sont commis par elles et au processus conduisant au passage à l’acte. La plupart des chiffres que nous développerons ici concernent une infraction sexuelle commise par une femme sur un garçon et comme déjà dit, dans 95 % des cas d’abus sur un garçon par une femme, c’est la mère qui en est responsable. Cela rend ces données pertinentes. Rudin et al. [14] ont rapporté que les victimes de femmes étaient plus jeunes (comparées aux agressions perpétrées par des hommes). Elles avaient moins de six ans en général. Finkerlhor [15], quant à lui, avait montré que les enfants abusés par leur mère étaient plus jeunes que ceux abusés par leur père et, qu’en plus, les victimes d’un inceste de la part de la mère étaient les plus jeunes de toutes.

36De plus, des études plus récentes menées par Vandiver et Kercher [16] montrent en fait que la moitié des victimes d’inceste ont entre 12 et 17 ans et que presque la moitié des victimes sont de sexe féminin. Denov [17] énonce que les femmes sont plus à même d’abuser des garçons que des filles. Enfin, Kaplan et Green [18] ont noté que l’âge des victimes correspondait généralement à l’âge où l’auteur a lui-même était abusé. Saradjian [19] renouvelle cette idée en montrant que les femmes qui ont été victime d’infractions sexuelles dans leur enfance réitèrent certains aspects de cette infraction plus tard. Ainsi, les femmes peuvent abuser des enfants des deux sexes (préférentiellement de garçons) et la plupart de temps de leur propre famille.

37Plusieurs auteurs pensent que les abus commis par des femmes ne sont pas si différents de ceux commis par des hommes. En effet, selon Kaufman et al. [20], le type d’actes commis ne diffère pas significativement entre un homme et une femme qui abusent sexuellement d’enfants. Mais les femmes commettent un plus grand nombre d’actes à caractère sexuel. Elles utilisent plus d’objets que les hommes et plus de masturbations. En effet, presque la moitié des femmes ont eu des rapports oraux, vaginaux et anaux avec les victimes, selon Allen et Pathast [21]. Ce même auteur, en 1991 [22], écrit que les femmes peuvent aussi bien être auteures de voyeurisme que de rapports avec pénétration. Les atteintes commises pas des femmes ne sont pas plus « graves » que celles commises par des hommes.

38Il y a plusieurs similarités dans le processus de passage à l’acte entre les femmes et les hommes. Saradjian [19] énonce que les femmes utilisent les même tactiques que les hommes pour attirer les enfants et pour préparer les actes. Beaucoup de femmes pensent que leur enfant voulait avoir cette relation. Dans une autre étude menée par Saradjian [23], une femme décrit cette situation comme une marque d’amour respectif et une satisfaction des besoins des deux protagonistes. D’autres femmes parlent d’une aide apportée à leur fils en ayant des contacts de nature sexuelle avec elle (qui ne sont dans ce cas pas violents).

39Ce qui peut favoriser le passage à l’acte est la personnalité de l’auteure. Elle va être influencée par des facteurs extérieurs, c’est-à-dire la famille (quand la personne a été abusée par ses parents, elle peut reproduire la même chose), le voisinage, le milieu scolaire, le foyer personnel ou encore le milieu professionnel. L’inceste va donc toucher tous les milieux. Il y a également d’autres facteurs qui vont diminuer la résistance à l’inceste qui sont la notion de ruralité, un isolement géographique avec une très forte intimité, la promiscuité, l’alcoolisme ou la mort de l’un des parents. Souvent, le style de vie de la femme est marqué par des problèmes domestiques et financiers.

40Selon Gannon et Cortoni [10], les principales motivations de la mère sont la satisfaction sexuelle, l’intimité et « autre chose » comme le profit financier par exemple. Il y aura une planification de l’infraction qui peut également être de trois types : implicite (en passant par des manipulations inconscientes), directe (notamment avec un plan préparé par un homme co-auteur) et explicite (un plan conscient et explicite de l’infraction par la femme). Au moment du passage à l’acte, il peut y avoir quatre manières pour la mère d’approcher l’enfant selon Gannon et Cortoni [10]. Il peut s’agir d’une approche maternelle, un évitement calculé, une approche agressive ou une approche qui a pour but d’achever une exigence.

Une typologie des auteures

41Comme dit précédemment, les femmes auteures d’infractions sexuelles agissent le plus souvent sur leur propre enfant. Ainsi, la typologie que l’on accorde à ces femmes est aussi valable pour les mères incestueuses. Au travers des études, les chercheurs ont commencé à développer une typologie et ont suggéré différents types de motivation.

42C’est en 1996 que Saradjian [19] identifie trois grands types de femmes auteures d’incestes parmi ses patientes. Tout d’abord, il isole la catégorie des femmes qui agressent sexuellement des jeunes enfants. Pour lui, ces femmes ont le besoin d’obtenir une gratification physique et de sentir qu’elles ont le contrôle de l’enfant. De plus, il peut s’agir du besoin de se sentir plus proche encore de l’enfant, notamment quand la mère est isolée. C’est parfois le seul moyen que ces mères ont trouvé pour se sentir « connectée » à leur enfant. Parfois, il peut s’agir d’une punition donnée en cas de désobéissance de l’enfant, une punition qui se veut être une humiliation pour transférer en fait la faute sur l’enfant. Selon Mathews et al. [24], ces femmes agissent seules et s’en prennent le plus souvent à leurs propres enfants même si parfois il arrive que leurs victimes soient extérieures au foyer. Ces femmes ont également un passé traumatisant basé sur des atteintes sexuelles, une basse estime de soi et des difficultés psychologiques. Selon Cortoni [25], les femmes qui agressent sexuellement des jeunes enfants ont des fantasmes sexuels déviants et utilisent la violence pendant leurs actes.

43Ensuite, il existe selon Saradjian, des femmes qui agressent sexuellement des adolescents. Le pouvoir et le contrôle motivent également ce genre d’atteinte. Ici, la victime est essentiellement un homme. La femme croit que l’adolescent va lui donner la satisfaction qu’une relation avec un adulte pourrait lui procurer. Elle se sent proche de cet adolescent car il écoute ses problèmes et lui donne confiance en elle. Leur relation n’est donc pas basée uniquement sur la sexualité mais aussi sur l’affection. La première relation sexuelle n’est donc pas calculée. Ces femmes ont des problèmes dans leur relation avec leur mari ou leur famille. C’est ce que Mathews et al. [24] rapprochent de la catégorie « teacher/lover » où le professeur s’éprend d’un adolescent.

44Enfin, Saradjian a identifié la catégorie des femmes qui ont été obligées à cette agression par un homme. Souvent, ces femmes obéissent pour éviter un accès de violence de la part de leur partenaire. Il peut également y avoir des motivations sadiques comme le fait de ritualiser l’agression afin de blesser la victime. Cependant, il faut remarquer que ces motivations ne sont pas uniques, chaque femme ayant les siennes propres. Cette typologie apparaît alors trop simpliste.

45En 2004, Vandiver et Kercher [16] ont étudié 471 cas et identifié six catégories de femmes auteures d’agressions sexuelles :

  • les nourricières hétérosexuelles qui agressent des garçons de 12 ans environ. Généralement, elles perçoivent ces relations comme non abusives ;
  • les auteures homosexuelles non criminelles qui choisissent comme victimes des filles âgées de 13 ans environ ;
  • les femmes prédatrices sexuelles, qui ont à leur actif un grand nombre d’atteintes sexuelles. Dans 60 % des cas, ce sont des victimes masculines de 11 ans environ ;
  • les jeunes femmes exploitant des enfants qui ont environ sept ans. La moitié des victimes fait partie des proches de l’auteure ;
  • les criminelles homosexuelles qui ont pour victime des filles principalement âgées de 11 ans environ. Souvent, les victimes sont forcées à la prostitution. La motivation de l’auteure est plus économique ;
  • les délinquantes agressives homosexuelles, qui ont pour victimes des adultes féminines principalement. Il n’y a pas de motivations suggérées. Elles sont peu nombreuses.

 

La psychopathologie des auteures

46Parmi les pathologies que l’on peut rencontrer chez ces femmes, on rencontre des troubles psychiatriques, des troubles sexuels, ainsi que d’autres types de problèmes tels que les addictions ou les suicides.

47Il est toujours plus aisé de penser que les femmes ayant commis des agressions sexuelles sur leur fils ou leurs enfants sont atteintes de troubles psychiatriques. En effet, les incestes mère-fils sont encore considérés comme si rares que le comportement en lui-même paraît indiquer un trouble psychiatrique et exclure la normalité psychique. Mais il est vrai que certaines femmes auteures d’infractions sexuelles montrent des signes de troubles psychiatriques. Green et Kaplan [26] ont observé que les femmes incarcérées pour ce type d’agressions peuvent avoir un trouble lié à un stress post-traumatique, des troubles dépressifs ou développer une personnalité fuyante. Cela a été appuyé par la suite par Tardif et al., en 2005 [27], qui rajoutent qu’ils trouvaient chez ces patientes des troubles borderlines, des troubles dysthymiques (une dépression chronique mineure) et des personnalités dépendantes. Travin et al. [28] ont constaté une forte proportion de patientes atteintes de troubles bipolaires ou d’une schizophrénie paranoïde. Cependant, d’autres études menées en 2008 par Strickland [29] sur 130 femmes incarcérées montrent que les femmes ayant commis des infractions sexuelles et celles n’en ayant pas commis ont des taux similaires d’indicateurs de troubles de la personnalité, même si leur nature diffère.

48Selon des études menées en France par Harrati et al. [30] sur 13 femmes incarcérées pour agressions sexuelles, seulement quatre ont eu des consultations psychiatriques ou psychologiques pendant l’adolescence notamment liées à des tentatives de suicide ou des événements traumatiques. Green et Kaplan [26] ont également étudié les caractéristiques des maladies psychiatriques. Pour eux, le dépistage et le traitement chez ces femmes seraient plus simples.

49Les femmes auteures d’infractions sexuelles ont eu ou ont souvent des problèmes sexuels, que ce soit des problèmes durant leur enfance ou une paraphilie. La plupart des femmes condamnées pour ces agressions parlent de manière négative de leur enfance selon L.M. Mc Carty [31]. Sur 20 femmes, seules deux parlent d’une enfance heureuse. Pour les autres, dans 95 % des cas, elles ont subi des violences sexuelles ou physiques, dans 41 % des cas il y a eu un divorce difficile des parents et dans 29 % des cas ces femmes ont eu des parents alcooliques. Il a été montré par Fowler que 80 % des femmes ayant été abusées sexuellement par leur parent pendant leur enfance réitèrent cette action ensuite sur leurs propres enfants. Goth en 1982 pensait que l’ancienne victime devient un auteur dans le but de résoudre le traumatisme sexuel qu’elle a subi étant plus jeunes. Pour Saradjian, les femmes qui agressent sexuellement de jeunes enfants ont elles-mêmes été agressées très jeunes. Cependant, l’étude menée par Harrati et al. [30] montrent que sept femmes sur 13 n’ont subi aucune agression sexuelle durant leur enfance. Les chiffres sont donc variables mais cela est peut être dû à la difficulté de la révélation de ces incestes. De plus, certaines femmes ont des problèmes sexuels caractérisés par des demandes sexuelles récurrentes, intenses et fantaisistes, notamment avec des objets ou des situations incongrues et cela sur une période d’au moins six mois. On parle ici de paraphilie. Mais selon Becker, Hall et Stinson (2001), les cas de paraphilie n’ont presque jamais été diagnostiqués. Mc Carty [31] a découvert qu’une des femmes interrogées avait des relations bisexuelles régulières, qu’une participait souvent à des orgies et que d’autres n’arrivaient pas à garder un partenaire régulier.

50Chez les femmes auteures d’infractions sexuelles, on constate d’autres troubles. Les auteurs rapportent souvent une utilisation régulière de substances psychoactives chez ces femmes. Les substances visées ici sont l’alcool et les stupéfiants. Mais en 2002, Newell et Gordon [32] énoncent que seulement 53 % des femmes auteures des infractions en question ont eu précédemment des problèmes d’abus de substances psychoactives. Selon Mc Carty [31], l’abus de substances nuisibles serait en faveur d’une impossibilité pour la femme d’agresser sans abus. Cela pourrait même être une façon d’excuser leur comportement ou de rendre leur victime responsable de l’agression. Dans l’étude menée par Harrati et al. [30], sept sujets sur 13 reconnaissent avoir eu des comportements addictifs avant l’incarcération. De plus, il existerait de nombreuses tentatives de suicide parmi ces femmes auteures d’agressions sexuelles. En effet, dans l’étude menée par Harrati et al., 11 femmes sur 13 ont fait une tentative de suicide, que ce soit avant ou pendant l’incarcération. Enfin, selon Renevoize [33], les mères auteures d’inceste ont une intelligence moyenne mais néanmoins, dans l’étude menée par Mc Carty [31], 56 % des co-auteurs ont une intelligence limite. De plus, Faller [13] trouve qu’un nombre significatif de femmes ont des difficultés mentales dont 32,5 % d’instabilité mentale avec notamment des problèmes de contrôle et de jugement.

Conclusion

51Boquel [34] intitulait en 1982 le sujet de sa thèse : « L’inceste, dernier tabou ? ». Il avait déjà la prémonition que d’autres auteurs plus récents ont reproduite, comme Poiret en 2006 [35] quand il évoque « l’ultime tabou ». Le législateur a voulu en 2010 briser en quelque sorte ce non-dit, mais en vain. Incontestablement, d’autres le feront dans un futur proche, tant l’inceste sous toutes ses formes hante les prétoires. Il n’est plus permis de cacher la réalité de l’inceste et ses conséquences. Mais si « un tabou qui devient un interdit légal n’est plus un tabou » [36], l’inceste deviendra-t-il pour autant une banalité ? Peut-être pour l’inceste en général, mais certainement pas en ce qui concerne l’inceste mère-fils, qui conservera encore longtemps le statut de « dernier des ultimes tabous » tant cet acte paraît n’être, pour la société, réalisable que par des personnes atteintes d’une maladie mentale.

52Une loi spécifique à l’inceste pourrait être le prémisse d’une prise de conscience de la société et une marque sûre des mœurs qui la régissent. Elle serait aussi en quelque sorte l’ultime mesure de protection de l’enfant. Il est fortement probable, également, que l’inceste mère-fils soit de plus en plus révélé au grand jour dans un avenir proche.

53Liens d’intérêts : les auteurs déclarent n’avoir aucun lien d’intérêt en rapport avec l’article.

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Membre, 43ans Posté(e)
hanss Membre 48 588 messages
Maitre des forums‚ 43ans‚
Posté(e)
il y a 31 minutes, Plouj a dit :

Et à moins d'avoir des films, des aveux signés, je ne vois pas comment passer au-dessus des présomptions d'innocence

Oui ça ne sera pas facile en effet. 

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Membre, Voyageur, 70ans Posté(e)
Plouj Membre 111 054 messages
70ans‚ Voyageur,
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il y a 3 minutes, MarcThor a dit :

J'ai trouvé ceci; c'est assez complet...

Je me doutais que tu trouverais un truc sur les nanas .. :rolle:

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Membre, 50ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 50ans‚
Posté(e)
il y a 3 minutes, Plouj a dit :

Je me doutais que tu trouverais un truc sur les nanas .. :rolle:

Sur le même site tu as ça (pour l'inverse):

https://www.cairn.info/victime-agresseur-tome-quatre--2913376398-page-155.htm

...mais ce sont plus des extraits de bouquin...l'autre source reprend des études scientifiques et parle d'incestes de pères comme de mères et compare les deux...

"Je me doutais que tu trouverais un truc sur les nanas .. "

Comme toujours, il faut bien équiliber l'étude ...amusant que tu ne dises pas à Morrigan que , comme d'habitude, elle s'attaque aux hommes ...que Chanou ou January  ou d'autres "croient" les victimes femmes et ne croient pas les accusés hommes...qu'elles ne parent que de Berry alors que l'accusation porte sur des actes sexuels perpétrés par le couple...

"Je me doutais que tu trouverais un truc sur les nanas .. "

Un bon moyen pour toi cependant de te faire bien voir des personnes sus-citées :rolle:

G GOLDNAGEL:

https://www.lefigaro.fr/vox/societe/2018/09/03/31003-20180903ARTFIG00161-gilles-william-goldnadel-asia-argento-weinstein-une-presomption-d-innocence-a-ideologie-variable.php

 

"...Madame Argento, incarnant la morale contemporaine offensée autant que la souffrance féminine encolérée, fut donc acclamée.

Trois mois plus tard, on apprenait par la lecture du New York Times que l'égérie du hashtag le plus réussi de tous les temps avait payé 380 000 $ pour éteindre les poursuites judiciaires d'un homme qui affirmait qu'elle l'avait agressée sexuellement dans une chambre d'hôtel californienne en 2013 alors qu'il était mineur.

La réaction progressiste à cette dernière accusation n'est pas de la même farine que celle qui frappe les porcs ordinaires. Cet article de Libération signé Mathieu Lindon le 31 août, en est le témoignage le plus décontracté: «Si j'ai bien compris, pour cette malheureuse Asia Argento, la première pierre était un boomerang à retardement. Il y a certes quelque chose d'injuste quand on pense au nombre d'hommes adultes qui auraient adoré être à la place de la pauvre petite victime et qui doivent penser que c'est un étrange porc balancé à un amateur de marmelade et qu'il n'y aurait pas de quoi faire toute une tartine de cette confiture au cochon (note de l'auteur: je n'ose imaginer la réaction progressiste en cas de plaisanterie du même tonneau concernant une accusation de viol sur une jeune fille mineure)… «la partie masculine des hétérosexuels doit commencer à se sentir moins seule.».. «Et oui, ça peut arriver à tout le monde. On la ramène moins, non? Cette réaction n'est pas d'une grande noblesse mais la mesquinerie aussi, c'est humain»

Et ce mois d'août 2018 fut mesquin pour cette cause féministe radicale qui avait été la grande meneuse du mouvement Moi Aussi.

Le 15, Le New York Times révélait en effet qu'Avital Ronell, philosophe, critique littéraire et féministe américaine mondialement connue, figure de proue du déconstructionnisme et professeur de littérature comparée de l'université de New York aurait été reconnue responsable de harcèlement sexuel sur un de ses anciens élèves, Nimrod Reitman. Elle démentait toutes les accusations de harcèlement mais admettait toutefois qu'elle ne savait pas que son élève n'était pas à l'aise avec les e-mails libidineux qu'elle pouvait lui envoyer. Au terme de l'enquête, seul le harcèlement sexuel a été retenu contre elle.

Selon que vous serez progressiste ou conservateur, féministe radical ou banal hétérosexuel, les jugements médiatiques vous rendront blanc ou noir…

Mais ce qui est bien plus intéressant, au-delà de cette affaire moderne désormais banale, c'est qu'on apprenait qu'un groupe de chercheurs menés par Judith Butler, auteur de Trouble dans le genre, l'une des chercheuses féministes les plus influentes et radicales, déclaraient: «bien que nous n'ayons pas eu accès au dossier, nous avons tous travaillé pendant de nombreuses années avec la professeure Ronnel et déplorons les dommages que cette procédure lui causent, nous visons à inscrire dans des termes clairs notre objection à tout jugement produit contre elle.

Nous maintenons que les allégations prononcées à son égard ne constituent pas des preuves, mais soutiennent plutôt l'intention malveillante qui a soutenu ce cauchemar juridique. Nous témoignons de la grâce, de l'esprit affûté, de l'engagement intellectuel de la professeure Ronnel et demandons que lui soit accordée la dignité qu'elle mérite pour quelqu'un de sa stature internationale et de sa réputation».

Même le New York Times notait que cette lettre rappelait les arguments utilisés pour contrer les enquêtes de harcèlement sexuel commis par des hommes et que rejettent habituellement avec indignation les féministes radicales.

Au-delà cet usage effectivement très sélectif de la présomption d'innocence à idéologie variable,..."

 

 

Contrairement à d'autres ici, je suis pour une présomption d'innocence, non à géométrie variable suivant le sexe de la victime et de l'accusé(e), je suis pour qu'on ( les services compétents !)prenne écoute tous  les dires des victimes avec intérêt et respecte , idem pour l'accusé(e) ensuite et qu'on effectue une enquête approfondie à charge et à décharge et sans à priori ( et sans médiatisation , sans influence )...

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Membre, Voyageur, 70ans Posté(e)
Plouj Membre 111 054 messages
70ans‚ Voyageur,
Posté(e)
il y a 28 minutes, MarcThor a dit :

"Je me doutais que tu trouverais un truc sur les nanas .. "

Un bon moyen pour toi cependant de te faire bien voir des personnes sus-citées 

Tu me déçois, je te pensais capable de mieux juger les personnes .. ou alors tu ne lis que ce que tu écris et rien d'autre.

Tant pis !

il y a 30 minutes, MarcThor a dit :

Contrairement à d'autres ici, je suis pour une présomption d'innocence, non à géométrie variable suivant le sexe de la victime et de l'accusé(e), je suis pour qu'on ( les services compétents !)prenne écoute tous  les dires des victimes avec intérêt et respecte , idem pour l'accusé(e) ensuite et qu'on effectue une enquête approfondie à charge et à décharge et sans à priori ( et sans médiatisation , sans influence )...

Alors tu devrais relire le sujet et porter un jugement par la suite.

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Membre, 50ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 50ans‚
Posté(e)
il y a 8 minutes, Plouj a dit :

Tu me déçois, je te pensais capable de mieux juger les personnes .. ou alors tu ne lis que ce que tu écris et rien d'autre.

Tant pis !

Alors tu devrais relire le sujet et porter un jugement par la suite.

Je ne juge personne... Pourquoi dis-tu que je juges quelqu'un?

J'avoue ne pas comprendre...tu sembles penser que je t'accuse de quelque chose?

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Membre, Voyageur, 70ans Posté(e)
Plouj Membre 111 054 messages
70ans‚ Voyageur,
Posté(e)
il y a 9 minutes, MarcThor a dit :

Je ne juge personne... Pourquoi dis-tu que je juges quelqu'un?

Peut-être ne donnons-nous le même sens aux mots !

il y a 51 minutes, MarcThor a dit :

.amusant que tu ne dises pas à Morrigan que , comme d'habitude, elle s'attaque aux hommes ...que Chanou ou January  ou d'autres "croient" les victimes femmes et ne croient pas les accusés hommes...qu'elles ne parent que de Berry alors que l'accusation porte sur des actes sexuels perpétrés par le couple.

Sous-entendant que je suis d'accord avec elles ? Pas sur tout !

il y a 51 minutes, MarcThor a dit :

Un bon moyen pour toi cependant de te faire bien voir des personnes sus-citées 

Mais quel intérêt ? j'échange comme je le fais souvent avec toi et je ne me gêne jamais pour l'écrire lorsque je ne suis pas du même avis.

il y a 9 minutes, MarcThor a dit :

J'avoue ne pas comprendre...tu sembles penser que je t'accuse de quelque chose?

Malentendu, sans doute.

Pas de souci !

Modifié par Plouj
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Membre, 50ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 50ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, Plouj a dit :

Peut-être ne donnons-nous le même sens aux mots !

Sous-entendant que je suis d'accord avec elles ? Pas sur tout !

Mais quel intérêt ? j'échange comme je le fais souvent avec toi et je ne me gêne jamais pour l'écrire lorsque je ne suis pas du même avis.

Malentendu, sans doute.

Pas de souci !

Peut-être ne donnons-nous le même sens aux mots !

Lesquels? J'avoue de nouveau ne pas comprendre.

Sous-entendant que je suis d'accord avec elles ? Pas sur tout !

Je n'ai pas dit cela...Pourquoi as-tu compris cela? cela confinerait d'ailleurs au ridicule tant . Il suffit de lire ces personnes pour être sidéré de la différence de traitement, du respect de la présomption d'innocence ou de culpabilité, "à géométrie variable", essentiellement selon le sexe de la personne présumée victime et de la personne présumée coupable. Elles sont bien dans le féminisme moderne, inégalitaire, jugeant de chaque individu essentiellement selon son sexe. Pour être plus précis, je ne penses pas que tu ne tombes là-dedans.

Mais quel intérêt ? j'échange comme je le fais souvent avec toi et je ne me gêne jamais pour l'écrire lorsque je ne suis pas du même avis.

Oui, c'est ce qui est intéressant: confronter des avis argumentés, portés par des prérequis: réflexion sérieuse  avec le souci de l'honnêteté intellectuelle et étude de sources fiables et non propagandistes, qui diffèrent parfois, le plus souvent à la marge lorsque les prérequis sont respectés par chacun, qui s'enrichissent mutuellement.

Malentendu, sans doute.

Je pense.

Pas de souci !

J'espère.

Tu souhaitais une étude. L'étude sociologique trouvée sur cairn est basée sur de nombreuses enquêtes. Contrairement au titre( je ne pouvais pas le changer!), elle étudie et compare même tous les cas d'incestes( tu verras qu'il y a juste un léger focus sur  le cas mère-fils ), montre les constantes qui se dégagent de toutes les études sur l'inceste. C'est assez intéressant.

C'était une bonne idée de vouloir élargir avec des études ( tu pensais plutôt à des études psy que sociologiques si j'ai bien compris cependant, je crois) car que dire d'un cas dont on ne sait s'il correspond à un fait réel ou une allégation mensongère pour nuire aux deux accusés? Les deux sont possibles et ont été vus dans de nombreux cas par le passé. Le débat tourne vite sur le respect de la présomption d'innocence, le respect et la prise en compte de la parole de la présumée victime...On a vite fait le tour...après, on peut s'occuper  avec celles que j'ai évoquées, qui ont décidé de ne voir qu'une seule des deux personnes accusées- l'accusation portant pourtant sur des jeux sexuels avec le couple Berry-Manson ( ben oui, l'autre, c'est une femme)et de dire qu'il est "forcément coupable" (ben oui , c'est un homme) et de prétendre que la présumée victime dit "forcément la vérité"( ben oui, c'est une femme)... Ce qui est intéressant sur ce dernier point, bien davantage que l'avis de ces quelques  néoféministes dans la haine de l'homme du forum (heureusement , toutes ne sont pas ainsi), c'est que des études ont montré que la propagande néoféministe a fini par atteindre son but :  faire voir l' homme négativement par principe, faire voir la femme positivement par principe, dans notre société occidentale( de quoi ouvrir un futur sujet).

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Ce n'est pas parce qu'une personne porte plainte qu'elle dit forcément la vérité d'où je m'abstiendrais de tout jugement sur celui qui est accusé. 

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 049 messages
108ans‚ ©,
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Je vais me répéter mais c'est rarissime les mensonges dans les cas d'incestes. Je fais pas autorité loin de là, mais en presque 30 ans j'en ai vu des choses quand même, et jamais un mensonge. Si vous interrogez toutes les associations, les avocats spé, ils vous diront la même chose :unknw:  Pourquoi personne n'aurait la connaissances des façons d'expressions verbales, de la rédaction, emploi de mots communs au trauma (oui il y en a), métaphores, mécanismes, comportements ? 

Il n'y a jamais eu une seule évolution dans le récit de Coline Berry, depuis sept ans. Coline Berry assure qu'il ne fera pas le poids face à son dossier, ce que le monde (entre autre) a révélé est déjà accablant.

 

S'il devait y avoir un débat, ce serait peut être celui de la médiatisation ? Est-ce que la médiatisation de ces affaires devrait être interdite ?  Puisqu'après tout ça gêne tout le monde a un point que personne ne veut s'exprimer complètement.

 

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Que cela soit rare ou pas, cela ne change rien, des gens peuvent raconter n'importe quoi pour détruire l'autre, je ne dis pas que c'est le cas dans cette affaire mais qu'actuellement,  on ne sait pas ce qu'il en est. 

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Membre, 153ans Posté(e)
chanou 34 Membre 25 913 messages
Maitre des forums‚ 153ans‚
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il y a 23 minutes, January a dit :

Je vais me répéter mais c'est rarissime les mensonges dans les cas d'incestes. Je fais pas autorité loin de là, mais en presque 30 ans j'en ai vu des choses quand même, et jamais un mensonge. Si vous interrogez toutes les associations, les avocats spé, ils vous diront la même chose :unknw:  Pourquoi personne n'aurait la connaissances des façons d'expressions verbales, de la rédaction, emploi de mots communs au trauma (oui il y en a), métaphores, mécanismes, comportements ? 

Il n'y a jamais eu une seule évolution dans le récit de Coline Berry, depuis sept ans. Coline Berry assure qu'il ne fera pas le poids face à son dossier, ce que le monde (entre autre) a révélé est déjà accablant.

 

S'il devait y avoir un débat, ce serait peut être celui de la médiatisation ? Est-ce que la médiatisation de ces affaires devrait être interdite ?  Puisqu'après tout ça gêne tout le monde a un point que personne ne veut s'exprimer complètement.

 

Laisse tomber...ça ne sert à rien.

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Invité Leebre
Invités, Posté(e)
Invité Leebre
Invité Leebre Invités 0 message
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il y a 30 minutes, January a dit :

Je vais me répéter mais c'est rarissime les mensonges dans les cas d'incestes. Je fais pas autorité loin de là, mais en presque 30 ans j'en ai vu des choses quand même, et jamais un mensonge. Si vous interrogez toutes les associations, les avocats spé, ils vous diront la même chose :unknw:  Pourquoi personne n'aurait la connaissances des façons d'expressions verbales, de la rédaction, emploi de mots communs au trauma (oui il y en a), métaphores, mécanismes, comportements ? 

Il n'y a jamais eu une seule évolution dans le récit de Coline Berry, depuis sept ans. Coline Berry assure qu'il ne fera pas le poids face à son dossier, ce que le monde (entre autre) a révélé est déjà accablant.

 

S'il devait y avoir un débat, ce serait peut être celui de la médiatisation ? Est-ce que la médiatisation de ces affaires devrait être interdite ?  Puisqu'après tout ça gêne tout le monde a un point que personne ne veut s'exprimer complètement.

 

Ah bon ???

Les difficultés de la quantification

Le ministère de la Justice n'a jamais procédé à une évaluation de la proportion de classements sans suite par rapport à l'ensemble des plaintes, sans doute parce qu'une telle démarche mettrait en évidence certains de ses dysfonctionnements majeurs

https://fr.wikipedia.org/wiki/Accusation_infondée_d'abus_sexuel_sur_mineur_en_France

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 049 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)
il y a 14 minutes, Forum@ a dit :

Que cela soit rare ou pas, cela ne change rien, des gens peuvent raconter n'importe quoi pour détruire l'autre, je ne dis pas que c'est le cas dans cette affaire mais qu'actuellement,  on ne sait pas ce qu'il en est. 

Regarde, à la fin d'un procès d'assises, tu ne sais pas non plus toujours ce qu'il en est. Et pourtant.. 

Là, la justice ne nous dira point "coupable" ou "non coupable". Mais on a quand même la possibilité de s'exprimer sur ce fait divers, comme sur les autres, et heureusement d'ailleurs. Sinon on ne parlerait plus jamais de rien. 

Beaucoup de gens sont persuadés que Cédric Jubillar a tué sa femme. Bah là, moi je ne sais pas, je ne me suis pas prononcée, il y a des choses bizarres, mais honnêtement je suis pas tranchée. 

Et sur d'autres faits divers, je tranche. Adèle Haenel, Vanessa Springora, ah, il y a plus longtemps : Catherine Allégret. Mon dieu, elle a dénoncé Yves Montand, l'enfant chéri. Elle s'en est pris plein la tête ! Bah pareil, moi je l'ai crue. 

Les affaires sont immensément complexes. "Croire" c'est comme "dire", c'est pas forcément tout dire. 

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Membre, Un oiseau la tête en bas !, Posté(e)
Sittelle Membre 12 317 messages
Un oiseau la tête en bas !,
Posté(e)
il y a 50 minutes, January a dit :

Je vais me répéter mais c'est rarissime les mensonges dans les cas d'incestes. Je fais pas autorité loin de là, mais en presque 30 ans j'en ai vu des choses quand même, et jamais un mensonge. Si vous interrogez toutes les associations, les avocats spé, ils vous diront la même chose :unknw:  Pourquoi personne n'aurait la connaissances des façons d'expressions verbales, de la rédaction, emploi de mots communs au trauma (oui il y en a), métaphores, mécanismes, comportements ? 

Il n'y a jamais eu une seule évolution dans le récit de Coline Berry, depuis sept ans. Coline Berry assure qu'il ne fera pas le poids face à son dossier, ce que le monde (entre autre) a révélé est déjà accablant.

 

S'il devait y avoir un débat, ce serait peut être celui de la médiatisation ? Est-ce que la médiatisation de ces affaires devrait être interdite ?  Puisqu'après tout ça gêne tout le monde a un point que personne ne veut s'exprimer complètement.

 

Ce qui me dérange c'est plus le fait malgré la prescription, de faire le procès en 2021 de faits qui se soient passer dans une société bien plus libérée sexuellement .

La vision de la société a changer de braquet, ce qui est tant mieux .. mais ce ne devrait  pas être possible de punir pour un crime actuel qui n'en était pas un antérieurement .

C'est pour cela que je parlais plus en avant de chasse aux sorcières. Plutôt sorcier d'ailleurs ..

Modifié par Sittelle
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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 049 messages
108ans‚ ©,
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il y a 1 minute, Leebre a dit :

Ah bon ???

Oui. Je persiste et je signe. Regarde, même dans ton article n'est cité que l'affaire Madeira, une affaire. Oui, c'est rarissime. Je rappelle qu'on parle d'inceste ici, hors contexte de divorce, je ne dis pas que les fausses allégations n'existent pas. Je dis que depuis 30 ans, jamais les associations spécialisées ou encore le service victimo où j'ai bossé n'ont été approchés par des victimes menteuses. Jamais. 

 

il y a 1 minute, Sittelle a dit :

Ce qui me dérange c'est plus le fait malgré la prescription, de faire le procès en 2021 de fait qui se soient passer dans une société bien plus libérée sexuellement .

La vision de la société a changer de braquet, ce qui est tant mieux .. mais ce ne devrait  pas être possible de punir pour un crime actuel qui n'en était pas un antérieurement .

C'est pour cela que je parlais plus en avant de chasse aux sorcières. Plutôt sorcier d'ailleurs ..

Je comprends ce que tu dis. Mais ce n'est pas du côté de l'adulte qu'il faut voir ça, c'est du côté de l'enfant. Pense d'abord à l'enfant qui est visité la nuit par son propre père. La société n'a jamais autorisé le viol de son propre enfant, c'est l'interdit fondateur en fait. 

Donc, victimes quadra ou quinqua et +, on leur dit quoi ?  Elles les ont pas les séquelles et les pensions à vie A survie je devrais dire ? Juste parce-qu'à cette époque, c'était normal ? 

  • Merci 1
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