Le coronavirus peut-il provoquer une récession mondiale?

il y a 3 minutes, Umpokito a dit :

Dis, Covid-19, as-tu des raisons cachées? pila veut savoir!

Nous ne sommes pas dans le secret des Dieux, mon cher !

il y a 8 minutes, pila a dit :

Nous ne sommes pas dans le secret des Dieux, mon cher !

Nous ne sommes pas dans le "caché" ni dans le "secret", mais dans "l'inconnu": ça te va comme ça?

Il y a 23 heures, menon a dit :

ok , j'eusse espéré que les banques aient les reins plus solides qu'en 2008 !

Je viens précisément de dire le contraire.

Le problème ce sont les entreprises et ce sont les banques qui sont prêtes à les aider à l'aide des largesses des banques centrales.

Tu en fais exprès ou tu ne lis pas après plus de 3 mots d'un post ?

Après, si l'effondrement était d'importance (improbable à mon avis), on découvrirait aussi les faiblesses des banques. Pas de pot les plus pouraves sont en Italie, Italie sur infectée avec tous les affairistes chinois qui y grenouillent depuis des mois.  

En orange le hors de Chine, l'Europe constituant plus de la moitié. Aux USA ça commence.

Le déluge de liquidités à provoqué un rebond boursier qui me semble prématuré, surtout si l'Europe doit augmenter les mesures. La bourse semble avoir tenu plus compte de la détermination des banques centrales (action concertée pour le coup), que de l'effet sur la production et la croissance.

Je crains que les résultats trimestriels d'avril déclenchent une seconde vague de baisse plus sérieuse. C'est toutefois imprévisible.

Un petit vent de panique sur le CAC ce vendredi. On retrouve des cours de 2015...

Moins 3,77 %, moins 16% depuis le début.

Wall Street a amorcé un léger rebond vendredi avant la fermeture.

Attachez vos ceintures lundi :

Les chinois sont étonnants. La bourse de Shanghai : même pas peur. A gauche le crack boursier de 2015, a droite une petite chute puis un retour à la normale rapide. Faut dire que la banque centrale achète directement des actions, ce que s'interdisent BCE, FED et autres BOE. Par contre la banque du Japon achète du Nikkey (pas pour le moment).

Ça y est c'est le début du massacre.

Paris va ouvrir en forte baisse ce lundi.

L'or et l'Euro s'envolent....

Même le pape François est confiné dans ses quartiers et doit réciter l’angélus de l'intérieur du Vatican; espérons que ses prières seront entendues!

Le gouvernement mets le paquet. Ça n'a pas traîné.

Voilà ce que ça donne d'avoir à la présidence du G20 c'est cinglés de saoudiens. Alors qu'on est face au silence assourdissant de ce groupe concernant d'éventuelles mesures concertés, ces fous décident de déclencher une guerre commerciale avec la Russie et font s'effondrer les cours du pétrole. Que le pétrole baisse je ne suis pas contre, qu'il s'effondre littéralement en période de crise c'est jouer avec le feu. Bruno le Maire va essayer de raisonner ces dangereux cons, mais rien n'est moins sur que cela produise le moindre effet. En fait il faudrait un coup de fil musclé de Trump, car l'un des effets de l'attaque saoudienne pourrait mettre littéralement en faillite l'industrie des hydrocarbures non conventionnels américaine.

Bon, pour les sunnites, c'est fait. Les chiites sont différent. L'Iran a trouvé une mesure pour éradiquer le coronavirus : les hôpitaux déclarent que les décédés du virus sont mort d'une crise cardiaque. Il fallait y penser! 

L'Euro s'envole. Les marchés auraient donc anticipé que la FED va en remettre une couche de baisse des taux. Encore 50 points de base après la mesure surprise de la semaine dernière. Ça serait donc si grave que ça ?

La BCE n'a plus de munitions en terme de baisse des taux. D'ailleurs ça n'aurait pas grand effet. On s'oriente vers du TLTRO massif, cette fois non pas pour acheter de l'oblig d'état, mais pour couvrir les défauts d'entreprises qui risquent de se pointer dans les semaines qui viennent.

Il y a 8 heures, Condorcet a dit :

Voilà ce que ça donne d'avoir à la présidence du G20 c'est cinglés de saoudiens. Alors qu'on est face au silence assourdissant de ce groupe concernant d'éventuelles mesures concertés, ces fous décident de déclencher une guerre commerciale avec la Russie et font s'effondrer les cours du pétrole. Que le pétrole baisse je ne suis pas contre, qu'il s'effondre littéralement en période de crise c'est jouer avec le feu. Bruno le Maire va essayer de raisonner ces dangereux cons, mais rien n'est moins sur que cela produise le moindre effet. En fait il faudrait un coup de fil musclé de Trump, car l'un des effets de l'attaque saoudienne pourrait mettre littéralement en faillite l'industrie des hydrocarbures non conventionnels américaine.

Bon, pour les sunnites, c'est fait. Les chiites sont différent. L'Iran a trouvé une mesure pour éradiquer le coronavirus : les hôpitaux déclarent que les décédés du virus sont mort d'une crise cardiaque. Il fallait y penser! 

Non pas que je veuille défendre l'A.S.mais c'est la Russie qui a déclenché cette guerre sur le prix du pétrole.

extrait

En refusant vendredi de s’aligner sur l’Arabie Saoudite et l’Opep pour réduire la production de brut et permettre ainsi de soutenir les prix dans un contexte international de crise sanitaire, “la Russie a déclenché ce qui pourrait bien devenir la plus dévastatrice des guerres du prix du pétrole de l’histoire récente”, observe le site professionnel Oilprice.com.

En représailles, l’Arabie Saoudite a radicalement changé sa stratégie et décidé d’inonder la planète avec du pétrole à prix cassé, pour “arracher à Moscou ses parts de marché”, selon des délégués de l’Opep interrogés par le Wall Street Journal.

Un pari risqué, qui a fait plonger de 9 % l’action d’Aramco, le géant pétrolier saoudien, et provoqué la chute du baril de brent ­ – la référence internationale – “de 45 à 31,52 dollars, l’une des plus grosses baisses de son histoire sur une seule journée”, écrit le Financial Times. Il faut remonter à la première guerre du Golfe, en 1991, pour voir un tel effondrement des prix en moins de vingt-quatre heures

En refusant vendredi de s’aligner sur l’Arabie Saoudite et l’Opep pour réduire la production de brut et permettre ainsi de soutenir les prix dans un contexte international de crise sanitaire, “la Russie a déclenché ce qui pourrait bien devenir la plus dévastatrice des guerres du prix du pétrole de l’histoire récente”, observe le site professionnel Oilprice.com.

En représailles, l’Arabie Saoudite a radicalement changé sa stratégie et décidé d’inonder la planète avec du pétrole à prix cassé, pour “arracher à Moscou ses parts de marché”, selon des délégués de l’Opep interrogés par le Wall Street Journal.

Un pari risqué, qui a fait plonger de 9 % l’action d’Aramco, le géant pétrolier saoudien, et provoqué la chute du baril de brent ­ – la référence internationale – “de 45 à 31,52 dollars, l’une des plus grosses baisses de son histoire sur une seule journée”, écrit le Financial Times. Il faut remonter à la première guerre du Golfe, en 1991, pour voir un tel effondrement des prix en moins de vingt-quatre heures

En refusant vendredi de s’aligner sur l’Arabie Saoudite et l’Opep pour réduire la production de brut et permettre ainsi de soutenir les prix dans un contexte international de crise sanitaire, “la Russie a déclenché ce qui pourrait bien devenir la plus dévastatrice des guerres du prix du pétrole de l’histoire récente”, observe le site professionnel Oilprice.com.

En représailles, l’Arabie Saoudite a radicalement changé sa stratégie et décidé d’inonder la planète avec du pétrole à prix cassé, pour “arracher à Moscou ses parts de marché”, selon des délégués de l’Opep interrogés par le Wall Street Journal.

Un pari risqué, qui a fait plonger de 9 % l’action d’Aramco, le géant pétrolier saoudien, et provoqué la chute du baril de brent ­ – la référence internationale – “de 45 à 31,52 dollars, l’une des plus grosses baisses de son histoire sur une seule journée”, écrit le Financial Times. Il faut remonter à la première guerre du Golfe, en 1991, pour voir un tel effondrement des prix en moins de vingt-quatre heures

En refusant vendredi de s’aligner sur l’Arabie Saoudite et l’Opep pour réduire la production de brut et permettre ainsi de soutenir les prix dans un contexte international de crise sanitaire, “la Russie a déclenché ce qui pourrait bien devenir la plus dévastatrice des guerres du prix du pétrole de l’histoire récente”, observe le site professionnel Oilprice.com.

En représailles, l’Arabie Saoudite a radicalement changé sa stratégie et décidé d’inonder la planète avec du pétrole à prix cassé, pour “arracher à Moscou ses parts de marché”, selon des délégués de l’Opep interrogés par le Wall Street Journal.

Un pari risqué, qui a fait plonger de 9 % l’action d’Aramco, le géant pétrolier saoudien, et provoqué la chute du baril de brent ­ – la référence internationale – “de 45 à 31,52 dollars, l’une des plus grosses baisses de son histoire sur une seule journée”, écrit le Financial Times. Il faut remonter à la première guerre du Golfe, en 1991, pour voir un tel effondrement des prix en moins de vingt-quatre heures

Pour L'article en entier

Source : https://reveil.courrierinternational.com/#/edition/1962181/article/1962508

Il y a 11 heures, Ines Presso a dit :

Non pas que je veuille défendre l'A.S.mais c'est la Russie qui a déclenché cette guerre sur le prix du pétrole.

Le flottant (proportion de capital en bourse) est très faible. C'était un coup d'essais, permettant de manipuler facilement les cours en faisant pression sur tous les friqués du royaume pour qu'il en achètent. On dira donc qu'on s'en fout du cours d'Aramco, y compris les saoudiens.

Concernant les cours du pétrole, si les Russes se sont certes révélés pénibles du point de vue de l'OPEC, la réaction agressive des saoudiens me semble tant exagérée que déraisonnable. C'est un bras de fer dissymétrique alors que d'un coté c'est le budget de l'état saoudien qui est en péril alors que les russes eux ont directement le niveau de vie qui se retrouve impacté.

La bourse américaine rebondit ce matin (sur produits dérivés bien sûr, car NY n'est pas encore ouvert). A noter que comme tous les ans, on est dans cette semaine bizarre où l'on a 7 heures eu lieu de 6, de décalage horaire avec la cote est.

A quand la 3ème vague de baisse ?  

Concernant le hors Chine l'Europe devient prépondérante, les USA démarrent. Je sens venir une vague 3, mais quand ? Il n'est pas urgent d'acheter quitte à risquer de rater les plus bas. Mais on ne peut jamais acheter au plus bas et vendre au plus haut évidemment.

Comme d'habitude en temps de crise, la finance est un boulet. Et c'est là qu'on voit aussi que les choses ne se sont pas du tout améliorées dans ce domaine depuis 2008, mais bien au contraire ont empiré.

Agnès Panier Runacher nous informe qu il faut faire des affaires pendant le coronavirus.  Autrement dit spéculer sur le dos des morts! Se faire du fric pendant la crise sanitaire et économique la plus terrible...

Ce parti "en marche" vers nul part c est vraiment un parti de cyniques,  véreux. Quand macron reprendra  l'expression de sa secrétaire officiellement,  je pense qu en face d eux  on sera ...comme aux temps de 1789...