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Le coronavirus est arrivé en France

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lycan77

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Morfou Membre 63 930 messages
Maitre des forums‚ 75ans‚
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Il y a 3 heures, Droma a dit :

Je ne sais pas si ça apparaît déjà sur ce forum.

J'apprécie l'homme, j'apprécie l'acteur, j'apprécie son analyse (Vincent Lindon) 

https://youtu.be/EdZBZUN2t-4 

Voilà la transcription du lien YT :

 

Comment ce pays si riche…

Traversé par le flot incessant des commentaires, désorienté par l’addition d’analyses souvent contradictoires, j’ai tenté de réfléchir à la question la plus banale : mais comment avons-nous pu en arriver là ? À cette situation inédite, littéralement stupéfiante.

Spécialiste en rien, intéressé par tout, il m’a paru pourtant utile de contribuer en faisant entendre une voix simplement citoyenne. Suis-je légitime pour interpeller nos dirigeants, tous professionnels de la chose publique, tous diplômés des meilleures écoles ? Pas plus qu’un autre sans doute, mais pas moins non plus, ayant pris soin de consulter nombre d’avis autorisés, notamment dans le domaine de la santé, où André Grimaldi [professeur émérite de diabétologie au CHU de la Pitié-Salpêtrière – ndlr] m’a apporté son éclairage.

Comment ce pays si riche, la France, sixième économie du monde, a-t-il pu désosser ses hôpitaux jusqu’à devoir, pour éviter l’engorgement des services de réanimation, se résigner à se voir acculé à cette seule solution, utile certes, mais moyenâgeuse, le confinement ? Nous qui, au début des années 2000 encore, pouvions nous enorgueillir d’avoir le meilleur système de santé du monde.

C’était avant.

Avant que s’impose la folle idée que la santé devait être rentable, puisque tout désormais devait être marchandise, jusqu’à la vie des hommes.

Un espoir s’était pourtant levé avec le nouveau chef de l’État Emmanuel Macron, et son programme promettant un « investissement massif dans le système de santé ». Hélas, l’élection acquise, il préféra poursuivre l’action de ses prédécesseurs. S’il n’est donc que le dernier avatar d’une même politique, il porte pourtant une responsabilité particulière, pour avoir ignoré tous les signaux d’alerte.

Douze mois de grève des urgences ? Les patients patienteront.

1 200 chefs de service démissionnent de leurs fonctions administratives ? Moins de paperasse.

Présence massive des soignants dans toutes les manifestations ? Sortez les LBD et les grenades de désencerclement…

Au-delà de la santé, c’est l’ensemble du secteur public qui subit depuis des décennies les coups de boutoir des présidents qui se succèdent avec toujours la même obsession : réduire la place de l’État dans l’économie. La recette est simple : privations pour ce qui coûte (l’éducation, la justice, la police, l’armée, la santé…) et privatisations pour ce qui rapporte.

Tandis que les budgets des ministères régaliens sont comprimés et les salaires de leurs fonctionnaires bloqués, la grande braderie est ouverte. Villepin solde les autoroutes, Nicolas Sarkozy fait absorber Gaz de France par un groupe privé, Suez, et enfin François Hollande, sous la férule de Macron, démembre Alstom pour le plus grand profit de l’américain General Electric.

Avec l’arrivée d’Emmanuel Macron, la fête continue. Deux entreprises publiques, la Française des jeux (FDJ) et Aéroports de Paris (AdP), sont très rentables ? Vendez-les !

Pour comprendre l’attachement aveugle de notre président à cette ligne idéologique, il est nécessaire de revenir sur trois années d’exercice de son pouvoir, que notre Constitution a voulu absolu.

Qu’en retenir ?

Dès les premiers jours, une évidence : le goût du nouveau président pour la pompe et les rites de la monarchie, se mettant régulièrement en scène dans les décors de la royauté ; ainsi a-t-il choisi le palais du Louvre pour son intronisation, marchant seul devant la pyramide, le château de Versailles pour recevoir Vladimir Poutine, l’empereur du Japon ou 150 millionnaires high-tech et, enfin, celui de Chambord pour célébrer son 40e anniversaire.

Une prédilection annoncée par des déclarations antérieures – en 2015, il affirmait déjà : « Dans la politique française, l’absent est la figure du roi, dont je pense fondamentalement que le peuple français n’a pas voulu la mort » – et confirmée jusque dans son programme, qui prévoyait de rétablir les chasses présidentielles. Ce qui n’a rien d’un détail.

L’ego comblé, le jeune homme allait pouvoir s’attaquer à son grand œuvre : bâtir cette « start-up nation » où les « premiers de cordée » allaient tirer vers les cimes ces « Gaulois réfractaires ». Au pas de charge : suppression de l’ISF et allègement de l’impôt sur les profits financiers pour les uns, réformes restrictives du droit du travail ou des allocations chômage et baisse des APL pour les autres. Cinq euros en moins sur les APL ! Mais qu’est-ce qui peut bien passer par la tête d’un dirigeant pour accoucher d’une aussi mauvaise idée ? La brume des sommets obscurcit-elle le jugement au point de lui faire oublier le poids des symboles ? C’était donc ça le « en même temps » macronien, des offrandes pour ceux qui n’ont besoin de rien, des sacrifices pour ceux qui ont besoin de tout ?

Mais c’est le premier été du quinquennat, et tout semble encore permis au conquérant de l’Élysée. Malgré quelques protestations, le nouveau monde impose ses lois grâce au soutien de sa majorité obéissante et reconnaissante.

Premier grain de sable à l’été 2018, l’affaire Benalla et son traitement rocambolesque, qui jette une lumière crue sur la conception et les pratiques du pouvoir.

Avec l’automne, un vent se lève, une révolte inattendue et pourtant évidente : des femmes et des hommes en jaune envahissent les ronds-points et les Champs-Élysées, naturellement accompagnés par une très faible minorité qui prétexte le port de la chasuble pour casser plutôt que pour revendiquer, une revendication légitime qui emporte l’adhésion de l’opinion, contraignant le gouvernement à un repli tactique : 10 milliards jetés à la hâte pour tenter d’éteindre la colère sociale.

Trop tard. Les sacrifiés de la mondialisation ultralibérale veulent plus. Plus de moyens, certes, mais aussi plus de pouvoirs, notamment celui de contrôler ceux dont la mission est de les représenter.

Après la carotte, vient le temps du bâton. Une répression brutale, policière, avec mains arrachées et manifestants éborgnés, mais aussi judiciaire, avec une distribution massive de condamnations fermes. Pendant que les pouvoirs exécutif et judiciaire répriment, les législateurs ferraillent pour imposer une réforme des retraites dont une majorité des Français ne veut pas.

Occupés à bâtir leur nouveau monde, les responsables n’accordent qu’une attention distraite à un virus agressif qui, parti de Chine, va très vite ravager la planète et envahir la totalité de l’espace politique, donnant à nos gouvernants l’occasion de montrer l’étendue de leur compétence.

Dans les hôpitaux, la situation est dramatique. On manque de tout, de masques, de gel, de tests, de respirateurs, de lits et de personnels en réanimation. Le 29 février, après que le Covid-19 a fait ses premières victimes en France, Édouard Philippe convoque un conseil des ministres extraordinaire consacré au virus. Une grande décision en ressort : utiliser le 49-3 pour faire adopter la réforme des retraites !

Alors que l’épidémie progresse, se faisant pandémie, le pouvoir s’affole, s’agite comme un poulet sans tête. Sur quoi s’interroge l’exécutif aux premiers jours de mars ? Mais sur le maintien des municipales, bien sûr ! La veille du premier tour, le premier ministre joue les contorsionnistes, invitant les Français à rester chez eux, mais, en même temps, à aller voter. Chapeau l’artiste !

Pendant que nos voisins allemands se mettent en ordre de bataille, le gouvernement français peaufine sa communication.

Une seule stratégie, mentir.

Relayant le discours présidentiel, l’équipe gouvernementale multiplie les déclarations absurdes et contradictoires. Ainsi affirme-t-on successivement qu’il ne s’agit que d’une « grippette », que l’épidémie, comme le nuage de Tchernobyl, ne touchera pas la France – alors même qu’à notre frontière sud, l’Italie est frappée –, puis qu’elle est « sous contrôle », avant de devoir avouer la gravité de la situation.

Sur la question cruciale des masques de protection, la parole officielle est schizophrène : aux premiers temps, leur utilité est affirmée. D’ailleurs, il y en a des millions en stock, prêts à être distribués à la population en cas de besoin. La menace virale se précisant, les masques sont soudain déclarés inutiles, voire dangereux puisqu’on ne sait pas s’en servir. Ce qui est fort opportun, puisque les stocks se sont volatilisés.

Pschitt…

Plus de masques.

Pas même de quoi équiper tous les soignants qui doivent monter au front armés de leur seul courage. Bon, d’accord, pas de masques, mais ils arrivent. Quand ? Mais demain, bien sûr ! Hélas, les jours et les semaines passent, la pénurie persiste. Ignorés, méprisés et matraqués quelques semaines plus tôt, les soignants sont désormais portés aux nues.

Pour le commun des Français, le confinement est la règle, chômage technique pour les uns, télétravail pour les autres. Tous les Français ? Non. Pour les caissières, les livreurs, les éboueurs, les policiers ou les pompiers, l’activité doit se poursuivre, quels que soient les périls. Eux qui formaient le gros des bataillons en gilet jaune, naguère vilipendés, sont désormais officiellement essentiels. Exit les premiers de cordée, place aux premiers de corvée.

Le 23 avril, dans une adresse solennelle à la nation, le président Macron annonce enfin le déconfinement pour le 11 mai. Pourquoi le 11 plutôt que le 5 ? Pourquoi mai plutôt que juin ? Parce que.

Deux semaines plus tard, le premier ministre en dévoile les conditions. Acte 1 : réouverture des crèches et des écoles primaires. Curieux puisqu’elles avaient été les premières à être fermées, avant même le début du confinement, au motif qu’elles étaient un lieu hautement favorable à la propagation du virus… Évidemment économique – il s’agit bien sûr de libérer les parents de l’obligation de garder leurs jeunes enfants, pour leur permettre de reprendre le travail –, la véritable raison de ce choix sera passée sous silence, voire niée, alors même qu’elle est audible : vouloir éviter l’effondrement total de l’activité et son cortège de drames est après tout une motivation hautement respectable.

Empêtré dans ses mensonges et ses omissions, le pourvoir tergiverse. Très vite, le discours s’infléchit : l’obligation de retourner en classe ne s’appliquera pas systématiquement. Les maires, les préfets pourront décider, ou non, de s’y conformer.

Mieux, les parents seront libres de garder leurs enfants à la maison. Dans les milieux favorisés, on n’hésitera guère. Mais dans les milieux plus modestes, le dilemme est cornélien. Alors que le chômage enfle, dois-je exposer mon enfant au risque de tomber malade, ou accepter l’éventualité de perdre mon emploi ? Et si les parents sont d’avis contraires, le couple pourra-t-il résister, notamment si les choses tournent mal ? Questions sans réponses…

Une bonne nouvelle, pourtant : les masques arrivent. Des masques en tissu, lavables et réutilisables. Efficaces ? « Oui, dit le Pr Grimaldi, contre la transmission du virus. Mais comme ils n’empêchent pas le porteur d’être infecté lui-même, la mesure ne vaut que si elle s’impose à tous, dans l’espace public au moins. » Prisonnier de son discours récent, le gouvernement ne peut se résoudre à rendre obligatoires partout ces masques qu’hier encore il déclarait inutiles. « Pourtant, ajoute le Pr Grimaldi, on a le droit de se tromper, mais le devoir de reconnaître ses erreurs. »

Au rythme où s’enchaînent les événements, ce droit à l’erreur pourrait bien m’être utile, mes propos risquant de devenir rapidement caducs, tant les stratégies gouvernementales oscillent, sinon à la vitesse de la lumière, au moins à celle où se propage le virus.

En termes de gestion et de communication de crise, je ne sais pas qui aurait pu faire mieux, mais je ne vois pas qui aurait pu faire pire.

En mettant au jour ses insuffisances, cette crise pourrait-elle être l’occasion d’une refonte radicale de notre démocratie ? Dans un discours célèbre, Churchill affirmait que c’était là « le pire des systèmes, à l’exclusion de tous les autres ». Mais, ajoutait-il aussitôt, « la démocratie n’est pas un lieu où on obtient un mandat déterminé sur des promesses, puis où on en fait ce qu’on veut ».

Si l’on s’accorde pour ne pas changer de système, alors il faut changer LE système.

Mais l’urgence est ailleurs. Déjà insupportables, les inégalités ont explosé avec la pandémie. Confinés dans des logements exigus ou contraints d’affronter les périls, les plus fragiles vivent des jours terriblement difficiles. Et leurs lendemains ne chantent pas. Après la crise sanitaire, ils seront sûrement les premières victimes de l’inévitable catastrophe économique et sociale.

Que faire ?

L’État ne pouvant pas tout, il me paraît impératif d’innover. Comment ? En demandant aux plus grosses fortunes une solidarité envers les plus démunis. Cette idée, juste et légitime, pourrait prendre la forme d’une contribution exceptionnelle, baptisée « Jean Valjean », conçue comme une forme d’assistance à personnes en danger, financée par les patrimoines français de plus de 10 millions d’euros, sans acrobaties, à travers une taxe progressive de 1 % à 5 %, avec une franchise pour les premiers 10 millions d’euros.

À période exceptionnelle, contribution exceptionnelle. Même si j’applaudirais évidemment tout amendement visant à pérenniser cet effort de réduction des inégalités. Après tout, une fois peut devenir coutume.

D’après les économistes que j’ai pris soin de consulter, cette contribution devrait représenter environ 36 à 37 milliards d’euros, qui seront distribués aux quelque 21,4 millions de foyers trop pauvres pour être assujettis à l’impôt sur le revenu.

Compte tenu de l’urgence, l’État assurerait la trésorerie et abonderait marginalement la collecte, leur distribuant sans délai et sans prélèvement, la somme de 2 000 €, à charge pour lui de recouvrer ultérieurement le produit de la contribution « Jean Valjean ».

Même si je ne doute pas un instant que les plus riches de nos concitoyens se réjouiront de l’occasion ainsi offerte de montrer leur patriotisme et leur générosité, il me paraît prudent que les législateurs mettent en place des sanctions suffisamment dissuasives pour décourager les improbables mauvaises volontés. Je pense ici, surtout, à nos compatriotes domiciliés fiscalement à l’étranger, évidemment conviés à manifester leur solidarité.

Mon rôle n’est évidemment pas d’entrer dans le détail de ces sanctions. Je voudrais néanmoins en proposer une, essentiellement symbolique – car je crois, moi, à la force du symbole : alléger les réfractaires de leurs pesantes décorations (Ordre du mérite ou Légion d’honneur, par exemple) pour leur permettre de gambader librement dans les couloirs des hôpitaux étrangers, voire français, où ils seraient évidemment les bienvenus après avoir refusé de financer notre système de santé national et plus généralement notre service public. En un mot, leur pays.

Bien sûr, je sais que ces précautions seront sans nul doute inutiles, tous ces privilégiés étant bien conscients de ce qu’ils doivent au pays qui les a formés et souvent enrichis. Mais la confiance n’excluant pas la prudence, de telles dispositions ne sauraient nuire.

Après cette mesure d’urgence, il sera temps de nous pencher sur les moyens de réparer notre démocratie. Comment ? On pourra s’étonner que je me pose la question et plus encore que j’essaie d’y répondre. Alors, sans prétendre détenir des solutions – j’ai gardé le sens du ridicule –, je me risque à évoquer quelques pistes de réflexion.

Instituer des contre-pouvoirs. La Constitution de la Ve République avait été taillée sur mesure pour le général de Gaulle. Un costume bien trop grand pour ses récents successeurs. D’autant que, depuis l’instauration du quinquennat, le président dispose toujours, et pendant toute la durée de son mandat, d’une franche majorité au Parlement. Élue en même temps que lui, grâce à lui et sur son programme, l’Assemblée nationale a logiquement la même couleur que l’Élysée et le législatif n’a donc pas vocation à s’opposer à l’exécutif.

Quant au pouvoir judiciaire, son indépendance n’est que théorique, tant il est simple de le contrôler par le jeu des nominations et des promotions. Depuis Montesquieu, qui a théorisé la séparation des pouvoirs (il n’en connaissait que trois, lui), un quatrième s’est imposé : la presse. Problème : neuf milliardaires en possèdent l’immense majorité, on ne s’étonnera donc pas que l’intérêt des puissants soit ménagé dans le traitement de l’information. Impuissante politiquement, la contestation s’exprime là où elle le peut encore, dans la rue et dans les sondages d’opinion.

Responsabiliser les élus. Les élus devront être comptables de leur action devant le peuple dont ils ont obtenu la confiance. Une élection, c’est quoi ? C’est l’histoire d’un mec qui arrive et qui dit : « Faites-moi confiance, voilà ce que je vais faire », et qui, une fois élu, ne le fait pas. À la place, il fait autre chose ou rien. Eh bien non, ça ne peut plus marcher comme ça. En cas de défaillance, il est nécessaire qu’ils puissent être démis de leur fonctions, démocratiquement, c’est-à-dire si une fraction de citoyens le propose et si une majorité d’électeurs l’exige.

Insistons : cette mesure doit s’appliquer à tous les élus, jusqu’au président de la République, qui, en France, ne peut être démis par personne en cours de mandat, ni même être jugé depuis la scandaleuse décision du Conseil constitutionnel sous la présidence du douteux Roland Dumas.

Sanctionner sévèrement les dérives, pour interdire l’alliance mortifère entre les copains et les coquins. Depuis des décennies, aucun élu, même le plus corrompu, ne craint les rigueurs de la loi. Il y a à cela une excellente raison : la prison, c’est pour les autres. Eux pourront toujours solliciter les meilleurs avocats et multiplier les procédures des décennies durant, jusqu’au moment où les juger n’aura plus aucun sens.

D’où une proposition en trois points :

  1. Rendre passible de longues années de prison ferme tout acte de corruption avérée d’un élu. Parce qu’elle menace dangereusement la démocratie, en décourageant le vote notamment, la corruption politique me paraît un crime plus grave qu’un braquage de banque. Excessif ? Je ne pense pas. Enfant, je me souviens que, sur les billets de banque, il était inscrit que « la fabrication de fausse monnaie [était] passible des travaux forcés à perpétuité ». Pas une goutte de sang versée, pourtant, mais une atteinte criminelle au bien commun.
     
  2. Définir des couloirs judiciaires dédiés, pour éviter qu’on ne juge que des cadavres. L’ensemble des procédures, appel et cassation compris, devra être bouclé dans les 12 mois suivant l’ouverture de l’instruction.
     
  3. Augmenter fortement la rémunération des hommes et des femmes qui choisiront de servir la collectivité avec compétence, zèle et intégrité. Pourquoi ? Pour avoir les meilleurs. Pour leur éviter la tentation. Et pour rendre inexcusable qu’ils y cèdent.

Constitutionnelles, électorales ou judiciaires, ces propositions de réforme peuvent apparaître éloignées des préoccupations immédiates, en ces temps troublés surtout.

Je les crois pourtant essentielles. Même si elles ne résolvent pas l’ensemble des problèmes auxquels notre époque est confrontée, elles m’apparaissent nécessaires pour rétablir l’indispensable confiance du peuple en ses représentants, enfin comptables de leurs promesses comme de leur action, et responsables de leurs erreurs.

(de rien ;) )

Il devrait peut-être se cantonner à ce qu'il sait faire : l'acteur?

La politique c'est pas pour tout le monde!:baby: il ne fait que rabâcher tout ce qui se dit sur les réseaux sociaux...

Quand il n'a pas de texte écrit par quelqu'un d'autre, il n'a vraiment aucune imagination!

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Membre, 75ans Posté(e)
Morfou Membre 63 930 messages
Maitre des forums‚ 75ans‚
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il y a 38 minutes, Ink 82 a dit :

Un chargé de clientèle en banque c'est 32 000 annuel après à peine 3 ans, sans compter les primes et les avantages de l'une des plus avantageuses des conventions collectives. Face à l'infirmière, c'est juste scandaleux.

Mais le banquier n'est pas payé par l'Etat...l'infirmière, si!

Après l'épisode virus, ce sera comme après les attentats de 2015 pour la police...

Le doux peuple reviendra à ses priorités... le monde soignant, n'en fait pas parti, il fait parti des meubles et le doux peuple n'en voit que ce qu'il coûte!

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MembreN, Sans N, 72ans Posté(e)
Solatges MembreN 22 341 messages
72ans‚ Sans N,
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Santé publique France s'exprime    (et c'est ce que dit Raoult)

 

et le confinement ne sert à rien...!

Modifié par Solatges
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Invité Gremlyne
Invités, Posté(e)
Invité Gremlyne
Invité Gremlyne Invités 0 message
Posté(e)
il y a une heure, Morfou a dit :

Il devrait peut-être se cantonner à ce qu'il sait faire : l'acteur?

La politique c'est pas pour tout le monde!

Heu étymologiquement politique ça veux pas dire un truc du genre "qui concerne le citoyen ". ezgif.com-gif-maker.gif.9d5f54828a8e70fd8943265d637df4c7.gif

Tu crois qu'il est moins qualifié et plus déconnectés que des énarques en la matière ?

Modifié par Gremlyne
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MembreN, Sans N, 72ans Posté(e)
Solatges MembreN 22 341 messages
72ans‚ Sans N,
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L'heure est grave:dev:, nous sommes au bord du gouffre et demain...

 

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Membre, 75ans Posté(e)
Morfou Membre 63 930 messages
Maitre des forums‚ 75ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, Gremlyne a dit :

Heu étymologiquement politique ça veux pas dire un truc du genre "qui concerne le citoyen ". ezgif.com-gif-maker.gif.9d5f54828a8e70fd8943265d637df4c7.gif

Tu crois qu'il est moins qualifié et plus déconnectés que des énarques en la matière ?

Oui...mais heureusement que tous les citoyens ne font pas de politique!

Les acteurs vivent dans leur monde qui n'est pas celui de tout le monde!

Voir tout ce qui est ressorti de ce joli monde qui a fermé sa gueule toutes ces décennies...

Vous oubliez que "la culture" a fermé ses portes à cause du virus, que les intermittents du spectacle n'ont plus de boulot, et pendant un temps encore indéterminé!

Alors penser que cet acteur n'a pas une raison qui lui est propre de critiquer ce gouvernement...

Si pour vous c'est de la politique...c'est plutôt l'histoire de la Cigale et la Fourmi...:rolle:

 

 

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Invité Gremlyne
Invités, Posté(e)
Invité Gremlyne
Invité Gremlyne Invités 0 message
Posté(e)
il y a 55 minutes, Morfou a dit :

Vous oubliez que "la culture" a fermé ses portes à cause du virus, que les intermittents du spectacle n'ont plus de boulot, et pendant un temps encore indéterminé!

Alors penser que cet acteur n'a pas une raison qui lui est propre de critiquer ce gouvernement...

Si pour vous c'est de la politique...c'est plutôt l'histoire de la Cigale et la Fourmi...:rolle:

 

Non je n'oublie pas que le monde de la culture a fermé, j'avais 7 modestes représentations à jouer avec ma bande de potos de prévues de fin mai à juillet, c'est repoussé à l'année prochaine...:(

Les Arts, sont pour moi choses primordiales qui font œuvres de salubrité intellectuelle, psychique et publique en ces temps de rationalisme inhumain jusqu'à l'absurdité. J'aimerais qu'on protège tout le monde pendant cette crise pas juste les bourses des grands chef d'entreprises... les artistes, les connus, les moins connus et les lieux de cultures, ils sont importants pour la vie sociale, le plaisir de vivre malgré tout.

Bref libre à vous d'avoir ce préjugé :  les artistes tous des cigales... 

Moi ce qu'il a dit m'a plutôt parlé. Vous pas, car vous avez la chance de l'avoir démasquer :rolle: et que… ben rien.

En fait, si ça se trouve c'est une pure pose de sa part, et au fond, je m'en fiche, dans sa critique il a fait preuve d'intérêt pour la vie de la cité et cela a plutôt fait echo en moi et j'ai pu voir par son intermediaire que nous étions nombreux dans ce cas. Voilà.

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Membre, 75ans Posté(e)
Morfou Membre 63 930 messages
Maitre des forums‚ 75ans‚
Posté(e)
il y a 16 minutes, Gremlyne a dit :

Non je n'oublie pas que le monde de la culture a fermé, j'avais 7 modestes représentations à jouer avec ma bande de potos de prévues de fin mai à juillet, c'est repoussé à l'année prochaine...:(

Les Arts, sont pour moi choses primordiales qui font œuvres de salubrité intellectuelle, psychique et publique en ces temps de rationalisme inhumain jusqu'à l'absurdité. J'aimerais qu'on protège tout le monde pendant cette crise pas juste les bourses des grands chef d'entreprises... les artistes, les connus, les moins connus et les lieux de cultures, ils sont importants pour la vie sociale, le plaisir de vivre malgré tout.

Bref libre à vous d'avoir ce préjugé :  les artistes tous des cigales... 

Moi ce qu'il a dit m'a plutôt parlé. Vous pas, car vous avez la chance de l'avoir démasquer :rolle: et que… ben rien.

En fait, si ça se trouve c'est une pure pose de sa part, et au fond, je m'en fiche, dans sa critique il a fait preuve d'intérêt pour la vie de la cité et cela a plutôt fait echo en moi et j'ai pu voir par son intermediaire que nous étions nombreux dans ce cas. Voilà.

Il, et tous les autres avec lui, aura bientôt oublié tout cela en reprenant sa vie habituelle!

Des cigales qui coûtent bonbon depuis qu'ils ont un régime spécial intermittents du spectacle...

Ils n'ont jamais été aussi nombreux!

 

Question d'actualité au gouvernement n° 0914G de Mme Chantal Deseyne (Eure-et-Loir - Les Républicains)

publiée dans le JO Sénat du 24/07/2019 - page 12229

Mme Chantal Deseyne. Ma question s'adresse à Mme la ministre du travail et porte sur l'endettement de l'Unédic et la réforme de l'assurance chômage, qui doit être guidée par l'équité et la justice.

Depuis 2008, une convention exige que l'Unédic verse 10 % des cotisations chômage collectées pour assurer le fonctionnement de Pôle emploi. Le Gouvernement vient de décider d'augmenter cette part, désormais fixée à 11 %. Il prévoit ainsi de ponctionner 4,1 milliards d'euros sur les caisses de l'Unédic pour financer Pôle emploi. Or ce financement est l'une des principales causes de l'endettement de l'Unédic, qui, je le rappelle, s'élevait, en cumulé, à 33,5 milliards d'euros en 2017.

On comprend d'autant moins cette ponction que certains sont dispensés de l'effort commun. En effet, le Gouvernement a décidé de ne demander aucun effort aux intermittents du spectacle, qui ne seront pas concernés par la réforme de l'assurance chômage. En 2017, pourtant, l'indemnisation et l'accompagnement dans l'emploi de 120 000 intermittents ont coûté 1,3 milliard d'euros, pour seulement 367 millions d'euros de recettes, soit un déficit de 1 milliard d'euros. Les intermittents sont donc largement bénéficiaires de l'assurance chômage.

Madame la ministre, après la colère des « gilets jaunes », les Français demandent que les réformes soient équitables et mises en œuvre dans un esprit de justice. Tout le monde devrait donc contribuer à la réforme !

Ce sont les salariés, via la CSG et les cotisations chômage, qui financent majoritairement le fonctionnement du service public de l'emploi. Pour quelles raisons les intermittents du spectacle restent-ils intouchables et épargnés par cette réforme ? (Applaudissements sur les travées du groupe Les Républicains. – Mme Évelyne Perrot et M. Jean-Louis Lagourgue applaudissent également.)

 

Réponse du Ministère du travail

publiée dans le JO Sénat du 24/07/2019 - page 12229

Mme Muriel Pénicaud, ministre du travail. Madame la sénatrice Deseyne, vous me posez deux questions : celle de l'équilibre de l'assurance chômage et de la résorption de sa dette – 35 milliards d'euros – et celle des intermittents du spectacle.

Notre réforme de l'assurance chômage a trois visées : responsabiliser les employeurs sur l'excès de contrats courts, qui, à lui seul, entraîne 8 milliards d'euros de déficit par an pour l'assurance chômage, effets économiques qui s'ajoutent à ses effets sociaux ; inciter au retour à l'emploi les demandeurs d'emploi ; mieux accompagner ces derniers, pour que le retour à l'emploi soit plus rapide et plus efficace.

Le passage de 10 % à 11 % de la cotisation permettra ce renforcement inégalé de l'accompagnement des entreprises et des demandeurs d'emploi : nous allons faire des choses qui n'ont jamais été faites jusqu'à présent !

En incitant au retour à l'emploi et en accompagnant mieux les demandeurs d'emploi, mais aussi les entreprises, nous permettrons à davantage de personnes de retrouver un emploi ; ce seront autant d'économies pour l'assurance chômage.

En ce qui concerne les intermittents du spectacle, ils disposent depuis longtemps d'un régime dans le régime d'assurance chômage. Cette situation a été voulue par les partenaires sociaux et corroborée par les gouvernements successifs.

Elle concerne non pas seulement les règles d'indemnisation des intermittents du spectacle, mais aussi le mode de financement du régime, puisque la cotisation d'assurance chômage versée par les employeurs, en général de 4,05 %, est de 9,05 % s'agissant des intermittents du spectacle – une sorte de malus généralisé, si j'ose dire. Du point de vue des salariés, si nous avons supprimé leur cotisation pour augmenter leur pouvoir d'achat – cela est désormais pris en charge par l'impôt –, il y a bien toujours une surcotisation des salariés du secteur du spectacle.

La nouvelle convention des intermittents du spectacle, qui date de 2016, doit maintenant être évaluée. Il n'y a pas lieu, pour l'instant, de changer ce régime, qui obéit déjà à des conditions très particulières.

Vous verrez, madame la sénatrice, que l'amélioration de la situation de l'assurance chômage sera liée au retour à l'emploi, qui est le meilleur moyen de faire baisser la dette ! (Applaudissements sur les travées du groupe La République En Marche. – M Jean-Marc Gabouty applaudit également.)

M. le président. La parole est à Mme Chantal Deseyne, pour la réplique.

Mme Chantal Deseyne. Si le régime des intermittents du spectacle relève de la politique culturelle, ce que je puis concevoir, que le Gouvernement l'assume en le finançant : ce n'est pas aux salariés de le financer au travers de leurs cotisations et la CSG ! (Applaudissements sur les travées du groupe Les Républicains.)

 
 
 
 
 
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Invité Gremlyne Invités 0 message
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Ok ... mais quand même...

il y a 21 minutes, Gremlyne a dit :

Non je n'oublie pas que le monde de la culture a fermé, j'avais 7 modestes représentations à jouer avec ma bande de potos de prévues de fin mai à juillet, c'est repoussé à l'année prochaine...:(

Les Arts, sont pour moi choses primordiales qui font œuvres de salubrité intellectuelle, psychique et publique en ces temps de rationalisme inhumain jusqu'à l'absurdité. J'aimerais qu'on protège tout le monde pendant cette crise pas juste les bourses des grands chef d'entreprises... les artistes, les connus, les moins connus et les lieux de cultures, ils sont importants pour la vie sociale, le plaisir de vivre malgré tout.

Bref libre à vous d'avoir ce préjugé :  les artistes tous des cigales... 

Moi ce qu'il a dit m'a plutôt parlé. Vous pas, car vous avez la chance de l'avoir démasquer :rolle: et que… ben rien.

En fait, si ça se trouve c'est une pure pose de sa part, et au fond, je m'en fiche, dans sa critique il a fait preuve d'intérêt pour la vie de la cité et cela a plutôt fait echo en moi et j'ai pu voir par son intermediaire que nous étions nombreux dans ce cas. Voilà.

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garthriter Membre 6 877 messages
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Il y a 11 heures, jacky29 a dit :

beaucoup de masques furent commandés pour l'épidémie de la H1N1, les hostos avaient leurs propres stocks

Ca change quoi à la gestion calamiteuse du stock de masques ? Contrairement à un vaccin, les masques sont utilisables pour tous les virus aéroportés. Qu'ils aient été commandé pour le H1N1 n'a donc pas la moindre importance. Pas plus le fait qu'en 2009, les hôpitaux avaient leurs propres stocks. Pour la simple et bonne raison qu'eux ne gardent pas leur stock 5 ans et dans une vision stratégique correcte (on parle de stock  stratégique mais vraisemblablement nos dirigeants n'ont aucune idée de ce que ça signifie), on a une vision à long terme et prévoit donc ce qu'on font des masques pour ne pas les gaspiller. On aurait donc pu très bien anticiper et en coordination avec les hôpitaux, que dans 4 ans et pour les années à venir, ils peuvent s'épargner l'achat de 200 millions de masques qui seront pris sur le stock.

Encore une fois, il y a quoi de compliqué là-dedans ? Rien, il suffit juste de voir plus loin que le bout de son nez et de réfléchir un minimum. Mais vraisemblablement, même ça, certains n'en sont déjà pas capables.

Citation

et personne au monde se doutait qu'un corona habitué à vivre avec deux espèces animales distinctes allait d'une seul coup d'un seul décidé tout seul et comme un grand qu'il allait changer de crémerie. possèdes-tu la seconde vue?

Réfléchis juste un tout petit peu s'il te plaît. Par pitié !! Si on a fait un stock de masque stratégique après le H1N1 (et qui comme tu le vois nous aurait été bien utile maintenant ) c'était pour quoi à ton avis ? Pour le plaisir d'acheter des masques ? Non ! Pas besoin qu'un virus passe par deux animaux et mute pour avoir besoin de masque !!!

Le sras, le H1N1 (2009), le mers-cov (2012) etc. Il te faut combien d'autres exemples pour comprendre qu'un masque, ça sert pas juste pour le "corona" ?

Citation

 si le coro était resté tranquille, il n'y aurait jamais eu pénurie de masques

N'importe quoi. Et si ma tante en avait, ce serait mon oncle. C'est un virus aéroporté et les masques sont utiles contre ces types de virus. Pas la peine qu'il s'appelle exactement "coro". C'est comme un

Citation

 si le coro était resté tranquille, il n'y aurait jamais eu pénurie de masques or pour prévoir une chose pareille, il faut voyager dans le futur.

Pour quelqu'un qui ne réfléchit pas, tout est incroyable, magique, surnaturel, imprévisible.

Tu dois trouver incroyable qu'on puisse déterminer la météo plus d'une semaine dans le futur.

On a pas attendu d'inventer la machine à voyager dans le temps avant d'anticiper les risques futurs liés aux virus.

On pouvait par exemple juste écouter l'oms et des spécialistes (et c'est d'ailleurs ce qu'on avait fait après 2009).

Et pourquoi voyager dans le temps alors qu'il nous suffit de regarder dans le passé ?

sras, mers, h1n1

Le monde entier savait qu’elle reviendrait un jour, sans savoir quand. Le XXe siècle avait connu trois pandémies grippales : celle de 1918-1919 (grippe espagnole), à ­virus H1N1, avec ses quarante à cinquante millions de morts, la suivante en 1957 (grippe asiatique), due à un virus H2N2, et la dernière en 1968 (grippe de Hongkong),causée par un virus H3N2.

https://www.lemonde.fr/sciences/article/2019/04/22/dix-ans-apres-la-grippe-a-h1n1-le-monde-est-il-mieux-prepare-face-a-une-future-pandemie_5453561_1650684.html

Une autre pandémie grippale est inévitable. Dans ce monde interconnecté, la survenue de la prochaine flambée de grippe d’ampleur mondiale n’est qu’une question de temps et pas de conditions à remplir – elle aura des conséquences de très grande ampleur. Une pandémie sévère pourrait entraîner des millions de décès et anéantir plus de 1% du PIB mondial.

https://www.who.int/features/2018/10-threats-global-heath/fr/

Modifié par garthriter
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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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Il y a 9 heures, Morfou a dit :

Il devrait peut-être se cantonner à ce qu'il sait faire : l'acteur?

La politique c'est pas pour tout le monde!:baby: il ne fait que rabâcher tout ce qui se dit sur les réseaux sociaux...

Quand il n'a pas de texte écrit par quelqu'un d'autre, il n'a vraiment aucune imagination!

Il donne son avis, vous le votre.

J' aime bien le sien.

Il y a 7 heures, Solatges a dit :

L'heure est grave:dev:, nous sommes au bord du gouffre et demain...

 

En tous les cas il imite bien! :)

 

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Membre, 88ans Posté(e)
ouest35 Membre 28 293 messages
Maitre des forums‚ 88ans‚
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il y a une heure, PINOCCHIO a dit :

Coronavirus : où et comment jeter son masque ?

ça va être comme les mouchoirs et le reste, on va en trouver partout quand on connait la discipline de certains :bad:

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/coronavirus/coronavirus-où-et-comment-jeter-son-masque/ar-BB13JNWF?li=AAaCKnE&ocid=UP21DHP

Déjà vu dans la rue ! masques, gants, mouchoirs ... Que d'inconséquences !!!

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Membre, 72ans Posté(e)
jacky29 Membre 40 501 messages
Maitre des forums‚ 72ans‚
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Il y a 1 heure, PINOCCHIO a dit :

Coronavirus : où et comment jeter son masque ?

ça va être comme les mouchoirs et le reste, on va en trouver partout quand on connait la discipline de certains :bad:

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/coronavirus/coronavirus-où-et-comment-jeter-son-masque/ar-BB13JNWF?li=AAaCKnE&ocid=UP21DHP

ça a déjà commencé, Pinocchio, sans oublier les wc qui seront bouchés parce que des connes et des cons auront jeté leur masque dedans. quand on voit que des abruties jettent les couches de leur gamin dans les WC, tout un programme à l'horizon! 

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Membre, 155ans Posté(e)
Droma Membre 1 424 messages
Baby Forumeur‚ 155ans‚
Posté(e)
Il y a 12 heures, Morfou a dit :

Il devrait peut-être se cantonner à ce qu'il sait faire : l'acteur?

La politique c'est pas pour tout le monde!:baby: il ne fait que rabâcher tout ce qui se dit sur les réseaux sociaux...

Quand il n'a pas de texte écrit par quelqu'un d'autre, il n'a vraiment aucune imagination!

Il est aussi citoyen.

Sans vouloir être méchante, à quoi devrais-tu te cantonner @Morfou ? :miam:

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Membre, 75ans Posté(e)
Morfou Membre 63 930 messages
Maitre des forums‚ 75ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, PASCOU a dit :

Il donne son avis, vous le votre.

J' aime bien le sien.

 

 

Bien sur, mais mon avis ne porte préjudice à personne...

Un mec connu comme lui, peu porter préjudice!

Vous aimez ce qu'il dit parce, qu'il critique, comme vous le gouvernement!

Je ne me permet pas de critiquer un gouvernement qui fait ce qu'il peut, comme tous les autres!

Je ne suis pas toujours d'accord, mais je ne suis pas la seule citoyenne de ce pays, ce qui ne convient pas à l'un peut convenir à l'autre...

Il tâtonne, n'est pas toujours bien conseillé par des gens qui sont aussi ignorants, pour ce cas précis, que le reste de la planète etc.

En plus avec un peuple qui n'a rien à voir avec la plupart des autres : revanchard (politiquement), critique pour tout et pour rien, comme si enfoncer un gouvernement qui fait face à un virus inconnu, était positif...nous dépendons les uns des autres, nous devons faire front ensemble...et chacun doit faire ce qu'il a à faire sans non plus attendre le bec ouvert que d'autres nous disent ce que nous devons faire...nous sommes des grandes personnes responsables de nous-mêmes et de nos familles!

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Membre, 72ans Posté(e)
jacky29 Membre 40 501 messages
Maitre des forums‚ 72ans‚
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dans une dizaine d'années, quand un nouveau virus ou une bactérie bien méchante pointera son bout de nez, nous entendrons les mêmes idioties sur les gouvernants de l'époque. 

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Membre, 75ans Posté(e)
Morfou Membre 63 930 messages
Maitre des forums‚ 75ans‚
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il y a 23 minutes, Droma a dit :

Il est aussi citoyen.

Sans vouloir être méchante, à quoi devrais-tu te cantonner @Morfou ? :miam:

Juliette Binoche est en guerre contre Bill Gates, elle l'accuse de pucer les gens...

https://www.huffingtonpost.fr/entry/le-coup-de-gueule-de-juliette-binoche-ne-vient-pas-de-nulle-part_fr_5eb3c235c5b646b73d27f256

Et elle, elle devrait se cantonner à son métier, ou pas?

Faut dire que pour elle le 11 septembre est un fake!

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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il y a 14 minutes, Morfou a dit :

Bien sur, mais mon avis ne porte préjudice à personne...

Un mec connu comme lui, peu porter préjudice!

Vous aimez ce qu'il dit parce, qu'il critique, comme vous le gouvernement!

Je ne me permet pas de critiquer un gouvernement qui fait ce qu'il peut, comme tous les autres!

Je ne suis pas toujours d'accord, mais je ne suis pas la seule citoyenne de ce pays, ce qui ne convient pas à l'un peut convenir à l'autre...

Il tâtonne, n'est pas toujours bien conseillé par des gens qui sont aussi ignorants, pour ce cas précis, que le reste de la planète etc.

En plus avec un peuple qui n'a rien à voir avec la plupart des autres : revanchard (politiquement), critique pour tout et pour rien, comme si enfoncer un gouvernement qui fait face à un virus inconnu, était positif...nous dépendons les uns des autres, nous devons faire front ensemble...et chacun doit faire ce qu'il a à faire sans non plus attendre le bec ouvert que d'autres nous disent ce que nous devons faire...nous sommes des grandes personnes responsables de nous-mêmes et de nos familles!

Si il ne vous plait pas , repassez vous une video du discours de macron.

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Membre, 75ans Posté(e)
Morfou Membre 63 930 messages
Maitre des forums‚ 75ans‚
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à l’instant, PASCOU a dit :

Si il ne vous plait pas , repassez vous une video du discours de macron.

Je n'ai pas besoin d'écouter les discours des uns et des autres... je ne savais même pas que EP causait dans le post hier, c'est dire si ça m'intéresse...

Je trouve tout sur ce forum, pourquoi perdre mon temps?:hehe:

J'écoute les GG en prime!:miam:

 

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