Le non de Villani à Macron!

Son programme n'est pas dénué d'intérêt. Je trouve par exemple que son idée de collectifs citoyens pour des rues zéros déchets n'est pas idiot : il y a des gens déjà bien avancé dans ce principe qui peuvent partager leurs expériences, leurs savoirs, leurs organisations et les diffuser. Après on peut le trouver court sur bien d'autres sujets comme les violences faites aux femmes, où son repompage berlinois des navettes à la demande frôle le ridicule, tandis qu'il faudrait voir plus loin et parler éducation.

J'ai de la sympathie pour ce type là parce qu'il s'est fait rouler dessus par le soit disant "faire de la politique autrement" macroniste qui ne rejoue que des logiques d'appareil féodal, dont le petit marquis Griveaux n'est que la caricature. J'ai suivi un peu ses travaux sur l'I.A. et les débats autour de son approche. Il y a autant de sincérité que de maladresse et d'absence de cynisme politique dans sa démarche. Il est donc foutu.

il y a 13 minutes, Alain75 a dit :

C'est pas mieux que Villiani.

Les guignols comptez vous !

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En plus ces deux andouilles veulent déplacer les gares de l' Est et du Nord en banlieue.....

Ils n'ont aucune chance d'avoir ma voix.

Pareil pour moi!!

il y a 38 minutes, Quasi-Modo a dit :

Les gilets jaunes étaient uniquement consensuels sur une chose. Le fait de râler. Ils n'ont jamais représenté une alternative crédible. C'est un peu le problème des révolutionnaires en général. 

Mais ils ont eu le mérite d'exister là ou un seing-blanc sorti de nulle part était entrain de se poser dans une apathie politique mortifère généralisée.

Nous pourrions avoir beau jeu, a posteriori, de nous gausser sur leur incapacité alternative structurée sans se rendre compte du renversement inquiétant en amont de la donne démocratique où le fantasme d'un ni-gauche ni-droite est tombé du ciel ou plutôt de Jupiter.

Ce fantasme a fait apparaitre un "visage", celui de l'autoritarisme, révélant la nature du "régime" qui se mettait en place et continue malgré la répulsion qui gagne à présent l'ensemble des citoyens. La révolution est un bien grand mot pour qualifier un mouvement social qui a remisé la responsabilité de l'état de la démocratie actuelle à tout un chacun, toi, moi, toutes et tous.

Nuit debout a cheminée jusqu'au gilets jaunes eux-mêmes jusqu'au réveil syndical actuel, à souhaiter que ce cheminement nous mène vers une résurgence complète.

Sans oublier que celles et ceux qui ont participé à ce mouvement l'ont payé au prix fort, celui du sang, des blessures et de l'humiliation consensuelle.

Pauvre chou de Macron ! Il doit être tout énervé !

il y a 25 minutes, soloandsolo a dit :

Mais ils ont eu le mérite d'exister là ou un seing-blanc sorti de nulle part était entrain de se poser dans une apathie politique mortifère généralisée.

Nous pourrions avoir beau jeu, a posteriori, de nous gausser sur leur incapacité alternative structurée sans se rendre compte du renversement inquiétant en amont de la donne démocratique où le fantasme d'un ni-gauche ni-droite est tombé du ciel ou plutôt de Jupiter.

Ce fantasme a fait apparaitre un "visage", celui de l'autoritarisme, révélant la nature du "régime" qui se mettait en place et continue malgré la répulsion qui gagne à présent l'ensemble des citoyens. La révolution est un bien grand mot pour qualifier un mouvement social qui a remisé la responsabilité de l'état de la démocratie actuelle à tout un chacun, toi, moi, toutes et tous.

Nuit debout a cheminée jusqu'au gilets jaunes eux-mêmes jusqu'au réveil syndical actuel, à souhaiter que ce cheminement nous mène vers une résurgence complète.

J'ai pour ma part signé ici même et dès le début du mouvement GJ qu'il leur serait nécessaire de se structurer et de parler d'une même voix. Ce n'est pas parce que les gens sont mécontents (et même si ils ne mangent plus à leur faim) et qu'ils sortent dans les rues (et même si ils cassent tout) que le système risque de changer.

En absence de revendications claires la violence de leurs cortèges représentait donc un vrai danger pour la société démocratique française. C'était juste impossible de laisser les commerces être vandalisés tous les weekends alors que nous savions par avance que cela ne déboucherait sur rien. 

C'était digne des émeutiers de Stockholm dont on disait qu'ils étaient des rebelles sans cause. Encore que pour Stockholm c'est discutable. C'était comme un poulet sans tête qui court et ne sait pas lui-même par où. Le poulet finit par s'effondrer sans avoir fait un grand voyage. Tout comme les gilets jaunes. 

C'est pourtant simple : si il n'y a pas de cause commune et d'instance représentative alors le dialogue est impossible avec les responsables politiques et les revendications ne seront plus que brouhaha incohérent. Aucune mesure ne permet de satisfaire un tel mouvement il faut le reconnaître et tendre la main à une partie des manifestants aurait aussitôt été interprété comme un crachat au visage des autres qui auraient pu continuer leur violence.

Nul n'est tenu de satisfaire des exigences contradictoires c'est pourquoi même Macron n'a rien pu retenir de cette affaire. Si le dialogue est impossible (et les gilets jaunes ont tout fait pour qu'il le soit) et bien il ne reste plus que le rapport de force et la violence pure. Les faits m'ont d'ailleurs sans surprise donné raison. Continuer cette pseudo lutte ne pouvait que mal se terminer. 

Si Villani avais dis OUI a E Macron ça lui aurais été (pour E Macron) un aveu de plus de son Autoritarisme pour ne pas dire de son "Dictatorisme", ce que ne souhaitais certainement pas Villani , ce qui aurais été un mauvais gage pour son avenir en Politique

Mais je pense que là encore il doit y avoir  un "Loup" que seul les Loups entre eux connaissent Macron Grivaux Villani tous les trois des Ex Socialistes nouvelles génération

Il y a 2 heures, Quasi-Modo a dit :

C'est pourtant simple : si il n'y a pas de cause commune et d'instance représentative alors le dialogue est impossible avec les responsables politiques et les revendications ne seront plus que brouhaha incohérent. Aucune mesure ne permet de satisfaire un tel mouvement il faut le reconnaître et tendre la main à une partie des manifestants aurait aussitôt été interprété comme un crachat au visage des autres qui auraient pu continuer leur violence.

Nul n'est tenu de satisfaire des exigences contradictoires c'est pourquoi même Macron n'a rien pu retenir de cette affaire. Si le dialogue est impossible (et les gilets jaunes ont tout fait pour qu'il le soit) et bien il ne reste plus que le rapport de force et la violence pure. Les faits m'ont d'ailleurs sans surprise donné raison. Continuer cette pseudo lutte ne pouvait que mal se terminer. 

Je ne peux que te renvoyer à mon post auquel tu réponds, ce mouvement n'avait pas vocation à se structurer, ce n'était pas sa dynamique. A retenir, rien que pour le forum, ici donc, "les gilets jaunes" c'est 1450 pages de débats.

Il y a 2 heures, Quasi-Modo a dit :

C'est pourtant simple : si il n'y a pas de cause commune et d'instance représentative alors le dialogue est impossible avec les responsables politiques et les revendications ne seront plus que brouhaha incohérent. Aucune mesure ne permet de satisfaire un tel mouvement il faut le reconnaître et tendre la main à une partie des manifestants aurait aussitôt été interprété comme un crachat au visage des autres qui auraient pu continuer leur violence.

Nul n'est tenu de satisfaire des exigences contradictoires c'est pourquoi même Macron n'a rien pu retenir de cette affaire. Si le dialogue est impossible (et les gilets jaunes ont tout fait pour qu'il le soit) et bien il ne reste plus que le rapport de force et la violence pure. Les faits m'ont d'ailleurs sans surprise donné raison. Continuer cette pseudo lutte ne pouvait que mal se terminer. 

Mais il y a des souhaits et les gilets jaunes ont toujours dit qu'ils ne voulaient pas être le kalife à la place du kalife, juste être entendus sur des revendications légitimes qui ont été énoncées à maintes reprises, mais il n' y a pas pire sourd que celui qui ne veut entendre.

Donc comment l’apaisement pourrait se faire, le pourrissement radicalise c'est tout.

Il y a 3 heures, pila a dit :

Pauvre chou de Macron ! Il doit être tout énervé !

Et il ne peut même pas aller en Chine calmer ses nerfs..

Il y a 17 heures, libredeparler a dit :

Le titanic "Macron" coule.... les élus partent progressivement sachant que l'imposture ne passent plus au près des françaises et français...

En même temps, on sait comment c'est construit laREM,.... constituer d'une bande de faux-jetons opportuniste, qui ont tantôt quitter les républicains, tantôt le PS, pour aller se réfugier dans les bras à Macron, tant ils avaient peur de perdre leur mandat ! Mr Villani, lui-même est un ancien soutien d'Anne Hidalgo....

Il y a 16 heures, Quasi-Modo a dit :

Les gilets jaunes étaient uniquement consensuels sur une chose. Le fait de râler. Ils n'ont jamais représenté une alternative crédible. C'est un peu le problème des révolutionnaires en général. 

Certes, mais les "révolutionnaires en général" se dotaient au moins de leaders et leurs mouvements aboutissaient à une alternative bien réelle.

C'est clair que quand on se contente de servir la soupe à des mouvances politiciennes extrémistes  qui n'évoluent pas depuis le siècle dernier, on risque pas d'aller loin...

Sauf si, "aller loin", pour les gilets jaunes, consiste à entraîner le pays dans le mur... option qui ne peut que servir les intérêts de ces mouvances... 

Ils osent dire non !

"Premier impact au groupe LREM de la lutte fratricide pour les municipales à Paris: la députée Paula Forteza, soutien du candidat dissident Cédric Villani, a annoncé mardi sa décision de quitter le mouvement et le groupe majoritaire.

Elle a expliqué sa décision par "beaucoup de raisons liées au fond" mais aussi "à la méthode, à la stratégie politique" du mouvement, "verrouillé, qui récompense les amitiés plus que les compétences", et suit "une dynamique d'exclusion, de rétrécissement, plus que de rassemblement".

Dans un message adressé à ses collègues "marcheurs" consulté par l'AFP et où elle annonce son "choix de quitter" LREM, Paula Forteza souligne que chacun dans le groupe "peut mesurer la dureté de ces dernières semaines". 

Elle explique avoir espéré "un tournant social et écologique", mais regrette une "politisation de sujets qui attisent les divisions", comme sur l'immigration.

"De nombreux départs ont déjà exprimé à quel point notre action n'est pas à la hauteur. L'écolo-progressisme, que nous sommes plusieurs collègues à défendre, est une voie crédible et prometteuse", poursuit la députée.

"Nous voulions combattre les appareils: nous en avons recréé un de toutes pièces", déplore aussi Paula Forteza, qui regrette au sujet de la réforme des retraites que LREM soit tombé "dans le piège de la démonstration des rapports de force".

Cette cheffe d'entreprise, novice en politique à son arrivée en 2017, rejoint ainsi la dizaine d'élus qui ont quitté le groupe majoritaire depuis le début de la législature, chiffre auquel s'ajoutent plusieurs passages de membres à part entière à apparentés, dont trois en janvier.

Le dernier départ en date remonte à lundi. La députée de Haute-Savoie Frédérique Lardet, qui n'a pas obtenu l'investiture à Annecy pour les municipales a annoncé qu'elle quittait le mouvement tout en restant apparentée au groupe. La députée du Gard Annie Chapelier et l'élue du Nord Valérie Petit avaient fait de même dans le courant du mois."

https://actu.orange.fr/politique/la-deputee-villaniste-paula-forteza-quitte-le-groupe-lrem-CNT000001ndZDQ.html

Macron compte sur les écolos  bobos pour 2022.