Mort ou Absence de vie ?

Que peut-il bien rester entre la non envie de vivre et l'impossibilité de mourir ? 

il y a 4 minutes, Jane Doe a dit :

Que peut-il bien rester entre la non envie de vivre et l'impossibilité de mourir ? 

 

le désespoir ?

à l’instant, maddy a dit :

le désespoir ?

oui surement ou au moins  l'absence d'espoir

Des message sur un forum ?

Un doux flottement ?

il y a 5 minutes, Jane Doe a dit :

Que peut-il bien rester entre la non envie de vivre et l'impossibilité de mourir ? 

 

La souffrance et l’attente.

Au sein de la souffrance apparaît l’attente.
 

Rester patiemment dans l’attente, malgré la souffrance.

Il reste la non-vie, une absence de vie qui se refuse malgré tout à la mort.

On peut aussi appeler ça une grosse dépression.

Il y a 1 heure, maddy a dit :

le désespoir ?

pas mieux.

Ne pas pouvoir mourir est une terrible punition.

Il y a 2 heures, Jane Doe a dit :

Que peut-il bien rester entre la non envie de vivre et l'impossibilité de mourir ? 

 

Le devoir de vivre.

Il y a 2 heures, Jane Doe a dit :

Que peut-il bien rester entre la non envie de vivre et l'impossibilité de mourir ? 

L'espoir de devenir con. But ultime ouvrant la porte du bonheur absolu.

il y a 24 minutes, hell-spawn a dit :

Le devoir de vivre.

oui ça revient à l'impossibilité de mourir.

il y a 10 minutes, Jane Doe a dit :

oui ça revient à l'impossibilité de mourir.

 

 

Le devoir de vivre signifie encore une aliénation. Le fameux surmoi. La liberté c’est se dégager du devoir jusqu’à trouver ce à quoi nos tripes adhèrent. Ne pas se dégager du devoir pour accéder au choix libre, en adhésion avec ses tripes, c’est prendre le risque d’errer toute sa vie entre deux rivages. Le devoir, puissance sociale sécularisée , et le choix libre de vivre, enraciné dans les territoires obscurs de l’histoire.  Il faut oser explorer le désespoir. A condition de savoir que l’on a en soi la volonté accumulée d’une lignée ancestrale. Sinon il faut regarder en face sa faiblesse et se livrer à la seule force qui reste aux personnes trop fragiles : le devoir.

Il y a 3 heures, Mite_Railleuse a dit :

Un doux flottement ?

Flottement surement, doux j'en doute

il y a 1 minute, Annalevine a dit :

Le devoir de vivre signifie encore une aliénation. Le fameux surmoi. La liberté c’est se dégager du devoir jusqu’à trouver ce à quoi nos tripes adhèrent. Ne pas se dégager du devoir pour accéder au choix libre, en adhésion avec ses tripes, c’est prendre le risque d’errer toute sa vie entre deux rivages. Le devoir, puissance sociale sécularisée , et le choix libre de vivre, enraciné dans les territoires obscurs de l’histoire.  Il faut oser explorer le désespoir. A condition de savoir que l’on a en soi la volonté accumulée d’une lignée ancestrale. Sinon il faut regarder en face sa faiblesse et se livrer à la seule force qui reste aux personnes trop fragiles : le devoir.

Et lorsque ce devoir est lié à des personnes vulnérables qui dépendent de nous, s'agit-il toujours de fragilité que j'interprète comme faiblesse 

Il y a 4 heures, Jane Doe a dit :

Que peut-il bien rester entre la non envie de vivre et l'impossibilité de mourir ? 

 

La vie.  Rien n'est figé, un désespoir peut devenir espoir. 

Il y a 4 heures, Forum0123 a dit :

La vie.  Rien n'est figé, un désespoir peut devenir espoir. 

Non pas là, sauf si Dieu existe et se dit tient je vais faire un miracle. 

il y a 7 minutes, Jane Doe a dit :

Non pas là, sauf si Dieu existe et se dit tient je vais faire un miracle. 

Bah, si vous etiez amoureuse vous ne penseriez pas comme ça.

Et de mémoire on parle bien du miracle de l'amour, non ?

il y a 2 minutes, hell-spawn a dit :

Bah, si vous etiez amoureuse vous ne penseriez pas comme ça.

Et de mémoire on parle bien du miracle de l'amour, non ?

Je suis amoureuse.

Mais l'amour ne résout pas tous les problèmes. 

Je vais vous surprendre mais la vie ne se résume pas à de l'amour.

il y a 3 minutes, Jane Doe a dit :

Je suis amoureuse.

Mais l'amour ne résout pas tous les problèmes. 

Je vais vous surprendre mais la vie ne se résume pas à de l'amour.

 

L'amour n'empeche pas d'avoir des problèmes, mais il me semble qu'il donne envie de vivre.

il y a 16 minutes, hell-spawn a dit :

L'amour n'empeche pas d'avoir des problèmes, mais il me semble qu'il donne envie de vivre.

Pas toujours, pas quand la balance est déséquilibrée.