Nina Simone

Je n'ai rien a dire, si ce n'est qu'il manque un sujet sur Nina Simone sur ce forum !

Je l'ai connu personnellement a l'époque, dans le début des années 80, lorsqu'elle chantait aux 3 Mailletz, a St Michel, dans sa période creuse, avant qu'elle ne redevienne célèbre a cause du clip.

Super chanteuse, surtout si elle s'était envoyé suffisamment de gros rouge a la friteries en face, avant son concert.

Accessoirement, elle ne ressemblait pas a cette photo qui a du être prise il y a très très longtemps.

Quelle voix ! j'adore!

Ma préférée

Un autre enregistrement

Le 28/06/2020 à 14:36, rokutonoken a dit :

Je n'ai rien a dire, si ce n'est qu'il manque un sujet sur Nina Simone sur ce forum !

Le 28/06/2020 à 14:36, rokutonoken a dit :

Je n'ai rien a dire, si ce n'est qu'il manque un sujet sur Nina Simone sur ce forum !

 

j'ai beaucoup aimé sa reprise de la chanson de Jacques Brel, ne me cuite pas, ne me cuite pas...

Il y a une culture des divas noire soul aux états unis aussi timbrées, mégalomanes, capricieuses que putain de chanteuses, enfin, jusqu'à une certaine époque. Perso l'album d'aretha franklin lady soul d'aretha franklin est dans une de mes playlist principale, ainsi que l'album accoustique d'mtv de Lauryn hill. Nina simone c'est un peu trop maniéré, et naphtaliné pour moi.

Faut pas l'écouter les gens, lui du dessus il dit n'importe quoi, Nina c'est la base, c'est la vie 

Lilac Wine 

Bon je fais du WIKI facile... pas le temps

"Strange Fruit[...]

Tirée d'un poème écrit et publié en 1937 par Abel Meeropol, c'est un réquisitoire artistique contre le racisme aux États-Unis et plus particulièrement contre les lynchages que subissent les Afro-Américains, qui atteignent alors un pic dans le sud des États-Unis^2,3. Meeropol l'a mis en musique avec l'aide de sa femme, et la chanteuse Laura Duncan (en) l'interprète comme une chanson de protestation sur les scènes de New York à la fin des années 1930, y compris au Madison Square Garden.

Le « strange fruit » évoqué dans le morceau est le corps d'un Noir pendu à un arbre. On peut lire dans la deuxième strophe : « Scène pastorale du vaillant Sud, Les yeux exorbités et la bouche tordue, Parfum du magnolia doux et frais, Puis une soudaine odeur de chair brûlée »."