Faut-il croire en la théorie de «l’escalade»?

Popularisée dans les années 1980, la théorie selon laquelle la consommation de drogues dites «douces» prépare le terrain à des conduites addictives plus dangereuses est battue en brèche par les spécialistes.

«Ça commence avec un joint, ça finit avec une seringue.» L’argument est connu. Désigné comme théorie de «l’escalade», de la «porte d’entrée» ou du «tremplin», il recouvre l’idée selon laquelle la consommation de drogue dite «douce» conduit invariablement à celle de drogues plus «dures».

En Coluche dans le texte, on parlerait de «pente savonneuse», celle que pointe dans un sketch célèbre un personnage d’ivrogne enguirlandant son fils Gérard, qui «fume du haschisch avec les beatniks»: «Aujourd’hui, c’est un petit verre qu’il te faut, mais demain tu en fumeras tout un paquet!»

https://www.lefigaro.fr/actualite-france/drogues-faut-il-croire-en-la-theorie-de-l-escalade-20191213

Pas besoin de passer par les drogues douces pour en venir aux drogues dures, il suffit de constater le nombre de personnes consommant de l'alcool et qui n'ont pour autant jamais fumées de cigarette qui font rire.

Et que pensez-vous de l'augmentation de la dose? si on commence par trois joints par semaine, et ce qu'on finit par dix joints par jour?
 

Ça doit être beaucoup de monde. Mais pas tout le monde selon moi.

Comme moi, depuis que je suis illuminé, je dis que je ne prendrais pas de grosse drogue dur.

c'est, pour moi, un peu plus qu'une simple théorie. Mais cela dépend grandement de la finalité accordée à la prise.

Et oui c'est ça! On commence en se piquant à l'héroïne, et on finit avec le Ricard du dimanche midi!

La consommation de cannabis ne donne pas envie de prendre plus fort. Même si on en prend pas mal pendant pas mal de temps.

Là où il y a danger, c'est par les relations qu'on se fait dans le milieu, il n'y a pas que des fumeurs de joints du samedi soir. On peut se faire entraîner par manque de caractère ou vouloir essayer autre chose si on est en manque (psychologique) de canna un jour où ça va pas trop.

Par ailleurs on peut facilement prendre goût à un produit et ne pas accrocher avec un autre.

Je dis ça par expèrience, pas forcément la mienne et je ne detiens pas la vérité.

Le 16/12/2019 à 09:47, January a dit :

Popularisée dans les années 1980, la théorie selon laquelle la consommation de drogues dites «douces» prépare le terrain à des conduites addictives plus dangereuses est battue en brèche par les spécialistes.

«Ça commence avec un joint, ça finit avec une seringue.» L’argument est connu. Désigné comme théorie de «l’escalade», de la «porte d’entrée» ou du «tremplin», il recouvre l’idée selon laquelle la consommation de drogue dite «douce» conduit invariablement à celle de drogues plus «dures».

En Coluche dans le texte, on parlerait de «pente savonneuse», celle que pointe dans un sketch célèbre un personnage d’ivrogne enguirlandant son fils Gérard, qui «fume du haschisch avec les beatniks»: «Aujourd’hui, c’est un petit verre qu’il te faut, mais demain tu en fumeras tout un paquet!»

https://www.lefigaro.fr/actualite-france/drogues-faut-il-croire-en-la-theorie-de-l-escalade-20191213

 

Bonjour January, bisous

Cette théorie est une énorme connerie, par ce que l'on a commencé ça on finit comme ça.

Tout les camés, tout les alcooliques ( ce qui est la même chose ), tout les cinglés ont commencé à téter le sein de leur mère, ou but du lait.  Le lait créer le vice, le mal.

C'est exactement la même logique, mais par contre tout alcoolique est un morphinomane en puissance.  En plus ça démontre cette théorie à la con que l'on ne connaît rien en pharmacologie.

Enfin ça fait du bien de lire cette connerie, ça me replonge un peu dans ma jeunesse, et ou je m’engueulai avec les pouvoirs public. Et pour les faire un peu plus marronner je me faisais un trois feuilles devant eux de tabac, sans beu ni H hélas