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Un bon résumé de la physique quantique

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unjour

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Membre, Posté(e)
nolibar Membre 1 217 messages
Forumeur survitaminé‚
Posté(e)
Il y a 18 heures, Répy a dit :

Il serait plus simple et plus efficace d'admettre les lois physiques qui sont éprouvées et proposées par la communauté scientifique !

Je dois avouer, qu’à tort ou à raison, il y en a certaines que je trouve indigestes… et j’ai pour habitude de ne pas prendre pour argent comptant tout ce que l’on me raconte…

D’autant plus que mes expériences de pensée m’expliquent bien, me semble-t-il, les comportements de l’Univers et par exemple comment se forme un trou noir, pour quoi la vitesse de rotation de la Terre diminue et que parallèlement la Lune s’éloigne de celle-ci, etc.

En fait, je m’amuse bien avec mes expériences de pensée…

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a 25 minutes, nolibar a dit :

Je dois avouer, qu’à tort ou à raison, il y en a certaines que je trouve indigestes… et j’ai pour habitude de ne pas prendre pour argent comptant tout ce que l’on me raconte…

D’autant plus que mes expériences de pensée m’expliquent bien, me semble-t-il, les comportements de l’Univers et par exemple comment se forme un trou noir, pour quoi la vitesse de rotation de la Terre diminue et que parallèlement la Lune s’éloigne de celle-ci, etc.

En fait, je m’amuse bien avec mes expériences de pensée…

Comme dit Hubert Reeves, il est l'heure de s'ennivrer.

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Membre, 41ans Posté(e)
unjour Membre 3 373 messages
Forumeur inspiré‚ 41ans‚
Posté(e)
il y a 7 minutes, zenalpha a dit :

Comme dit Hubert Reeves, il est l'heure de s'ennivrer.

Tu vois déjà double : tu as mis deux "n".

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 3 minutes, unjour a dit :

Tu vois déjà double : tu as mis deux "n".

C'est mon côté supperposition quantique 

Merde 2 p

:smile2:

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Membre, 41ans Posté(e)
unjour Membre 3 373 messages
Forumeur inspiré‚ 41ans‚
Posté(e)
il y a 15 minutes, zenalpha a dit :

C'est mon côté supperposition quantique 

Merde 2 p

:smile2:

Oui, tu l'écris souvent.

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 1 minute, unjour a dit :

Oui, tu l'écris souvent.

 

C'est surtout qu'il est exact que mon problème orthographique principal concerne le doublement des consonnes 

C'est un fait.

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Membre, 67ans Posté(e)
Condorcet Membre 10 257 messages
Baby Forumeur‚ 67ans‚
Posté(e)

Ceci dit il ne faut pas rejeter à priori une théorie novatrice au prétexte qu'elle est farfelue. Combien de fois dans l'historie de la physique un principe en a supplanté un autre alors que son étrangeté l'a fait rejeter dans un premier temps.

DDR (Devoir De Rhétorique) propose un nouveau type d'interférence : l'Interférence Différée. Il s'agit d'une nouvelle interprétation des fentes de Young.

  • Un photon passe par une fente, ou par l'autre.
  • Le finesse des fentes fait qu'il y a diffraction. (d'autant plus intense que la fente est proche de la longueur d'onde).
  • Finalement le photon atteint l'écran (ou tout dispositif) : on a un point lumineux de tracé.
  • C'est alors qu'un 2ème photon arrive et suit le même processus (une chance sur deux de passer par une fente ou par l'autre), puis, de proche en proche un nième photon arrive.

Ça ne donne par un truc homogène grisouille, mais des franges d'interférence.

Fentes de Young — Wikipédia

On remarquera que même les bandes sombres ont de temps en temps un point lumineux, bien que plus rare.

C'est alors que DDR invente cette théorie novatrice du Photon Mort Vivant :

  • Après avoir marqué de la pellicule photographique par exemple, un photon se lamente de la fin de son parcours. 
  • De plus il s'emmerde, il est plutôt seul dans son secteur mais finalement c'est ce qu'il préfère.
  • Il sent bien que c'est la fin et se demande combien de temps va durer son agonie.
  • C'est alors qu'arrive un autre photon tout près de lui.
  • Qu'est-ce que tu fais là connard, je veux être seul.
  • Parle pour toi dugland, et d'ailleurs pourquoi tu as la tête en bas (c'est le déphasage de l'aspect ondulatoire) ?
  • C'est alors que les deux photons morts vivants s'étripent, puis disparaissent, en ayant bien pris soin de restaurer l'état de la pellicule avant l'arrivée du premier : on n'a plus deux points lumineux, mais aucun.
  • C'est ce qu'on appelle l'Interférence Différée, entre deux photons morts vivants (néanmoins bien élevés car laissant l'endroit comme ils l'avaient trouvé en arrivant).
  • D'où les franges sombres.

L'Interférence Différée de@DroitDeRéponse, une théorie novatrice qui a des chances d'obtenir un nouveau prix Nobel pour la France.

A noter qu'on a une complémentarité de la nature corpusculaire de la lumière (les Photons Morts Vivants) avec sa nature ondulatoire (l'Interférence Différée).

C'est beau. :cray:

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Note que si tu vois un faux thon sur un faux thon, tu peux conclure qu'une supperposition des tas empêcherait n'importe quelle projection d'un canon bien membré faute de bander.

Et là je dois dire que le mec a nique porno graphique est pas prêt de tâcher l'écran ni de se reproduire.

Je vous laisse faire l'expérience de pensée.

Modifié par zenalpha
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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Du "tout est matière" passons à un point de vue radicalement différent afin de mieux comprendre la nature du quantique...et de la réalité...quand on la considère au travers de ce qu'on appelle...un champ

Non pas que la matière n'existe pas...quand je frappe mon poing sur la table, j'ai une preuve expérimentale de l'altérité et de la solidité de la matière...mais il faut bien comprendre qu'alors que la matière est composée essentiellement de ... vide.... on pourrait se demander assez logiquement ce qui empêche ma main de pouvoir traverser la table...

2 principes....quantiques...viennent expliquer ce point

D'abord...le principe d'indetermination de Heisenberg : avec la force électromagnétique par lequel les charges électriques de signes opposés s'attirent...l'electron d'un atome devrait s'ecraser sur le noyau en ayant alors une vitesse nulle et une position fixe, ce qui violerait ce principe fondamental de la mécanique quantique.

Ensuite...le principe d'exclusion de Pauli...autre principe quantique qui stipule que 2 electrons aux propriétés identiques ne peuvent être exactement au même endroit, ce qui vient interdire aux electrons de s'agglomerer dans le noyau d'un atome.

J'en ai parlé...les particules virtuelles du vide quantique interagissent avec les particules du monde "réel".

Pendant sa brève existence, elle peut faire le "va et vient" entre deux particules stables du monde "réel" et c'est précisément grâce à des échanges de photons virtuels, messagères de la force électromagnétique, que deux électrons "ressentent" la force électromagnétique qui les repousse (voir diagrammes de Feynmann de d'electrodynamique quantique et j'y reviendrai)

On a identifié ces particules messagères du vide quantique pour la force nucléaire forte, pour la force nucléaire faible...et c'est parce que la théorie des cordes est prédictive de ces particules dont...le graviton...particule hypothétique messagère de la gravité, que cette théorie des cordes a été candidate à une théorie du tout.

La mécanique quantique a donc...déjà...revolutionne notre vision du vide tel que le concevait Maxwell donc...sans matière...puisque le fait de connaître le mouvement d'une particule nous empêche de connaître sa position et surtout, parce que le principe d'indetermination concerne également la relation energie temps, ce qui fait...qu'un ... CHAMP de force ne peut jamais être d'une énergie nulle en tout point de l'espace : les fluctuations quantiques se manifestent et disparaissent au gré de cycles de vie infinitésimalement courts

Il ne faut plus raisonner vide = absence de matière, ce qui est vrai...mais vide quantique = presence de champs non retirable et de particule virtuelles apparaissant et disparaissant au gré d'emprunt d'énergie temporaire et chaotique au vide quantique 

Je reviendrai sur la nature du champ quantique...

Plus l'échelle est petite, plus l'aleatoire augmente en importance, ce que John Wheeler a appelé la mousse quantique à l'échelle de Planck

La...relativité décrit un espace-temps lisse alors qu'aux echelles infinitésimales, l'espace temps lui même est sujet à de violentes fluctuations quantiques liées au principe d'indetermination et de ses conséquences

Mais plutôt que de parler de théorie du tout...revenons aux... champs...

La notion de champ a ... d'abord eté amenee par Faraday et mises en équation par Maxwell

Faraday imaginait des "lignes de forces" pour remplir l'espace et former un champ electrique ou magnétique 

Ce concept....lie...le vide de l'espace à la matière...et la vision Newtonnienne qui enferme ddr et la matière separée du vide est ... morte contre l'idée d'un espace habité en permanence par des champs...et des interactions matière vide quantique 

Nous sommes constamment baigne de champs électromagnétiques qui est le support de déplacement d'ondes dont le photon apparaît sous son habit corpusculaire comme le grain fondamental...

Le champ gravitationnel est bien connu...je pourrais evoquer que, pour Rovelli, l'espace...EST le champ gravitationnel...le champ gravitationnel EST l'espace et le champ électromagnétique ne se déplace pas dans l'espace mais interagit au champ gravitationnel  (on attend impatiemment detection du graviton) en physique des particules...

La force nucléaire forte et la force nucléaire faible ont aussi leur champ, moins connus car operant a l'échelle atomique et subatomique, on les appelle souvent les champs de Yang-Mills...

On a donc le photon pour le champ électromagnétique, les gluons pour le champ de la force nucléaire forte, les bosons W et Z pour la force nucléaire faible

Et donc....grosso merdo...les ondes de probabilité de la mécanique quantique peuvent être envisagées elles aussi comme des champs remplissant tout l'espace...ou...plus exactement...des champs interagissant avec le champ de gravité et les champs de toutes les forces fondamentales

Je vous invite....tous...a vous interesser de près...a la théorie quantique des champs

Un electron dans ce formalisme peut être envisagé comme une particule...et ... DOIT ...être envisagé comme un champ oscillant capable de contribuer a la figure d'interference des fentes de Young

Sans entrer dans les détails...l'onde de probabilité d'un électron est intimement lié a ce qu'on appelle un champ d'electron, un champ qui "ressemble au champ électromagnétique" dans lequel l'electron joue un rôle analogue au photon comme plus petit constituant de ce champ d'électron...comme excitation locale du champ d'electron...

On pourrait se dire qu'avec les champs de force et les champs de matière, j'ai fait le tour de la question dans les grandes lignes...

Mais...pas du tout

Ceci dit...pause musicale 

 

Modifié par zenalpha
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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 694 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 3 heures, Condorcet a dit :

Ceci dit il ne faut pas rejeter à priori une théorie novatrice au prétexte qu'elle est farfelue. Combien de fois dans l'historie de la physique un principe en a supplanté un autre alors que son étrangeté l'a fait rejeter dans un premier temps.

DDR (Devoir De Rhétorique) propose un nouveau type d'interférence : l'Interférence Différée. Il s'agit d'une nouvelle interprétation des fentes de Young.

  • Un photon passe par une fente, ou par l'autre.
  • Le finesse des fentes fait qu'il y a diffraction. (d'autant plus intense que la fente est proche de la longueur d'onde).
  • Finalement le photon atteint l'écran (ou tout dispositif) : on a un point lumineux de tracé.
  • C'est alors qu'un 2ème photon arrive et suit le même processus (une chance sur deux de passer par une fente ou par l'autre), puis, de proche en proche un nième photon arrive.

Ça ne donne par un truc homogène grisouille, mais des franges d'interférence.

Fentes de Young — Wikipédia

On remarquera que même les bandes sombres ont de temps en temps un point lumineux, bien que plus rare.

C'est alors que DDR invente cette théorie novatrice du Photon Mort Vivant :

  • Après avoir marqué de la pellicule photographique par exemple, un photon se lamente de la fin de son parcours. 
  • De plus il s'emmerde, il est plutôt seul dans son secteur mais finalement c'est ce qu'il préfère.
  • Il sent bien que c'est la fin et se demande combien de temps va durer son agonie.
  • C'est alors qu'arrive un autre photon tout près de lui.
  • Qu'est-ce que tu fais là connard, je veux être seul.
  • Parle pour toi dugland, et d'ailleurs pourquoi tu as la tête en bas (c'est le déphasage de l'aspect ondulatoire) ?
  • C'est alors que les deux photons morts vivants s'étripent, puis disparaissent, en ayant bien pris soin de restaurer l'état de la pellicule avant l'arrivée du premier : on n'a plus deux points lumineux, mais aucun.
  • C'est ce qu'on appelle l'Interférence Différée, entre deux photons morts vivants (néanmoins bien élevés car laissant l'endroit comme ils l'avaient trouvé en arrivant).
  • D'où les franges sombres.

L'Interférence Différée de@DroitDeRéponse, une théorie novatrice qui a des chances d'obtenir un nouveau prix Nobel pour la France.

A noter qu'on a une complémentarité de la nature corpusculaire de la lumière (les Photons Morts Vivants) avec sa nature ondulatoire (l'Interférence Différée).

C'est beau. :cray:

Pas besoin de différer quoique ce soit . Tu as un système photon fente menant à une densité de proba , comme la source est cohérente , que j’en tire N>>1 d’un coup ou N >> 1 mais un par un ne change rien puisque tous les photons sont cohérents . Par ailleurs tu ne réponds pas fondamentalement à la question « interférer avec soi même «  ça veut dire quoi à part « on pourrait le décrire comme si «  ( minute 16 ) ?

1- Il interfère avec lui même mais il faut impérativement des fentes pas plus large que sa longueur d’onde 

2- Interférer avec soi même ça veut dire quoi , avoir des trajectoires moins probables que d’autres ? Faire passer une représentation mathématique de proba par deux fentes meme si le photon ne passe que par une fente , mais comme la densité est symétrique sur les deux fentes hop c’est une interférence ? Ou pour faire le malin comme toi c’est un photon qui avant même d’être mesuré sait qu’il va être mesuré et donc boom n’interfère plus , nan aujourd’hui je passe que par la fente où je serai mesuré ? 
La particule ne passe que par une fente .... on peut décrire comme si pour citer la minute 16 mais , elle ne passe que par une fente donc comment interfère t’elle avec elle même ? L’objet modélisant qu’est la FO OK mais est-ce plus qu’un modèle ?

Si tous les photons sont cohérents , les tirer un par un où pas ça revient au même .... ils ont les mêmes états . Pas besoin de dire quoique ce soit au copain , 1 photon deux fentes de largeur pas trop grande vs lambda => probabilisation de l’espace dont rend compte la FO solution , et que N soit tiré un par un ou d’un coup c’est kif puisque toutes les particules sont identiques ( source cohérente ) .

Donc t’en tire une elle suit une trajectoire avec une proba X , puis tu tires la seconde ce sera une autre , et au final après N t’as tes franges . Le formalisme MQ a de toute façon été construit pour rendre compte par construction de ces franges . Après bien sûr si tu identifies la particule à la densité de proba tu peux alors dire c’est comme si elle interférait avec elle même ...

Mais est-ce légitime d’identifier FO avec particule ?

Modifié par DroitDeRéponse
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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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à l’instant, DroitDeRéponse a dit :

Pas besoin de différer quoique ce soit . Tu as un système photon fente menant à une densité de proba , comme la source est cohérente , que j’en tire N>>1 d’un coup ou N >> 1 mais un par un ne change rien

T'en a pas marre ddr de passer pour un con dis moi ?

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Membre, 67ans Posté(e)
Condorcet Membre 10 257 messages
Baby Forumeur‚ 67ans‚
Posté(e)
il y a 6 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Pas besoin de différer quoique ce soit . Tu as un système photon fente menant à une densité de proba , comme la source est cohérente , que j’en tire N>>1 d’un coup ou N >> 1 mais un par un ne change rien puisque tous les photons sont cohérents . Par ailleurs tu ne réponds pas fondamentalement à la question « interférer avec soi même «  ça veut dire quoi à part « on pourrait le décrire comme si «  ( minute 16 ) ?

1- Il interfère avec lui même mais il faut impérativement des fentes pas plus large que sa longueur d’onde 

2- Interférer avec soi même ça veut dire quoi , avoir des trajectoires moins probables que d’autres ? Faire passer une représentation mathématique de proba par deux fentes meme si le photon ne passe que par une fente , mais comme la densité est symétrique sur les deux fentes hop c’est une interférence ? Ou pour faire le malin comme toi c’est un photon qui avant même d’être mesuré sait qu’il va être mesuré et donc boom n’interfère plus , nan aujourd’hui je passe que par la fente où je serai mesuré ? 
La particule ne passe que par une fente .... on peut décrire comme si pour citer la minute 16 mais , elle ne passe que par une fente donc comment interfère t’elle avec elle même ? L’objet modélisant qu’est la FO OK mais est-ce plus qu’un modèle ?

Si tous les photons sont cohérents , les tirer un par un où pas ça revient au même .... ils ont les mêmes états .

On va prendre le problème autrement.

Prendre le problème à l'envers en quelque sorte.

Explique nous l'interférence différée. :hum:

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a 1 minute, Condorcet a dit :

On va prendre le problème autrement.

Prendre le problème à l'envers en quelque sorte.

Explique nous l'interférence différée. :hum:

On va faire ça mais je ferai remarquer un point

Etant donné

1 que sa thèse est débile

2 que ddr est incapable d'un raisonnement 

Pourrions nous eviter 40 pages...sur ... les expériences des fentes de young...vues...par la connerie de ddr ?

Bon ok ddr

Que connais tu du boomerang ? Libre ce mercredi ?

Nous t'ecoutons

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Membre, 67ans Posté(e)
Condorcet Membre 10 257 messages
Baby Forumeur‚ 67ans‚
Posté(e)
Le 02/09/2020 à 13:48, DroitDeRéponse a dit :

C’est quoi un photon interférant avec lui même ?

Une densité de proba particulière ?

Un photon est décrit par l'équation de Schrödinger en exprimant sont état quantique par une somme vectorielle complexe dans la base des états (de fait infini, car par exemple (x,y,z) comportent une infinité de valeurs).

Une somme vectorielle donc. Avec le signe +. Cad que l'état quantique est la somme des états, c'est ce qu'on appelle le principe de superposition. Ça marche parque l'équation de Schrödinger et ses différentes formulations permettent d'expliquer les expériences et d'en prédire d'autres. Donc, comme tout principe physique, on s'y tient tant que ça marche, quand bien même sa construction comporte des postulats.

La densité de proba, ça vient après en quelque sorte, lorsqu'elle permet de prédire la fréquence de survenu des mesures, c'est donc une probabilité. La probabilité d'un état est le carré du module dans l'équation. La distribution de probabilité (densité dans un espace continu) n'est pas l'équation. Et la densité de probabilité ne décrit pas l'état quantique du système. Elle ne fait que prédire les fréquences de survenue des détections, ce qui est le fait d'une probabilité.

Il faut comprendre que le principe de complémentarité a quelque chose d'exclusif (cela dépend des expériences cependant). La complémentarité, c'est soit onde, soit corpuscule. Et quand c'est onde, oui, ça passe par les deux fentes, le mieux étant alors de ne pas évoquer la notion de photon tant qu'on n'effondre pas la fonction d'onde. C'est pourquoi Dirac avait critiqué lui même sa formulation qui pouvait introduire de la confusion (le photon interfère avec lui-même), suggérant plutôt de ne parler que d'onde, tant que cette dernière ne s'est pas effondrée.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 694 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 27 minutes, Condorcet a dit :

Un photon est décrit par l'équation de Schrödinger en exprimant sont état quantique par une somme vectorielle complexe dans la base des états (de fait infini, car par exemple (x,y,z) comportent une infinité de valeurs).

Une somme vectorielle donc. Avec le signe +. Cad que l'état quantique est la somme des états, c'est ce qu'on appelle le principe de superposition. Ça marche parque l'équation de Schrödinger et ses différentes formulations permettent d'expliquer les expériences et d'en prédire d'autres.
 

Mieux ça marche parce que Shrödinger l’a construit pour ça . 
Maintenant le fait qu’un modèle fonctionne permet il d’identifier modèle et réel ?

Ma particule a deux états de spin droit et gauche , je note à la mesure qu’il peut tantôt en avoir un tantôt l’autre , donc je modélise une superposition probabiliste , mais est ce que ça me permet de dire que cette superposition est « permanente « ?

Ou en fait ai-je modélisé des passages très rapides d’un état à l’autre non mesurables ?

Idem pour les orbitales ..... occupe t’il réellement toutes les orbites où passe t’il sans cesse de l’un à l’autre ?

Dans tous les cas le modèle marche tout se passe comme si la particule était dans tous les états mais ce n’est pas nécessairement le cas ....

Citation

 

 

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Membre, 67ans Posté(e)
Condorcet Membre 10 257 messages
Baby Forumeur‚ 67ans‚
Posté(e)
il y a 1 minute, DroitDeRéponse a dit :

Mieux ça marche parce que Shrödinger l’a construit pour ça . 
Maintenant le fait qu’un modèle fonctionne permet il d’identifier modèle et réel ?

Ma particule a deux états de spin droit et gauche , je note à la mesure qu’il peut tantôt en avoir un tantôt l’autre , donc je modélise une superposition probabiliste , mais est ce que ça me permet de dire que cette superposition est « permanente « ?

Ou en fait ai-je modélisé des passages très rapides d’un état à l’autre non mesurables ?

Idem pour les orbitales ..... occupe t’il réellement toutes les orbites où passe t’il sans cesse de l’un à l’autre ?

Dans tous les cas le modèle marche tout se passe comme si la particule était dans tous les états mais ce n’est pas nécessairement le cas ....

Toujours rien sur l'interférence différée ?

Ce qui est une des conséquences de ta théorie je te rappelle.

Le 02/09/2020 à 16:54, DroitDeRéponse a dit :

C’est là que tu perds pied . Que la fonction d’onde s’écroule ne change rien au fait que le photon ne passe que par une fente ... Le photon ne se dit pas oulala je vais être mesuré je ne passe plus par les deux fentes , par contre oui bien sur la mesure nécessite une énergie qui forcément perturbe ton photon ce qui se traduit par ton effondrement et ça tombe bien une fois qu’il est passé par F1 difficile d’affirmer qu’il est dans un état superposé ^^

LOL.

Ce que voulait dire Dirac, c'est que tant qu'on s'intéresse au comportement ondulatoire, alors il faut ne s'intéresser qu'au comportement ondulatoire, à la limite ignorer le photon en tant que particule. Dans le photon étant pris au sens de la fonction d'onde alors oui il y a une composante qui passe par une fente et une autre qui passe par l'autre fente.

C'est ce que dit en substance l'équation de Schrödinger, et peut être de façon plus flagrante avec la notation bra-ket développé par Dirac et communiqué en 1939 :

image.png.0605624035eb54c81fd38727cefcefee.png

Pour n particules. La somme sur j est une somme. Ce ne sont pas des ou d'une distribution de probabilité. Si la proba de passer pas une fente ou l'autre est de 1/2, on aura un vecteur qui passe par F1 et un vecteur qui passe par F2, de même module,... en même temps (vu que c'est l'état quantique), et c'est ce qui fera la diffraction et donc les raies sombres aux endroits qui donnent l'opposition de phase. 

Par ailleurs, dire qu'une fois passé par F1 rend difficile d'affirmer qu'il est dans un état superposé signifie ne pas avoir compris le principe de superposition.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 694 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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il y a 46 minutes, Condorcet a dit :

On va prendre le problème autrement.

Prendre le problème à l'envers en quelque sorte.

Explique nous l'interférence différée. :hum:

Il n’y a rien de différé si tu prends les trajectoires probabilisees de l’article .

 

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Membre, 67ans Posté(e)
Condorcet Membre 10 257 messages
Baby Forumeur‚ 67ans‚
Posté(e)
il y a 11 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Il n’y a rien de différé si tu prends les trajectoires probabilisees de l’article .

Ce n'est pas un article, c'est une vidéo. L'une de Serge Haroche, celle que tu m'as demandé de retransmettre car tu avais la flemme de regarder deux pages avant dans le fil de discussion, le lien que t'avait transmis @zenalpha.

Vu qu'il faut te la tenir pour pisser, j'avait même indexé les moment où Serge Haroche avançait tel ou tel propos.

Il y a un photon. Il se paye le CCD, ou tout écran. Il y a un point lumineux. C'en est fini de ce photon.

Plus tard un autre arrive.

C'est alors que tu nous explique que ces deux photons (ou n successivement avec un délais suffisant pour que le précédent ait touché l'écran, c'est pareil), vont interférer entre eux ! :mef2:

Donc, je recommence, explique nous cette interférence différée.

(N >> 1) a bien pour propos la nécessité de plusieurs particules pour obtenir l'interférence, n'est-ce pas ?

Le 01/09/2020 à 20:53, DroitDeRéponse a dit :

Par contre jamais entendu dans mon labo d’interférence d’un photon avec lui même , et vous ?

Bah il suffit d'une activité où être une truffe en mécanique quantique ne nuit pas. ;)

D'ailleurs, shut up and calculate!  Il suffit donc de calculer correctement et le boulot est fait, ce qui n'empêche pas de commenter par les inepties que l'on veut. 

Plaisanterie mise à part, on n'entend pas parle de... pour une raison très simple : de 1925 à 1935 la bataille fait rage, les controverses font florès, la plupart des physiciens travaillent autour de ces sujets. Des améliorations des formalismes se font par petites touches et à partir de 1940 tout a été dit ou presque. Ne reste plus que la controverses EPR. C'est pourquoi la partager n'est sans doute pas honteux, sauf que c'est plié depuis près de 40 ans.

40 ans après, tout le monde s'en fout, on ne débat plus de rien et les recherches sont affaire de spécialistes peu connus du public, ni même des ingénieurs ou physiciens travaillant dans d'autres spécialités. Bref on ne parle plus jamais de rien, sauf quand un journaliste scientifique fait un article au sujet des mésaventures d'un chat.

C'est pourquoi on peut être entaché d'une incompréhension sans que personne ne viennent vous dégrossir vu qu'on vit très bien sans. Voilà pourquoi tu n'as jamais entendu dans ton labo... 

A moins que l'explication la plus simple (j'aime bien les explications les plus simples) soit que les ingénieurs du labo ne disent pas tout à l'homme de ménage ? ;) 

 

Modifié par Condorcet
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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 694 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

 

 

il y a 59 minutes, Condorcet a dit :

La densité de proba, ça vient après en quelque sorte, lorsqu'elle permet de prédire la fréquence de survenu des mesures, c'est donc une probabilité. La probabilité d'un état est le carré du module dans l'équation.

Si la norme d’un élément est stochastique, l’élément peut il ne pas l’être ?

il y a 59 minutes, Condorcet a dit :

La distribution de probabilité (densité dans un espace continu) n'est pas l'équation. Et la densité de probabilité ne décrit pas l'état quantique du système. Elle ne fait que prédire les fréquences de survenue des détections, ce qui est le fait d'une probabilité.

Il faut comprendre que le principe de complémentarité a quelque chose d'exclusif (cela dépend des expériences cependant). La complémentarité, c'est soit onde, soit corpuscule. Et quand c'est onde, oui, ça passe par les deux fentes,

Parce qu’on adopte on modèle ondulatoire faute de savoir par où ça passe , mais l’observation confirme que ça ne passe que par une fente ....

il y a 59 minutes, Condorcet a dit :

le mieux étant alors de ne pas évoquer la notion de photon tant qu'on n'effondre pas la fonction d'onde.
 

Effondrer la fonction d’onde ça veut dire mesurer donc faire perdre la cohérence de la particule ( si elle a une phase phi elle en a une autre par exemple ) et c’est nécessairement peter la superposition puisque tu as désormais une connaissance à posteriori . Mais effondrer la fonction d’onde physiquement c’est quoi peux tu m’expliquer ?

il y a 59 minutes, Condorcet a dit :

 

C'est pourquoi Dirac avait critiqué lui même sa formulation qui pouvait introduire de la confusion (le photon interfère avec lui-même), suggérant plutôt de ne parler que d'onde, tant que cette dernière ne s'est pas effondrée.

C’est bibi qui a publié ;)

Maintenant c’est quoi physiquement l’effondrement de la FO ?

Et comment expliques tu que l’on ne mesure jamais que cette onde / particule passe par les deux fentes ?

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