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Le masculinisme, ou comment faire reculer les femmes

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soisig

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Membre, Voyageur, 70ans Posté(e)
Plouj Membre 110 553 messages
70ans‚ Voyageur,
Posté(e)
il y a 15 minutes, Mr_Fox a dit :

Les nazis c'est sensiblement pareil à deux différences près : ils voulaient tuer beaucoup moins de monde, mais ils avaient les moyens de le faire.

Avec les moyens médicaux et scientifiques d'aujourd'hui, je suis bien certain que l'on doit pouvoir créer des virus hypers sélectifs avec les vaccins associés !

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Membre, Animal sauvage, Posté(e)
Mr_Fox Membre 18 189 messages
Animal sauvage,
Posté(e)
il y a 1 minute, Plouj a dit :

Avec les moyens médicaux et scientifiques d'aujourd'hui, je suis bien certain que l'on doit pouvoir créer des virus hypers sélectifs avec les vaccins associés !

Cette phrase était valable pour les gauchistes, pas pour Bill Gates.

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Membre, Voyageur, 70ans Posté(e)
Plouj Membre 110 553 messages
70ans‚ Voyageur,
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il y a 1 minute, Mr_Fox a dit :

Cette phrase était valable pour les gauchistes, pas pour Bill Gates.

Tout s'achète, à droite comme à gauche !

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 13 911 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
Posté(e)
Le 08/12/2020 à 18:25, Barbara lebol a dit :

Bonjour Léna, c'est un peu la réalité :

"D'après les chiffres du ministère de la Justice, seuls 12% des enfants de parents séparés sont confiés au père. Contre 71% à leur mère. ... L'enfant sera domicilié chez ses deux parents, selon des modalités de fréquences et de durées définies par le juge.19 mai 2014"
 
Comment peut-on demander à un père de s'impliquer dans l'éducation de son enfant s'il sait qu'en cas de conflit avec la mère il risque d'être aussi séparé de son enfant ? Je connais des cas de femme refaisant leur vie parce-qu'elles s'étaient éprises d'un autre homme ( les aléas de la vie !) et qui se voyaient confier la garde de l'enfant.
Je trouve cela injuste !
Un enfant a besoin de ses 2 parents.
Pour 1 fois je cite mon cas personnel : j'ai eu une mère dépressive-suicidiare. C'est essentiellement mon père qui assurait le quotidien. Je suis bien placée pour dire que l'enfant a besoin de ses 2 parents surtout quand l'un est défaillant, et il a besoin aussi bien du père que de la mère.
 
Notre vécu d'enfant ou d'adulte déçu peut influencer notre vision d'autrui.

Bonjour Barbara,

Ce dont a besoin un enfant c'est d'amour et de bienveillance. Or, l'amour exclue l'inceste, la pédopocriminalité (ce que d'autres appellent encore pédophilie). La bienveillance, quant à elle, exclue la violence. Il est de notre devoir d'adultes, il est du devoir de la société de protéger ces enfants, absolument : ils sont la priorité (devant ces pères délinquants ou criminels, toujours). 

SOS papa est une vitrine idéologique (masculiniste) qui non seulement revoie constamment les chiffres à la hausse -et les détourne- mais en plus valorise le "syndrome de l'aliénation parentale" ainsi qu'un supposé conflit de loyauté (qui serait toujours en faveur de la mère). Cette association abrite en son sein, protège et privilégie nombre de profils de pères maltraitants. 

En outre, la plupart des couples quand ils se séparent ou divorcent s'accordent quant au mode de garde. Peu sont réellement en conflit, a contrario de ce que voudrait nous faire croire cette association. SOS papa mise également sur ces couples, qui pourtant se sont accordés quant au mode de garde, et refuse encore d'admettre que si des pères ne demandent pas la garde alternée systématiquement, c'est bien parce qu'ils y trouvent leur compte. Le mode de garde alternée est davantage choisi actuellement et d'autant quand les enfants sont adolescents. 

C'est triste pour vous, votre mère, ainsi que votre père.

Il y a d'excellents pères -et heureusement encore- j'en ai aussi dans mon entourage (et la garde alternée pour les deux parents a été une évidence). Il est dommage d'associer ces pères remarquables à toute cette plèbe estampillée SOS papa, néanmoins (perso, j'évite). 

Le 08/12/2020 à 21:00, Plouj a dit :

J'imagine que ce genre de nana ne représente qu'une minorité. Y a-t-il de quoi en avoir peur ?

La misandrie de ces femmes n'a pas tué a contrario de l'idéologie anti-féministe qui fait des ravages depuis fort longtemps déjà (voir MGTow plus haut, Incels à venir et encore les chasses aux sorcières depuis la fin du Moyen-Âge, surtout à la Renaissance et jusqu'au XVIII ème pour la dernière exécution de femme en Allemagne).  

Il y a 22 heures, Mr_Fox a dit :

Se dispenser du stéréotype rendrait l'expression verbale impossible. Chaque mot est un symbole qui représente la chose réelle. 

Le stéréotype est la chose qui rend possible d'agglomérer différentes femmes dont les conditions de vie sont très différentes sous un seul mot et d'y associer une lutte, donnant ainsi l'illusion de pertinence.

Les débiles qui ont écrit cet article sont tellement dans le jugement qu'ils ne comprennent même pas ce qu'ils disent, ils croient que le stéréotype et la discrimination sont le mal alors qu'il ne pourraient pas survivre une seule heure sans ces outils primordiaux.

Darwin d'accord, mais pas à toutes ls sauces. 

Ce qu'il y a d'écrit, semblerait-il, c'est que ces stéréotypes ne sont pas naturels. Les rendre naturels permet de généraliser à l'ensemble des individus qui seraient alors naturellement racistes. Ce serait toutefois confortable, vraiment, et permettrait du moins de ne plus se sentir seul vaincu, isolé sans doute, dans son idéologie raciste. 

(fin de la parenthèse).

Le 08/12/2020 à 23:39, Plouj a dit :

Entre vouloir telle ou telle société et ce qui se passera réellement, il y a un écart !

Il y a quelques années, personne n'aurait parié sur l'IVG, c'est passé, il existe pourtant des femmes qui sont contre aujourd'hui.

Elles se sont battues pour leur liberté sexuelle, les puritaines reviennent les rues.

Le monde va et revient.

On peut, bien sûr, aborder le problème calmement, le néoféminisme, j'ai du mal à le voir prendre le dessus. Des femmes sont raisonnables, des hommes aussi, ce sont ces humains-là qui m'intéressent.

Une femme d'origine maghrébine n'est pas obligatoirement musulmane, donc pas voilée, si ?

 

La liberté de disposer de son corps. 

Des femmes (et des hommes) ont toujours pratiqué l'avortement, bien avant les années 70, mais pas forcément dans les meilleures conditions qui soient. Étonnamment ce sont dans les pays de l'Est, qu'il est d'abord légalisé (avant d'être à nouveau interdit et pénalisé). 

Il n'y a aucune liberté sinon et alors que des femmes se font encore tirer par les cheveux, étrangler, machiner par des vieux (et des moins vieux), en nombre parfois, lors de ce qui est censé être une relation sexuelle et au travers la propagande pornographique maintream. Plus communément, alors que de nombreuses femmes s'ennuient toujours pendant les rapports sexuels avec un homme (ou trouvent plus de plaisir avec un jouet en plastique). Pour la liberté sexuelle, il nous faut oeuvrer. Genre, vraiment. 

Ces femmes, qui se sont "battues", n'ont pas réussi à se libérer, pleinement (certaines féministes, bienveillantes, comme Mona Ozouf, pour exemple, n'ont aucun mal à le reconnaître). Il est fort possible que ce ne fut pas l'objectif de toutes seulement ou encore qu'elles se soient faites phagocyter par le mouvement dit "libertaire".

Certain(e)s ont tendance à sacraliser cette période de manifestations post-soixantuitarde, et pourtant elle comporte bien des zones d'ombres, et notamment en ce qui concerne l'adhésion ou le soutien de nombreux  "libertaires" quant aux mouvements apologistes pédocriminels :

"Jean-Paul Sartre, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Gilles et Fanny Deleuze, Francis Ponge, Philippe Sollers, Jack Lang, Bernard Kouchner, Louis Aragon, André Glucksmann, François Châtelet et bien d'autres encore, de Félix Guattari à Patrice Chéreau ou Daniel Guérin ; tous font partie des 69 intellectuels français qui, aux côtés de l'écrivain Gabriel Matzneff et du romancier, journaliste à Libération et membre fondateur du Front homosexuel d'action révolutionnaire (FHAR) Guy Hocquenghem ont signé une tribune publiée le 26 janvier 1977. D'abord dans le Monde pui sLibération pour défendre trois hommes incarcérés depuis plus de trois ans pour avoir abusé sexuellement de mineurs de moins de 15 ans. 

"Trois ans de prison pour des caresses et des baisers, cela suffit !' écrivaient les signataires". 

Ils demandaient la relaxe des trois hommes au prétexte que les enfants n'avaient pas été victimes de la moindre violence, mais, au contraire, qu'ils étaient consentants.

Le 23 mai 1977, dans les pages "Opinions" du Monde, 80 intellectuels français parmi lesquels Jan-Paul Sartre, Michel Foucault, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Alain Robbe-Grillet, Jacques Derrida, Philippe Sollers et même Françoise Dolto signent un autre texte pour demander que la loi décriminalise les rapports sexuels entre les adultes et les enfants de moins de 15 ans. 

https://www.franceculture.fr/societe/quand-des-intellectuels-francais-defendaient-la-pedophilie

Un décalage avec la société et... avec les féministes

"Si une partie des intellectuels défend ce mouvement pro-pédophile, ce n’est pas le cas de la société. "La majorité des personnes dans la société courante n’y était pas favorable", explique Virginie Girod, docteure en histoire, spécialiste de l’histoire des femmes et de la sexualité. Et cette vision, ce "noyau dur d’intellectuels" l’a "défendue dans des journaux qui trouvaient génial de soutenir ces fameux mantras 'il est interdit d’interdire’ et ‘jouissons sans entrave’. Dans la petite intelligentsia parisienne, on défendaitles valeurs de la liberté absolue sans se poser de questions". Ce côté "transgressif, cette faculté à bousculer les codes", ajoute l’historienne, a permis à certains intellectuels dont Gabriel Matzneff d’en tirer une "véritable aura médiatique"

Puis il y a eu les mouvements féministes qui ont dénoncé le patriarcat et la domination masculine, "qui se traduit par cette prise de possession et cette domination du corps des femmes et des enfants", explique Anne-Claude Ambroise-Rendu, historienne et professeure d’histoire à l’université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines.

"Dans les mouvements qui luttaient contre l’idée d’une majorité sexuelle dans la seconde partie des années 1970, il y avait l’idée que des rapports entre adulte et enfant pouvaient être envisagés, exempts des rapports de domination traditionnelle, en particulier de domination familiale", ajoute Jean Bérard, maître de conférence à l’ENS Paris-Saclay. Un argument contesté, en particulier par les mouvements féministes". 

Ce qui explique, en partie, la haine viscérale et la rancoeur de bien des libertaires, envers des féministes -ni libertaires ni accrochées à une bible pourtant- que je qualifierais, pour ma part, de bienveillantes, censées et autrement plus humaines et inspirantes ! 

Modifié par Léna-Postrof
Mais que fait la police !
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Membre, Voyageur, 70ans Posté(e)
Plouj Membre 110 553 messages
70ans‚ Voyageur,
Posté(e)
il y a 14 minutes, Léna-Postrof a dit :

Ce qui explique, en partie, la haine viscérale et la rancoeur de bien des libertaires, envers des féministes -ni libertaires ni accrochées à une bible pourtant- que je qualifierais, pour ma part, de bienveillantes, censées et autrement plus humaines et inspirantes ! 

Il ne faudrait pas non plus tomber dans l'excès inverse.

Que les religions aient et profitent encore de la bêtise humaine comme elle le pratique depuis des centaines d'années me surprend toujours.

Mais, que des femmes veuillent inverser les rôles et poursuivre l'histoire en mettant les hommes de côté ne me parait pas non plus très intelligent.

Trouver un juste milieu entre personnes sensées me parait plus judicieux, à moins que ce genre de personnes se fasse de plus en plus rare, demain ne sera pas gai !

 

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 13 911 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
Posté(e)
il y a 3 minutes, Plouj a dit :

Il ne faudrait pas non plus tomber dans l'excès inverse.

Que les religions aient et profitent encore de la bêtise humaine comme elle le pratique depuis des centaines d'années me surprend toujours.

Mais, que des femmes veuillent inverser les rôles et poursuivre l'histoire en mettant les hommes de côté ne me parait pas non plus très intelligent.

Trouver un juste milieu entre personnes sensées me parait plus judicieux, à moins que ce genre de personnes se fasse de plus en plus rare, demain ne sera pas gai !

 

La misogynie vient d'un ordre des choses qui a été établi et ne doit surtout pas être bousculé, dérangé, et encore moins pas par les femmes. Tandis que la misandrie, elle, semble découler d'une certaine colère. Il est nécessaire de laisser cette colère s'exprimer. Je lisais ceci, récemment, suite à l'indignation qu'a suscité le livre de P. Harmange, misandre néanmoins en couple (avec un homme) :

https://www.aufeminin.com/news-societe/misandrie-s4017967.html

 

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Membre, Voyageur, 70ans Posté(e)
Plouj Membre 110 553 messages
70ans‚ Voyageur,
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il y a 4 minutes, Léna-Postrof a dit :

La misogynie vient d'un ordre des choses qui a été établi et ne doit surtout pas être bousculé, dérangé, et encore moins pas par les femmes. Tandis que la misandrie, elle, semble découler d'une certaine colère. Il est nécessaire de laisser cette colère s'exprimer. Je lisais ceci, récemment, suite à l'indignation qu'a suscité le livre de P. Harmange, misandre néanmoins en couple (avec un homme) :

https://www.aufeminin.com/news-societe/misandrie-s4017967.html

 

De toutes façons, cela ne leur suffira jamais, alors quitte à être perdantes, embrassons la misandrie, cette juste détestation des oppresseurs. Elle ne nous empêchera pas forcément d’échanger, de nouer des relations, voire d’aimer des hommes. Mais, misandres assumées, nous pourrons enfin fixer nos conditions, comme des individus à part entière.

D'un excès à l'autre.

Ce qui n'empêchera pas d'être des individus à part, entière. (avec une virgule, ça change tout !)

 

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 13 911 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
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PUA, Pick-up artist...? Mesdames, vous en avez sûrement déjà croisés. 

 

Pick-up artists : quand la drague se teint de haine

Le Royaume-Uni a décidé hier d’interdire l’accès à son territoire à Julien Blanc, un des nombreux « pick up artist » qui enseignent la séduction dans le monde. Portrait de cette communauté vieille de presque quarante ans.

"À Tokyo si vous êtes un homme blanc, vous pouvez faire ce que vous voulez (avec les femmes japonaises ndlr) tout ce que vous avez à faire c'est de faire retomber la pression en criant Pokachu ou Pokémon ou Tamagochi ou n'importe quoi. Je pouvais les attraper par la tête, et les pousser devant ma bite, à crier Pikachu en portant un tee shirt Pikachu, c'était ridicule !".

Julien Blanc, 25 ans, pick up artist et auteur de ces mots s'est excusé le 17 novembre sur CNN pour les propos e les actes qu’il a perpétrés ces dernières semaines. Malgré ses excuses, le Royaume-Uni a confirmé hier sa décision de lui interdire l’accès à son territoire, cédant ainsi à la demande formulée dans une pétition qui a obtenu plus de 150 000 signatures. Suivant ainsi l’exemple de l’Australie, du Brésil et de la Corée où ce "professionnel de la drague" américain d'origine suisse n'a également plus le droit à un visa. Celui que le Times appelle : "l'homme le plus détesté du monde"se revendique d’une mouvance qui ne date pas d’hier : la culture des "pick-up artists", soit l'art d'amener les femmes à coucher.

Le Centre sur l'étude des femmes de l'université de Californie la qualifiait en 2010 de "sous-culture" qui aurait participé à provoquer, entre autres, de nombreux féminicides. Associée au courant de pensée sexiste, elle réunit tous ces "séducteurs" et leurs apprentis autour de l'idée que : “les femmes sont interchangeables, qu'elles n'ont d'importance que lorsqu'elles satisfont les désirs des hommes”. Retour sur l’évolution de ce mouvement qui a bientôt quarante ans

Quand la drague devient un game 

En 1977, l’émancipation des femmes est au cœur des préoccupations en Occident : les Nations unies déclarent officiellement le 8 mars Journée Internationale de la femme. Cette même année, un auteur américain du nom d’Eric Weber publie un ouvrage intitulé : Comment choper des filles ! Un guide au titre évocateur vendu à plus de 2 millions d’exemplaires dans le monde entier. Le mouvement des pick up artists (littéralement ceux qui élèvent l’action de choper au rang d’art) est né. Sacrée coïncidence.

Quinze ans tard, c’est ensuite Ross Jeffries qui réunit autour de lui ce qui devient alors la communauté de la séduction. Il écrit en 1992 : Comment mettre les femmes que vous désirez dans votre lit, un guide coquin de la drague et de la séduction pour l’homme qui en a marre d’être M. Gentil. Ne se cantonnant pas à son rôle d’auteur, Ross Jeffries anime dès lors des conférences et des ateliers où il enseigne le “game” : des techniques neurolinguistiques (principalement de l’hypnose et du langage subliminal) pour une séduction rapide. On parle alors de lui comme un gourou et nombreux sont ceux qui suivent son exemple et deviennent des coachs sur le même modèle.

En 1999, le réalisateur Paul Thomas Anderson s’inspire largement de Ross Jeffries pour l’un des personnages principal de son film Magnolia. On y voit Franck T.J. Mackie haranguer une foule d'hommes en liesse: Respectez le pénis et matez le vagin ! Foncez tête baissée avec des techniques que je vais vous apprendre pour dire : Non ! Tu ne me contrôleras pas ! Tu ne prendras pas mon âme ! Tu ne gagneras pas ce jeu. Car c'est un jeu messieurs !.

Suite de l'article : https://www.lesinrocks.com/2014/11/19/actualite/actualite/les-pick-up-artists-culture-dune-culture/

Y en a qu'on essayé ! 

"Comme je suis beaucoup trop lâche pour me lancer tout seul dans le game – oui, draguer dans la rue ça s’appelle « gamer » – j’opte pour les cours d’un « expert ». Facile à trouver : les profs de YouTube renvoient tous à leur site perso où sont proposées des séances de coaching. J’opte pour Vincent, de La Gouaille. Premier obstacle : le week-end coûte en moyenne 1 000 euros. Un peu cher, non ? « Ce sont des produits [sic] pour approfondir certaines techniques auprès de gens qui me connaissent déjà, ça fait aussi évoluer mon business », m’explique Vincent dans un mail bourré de smileys « sourire » et « clin d’œil ».

Les techniques de Vincent ? Dans ses vidéos, il expose notamment "pourquoi les filles préfèrent les mauvais garçons", "comment choisir la bonne fille pour conclure en fin de soirée", qu'il ne faut pas être trop gentil ou "faire le toutou". Dans l’épisode « Comment embrasser une fille en six étapes », il incite à « porter ses couilles » et à imprimer une « légère pression sur la nuque » pendant un baiser, parce que « ça fait dominant ». Charmant. Tant pis pour Vincent et ses 1 000 euros le week-end.

Mais pour les débutants sans le sou, il existe une autre manière de se faire coacher : trouver un wingmate – mot officiel pour parler de son acolyte de drague – sur un forum. « Cherche wing sur Paris entre 14 et 15 heures. » Le post est signé David. C’est comme ça que je me retrouve ce lundi, entre 14 et 15 heures, à aborder cette fille dans le quartier des Halles, sous le regard bienveillant de David. Du haut de ses 21 ans, un peu bedonnant, le regard doux, petite veste grise près du corps, il me conseille sur les techniques d’approche. Il a l’expérience du game, David, il le pratique depuis l’âge de 16 ans. Alors, lorsque je reviens vers lui rincé après mon premier abordage – ou plutôt naufrage –, il sait trouver les mots. « Elle m’a dit que j’étais courageux », lui dis-je, penaud. Réponse de mon coach : «Super ! Franchement, aborder un fille dès sa première sortie c'est dur, bravo ! – Mais courageux, ça veut dire qu’elle avait un peu pitié de moi, non ? – Si, un peu… mais c’est pas grave, l’important, c’est de t’être lancé. Par contre, fais attention à ta posture, tu étais trop penché vers elle, ça peut gêner. »

Je continue d’arpenter le quartier des Halles avec David, aux aguets, en scrutant chaque fille que nous croisons. J’ai l’impression d’être un prédateur et ce n’est pas franchement agréable. Si la « cible » est seule, alors nous appliquons la recette ressassée sur YouTube : se retourner, marcher d’un pas rapide, passer devant elle et tenter d’engager la conversation. Gênant. Très gênant. Pour dépasser mon trouble, je me concentre sur ma technique. Est-ce que j’ai la bonne attitude ? Est-ce que je rebondis bien après les réponses de mes interlocutrices ? Dois-je changer de phrase d’accroche ? Surtout, je laisse tomber l’objectif « numéro de téléphone », sorte de Graal inatteignable. Mon but désormais est de me faire bien voir de David en tenant la jambe de la fille le plus longtemps possible. « On dit que les bons pick-up ont un ratio de un sur trois : ils prennent le numéro d’une fille sur trois. » Pour parler aux filles, David est bien plus à l’aise que moi. Mais il n’a pas plus de succès pour autant : aucun numéro pour cette session. « Une fois, j’ai réussi à embrasser une fille abordée dans la rue. C’est mon record. » En cinq ans et malgré plusieurs entraînements par semaine, son bilan me paraît bien maigre. Je ne comprends vraiment pas pourquoi la perspective de se faire basher le réjouit autant. David concède : "C'est bizarre de dir ça, je sais, mais le game c'est un peu le piment de ma vie. Récemment, j'ai abordé 200 filles". Deux cents ? ? Mais en combien de temps ? « Pas longtemps, je
faisais des sessions de 20, j’avais une liste et je cochais… Mais ça s’est assez mal passé, il y a eu plusieurs sessions où je me prenais 18 vents sur 20. Quand je te parle de vents, ça veut dire des filles qui ne te répondent pas ou qui soufflent quand tu leur parles. J’ai dû me remettre en question. »

https://www.neonmag.fr/hey-mademoiselle-on-a-teste-les-methodes-sexistes-des-coachs-en-seduction-sur-youtube-493689.html

Pour comprendre encore la "logique" PUA https://forum-seduction.artdeseduire.com/s-o-s-aide-perso-posez-vos-questions/75738-ou-trouver-les-plus-jolies-filles-online-spu-npu.html

*le SPU c'est le Street Pick-Up (la "drague" de rue) et le NPU, le Night Pick-Up (la "drague" de nuit).

Dans celui-ci c'est un PUA qui répond à un homme qui a inflitré un réseau PUA parisien, tout en essayant tout de même encore de lui vendre un e-book à 29€ https://www.diaryfrenchpua.com/commentaire-larticle-polemique-temoignage-jai-infiltre-les-pua/

 

"Deux vidéastes qui montraient des « techniques » pour aborder des femmes dans la rue ont été bannis de YouTube. L'un d'entre eux a été condamné pour comportement menaçant et abusif.

Les «picck-up artists» sont en théorie des « experts en séduction ». Pour y parvenir, certains dépassent largement les limites. L’un d’entre eux a été condamné au Royaume-Uni pour avoir harcelé, tenté d’agresser et menacé des femmes dans la rue. YouTube a supprimé sa chaîne, ainsi que celle d’un groupe de pick-up artists douteux, a rapporté la BBC ce 7 octobre.

Les pick-up artists publiaient leurs prétendus exploits sur les chaînes YouTube Addy A-Game et Street Attraction. Ils avaient des centaines de vidéos, et plusieurs dizaines de milliers d’abonnés.

Myles Bonnar, un journaliste de la BBC, a enquêté à leur sujet. 

Adnan Ahmed, de la chaîne Addy A-Game, avait mis en ligne au moins 250 vidéos, dans lesquelles il se vantait de ses exploits sexuels. Il leur donnait des titres volontairement provocateurs comme « J'approche des filles qui sont avec leur petit-ami" ou des titres grossophobes («les femmes grosses devraient s'en prendre à elles-mêmes"). Ses conseils étaient particulièrement misogynes, d’après le journaliste de la BBC.

Pour cet homme, la drague de rue était un «jeu», pour lequel il n’hésitait pas à dépasser des limites. Dans une vidéo, il filme par exemple une femme en train de dormir, avec un préservatif à ses côtés, se vantant de l’avoir « séduite ». Il publiait aussi des enregistrements de ses rapports sexuels. Les femmes semblaient ne pas savoir qu’elles étaient enregistrées. Il indiquait aussi qu’il ne fallait pas écouter les mots des femmes mais plutôt «leur corps ». « Elles veulent que vous preniez le dessus, rappelez-vous que ce n'est pas du viol", disait-il. Il faisait ainsi abstraction du fait que le corps peut mécaniquement envoyer des signes de plaisir, même lorsqu’il s’agit d’un rapport non consenti. Il s’agit d’un mécanisme involontaire, et courant, comme l'expliquait l'Obs dans un article".

 

Une douzaine de victimes ont témoigné auprès de la police

Plusieurs femmes approchées par Adnan Ahmed ont témoigné. Il a abordé l’une d’entre elles, alors qu’elle avait 17 ans à l’époque, en lui disant qu’elle serait «mieux qu'une prostituée ». Il lui a demandé à plusieurs reprises son numéro de téléphone, a tenté de la toucher, malgré ses refus répétés. Elle raconte avoir été «terrifiée» par cette agression.

Une autre femme, qui avait 20 ans et ne savait pas qu’une vidéo d’elle avait été publiée sur YouTube, raconte qu’elle a tenté de rejeter ses avances «gentiment». Lui, a indiqué en vidéo qu’il «aurait sûrement une relation sexuelle avec elle ».

Après la publication d’un premier reportage sur Adnan Ahmed, devenu viral, une manifestation a eu lieu à Glasgow, devant le Parlement. Plusieurs victimes y étaient présentes. D’autres ont témoigné dans la foulée, racontant que le vidéaste les avait suivies jusqu’à leur maison ou harcelées devant leur lieu de travail, qu’il avait été menaçant. Il publiait des photos de femmes dénudées sur Instagram et YouTube, d’après une ancienne amie. Plus d’une douzaine de femmes ont témoigné auprès de la police et l’homme a été arrêté deux jours plus tard.

En septembre, le propriétaire d’Addy A-Game, âgé de 38 ans, a finalement été condamné pour son comportement abusif et menaçant envers de jeunes femmes. Il a été reconnu coupable de 5 chefs d’accusation. Une jeune femme âgée de 18 ans a notamment témoigné d’une tentative d’agression sexuelle.

Suite de l'article : https://www.numerama.com/politique/560095-harcelement-sexuel-culture-du-viol-deux-pick-up-artists-ont-ete-bannis-de-youtube.html

De "bons petits gars", encore. 

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Membre, Animal sauvage, Posté(e)
Mr_Fox Membre 18 189 messages
Animal sauvage,
Posté(e)
Il y a 2 heures, Léna-Postrof a dit :

Darwin d'accord, mais pas à toutes ls sauces. 

Ce qu'il y a d'écrit, semblerait-il, c'est que ces stéréotypes ne sont pas naturels. Les rendre naturels permet de généraliser à l'ensemble des individus qui seraient alors naturellement racistes. Ce serait toutefois confortable, vraiment, et permettrait du moins de ne plus se sentir seul vaincu, isolé sans doute, dans son idéologie raciste. 

 (fin de la parenthèse).

Vous manipulez des concepts qui n'ont pas la moindre véracité car ce qu'ils décrivent ne peut pas exister. Quel est donc le stéréotype non-naturel, c'est à dire produit de manière soit artificielle (chimique ou mécanique) soit surnaturelle (magique) ?

Le stéréotype est le produit du cerveau humain et de rien d'autre, il est aussi inévitable que le vent et la pluie et rien au monde n'est plus naturel que ça. Cette façon d'envisager le monde est de plus bas niveau que le langage, tous les animaux en sont tributaires, chacun sait ou est sa place dans la chaine alimentaire grâce à elle.

 

Cette histoire là c'est comme de nous raconter que les allemands ont gagné la bataille de France grâce à leurs fusils blasters. Si je remets en cause les blasters, je remets en cause la victoire allemande. Et tout ça pour alimenter de la psychologie à deux balles constituée de stéréotypes foireux. 

Vous ne comprenez rien aux concepts que vous manipulez, c'est vertigineux.
 

  • Merci 1
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Invité Barbara lebol
Invités, Posté(e)
Invité Barbara lebol
Invité Barbara lebol Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 3 heures, Léna-Postrof a dit :

Ce dont a besoin un enfant c'est d'amour et de bienveillance. Or, l'amour exclue l'inceste, la pédopocriminalité (ce que d'autres appellent encore pédophilie). La bienveillance, quant à elle, exclue la violence. Il est de notre devoir d'adultes, il est du devoir de la société de protéger ces enfants, absolument : ils sont la priorité (devant ces pères délinquants ou criminels, toujours). 

Certes, l'enfant a besoin d'amour et de sécurité. Si les pères sont délinquants, violents  et pédophiles, il est évident que les enfants doivent être protégés, et ne pas être confiés à de tels individus.

Toutefois, je n'ai pas de statistiques, mais je ne pense pas que la majorité des pères soient délinquants et pédophiles justifiant ces pourcentages élevés de gardes attribuées à la mère.  J'espère que certaines accusations ne résultent pas de désir de vengeance de la part de l'un ou de l'autre parent.

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Invité Barbara lebol
Invités, Posté(e)
Invité Barbara lebol
Invité Barbara lebol Invités 0 message
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Il y a 3 heures, Léna-Postrof a dit :

C'est triste pour vous, votre mère, ainsi que votre père.

Ne soyez pas triste ! Je voulais juste illustrer le cas ( et je suis certaine qu'il n'est pas isolée ) où le père est nécessaire et remplit sa fonction paternelle de telle manière qu' il peut se substituer à la mère.

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Membre, 48ans Posté(e)
Fraction Membre 6 573 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
Le 22/11/2020 à 15:56, soisig a dit :

Les récentes actions des superhéros de Fathers for Justice, qui ont escaladé la croix du Mont-Royal et le pont Jacques-Cartier, ont contribué à propulser à une plus grande échelle un discours masculiniste selon lequel les hommes seraient en désarroi et victimes de discrimination sur la base de leur sexe. Le but de cet article est de donner un portrait général de ce phénomène, en s’attardant à un aspect de leur discours : le droit des pères.

.../...

C’est à la fin des années 50, par l’entremise des revues Playboy et Penthouse, que se forment les premiers groupes « masculinistes ». Ces revues publient des articles portant sur des pères divorcés se disant victimes de leur ex-conjointe. Le partage des biens après le divorce et le paiement des pensions alimentaires représenteraient pour eux une injustice criante. Si le premier cheval de bataille des masculinistes se base sur les revendications concernant le droit des pères séparés ou divorcés, il ne s’agit pas d’un hasard.

.../...

Les masculinistes partent du postulat selon lequel l’égalité entre les femmes et les hommes serait atteinte. Suivant ce constat, les hommes seraient susceptibles de vivre autant de discriminations que les femmes. Plusieurs vont jusqu’à dire que les hommes seraient victimes des « excès » des femmes, plus particulièrement des féministes, voire qu’ils subiraient un système matriarcal. De fait, non seulement les masculinistes ne reconnaissent pas la discrimination systémique que vivent les femmes, mais ils tentent souvent de se l’approprier à leur avantage.

 

intégralité de l'article ...

Bonsoir, 

Opposer les classes, les races, les religions, et les sexes entre eux est un sectarisme, au sens étymologique du terme, contre-productif.

Les associations subventionnées anti-machin et anti-truc font vœu de se substituer au Procureur de la République.

C'est une décadence dans laquelle je ne m'inscris pas, et qui tend vers une irrationalité passionnelle, où le décibel est plus audible que l'argument.

 

Il n'y a pas plus misogyne qu'une femme, et il n'y a pas plus anti-machiste qu'un homme.

Parce que la lutte est essentiellement endogène, puisque concurrentielle.

L'invasion musulmane en Espagne a été bien plus tolérante que les catholiques envers les protestants.

 

La féminité ne répond à aucune définition.

Définir le genre féminin revient à le prostituer sémantiquement.

L'œstrogène, la testostérone, ne sont pas un essentialisme, mais une focalisation dont la libre pensée peut allègrement s'affranchir.

Cordialement, Fraction

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Membre, Animal sauvage, Posté(e)
Mr_Fox Membre 18 189 messages
Animal sauvage,
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Il y a 1 heure, Léna-Postrof a dit :

PUA, Pick-up artist...? Mesdames, vous en avez sûrement déjà croisés. 

 

Pick-up artists : quand la drague se teint de haine

[...]

De "bons petits gars", encore.  

Sinon il serait urgent qu'on nous dise ce qu'est la haine, vu que c'est visiblement passible de "comparution immédiate" je ne vois pas le rapport entre ces gars là et la "haine". Mais une absence d'explication va certainement tout résoudre, comme le préconisait Chirac.

 

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 13 911 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
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Il y a 21 heures, Plouj a dit :

De toutes façons, cela ne leur suffira jamais, alors quitte à être perdantes, embrassons la misandrie, cette juste détestation des oppresseurs. Elle ne nous empêchera pas forcément d’échanger, de nouer des relations, voire d’aimer des hommes. Mais, misandres assumées, nous pourrons enfin fixer nos conditions, comme des individus à part entière.

D'un excès à l'autre.

Ce qui n'empêchera pas d'être des individus à part, entière. (avec une virgule, ça change tout !)

 

Absolument tous les masculinistes sont misogynes. Sans exception aucune. Nombre d'entre eux sont excessivement violents et à l'origine de féminicides (parfois de masse, comme au Canada ou au Mexique) ou de divers harcèlements et agressions (comme je l'ai démontré plus haut, et comme je vais encore continuer à le faire) envers des femmes (et non seulement des féministes). 

Qu'ils se définissent aussi en tant qu'hoministes ou mennistes. Absolument tous !

Peu se réclament du masculinisme, le terme ayant été pour la première fois employée par une femme (malheur !) à leur encontre, selon eux (c'est pourtant bien descriptif). Certains poussent le culot en se définissant comme des humanistes. Aucun de ces masculinistes n'est pro-égalité, véritablement. C'est du baratin. Sur certains sujets, certains lâcheront du lest mais pour mieux se réaffirmer sur d'autres. Il y a aussi tout un verset complotiste qui voudrait que nous vivions dans une société gynocentrée, entre autres choses. 

Il est étonnant de s'étonner qu'en miroir des femmes soient devenues misandres, après plus de six siècles d'anti-féminisme bien enraciné, après des millénaires de règne de religions, qui sont -nous le savons fort bien- essentiellement misogynes. Une Alice Coffin ou une Pauline Harmange, n'est pas plus dérangeante qu'un Eric Zemmour ou encore un Raptor Dissident (Youtubeur disciple déçu de Soral). Si les uns s'expriment, pourquoi les autres devraient-elles être empêchées de le faire ? 

Il y a 19 heures, Mr_Fox a dit :

Vous manipulez des concepts qui n'ont pas la moindre véracité car ce qu'ils décrivent ne peut pas exister. Quel est donc le stéréotype non-naturel, c'est à dire produit de manière soit artificielle (chimique ou mécanique) soit surnaturelle (magique) ?

Le stéréotype est le produit du cerveau humain et de rien d'autre, il est aussi inévitable que le vent et la pluie et rien au monde n'est plus naturel que ça. Cette façon d'envisager le monde est de plus bas niveau que le langage, tous les animaux en sont tributaires, chacun sait ou est sa place dans la chaine alimentaire grâce à elle.

 

Cette histoire là c'est comme de nous raconter que les allemands ont gagné la bataille de France grâce à leurs fusils blasters. Si je remets en cause les blasters, je remets en cause la victoire allemande. Et tout ça pour alimenter de la psychologie à deux balles constituée de stéréotypes foireux. 

Vous ne comprenez rien aux concepts que vous manipulez, c'est vertigineux.
 

Les stéréotypes émergent parce que tout un chacun observe les rôles sociaux différents et attitrés de telle ou telle catégorie (les femmes, les hommes, les blancs, les noirs, les riches, les pauvres, les handicapés, les valides, les boulangers, les enseignants…). Omniprésents, ils peuplent notre quotidien : issus de notre expérience personnelle directe, ils peuvent être acquis en discutant avec des proches, en regardant la télévision, en pratiquant un sport, en lisant des livres et des journaux [7]. Ils sont aussi transmis par des institutions : la famille, l’école, le travail, la religion, etc. [8]

(...)

Un bon moyen est de faire comme si les places de chacun dans la société étaient issues de prédispositions naturelles, de faire ainsi de la réalité sociale une évidence, une seconde nature. Et les stéréotypes sont les instruments idéals pour ce tour de passe-passe : les femmes s’occupent davantage des enfants ? C’est dans leur nature ! Les enfants d’ouvriers ont moins le bac que les fils de profs ? Ils n’ont pas de goût pour les études.

(...)

Que faire ?

D’abord, lutter contre les stéréotypes qui transforment en dispositions naturelles des inégalités sociales qui découlent de caractéristiques héritées (l’origine sociale, le sexe, la couleur de peau). L’ ABCD de l’égalité, dispositif de l’éducation nationale actuellement en expérimentation, est un exemple de programme qui va dans ce sens en matière de lutte contre les inégalités entre hommes et femmes, en traitant la question chez les plus jeunes. Il n’est pas si évident que la société apprend aux filles à devenir des filles et aux garçons à devenir des garçons.

La construction sociale des rôles a du mal à être admise. Mais, même une fois qu’elle l’est, il est intéressant de se demander sur quoi elle repose et en quoi elle consiste : quels rôles sont attribués et à qui ? Il est assez symptomatique d’ailleurs que la question soit systématiquement posée pour le sexe ou la couleur de la peau, mais jamais pour les catégories sociales. Remettre en cause les rôles sociaux des catégories, c’est toucher à l’ordre social, ce qui a des conséquences très profondes.

Dans ce contexte, il semble tout aussi nécessaire de montrer comment les rôles stéréotypés se répandent et qui ils servent.Qui a intérêt à ce que les gens restent à leur place, dans les cases dans lesquelles ils sont ? Qui a intérêt à leur faire croire qu’ils sont à leur « juste » place ? La construction et la diffusion des stéréotypes ne sont pas anodines. La lutte contre les stéréotypes (et donc pour l’égalité des chances), qui enferment les individus, doit s’accompagner d’une réflexion plus globale sur les inégalités et les rôles sociaux en général. Les filles et les enfants d’ouvriers peuvent aussi bien accéder aux postes à responsabilités, encore faut-il se poser la question des hiérarchies sociales. Ouvrir l’égalité des possibles est une chose, mais de quels possibles s’agit-il ? Casser les stéréotypes en permettant à chacun de devenir calife à la place du calife sans remettre en cause les rapports de domination entre individus resterait très insuffisant.

https://www.inegalites.fr/Stereotypes-la-face-invisible-des-inegalites?id_theme=21

Une bonne verveine derrière tout cela (et si vous n'êtes toujours pas au top : un testicuzzi). 

Il y a 18 heures, Barbara lebol a dit :

Certes, l'enfant a besoin d'amour et de sécurité. Si les pères sont délinquants, violents  et pédophiles, il est évident que les enfants doivent être protégés, et ne pas être confiés à de tels individus.

Toutefois, je n'ai pas de statistiques, mais je ne pense pas que la majorité des pères soient délinquants et pédophiles justifiant ces pourcentages élevés de gardes attribuées à la mère.  J'espère que certaines accusations ne résultent pas de désir de vengeance de la part de l'un ou de l'autre parent.

Et ce sont pourtant bien ces pères qui pleurent dans le giron de ces associations masculinistes, ou qui s'expriment bruyamment sur les réseaux sociaux. Les médias et l'opinion publique, in fine, se font régulièrement balader par ces pères masculinistes :

"Derrière la vidéo d’un « papa désespéré privé de la garde de son fils », publiée puis supprimée par Konbini, « l’Obs » a découvert une histoire sordide de séparation conflictuelle sur fond de violences conjugales et de maltraitances infantiles.

Vendredi 4 septembre à 13 heures, Konbini a publié l’interview filmée d’un « papa privé de son fils depuis des semaines ». L’homme qui témoignait dans la vidéo racontait, en 4 minutes et 39 secondes, son combat pour récupérer la garde de son fils de 5 ans, qu’il n’avait pas vu depuis deux mois et demi, en toute « illégalité ».

Les yeux mouillés, il s’y présentait comme une victime du système judiciaire qui favoriserait systématiquement les gardes au domicile « des mères » après un divorce. Au nom de l’amour pour son enfant, il réclamait « l’égalité père-mère », au même titre que d’autres réclament « à juste titre, l’égalité femme-homme ». Des trémolos dans la voix, il expliquait aussi avoir déposé pas moins de cinq plaintes pour non-présentation d’enfants, en vain.

En guise d’introduction à leur vidéo, le média en ligne avait tweeté : « Comme lui, près de 1 300 000 papas subissent cette injustice décidée par la mère. Désespéré par la situation, il manifestera avec d’autres papas ce week-end à Paris pour réclamer l’égalité des droits entre papas et mamans ».

Premier problème : ce chiffre n’existe pas. Hormis dans les articles consacrés aux associations de défense des droits des pères, telles que SOS Papa, nulle trace de ce million et quelque de « papas privés de leur enfant »."

https://www.nouvelobs.com/rue89/20200911.OBS33165/comment-konbini-s-est-fait-pieger-par-un-pere-masculiniste.html

Nous ne sommes habitué(e)s à voir des hommes pleurer. Cela peut émouvoir. Attention aussi aux chiffres manipulés par ces associations masculinistes et relayés par des médias.

Dans l'immense majorité des cas, les parents s'entendent très bien quant à la résidence de l'enfant. En ce qui concerne les désaccords, la Justice tranche, toujours dans l'intérêt de l'enfant. Les enfants sont prioritaires. Les intérêts des "papas" et des "mamans" sont secondaires et devraient le rester. Ces associations masculinistes défendent toujours les intérêts des pères, jamais ceux des enfants, et encore moins alors qu'elles invoquent un syndrome qui fait passer ces enfants victimes de violences (dont sexuelles), pour des menteurs, entre autres choses.

Il y a 18 heures, Mr_Fox a dit :

Sinon il serait urgent qu'on nous dise ce qu'est la haine, vu que c'est visiblement passible de "comparution immédiate" je ne vois pas le rapport entre ces gars là et la "haine". Mais une absence d'explication va certainement tout résoudre, comme le préconisait Chirac.

 

C'est vrai que suivre des femmes jusqu'à leur domicile ou leur lieu de travail, tout en les harcelant afin d'avoir leur numéro de téléphone, tout en les traquant et en leur disant qu'elles seraient "mieux qu'une prostituée", c'est très sécurisant et respectueux. 

Les toucher, à plusieurs reprises et malgré leur refus répété, très frais.

Les filmer pendant les ébats, sans leur consentement afin qu'elles soient le plus "naturel" pour instruire une communauté de loosers, adorable.

Le gibier, y a qu'ça d'vrai ! 

Que d'amour, mais que d'amour ! C'est à se demander de quoi se plaignent vraiment ces femmes ? Elles ne sont vraiment pas sympas hein...  

Non mais sans déconner !

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 13 911 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
Posté(e)

La majorité d'entre nous connaît déjà mieux les Incels, ces "célibataires involontaires", à l'origine de différents féminicides. Bref topo

Attaque à Toronto : qui sont les Incels, le groupe de célibataires auquel se réfère le suspect ? 

« La rébellion des Incels a déjà commencé. On va renverser tous les Chads et Stacys. » Ces phrases ont été postées sur le compte Facebook d’Alek Minassian, l’auteur supposé de l’attaque à la voiture-bélier qui a fait dix morts à Toronto (Canada) lundi 23 avril, quelques heures avant le drame.

Les Incels ? Sur Internet, ils sont plusieurs dizaines de milliers à avoir rejoint ces groupes, dont le nom est la contraction de l’expression « involuntary celibate » (« célibataire involontaire »). Dans la très grande majorité des cas, il s’agit d’hommes, hétérosexuels, âgés de 18 ans à 35 ans, selon leurs témoignages. Ce qui les rassemble : tenir les femmes pour uniques responsables de leur célibat durable.

Particulièrement actifs en ligne, ils se retrouvent principalement sur le site Incels.me, interdit aux femmes et qui compte plus de cinq mille membres, mais aussi sur des groupes de la messagerie Discord et sur le forum 4chan – notamment sur l’espace de discussion /r9k/, où des milliers de conversations sont ouvertes chaque jour.

Haine contre les « Chads » et les « Stacys »

Si les femmes ne s’engagent pas dans une relation avec eux, c’est uniquement, argumentent les Incels, parce qu’elles sont « diaboliques ». Les posts trouvés sur Internet les qualifient volontiers de « menteuses pathologiques », de « salopes (…) incapables d’aimer »« [Elles] prennent plaisir à malmener, à moquer ou à humilier des hommes dès qu’elles le peuvent », résume un internaute.

Celles qui sont la plupart du temps désignées par l’expression « femoid » (contraction de « femmes » et « humanoïdes », visant à les déshumaniser) n’accepteraient d’avoir des relations qu’avec un seul type d’hommes : les « Chads ». Il s’agit de jeunes hommes populaires, charmants, à l’aise avec les femmes, et surtout, ayant une vie sexuelle ou amoureuse bien remplie. Les Incels les méprisent presque tout autant qu’ils les envient. Les femmes en couple sont, quant à elles, surnommées des « Stacys ».

Des conseils pour violeurs

Les discussions sont donc ouvertement misogynes et contiennent même parfois des incitations au harcèlement, ainsi que des glorifications du viol. En novembre 2017, le sous-forum Reddit Incel, qui comptait quarante mille membres, a été fermé par le site pour « violation des règles d’utilisation ».

Suite de l'article https://www.lemonde.fr/pixels/article/2018/04/24/attaque-de-toronto-qui-sont-les-incels-ce-groupe-de-celibataires-auquel-se-refere-le-suspect_5290048_4408996.html

"Ils ont un nom, un vocabulaire, et des lieux pour se rassembler 

Selon Le Monde, qui signe un article très complet sur le sujet, les Incels seraient plusieurs milliers - plusieurs dizaines de milliers - à se retrouver en ligne pour laisser libre cours à leur haine du sexe opposé. Ils fréquentent les arrières-cours parfois mal famées du web comme 4chan ou Reddit. Sur Reddit, le forum consacré aux Incels, fort de 40 000 membres, a été fermé en novembre dernier à la suite d’appels répétés à la violence et de sorties de route invraisemblables sur le viol, qui y était présenté comme une légende urbaine. Ils ont également leur propre site, Incels.me. Les modérateurs y nient toute affiliation avec Alek Minassian, mais ces derniers jours, plusieurs membres n’hésitaient pas à lui rendre hommage en le qualifiant de héros ou de saint".

https://www.franceinter.fr/emissions/c-est-deja-demain/c-est-deja-demain-26-avril-2018

La communauté Incels s'accroît et il n'est plus si rare de croiser des Incels français, sur les forums et les réseaux sociaux(leur site a été fermé) tels que Reddit, Twitter, jeuxvidéo.com, et encore Doctissimo.

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https://twitter.com/incelsfr?lang=fr

https://forum.doctissimo.fr/psychologie/celibat/club-incels-sujet_207912_1.htm

Curieux que les pensions alimentaires soient l'une des préoccupations des Incels (France), définis selon les Mgtow comme des puceaux totalement dépendants des femmes. Il existe d'ailleurs des relations entre les différents groupes masculinistes. Les Mgtow méprisent les Incels qui eux admirent les PUA (qui n'admirent que leur personne). On retrouve des revendications MRA (Mouvement pour l'égalité des hommes), chez des associations telles que SOS papa. 

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Membre, Voyageur, 70ans Posté(e)
Plouj Membre 110 553 messages
70ans‚ Voyageur,
Posté(e)
il y a une heure, Léna-Postrof a dit :

Absolument tous les masculinistes sont misogynes. Sans exception aucune. Nombre d'entre eux sont excessivement violents et à l'origine de féminicides (parfois de masse, comme au Canada ou au Mexique) ou de divers harcèlements et agressions (comme je l'ai démontré plus haut, et comme je vais encore continuer à le faire) envers des femmes (et non seulement des féministes). 

Qu'ils se définissent aussi en tant qu'hoministes ou mennistes. Absolument tous !

Peu se réclament du masculinisme, le terme ayant été pour la première fois employée par une femme (malheur !) à leur encontre, selon eux (c'est pourtant bien descriptif). Certains poussent le culot en se définissant comme des humanistes. Aucun de ces masculinistes n'est pro-égalité, véritablement. C'est du baratin. Sur certains sujets, certains lâcheront du lest mais pour mieux se réaffirmer sur d'autres. Il y a aussi tout un verset complotiste qui voudrait que nous vivions dans une société gynocentrée, entre autres choses. 

Il est étonnant de s'étonner qu'en miroir des femmes soient devenues misandres, après plus de six siècles d'anti-féminisme bien enraciné, après des millénaires de règne de religions, qui sont -nous le savons fort bien- essentiellement misogynes. Une Alice Coffin ou une Pauline Harmange, n'est pas plus dérangeante qu'un Eric Zemmour ou encore un Raptor Dissident (Youtubeur disciple déçu de Soral). Si les uns s'expriment, pourquoi les autres devraient-elles être empêchées de le faire ? 

Personnellement, je n'en connais pas.

J'ai côtoyè des connards qui frappaient leur femmes, des arsouilles souvent, dont un jusqu'au meurtre, mais qui ignoraient totalement les mots masculin ou féminin. Ils tapaient par leur ignorance du respect de l'autre et sous alcool.

Que les droits soient les mêmes du masculin au féminin, me parait logique.

 

Quant à la radicalité du féminisme actuel, tout comme le masculinisme de la même veine, sont des mouvements extrémistes comme d'autres, à rayer de la carte.

 

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Membre, Animal sauvage, Posté(e)
Mr_Fox Membre 18 189 messages
Animal sauvage,
Posté(e)
Il y a 21 heures, Léna-Postrof a dit :

C'est vrai que suivre des femmes jusqu'à leur domicile ou leur lieu de travail, tout en les harcelant afin d'avoir leur numéro de téléphone, tout en les traquant et en leur disant qu'elles seraient "mieux qu'une prostituée", c'est très sécurisant et respectueux. 

Les toucher, à plusieurs reprises et malgré leur refus répété, très frais.

Les filmer pendant les ébats, sans leur consentement afin qu'elles soient le plus "naturel" pour instruire une communauté de loosers, adorable.

Le gibier, y a qu'ça d'vrai ! 

Que d'amour, mais que d'amour ! C'est à se demander de quoi se plaignent vraiment ces femmes ? Elles ne sont vraiment pas sympas hein...  

Non mais sans déconner !

La haine, c'est quand tu veux détruire l'autre et c'est un sentiment qui est lié au fait que tu ne peux pas supporter sa présence ou son existence.

Dans le cas des gens qui font des lapidations, fouettent à mort ou encore qui leur interdisent de montrer leur visage (comme c'est le cas actuellement de l'ensemble de la population), ok on comprend l'idée. Haine. Et encore c'est plus proche du réflexe de pavlov imitant un type qui avait la haine il y a 1000 ans de ça, c'est à dire du crétinisme le plus rance faisant vivre la haine d'un décédé par procuration.

A un moment il faut juste utiliser les mots pour ce qu'ils disent, ce qui n'est jamais le cas avec les fous, c'est d'ailleurs ça qui fait d'eux des fous.

La haine existe, sauf que c'est le sentiment que toi tu projette sur l'autre pour l'accuser d'être ton miroir.

Ce qui se passe chez ces PUA c'est probablement plus proche d'autres péchés, comme l'envie, l'orgueil et la luxure. La haine n'est pas un mot valise pour emporter tout ce qui te déplait dans la vie. Il se trouve que le PUA est dans une pulsion de vie et que la haine est une pulsion de mort, il est donc manifeste que tu emploies un mot pour un autre. Un mot qui parait-il va envoyer tout le monde en prison, ce qui fait de cette folie un danger pour la société toute entière.

Tout ça pour une communication qui de plus, est totalement vaine.

 

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Membre, Animal sauvage, Posté(e)
Mr_Fox Membre 18 189 messages
Animal sauvage,
Posté(e)
Il y a 20 heures, Plouj a dit :

Personnellement, je n'en connais pas.

J'ai côtoyè des connards qui frappaient leur femmes, des arsouilles souvent, dont un jusqu'au meurtre, mais qui ignoraient totalement les mots masculin ou féminin. Ils tapaient par leur ignorance du respect de l'autre et sous alcool. 

Que les droits soient les mêmes du masculin au féminin, me parait logique. 

 

Quant à la radicalité du féminisme actuel, tout comme le masculinisme de la même veine, sont des mouvements extrémistes comme d'autres, à rayer de la carte. 

Le masculinisme dont personne n'a jamais touché le moindre échantillon sauf les féministes qui les fantasment dans leurs revues spécialisées dans la haine de l'autre.

Quand je vois ça, ça me fait repenser à Karl Zéro débusquant des nazis de 16 ans qui avaient peur de frapper quelqu'un de peur que ses parents aient des ennuis pour prouver à la France le danger de l'extrême droite au début des années 2000.

Il s'agit d'une construction mentale qui ne trouve pas sa contrepartie réelle. Des phénomènes pragmatiques se produisent dans le monde réel, mais ils ne correspondent pas à l'idéologie féministe en miroir, ce sont des phénomènes totalement différents mais en parler donnerait du crédit aux hommes et ce serait contre-productif. Donc à la place nous faisons le procès d'une chose qui n'existe pas.

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Membre, Voyageur, 70ans Posté(e)
Plouj Membre 110 553 messages
70ans‚ Voyageur,
Posté(e)
Il y a 5 heures, Mr_Fox a dit :

Donc à la place nous faisons le procès d'une chose qui n'existe pas.

Par contre le féminisme, lui ....!

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Invité Barbara lebol
Invités, Posté(e)
Invité Barbara lebol
Invité Barbara lebol Invités 0 message
Posté(e)
Le 11/12/2020 à 14:31, Léna-Postrof a dit :

Et ce sont pourtant bien ces pères qui pleurent dans le giron de ces associations masculinistes, ou qui s'expriment bruyamment sur les réseaux sociaux. Les médias et l'opinion publique, in fine, se font régulièrement balader par ces pères masculinistes :

 

Est-ce une majorité d'hommes qui se comportent ainsi ?

Doit-on assimiler l'attitude de tous les hommes à ce type de conduite ?

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