Les gens qui n'aiment pas la science fiction...

il y a 15 minutes, Cheragaz a dit :

l'armée des 12 singes

J'avais beaucoup aimé celui-là.

il y a 5 minutes, January a dit :

J'avais beaucoup aimé celui-là.

C'est la science fiction que j'aime.

Le grand spectacle avec les batailles et les lasers me donnent le sentiment de s'adresser plutôt à ceux qui ont conservé une âme d'enfant. 

Ce n'est pas mon cas...

il y a 28 minutes, Cheragaz a dit :

C'est la science fiction que j'aime.

Le grand spectacle avec les batailles et les lasers me donnent le sentiment de s'adresser plutôt à ceux qui ont conservé une âme d'enfant. 

Ce n'est pas mon cas...

Sans oublier les Ewoks, ces Shih Tzu verticaux.

il y a 44 minutes, Cheragaz a dit :

Rassure toi, tu n'es pas seul, je n'ai jamais pu regarder star wars, non plus. 

Pour autant, je ne suis pas allergique à la science fiction. 

Si je dois citer le 1er film de SF qui me vient a l'esprit, ce serait l'armée des 12 singes qui est par contre, à mes yeux, tout à fait regardable. 

À vrai dire la SF c'est mon thème préféré, l'armée des 12 singes est un très bon film, District9 aussi, le dernier bon film que j'ai vu c'est I'm mother, quand j'ai présenté le film ici, quelqu'un m'a fait des remarques sur la 3d du film, comme quoi techniquement c'était pourri, la technique ne m'intéresse pas, des films comme terminator, godzilla, men in black, X-men, iron sky, ainsi que tous les films de superhéros, sont pour moi impossible à regarder, si tu m'obliges ça sera la pire torture que je ne puisse imaginer.
 

il y a 3 minutes, riad** a dit :

À vrai dire la SF c'est mon thème préféré, l'armée des 12 singes est un très bon film, District9 aussi, le dernier bon film que j'ai vu c'est I'm mother, quand j'ai présenté le film ici, quelqu'un m'a fait des remarques sur la 3d du film, comme quoi techniquement c'était pourri, la technique ne m'intéresse pas, des films comme terminator, godzilla, men in black, X-men, iron sky, ainsi que tous les films de superhéros, sont pour moi impossible à regarder, si tu m'obliges ça sera la pire torture que je ne puisse imaginer.
 

Les blockbuster et la technicité, c'est pas mon truc,  non plus,  même si je suis obligé de reconnaître que le travail est parfois très bien fait.

Je ne me déplace jamais pour un film qui attire les foules. Je peux,  éventuellement, le regarder en streaming un jour de désoeuvrement et pour pas mourir complètement idiot mais il faut que je me donne un coup de pied au cul pour ça.

Les bouquins,  c'est pareil,  je fuis les Best sellers.

Je suppose qu'un psy aimerait que je lui en parle... 

il y a 1 minute, Cheragaz a dit :

Je suppose qu'un psy aimerait que je lui en parle... 

J'avais sérieusement peur que je serai le seul qui rejette certain type de film, mais maintenant que tu m'en parles je me sens rassuré.
 

il y a 13 minutes, riad** a dit :

le dernier bon film que j'ai vu c'est I'm mother, quand j'ai présenté le film ici, quelqu'un m'a fait des remarques sur la 3d du film, comme quoi techniquement c'était pourri

Oui, je m'en souviens.

Je me l'étais mis de côté pour le regarder un jour et je l'ai perdu 

Tu as bien fait d'en reparler 

Il y a 3 heures, January a dit :

C'est ce qui m'a rebuté pendant des années pour voir Star Wars. J'ai fini par passer au dessus (enfin essayer) et me forcer (mari fan). Et puis au cinéma, j'ai vu La Revanche des Siths. Et là... Non mais quelle dimension différente dans cet opus. Pour moi c'est le meilleur de tous, avec Disney j'ai vu le premier et j'ai lâché l'affaire. 

J'adore "La Revanche des Sith" (évidemment avec ma passion des volcans). En plus les vrais fans de "Star Wars" attendaient depuis plus de 20 ans de savoir comment Anakin Skywalker était devenu Dark Vador - un fait au sujet duquel on savait très peu de choses, juste quelques lignes dans la novellisation du "Retour du Jedi". Ce film a donc comblé un grand vide dans l'histoire de la saga, même si on peut trouver la transformation Anakin/Vador assez expéditive. En plus, même si la BO du film est inégale (pourquoi avoir repris quasiment note pour note certaines musiques de l'"Empire contre-attaque"), John Williams s'est quand même surpassé pour ce film, créant quelques thèmes qui expriment toute la douleur de cette histoire tragique - car, au risque de faire rire les crétins, c'est une tragédie, d'autant plus qu'on sent bien que les choses auraient pu tourner autrement.  

Pour moi "La revanche des Sith" est le meilleur opus de la saga, avec "l'Empire contre-attaque" bien évidemment.

Pour ce qui est de la trilogie Disney, c'est plus du Disney que du "Star Wars", et même du Disney pas très bon. Les deux films de J.J. Abrams ne sont pas absolument mauvais, mais ils sont en même temps un curieux mélange d'hommage confinant au plagiat et de trahison. L'épisode de Rian Johnson est juste à jeter.

J'ai lu plus de 200 romans de S-F.

Pour moi, c'est l'évasion ; il y a un concept que les aficionados connaissent, c'est le Sens of Wonder : la capacité de s'émerveiller, de se poser des questions. La S-F, c'est la porte ouverte à tous les possibles, bien souvent c'est sombre (le cyberpunk initié par William Gibson, qui a inspiré Matrix). Mais rien que le scénario de The Island : si demain, une multinationale vous proposait de vous cloner, pour avoir un coeur de rechange, ou un rein, ou un foie, qui oserait refuser ? poser en ces termes, la S-F pose de vrais débats de société.

Maintenant, il y a d'autres questions que l'on peut poser, eu égard la S-F : est-ce qu'elle nous sert de garde-fou, avec des romans comme Le Meilleur des Mondes, ou 1984, est-ce qu'elle nous protège, nous garde des mondes qu'elle décrit, ou au contraire, il n'y a aucune limite à l'horreur humaine, et ces romans nous préparent, nous habituent au pire ?

@riad**

en matière de films, loin des gros blockbusters, je peux te proposer le film The Man from Earth, sans aucun effet spéciaux, qui relève de la S-F, avec une idée originale et des dialogues qui font tout le jeu du film. Très méconnu, il fait partie de mes films préférés. Je peux aussi proposer Another Earth, avec l'actrice Brit Marling, film méconnu, dont l'idée S-F sert à de toile de fond pour un message très fort. Voilà deux films que la plèbe, les moutons qui mangent dans la gamelle commune ne connaissent pas, ou à peine et qui valent 1000 SW.

ps je suis pas du tout enthousiasmé par les SW, des premiers jusqu'aux derniers. aucune idée dans SW ne vaut ce qu'écrit un P.K. Dick. qui lui est un génie. SW on pourrait me dire "ouai mais les effets spéciaux, pour l'époque ...blabla" non. 2001, ça c'est un exploit légendaire en terme de technique. SW avec les vaisseaux qui font du bruit dans l'espace (alors que ya pas d'air), les peluches qui courent dans les bois (e-wok) la créature en poils, la force, qui n'a aucun côté obscur, n'est que de la télékinésie, concept déjà exploré par King dans Carrie, et avant par Theodore Sturgeon dans Les plus qu'Humains. Bref dans SW tout y est improbable.

change my mind.

il y a 7 minutes, Crève a dit :

J'ai lu plus de 200 romans de S-F.

Pour moi, c'est l'évasion ; il y a un concept que les aficionados connaissent, c'est le Sens of Wonder : la capacité de s'émerveiller, de se poser des questions. La S-F, c'est la porte ouverte à tous les possibles, bien souvent c'est sombre (le cyberpunk initié par William Gibson, qui a inspiré Matrix). Mais rien que le scénario de The Island : si demain, une multinationale vous proposait de vous cloner, pour avoir un coeur de rechange, ou un rein, ou un foie, qui oserait refuser ? poser en ces termes, la S-F pose de vrais débats de société.

Maintenant, il y a d'autres questions que l'on peut poser, eu égard la S-F : est-ce qu'elle nous sert de garde-fou, avec des romans comme Le Meilleur des Mondes, ou 1984, est-ce qu'elle nous protège, nous garde des mondes qu'elle décrit, ou au contraire, il n'y a aucune limite à l'horreur humaine, et ces romans nous préparent, nous habituent au pire ?

Je l'ai déjà signalé sur ce forum, tout se passe comme si les ceusses qui nous gouvernent et les savants qui les conseillent n'avaient jamais lu ni entendu parler de la SF, car ils refont systématiquement toutes les erreurs dénoncées dans des romans de SF depuis que ce genre existe. Je crois que la SF ne nous protège de rien du tout, la connerie et la soif de destruction de l'humanité en général et des décideurs en particulier étant bien trop puissantes. Il ne faut pas demander à la littérature plus que ce qu'elle peut. Là où la SF peut être utile cependant, c'est quand elle nous montre comment réagir - et éventuellement survivre - aux catastrophes qui nous pendent au nez. 

Pour ce qui est du cas particulier de "1984", c'est le cas typique d'un roman qui de SF qui est en voie d'être largement dépassé par la réalité. Ce qui ne dispense pas de le lire, bien entendu!

Rien à faire, je reste sur le terme anticipation.. et pas S.F.

Un des plus connu du genre : chef-d'œuvre de la littérature d'anticipation Le meilleur des mondes d'Aldous Huxley

il y a 35 minutes, Crève a dit :

 

 

ps je suis pas du tout enthousiasmé par les SW, des premiers jusqu'aux derniers. aucune idée dans SW ne vaut ce qu'écrit un P.K. Dick. qui lui est un génie. SW on pourrait me dire "ouai mais les effets spéciaux, pour l'époque ...blabla" non. 2001, ça c'est un exploit légendaire en terme de technique. SW avec les vaisseaux qui font du bruit dans l'espace (alors que ya pas d'air), les peluches qui courent dans les bois (e-wok) la créature en poils, la force, qui n'a aucun côté obscur, n'est que de la télékinésie, concept déjà exploré par King dans Carrie, et avant par Theodore Sturgeon dans Les plus qu'Humains. Bref dans SW tout y est improbable.

 

SW est-il vraiment de la SF, ou de la Fantasy avec un décor SF? La variété des sources d'inspiration de George Lucas permet de s'interroger, quoi que la question n'ait, en elle-même, absolument aucune importance : 

Passionné de mythologie, George Lucas puise énormément dans les récits anciens pour écrire ses histoires. À l'université de Californie du Sud, il se lance même dans des études d'anthropologie pour connaître mieux la mythologie et le fait religieux. Il est fasciné par le fait que des cultures différentes reposent souvent sur la même histoire et sur les mêmes mythologies²³. Pour écrire ses scénarios, Lucas s'inspire d'ailleurs de la base narratologique du voyage du héros. Pour cela, il s'aide notamment des livres d'anthropologie Le Rameau d'or (1890) de sir James George Frazer¹⁰⁹ et surtout du Héros aux mille et un visages (1949) de Joseph Campbell⁴¹.

Lucas est passionné par le cinéma expérimental et par les films de l'Office national du film du Canada. Il s'inspire notamment de 60 Cycles de Jean-Claude Labrecque¹¹⁰, de 21-87 d'Arthur Lipsett¹⁷ et des documentaires de Claude Jutra¹¹¹.

Grand admirateur du cinéaste Akira Kurosawa dont il produit même l’un des films, George Lucas s’inspire de plusieurs scènes de son modèle japonais pour ses propres films. Il prend appui notamment sur L'Ange ivre (1948)¹¹², Les Sept Samouraïs (1954), Le Château de l'araignée (1957)¹¹³, La Forteresse cachée (1958)³⁹, Dersou Ouzala (1975)¹¹² et Ran (1985)¹¹³.

Pour créer la saga Star Wars, George Lucas s’inspire des classiques de la science-fiction comme les séries de films Flash Gordon (1936) et Buck Rogers (1939)¹¹⁴, les films Métropolis (1927)¹⁰⁹, Le Jour où la Terre s’arrêta (1951)⁴⁹, 2001, l'Odyssée de l'espace (1968)¹¹⁵, Blade Runner (1982)¹¹⁶, le roman Une princesse de Mars (1917)¹⁰⁹ et la bande-dessinée Valérian et Laureline (depuis 1967)¹¹⁷.

Toujours pour l’épopée guerrière Star Wars, le réalisateur prend pour modèle des films de guerre comme Air Force (1943), Les Briseurs de barrages (1955), Tora ! Tora ! Tora ! (1970)¹⁰⁹ mais aussi de la guerre de Sécession¹¹⁶, des films de propagande du Troisième Reich et de la montée en puissance d’Adolf Hitler dans l’Allemagne de l'entre-deux-guerres¹¹⁸. Lucas s’inspire également des westerns. Deux personnages de Star Wars, Han Solo et Boba Fett, sont des archétypes du genre : le premier incarne le hors-la-loi louche mais bon et le second l’impitoyable chasseur de primes^114,119.

(Extrait de la Wikipédia.)

il y a 32 minutes, Crève a dit :

 

@riad**

 

en matière de films, loin des gros blockbusters, je peux te proposer le film The Man from Earth,

Merci de mentionner Man from earth, c'est l'un de mes préférés, par contre ce que je n'ai pas encore vu, c'est le deuxième, The Man from Earth: Holocene, je pense que c'est la suite, c'est un film libre de droit, qu'on peut télécharger ou visualiser gratuitement, sortie en 2018, malheureusement, il n'existe pas encore en VF.
 

Du côté des romans, j'espère trouver un jour le temps de lire Greg Egan, j'ai écouté Le cristal et En apprenant à être moi en version audio, c'est vraiment captivant, c'est de la SF philosophique.

Ah... Là ça devient intéressant 

il y a 22 minutes, Gouderien a dit :

Je l'ai déjà signalé sur ce forum, tout se passe comme si les ceusses qui nous gouvernent et les savants qui les conseillent n'avaient jamais lu ni entendu parler de la SF, car ils refont systématiquement toutes les erreurs dénoncées dans des romans de SF depuis que ce genre existe. Je crois que la SF ne nous protège de rien du tout, la connerie et la soif de destruction de l'humanité en général et des décideurs en particulier étant bien trop puissantes. Il ne faut pas demander à la littérature plus que ce qu'elle peut. Là où la SF peut être utile cependant, c'est quand elle nous montre comment réagir - et éventuellement survivre - aux catastrophes qui nous pendent au nez. 

Pour ce qui est du cas particulier de "1984", c'est le cas typique d'un roman qui de SF qui est en voie d'être largement dépassé par la réalité. Ce qui ne dispense pas de le lire, bien entendu!

plus je vieillis, et plus mon côté pessimiste a tendance à vous rejoindre : même les meilleurs livres de S-F ne peuvent prévenir. au début,j'étais comme Werber, enthousiaste, puis, peu à peu, on voit la société de contrôle prendre le dessus, 1984 n'y a rien changé : tout ce que la science peut, elle le fera. la bombe atomique, les clones, le fichage intégral, etc.

après, je vous rejoins moins : quand vous dites que elle nous montre comment réagir. par exemple, dans le roman post-apo La route de Cormac Mac Carthy : en quoi ça nous montre comment réagir face à l'agonie d'une société ? ou même le roman Ravage de René Barjavel : quelles pistes ils nous donnent ? vous avez des exemples de roman qui nous indiquent comment réagir ?

Ne cherche pas du concret.. On est dans l'imagination, l'art..

il y a 6 minutes, Crève a dit :

plus je vieillis, et plus mon côté pessimiste a tendance à vous rejoindre : même les meilleurs livres de S-F ne peuvent prévenir. au début,j'étais comme Werber, enthousiaste, puis, peu à peu, on voit la société de contrôle prendre le dessus, 1984 n'y a rien changé : tout ce que la science peut, elle le fera. la bombe atomique, les clones, le fichage intégral, etc.

après, je vous rejoins moins : quand vous dites que elle nous montre comment réagir. par exemple, dans le roman post-apo La route de Cormac Mac Carthy : en quoi ça nous montre comment réagir face à l'agonie d'une société ? ou même le roman Ravage de René Barjavel : quelles pistes ils nous donnent ? vous avez des exemples de roman qui nous indiquent comment réagir ?

On ne cherche pas un "guide de survie", on n'est pas chez les survivalistes américains. Les romans de SF montrent juste qu'il y a plusieurs futurs possibles pour l'humanité, et qu'elle peut survivre à des désastres éventuels - ou pas, d'ailleurs. Il y a une SF optimiste et une SF pessimiste, bien entendu.

il y a 11 minutes, Gouderien a dit :

SW est-il vraiment de la SF, ou de la Fantasy avec un décor SF? La variété des sources d'inspiration de George Lucas permet de s'interroger, quoi que la question n'ait, en elle-même, absolument aucune importance : 

Passionné de mythologie, George Lucas puise énormément dans les récits anciens pour écrire ses histoires. À l'université de Californie du Sud, il se lance même dans des études d'anthropologie pour connaître mieux la mythologie et le fait religieux. Il est fasciné par le fait que des cultures différentes reposent souvent sur la même histoire et sur les mêmes mythologies²³. Pour écrire ses scénarios, Lucas s'inspire d'ailleurs de la base narratologique du voyage du héros. Pour cela, il s'aide notamment des livres d'anthropologie Le Rameau d'or (1890) de sir James George Frazer¹⁰⁹ et surtout du Héros aux mille et un visages (1949) de Joseph Campbell⁴¹.

Lucas est passionné par le cinéma expérimental et par les films de l'Office national du film du Canada. Il s'inspire notamment de 60 Cycles de Jean-Claude Labrecque¹¹⁰, de 21-87 d'Arthur Lipsett¹⁷ et des documentaires de Claude Jutra¹¹¹.

Grand admirateur du cinéaste Akira Kurosawa dont il produit même l’un des films, George Lucas s’inspire de plusieurs scènes de son modèle japonais pour ses propres films. Il prend appui notamment sur L'Ange ivre (1948)¹¹², Les Sept Samouraïs (1954), Le Château de l'araignée (1957)¹¹³, La Forteresse cachée (1958)³⁹, Dersou Ouzala (1975)¹¹² et Ran (1985)¹¹³.

Pour créer la saga Star Wars, George Lucas s’inspire des classiques de la science-fiction comme les séries de films Flash Gordon (1936) et Buck Rogers (1939)¹¹⁴, les films Métropolis (1927)¹⁰⁹, Le Jour où la Terre s’arrêta (1951)⁴⁹, 2001, l'Odyssée de l'espace (1968)¹¹⁵, Blade Runner (1982)¹¹⁶, le roman Une princesse de Mars (1917)¹⁰⁹ et la bande-dessinée Valérian et Laureline (depuis 1967)¹¹⁷.

Toujours pour l’épopée guerrière Star Wars, le réalisateur prend pour modèle des films de guerre comme Air Force (1943), Les Briseurs de barrages (1955), Tora ! Tora ! Tora ! (1970)¹⁰⁹ mais aussi de la guerre de Sécession¹¹⁶, des films de propagande du Troisième Reich et de la montée en puissance d’Adolf Hitler dans l’Allemagne de l'entre-deux-guerres¹¹⁸. Lucas s’inspire également des westerns. Deux personnages de Star Wars, Han Solo et Boba Fett, sont des archétypes du genre : le premier incarne le hors-la-loi louche mais bon et le second l’impitoyable chasseur de primes^114,119.

(Extrait de la Wikipédia.)

c'est bien beau de me citer les sources de Georges Lucas, mais c'est pas parce que tu prends de bons ingrédients,que ton gateau est réussi : SW est indigeste au possible.

et quand à savoir si c'est de la S-F autant se demander si une tomate est un fruit ou un légume ! l'important, c'est que ce soit bon, or là SW, ça ne l'est pas.

à l’instant, Crève a dit :

c'est bien beau de me citer les sources de Georges Lucas, mais c'est pas parce que tu prends de bons ingrédients,que ton gateau est réussi : SW est indigeste au possible.

et quand à savoir si c'est de la S-F autant se demander si une tomate est un fruit ou un légume ! l'important, c'est que ce soit bon, or là SW, ça ne l'est pas.

On a compris, tu n'aimes pas. C'est pas grave, je n'ai pas d'actions chez Lucas (ni chez Disney).

il y a 1 minute, Gouderien a dit :

On a compris, tu n'aimes pas. C'est pas grave, je n'ai pas d'actions chez Lucas (ni chez Disney).

en fait, ce n'est pas tant que je n'aime pas que je trouve que SW ne devrait pas avoir le succès qu'il a. je voudrais qu'il ait moins de succès, en fait je suis jaloux pour les autres méconnus (Children of men, The man from earth, another earth) je voudrais qu'ils en ai (du succès). ce qui compte pour moi en S-F films, en plus de la technique, c'est l'idée probable. la projection dans l'avenir.

contrairement à @riad** ce qui me rebute ce n'est pas qu'un film SF soit populaire, par exemple j'aime Matrix.