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J'ajoute un texte en complément du précédent et dans le but de préciser les relations entre l'opinion et la philosophie. Il s'agit d'un texte célèbre que j'ai modifié en remplaçant le mot science par celui de philosophie. Naturellement ceci est discutable.

"La philosophie, dans son besoin d’achèvement comme dans son principe, s’oppose absolument à l’opinion. L’opinion pense mal; elle ne pense pas : elle traduit des besoins. La philosophie nous interdit d’avoir une opinion sur des questions que nous ne comprenons pas, sur des questions que nous ne savons pas formuler clairement. Avant tout, il faut savoir poser des problèmes. Et quoi qu’on en dise, dans la philosophie, les problèmes ne se posent pas d’eux-mêmes. C’est précisément ce sens du problème qui donne la marque de la philosophie. Pour un philosophe, toute connaissance est une réponse à une question. S’il n’y a pas eu de question, il ne peut y avoir de philosopher. Rien ne va de soi. Rien n’est donné. Tout est construit."

La pensée ordinaire unifie l'expérience en ramenant tout au besoin, en faisant de l'utile le dénominateur commun. Pour cela elle doit être mise entre parenthèses et c'est ce que la philosophie introduit comme méthode. 

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L'heure de commencer approche.

Je vous propose plusieurs textes et une règle à débattre. 
La règle, la voici : nous mettons (autant que possible) entre parenthèses l'expression de toute émotion et considération concernant la personnalité d'autrui (idem pour la nôtre), nous tentons de "comprendre"  ce que disent les autres, de les questionner, de poser nous-mêmes des "thèses", et tout cela, librement, c-à-d sans la crainte du jugement ironique de la petite terreur locale, qui va (peut-être) surgir et tenter de faire la loi et naturellement piétiner tous les châteaux de sable que nous aurons vaillamment construits à l'abri des "grands". Cette règle est une sorte de : "règle du bac à sable". 
Cette règle limite le contenu de ce qui est dit et nous frustre de tout le bien et surtout de tout le mal que l'on a envie de faire aux autres. Les adeptes de la liberté sans entrave ne devraient pas être d'accord avec cette limite. Les adeptes de la liberté positive pourront en profiter pour poser le problème de ce qu'est la liberté (sa nature : l'homme est par nature libre ...etc). 

Les textes, les voici : 

  • La philosophie, dans son besoin d’achèvement comme dans son principe, s’oppose absolument à l’opinion. L’opinion pense mal; elle ne pense pas : elle traduit des besoins. La philosophie nous interdit d’avoir une opinion sur des questions que nous ne comprenons pas, sur des questions que nous ne savons pas formuler clairement. Avant tout, il faut savoir poser des problèmes. Et quoi qu’on en dise, dans la philosophie, les problèmes ne se posent pas d’eux-mêmes. C’est précisément ce sens du problème qui donne la marque de la philosophie. Pour un philosophe, toute connaissance est une réponse à une question. S’il n’y a pas eu de question, il ne peut y avoir de philosopher. Rien ne va de soi. Rien n’est donné. Tout est construit.
  • C'est aux opinions et aux croyances que s’attaque le dialogue philosophique. Alors que l’on considère que penser consiste à produire des opinions, le philosophe définit au contraire l’opinion, non comme le produit de la pensée mais comme le résultat de l’arrêt de la pensée, cette « conversation que l’âme poursuit avec elle-même ».  Cet arrêt de la pensée résulte d’un jugement que l’âme porte sur elle-même ou sur l'autre à qui elle s'adresse, jugement qui survient sans raison, sans cause rationnelle, car uniquement lié à l’humeur du moment, au désir de nuire ou de se montrer à son avantage.
  • Sommes-nous en train de vivre un glissement autoritaire au sein de la démocratie moderne ? Ou, alors, est-ce dans la nature même du gouvernement représentatif de concentrer le pouvoir entre peu de mains ? En fait, en regardant le parcours historique de la démocratie moderne, il s’agirait plutôt d’un retour en arrière. Un retour aux conditions antérieures aux acquis démocratiques arrachés par des mouvements sociaux d’envergure historique à un mode de gouvernement qui, au départ, était conçu pour qu’un petit nombre de puissants discutent entre « égaux » des « meilleures » décisions pour l’ensemble.
  • la science moderne est une discipline quasi mortifère dont l'idéologie et les errances sapent toute la discipline. Le peuple est lui aussi sous l'effet de l'illusion que déploie sur lui le mot science et les philosophes sont les premiers à répandre cette illusion qu'ils entretiennent à la façon dont les curés protègent les dogmes de l'Église. 
     
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Membre, 105ans Posté(e)
maddy Membre 7 813 messages
Maitre des forums‚ 105ans‚
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il y a 3 minutes, Ooo a dit :

L'heure de commencer approche.

Je vous propose plusieurs textes et une règle à débattre. 
La règle, la voici : nous mettons (autant que possible) en parenthèses l'expression de toute émotion et considération concernant la personnalité d'autrui (idem pour la nôtre), nous tentons de "comprendre"  ce que disent las autres, de les questionner, de poser nous-mêmes des "thèses", et tout cela, librement, c-à-d sans la crainte du jugement ironique de la petite terreur locale, qui va (peut-être) surgir et tenter de faire la loi et naturellement de piétiner tous les châteaux de sable que nous aurons vaillamment construits à l'abri des "grands". Cette règle est une sorte de : "règle du bac à sable". 
Cette règle limite le contenu de ce qui est dit et nous frustre de tout le bien et surtout de tout le mal que l'on a envie de faire aux autres. Les adeptes de la liberté sans entrave ne devraient pas être d'accord avec cette limite. Les adeptes de la liberté positive pourront en profiter pour poser le problème de ce qu'est la liberté (sa nature : l'homme est par nature libre ...etc). 

 

Les textes, les voici : 

  • La philosophie, dans son besoin d’achèvement comme dans son principe, s’oppose absolument à l’opinion. L’opinion pense mal; elle ne pense pas : elle traduit des besoins. La philosophie nous interdit d’avoir une opinion sur des questions que nous ne comprenons pas, sur des questions que nous ne savons pas formuler clairement. Avant tout, il faut savoir poser des problèmes. Et quoi qu’on en dise, dans la philosophie, les problèmes ne se posent pas d’eux-mêmes. C’est précisément ce sens du problème qui donne la marque de la philosophie. Pour un philosophe, toute connaissance est une réponse à une question. S’il n’y a pas eu de question, il ne peut y avoir de philosopher. Rien ne va de soi. Rien n’est donné. Tout est construit.
  • C'est aux opinions et aux croyances que s’attaque le dialogue philosophique. Alors que l’on considère que penser consiste à produire des opinions, le philosophe définit au contraire l’opinion, non comme le produit de la pensée mais comme le résultat de l’arrêt de la pensée, cette « conversation que l’âme poursuit avec elle-même ».  Cet arrêt de la pensée résulte d’un jugement que l’âme porte sur elle-même ou sur l'autre à qui elle s'adresse, jugement qui survient sans raison, sans cause rationnelle, car uniquement lié à l’humeur du moment, au désir de nuire ou de se montrer à son avantage.

    

  • Sommes-nous en train de vivre un glissement autoritaire au sein de la démocratie moderne ? Ou, alors, est-ce dans la nature même du gouvernement représentatif de concentrer le pouvoir entre peu de mains ? En fait, en regardant le parcours historique de la démocratie moderne, il s’agirait plutôt d’un retour en arrière. Un retour aux conditions antérieures aux acquis démocratiques arrachés par des mouvements sociaux d’envergure historique à un mode de gouvernement qui, au départ, était conçu pour qu’un petit nombre de puissants discutent entre « égaux » des « meilleures » décisions pour l’ensemble.
  • la science moderne est une discipline quasi mortifère dont l'idéologie et les errances sapent toute la discipline. Le peuple est lui aussi sous l'effet de l'illusion que déploie sur lui le mot science et les philosophes sont les premiers à répandre cette illusion qu'ils entretiennent à la façon dont les curés protègent les dogmes de l'Église. 
     

voilà pourquoi je ne "philosophe" pas, bien trop tortueux quand on peut faire beaucoup plus simple pour poser une question 

:smile2:

je laisse les "experts" répondre

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il y a 1 minute, maddy a dit :

voilà pourquoi je ne "philosophe" pas, bien trop tortueux quand on peut faire beaucoup plus simple pour poser une question 

 

quelle question souhaitez-vous poser ? 

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la science moderne est une discipline quasi mortifère dont l'idéologie et les errances sapent toute la discipline. Le peuple est lui aussi sous l'effet de l'illusion que déploie sur lui le mot science et les philosophes sont les premiers à répandre cette illusion qu'ils entretiennent à la façon dont les curés protègent les dogmes de l'Église. 

la science moderne est, il me semble, dans le prolongement de l'étonnement que produit sur l'homme toute différence entre ce que l'on perçoit et ce que l'on anticipe. Elle est une réflexion.

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Sommes-nous en train de vivre un glissement autoritaire au sein de la démocratie moderne ? Ou, alors, est-ce dans la nature même du gouvernement représentatif de concentrer le pouvoir entre peu de mains ? 

Comment définir la démocratie ? qu'est-ce qui la relie à l'autorité ? 

le philosophe définit au contraire l’opinion, non comme le produit de la pensée mais comme le résultat de l’arrêt de la pensée, 

Si penser c'est le dialogue de l'âme avec elle-même, le dialogue avec autrui est-il de la pensée ? 

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  • voilà pourquoi je ne "philosophe" pas, bien trop tortueux quand on peut faire beaucoup plus simple pour poser une question 

:smile2:

je laisse les "experts" répondre

on peut faire plus simple, soit. Faisons plus simple. Non. Ne faisons rien. Rions et laissons les grands décider à notre place. 

  • Et quoi qu’on en dise, dans la philosophie, les problèmes ne se posent pas d’eux-mêmes. C’est précisément ce sens du problème qui donne la marque de la philosophie. Pour un philosophe, toute connaissance est une réponse à une question.

Est-ce que les problèmes ne nous tombent pas dessus ? Est-ce qu'il faut philosopher pour poser un problème ? Pourquoi ce mot de philosophie alors que celui de réflexion ou de discussion semble convenir ? qu'est-ce qu'ajoute le mot de philosophie ? du snobisme ?

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11 h 15, il est temps d'arrêter cette intéressante discussion. Je remercie de leur vaillance tous ceux qui ont essayé de dire quelque chose, je les remercie de leur apport toujours aussi pertinent. Ils ont réussi pour la plupart à préciser le contenu de leur pensée.

rendez-vous dans une semaine donc, afin que tout ce à quoi nous sommes parvenus puisse trouver une suite et ne reste pas lettre morte. 

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Membre, 105ans Posté(e)
Battue Membre 219 messages
Baby Forumeur‚ 105ans‚
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il y a 57 minutes, Ooo a dit :

11 h 15, il est temps d'arrêter cette intéressante discussion. Je remercie de leur vaillance tous ceux qui ont essayé de dire quelque chose, je les remercie de leur apport toujours aussi pertinent. Ils ont réussi pour la plupart à préciser le contenu de leur pensée.

rendez-vous dans une semaine donc, afin que tout ce à quoi nous sommes parvenus puisse trouver une suite et ne reste pas lettre morte. 

Filez , l 'heure est à la  Philosophie pratique ,  j'entends quelqu'un qui  vous  siffle au loin... Après avoir pensé  il faut agir , l'une (pensée) étant à des années-lumière de l'autre (action).. Mais qu'importe ça soulage.

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Membre, 69ans Posté(e)
Maroudiji Membre 6 485 messages
Forumeur expérimenté‚ 69ans‚
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Il y a 2 heures, Ooo a dit :

la science moderne est, il me semble, dans le prolongement de l'étonnement que produit sur l'homme toute différence entre ce que l'on perçoit et ce que l'on anticipe. Elle est une réflexion.

La science moderne est une industrie dans laquelle les chercheurs se perdent et deviennent des pantins au service d'un capitalisme furieux. 

C'est une thèse que je martèle à qui veut l'entendre. Ici depuis 5 ans. 

Et le peuple, les internautes ici en sont le reflet criant, pense que la science, la science moderne, est une entité formidable et supérieure à tous les domaines. 

Ce qui faux jusqu'à la folie

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Invité sera-angel
Invités, Posté(e)
Invité sera-angel
Invité sera-angel Invités 0 message
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Il y a 2 heures, Ooo a dit :

11 h 15, il est temps d'arrêter cette intéressante discussion. Je remercie de leur vaillance tous ceux qui ont essayé de dire quelque chose, je les remercie de leur apport toujours aussi pertinent. Ils ont réussi pour la plupart à préciser le contenu de leur pensée.

rendez-vous dans une semaine donc, afin que tout ce à quoi nous sommes parvenus puisse trouver une suite et ne reste pas lettre morte. 

Je vous prie de m excuser mais j aurais une question..

Où voyez vous une intéressante discussion? 

Je ne vois qu un monologue moi ?

Ce sont vos réflexions personnelles ?!

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Membre, Doctor feel good, 59ans Posté(e)
brooder Membre 5 285 messages
59ans‚ Doctor feel good,
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Je n'ai pas tout suivi le court de votre discussion et comme tout néophyte sans entrer dans la polémique, ce que j'en ai retenu concerne le libre arbitre ou encore la critique voir la liberté.

Ce qui est le plus usité est bien sûr le problème de la liberté qui a fait couler et fait toujours couler beaucoup de sang dans l'histoire.

Ainsi donc la liberté se pense avant d'être donnée et jusqu'au libre arbitre elle doit passer par l'esprit critique pour être comprise.

Il me semble ne pas faire trop d'amalgames ou d'opinions personnelles dans ces constatations qui depuis la nuit des temps tourmente l'esprit humain ?!

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En attendant lundi matin 10 h tapantes, je vous propose un travail de réflexion. Un cas observé est décrit en une phrase seulement et l'interprétation est l'objet de la discussion. Comme nous sommes la dernière fois parvenu à l'élaboration d'une règle, nous allons l'appliquer strictement : nos commentaires visent le cas général et ne visent personne en particulier (comme dans ce cas trop souvent observé : "et bé toi et bé tu es trop méchant ou bien la variante inversée toi tu es trop gentil)".

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Un peu d'analyse

voici un cas fréquemment observé : "il arrive plein de lui-même, il occupe l'espace, le plus d'espace possible, il n'en finit pas de parler et plus il voit qu'on en a marre et plus il parle et moins ce qu'il dit a de sens. "
Interprétons ce comportement. Qu'est-ce qu'une interprétation ? n'entrons pas dans la théorie, voyons quelques exemples trouvés sur Internet :

  1. bof ! le cas classique.
  2. Il s'enfonce mais je ne sais pas où.
  3. Tu parles de moi là, tu vas voir ta gueule à la récré.  
  4. Ahohoh tu parles de toi là, lol.
  5. Vous pouvez répéter la question ?
  6. ...:bisou:

à nous de nous lancer ! 

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Un peu d'histoire de la philosophie (mais faire l'histoire de la cuisine espagnole n'implique pas que que je sache faire de la cuisine espagnole). 

Que veut dire ce texte ? 

"Le geste philosophique de Heidegger concerne l’ontologie. Il fait une distinction conceptuelle entre le domaine de l’ontique où se déploie l’étant et celui de l’Être. Il reprend l’histoire de la philosophie pour en faire le bilan. Derrière les évidences, Heidegger voit les ratés philosophiques de notre façon de penser l’Être. L’homme est  le berger de l’Être ou comme la demeure de l’Être. L’homme est impliqué dans l’histoire de l’Être à partir de la manière dont il assume sa position à partir du rapport à l’Être. Pour Heidegger, l’homme a oublié ce lien, il le gaspille et le sacrifie sur l’autel du confort. Le règne du quantitatif et les objets ont pris le dessus sur toutes les interrogations existentiales et métaphysiques des humains."

 

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Membre, Doctor feel good, 59ans Posté(e)
brooder Membre 5 285 messages
59ans‚ Doctor feel good,
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il y a 24 minutes, Ooo a dit :

Un peu d'histoire de la philosophie (mais faire l'histoire de la cuisine espagnole n'implique pas que que je sache faire de la cuisine espagnole). 

Que veut dire ce texte ? 

"Le geste philosophique de Heidegger concerne l’ontologie. Il fait une distinction conceptuelle entre le domaine de l’ontique où se déploie l’étant et celui de l’Être. Il reprend l’histoire de la philosophie pour en faire le bilan. Derrière les évidences, Heidegger voit les ratés philosophiques de notre façon de penser l’Être. L’homme est  le berger de l’Être ou comme la demeure de l’Être. L’homme est impliqué dans l’histoire de l’Être à partir de la manière dont il assume sa position à partir du rapport à l’Être. Pour Heidegger, l’homme a oublié ce lien, il le gaspille et le sacrifie sur l’autel du confort. Le règne du quantitatif et les objets ont pris le dessus sur toutes les interrogations existentiales et métaphysiques des humains."

 

... parlons-nous de ce qui est écrit dans les livres ou de ce que nous vivons dans notre vie ?

"Je préfère me tromper avec Sartre que d'avoir raison avec Camus" est t-il une simple question de fric (ou de réputation) ou une philosophie de vie ?!

Notre origine nous oblige et nous déchire entre notre identité et notre coeur !

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il y a 3 minutes, brooder a dit :

... parlons-nous de ce qui est écrit dans les livres ou de ce que nous vivons dans notre vie ?

"Je préfère me tromper avec Sartre que d'avoir raison avec Camus" est t-il une simple question de fric (ou de réputation) ou une philosophie de vie ?!

Notre origine nous oblige et nous déchire entre notre identité et notre coeur !

vous interprétez le texte proposé à l'étude de manière assez peu académique. Peut-être voulez-vous plutôt que nous commentions votre texte

livre/vie, Sartre/Camus, réputation/philosophie, identité/coeur

j'en déduis que vous préférez la vie, Camus, la philosophie, le coeur. Il faudrait que nous puissions discuter de cela. Par exemple de l'opposition entre identité et coeur ?

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Membre, Doctor feel good, 59ans Posté(e)
brooder Membre 5 285 messages
59ans‚ Doctor feel good,
Posté(e)
il y a 1 minute, Ooo a dit :

vous interprétez le texte proposé à l'étude de manière assez peu académique. Peut-être voulez-vous plutôt que nous commentions votre texte

livre/vie, Sartre/Camus, réputation/philosophie, identité/coeur

j'en déduis que vous préférez la vie, Camus, la philosophie, le coeur. Il faudrait que nous puissions discuter de cela. Par exemple de l'opposition entre identité et coeur ?

Qu'en est t-il des êtres "naturels", devons-nous en nous soustraire ou devons-nous les considérer comme la "normes" ?!

Qu'en est t-il de la figure du père, êtres "normatifs" ou "victimes" ?!

....

C'est tout cela que la philosophie met en cause !

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il y a 4 minutes, brooder a dit :

Qu'en est t-il de la figure du père

je n'ai jamais bien compris cette expression : je vois vaguement ce qu'est un père, mais pourquoi parler de "figure" du père ? 

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