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L’individualité et l’interactionnisme en anthropologie


Camille.0.1

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Nouveau, 31ans Posté(e)
Camille.0.1 Nouveau 2 messages
Baby Forumeur‚ 31ans‚
Posté(e)

Une grande question en anthropologie, peux on étudier l'homme sans étudier la culture ? Une réel science de l'homme est t'elle d'ailleurs possible ?

Petite réflexion sur l'individu en tant qu'être / qu'être culturel 

L’individualité et l’interactionnisme en anthropologie. Je ne sais pas si on peut parler d’individus propres parce que, bien que crée par l’humain, les faits culturels, les manifestations culturelles, la base pourrait on dire de notre discipline, même si elles sont créées par l’homme ne sont observables que prises dans leurs intégralités donc visibles, crées par et pour un groupe.

Mais la culture est elle une restriction à l’individualité de chacun ou au contraire, un agrandissement de celui-ci ? L’affinage perceptif, qui déjà débute en période périnatale, avant donc que l’individu existe réellement, je veux dire par là, soit un, détaché du corps d’autrui. Soit au monde.  Car avant ça il ne reçoit les informations extérieures que par le biais de sa mère. Déjà, à ce moment-là, commence son identification à un groupe, par la discrimination de la langue. Alors, existe-t-il réellement un individu détaché ou es t’il même possible qu’il existe un individu pouvant être isolé de ses interactions et étudié pour lui. Car être grégaire et culturel, il se construit en autrui. Mais, en effet, une limite se pose, il se construit. C’est-à-dire, que bien que construits par une multitude de réseau interactionnistes, il est un en un point où tout ceux se croise. Si deux personnes parlent d’un souvenir précis, bien que l’ayant vécu ensemble vont donner deux versions différentes de l’histoire. La réalité n’existe donc pas en tant que telle, que vérité immuable mais passe toujours par le filtre du moi.

Laissons deux minutes de côté le fait que ce moi, comme nous avons pu l’esquisser auparavant soit construits par une multitude d’interaction extérieur (le moi est toujours vécu en rapport en opposition au monde, en relation avec lui. Premièrement parce que nous avons besoin des autres, de la place des autres, du don des autres pour exister).

Ce moi donc, est un en sa façon de ressentir le monde, de se ressentir dans le monde. Il vit une expérience unique, tant par sa temporalité linéaire que par son unicité. Si il se fait mal, il sera le seul à avoir mal. Si il est triste il sera le seul à l’être. Il a beau expliquer ses ressentis à ses pairs, ils ne pourront jamais totalement, même avec un niveau d’empathie très élevé le vivre.

Et puis l’autre, c’est l’autre. C’est autrui, l’autre que soit donc. Celui qui est mystérieux, qui est détaché de son intériorité. Ce qui nous éprouve est les sensations du monde extérieur, le physique donc. Mais ce qui nous raisonne est l’intériorité, coupé du monde extérieur. Les moments de solitudes, de solitude du monde j’entends, du monde et de tout ses stimuli. Quand on se perd, qu’on pense, qu’on rêve, qu’on se créer un univers. Finalement le monde tel qu’on le vit.

Et personne ne pourra jamais avoir accès à cette intériorité car bien que construite grâce un réseau d’interactions et de stimuli extérieur (dont bien sûr l’identification à des groupes, déjà celui d’être vivant, humain) il semble rester quelque chose d’autre, de personnels, d’un.

Rien ne nous prouve d’ailleurs, que cette intériorité est partagée par les autres vivants, si ce n’est leurs manifestations extérieures. Ou l’empathie.

L’empathie est la capacité à ressentir les émotions, l’intériorité d’autrui ; à devenir autre en quelque sorte. Devenir autre c’est aussi ce qui se produit lors d’une rencontre. On cherche à se perdre dans l’autre. On se déverse, on parle de soi, on se présente et on reçoit l’autre. Ce sont des moments d’interactions où l’intériorité est extériorisée. Car quand on est actif, réellement, dans l’acte d’être au monde, de parler on est plus, car on ne pense plus. On s’offre au monde. Ces moments sont très éphémères car bien vite, reviennent les pensées et sensations. Et ainsi s’alterne ce jeu entre le moi et le « paramoi ». Le moi vécu et le moi vu, sociale, culturelle.

 

Qu'en pensez vous ? J'en suis curieuse 

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Membre, Posté(e)
g.champion Membre 700 messages
Baby Forumeur‚
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quand on est parle avec quelqu'un, on a accès à beaucoup de choses qui montrent le bout de leur nez et qui disparaissent très vite : des intuitions qui sont liées aux mots qui viennent comme en vous lisant, certains mots qui semblent dire quelque chose .. vraiment .. c'est cette vérité éphémère qui fait le propre de ce que l'on nomme .. je ou culture qui parle ?

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Membre, 52ans Posté(e)
CAL26 Membre 7 827 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)
il y a 44 minutes, Camille.0.1 a dit :

Une grande question en anthropologie, peux on étudier l'homme sans étudier la culture ? Une réel science de l'homme est t'elle d'ailleurs possible ?

Petite réflexion sur l'individu en tant qu'être / qu'être culturel 

L’individualité et l’interactionnisme en anthropologie. Je ne sais pas si on peut parler d’individus propres parce que, bien que crée par l’humain, les faits culturels, les manifestations culturelles, la base pourrait on dire de notre discipline, même si elles sont créées par l’homme ne sont observables que prises dans leurs intégralités donc visibles, crées par et pour un groupe.

Mais la culture est elle une restriction à l’individualité de chacun ou au contraire, un agrandissement de celui-ci ? L’affinage perceptif, qui déjà débute en période périnatale, avant donc que l’individu existe réellement, je veux dire par là, soit un, détaché du corps d’autrui. Soit au monde.  Car avant ça il ne reçoit les informations extérieures que par le biais de sa mère. Déjà, à ce moment-là, commence son identification à un groupe, par la discrimination de la langue. Alors, existe-t-il réellement un individu détaché ou es t’il même possible qu’il existe un individu pouvant être isolé de ses interactions et étudié pour lui. Car être grégaire et culturel, il se construit en autrui. Mais, en effet, une limite se pose, il se construit. C’est-à-dire, que bien que construits par une multitude de réseau interactionnistes, il est un en un point où tout ceux se croise. Si deux personnes parlent d’un souvenir précis, bien que l’ayant vécu ensemble vont donner deux versions différentes de l’histoire. La réalité n’existe donc pas en tant que telle, que vérité immuable mais passe toujours par le filtre du moi.

Laissons deux minutes de côté le fait que ce moi, comme nous avons pu l’esquisser auparavant soit construits par une multitude d’interaction extérieur (le moi est toujours vécu en rapport en opposition au monde, en relation avec lui. Premièrement parce que nous avons besoin des autres, de la place des autres, du don des autres pour exister).

Ce moi donc, est un en sa façon de ressentir le monde, de se ressentir dans le monde. Il vit une expérience unique, tant par sa temporalité linéaire que par son unicité. Si il se fait mal, il sera le seul à avoir mal. Si il est triste il sera le seul à l’être. Il a beau expliquer ses ressentis à ses pairs, ils ne pourront jamais totalement, même avec un niveau d’empathie très élevé le vivre.

Et puis l’autre, c’est l’autre. C’est autrui, l’autre que soit donc. Celui qui est mystérieux, qui est détaché de son intériorité. Ce qui nous éprouve est les sensations du monde extérieur, le physique donc. Mais ce qui nous raisonne est l’intériorité, coupé du monde extérieur. Les moments de solitudes, de solitude du monde j’entends, du monde et de tout ses stimuli. Quand on se perd, qu’on pense, qu’on rêve, qu’on se créer un univers. Finalement le monde tel qu’on le vit.

Et personne ne pourra jamais avoir accès à cette intériorité car bien que construite grâce un réseau d’interactions et de stimuli extérieur (dont bien sûr l’identification à des groupes, déjà celui d’être vivant, humain) il semble rester quelque chose d’autre, de personnels, d’un.

Rien ne nous prouve d’ailleurs, que cette intériorité est partagée par les autres vivants, si ce n’est leurs manifestations extérieures. Ou l’empathie.

L’empathie est la capacité à ressentir les émotions, l’intériorité d’autrui ; à devenir autre en quelque sorte. Devenir autre c’est aussi ce qui se produit lors d’une rencontre. On cherche à se perdre dans l’autre. On se déverse, on parle de soi, on se présente et on reçoit l’autre. Ce sont des moments d’interactions où l’intériorité est extériorisée. Car quand on est actif, réellement, dans l’acte d’être au monde, de parler on est plus, car on ne pense plus. On s’offre au monde. Ces moments sont très éphémères car bien vite, reviennent les pensées et sensations. Et ainsi s’alterne ce jeu entre le moi et le « paramoi ». Le moi vécu et le moi vu, sociale, culturelle.

 

Qu'en pensez vous ? J'en suis curieuse 

Nous, homos sapiens, sommes des êtres sociaux, culturels parce qu'imprégnés par la culture environnante (imprégnés parce que longtemps immatures) et donc de communication.

Mais nous sommes surtout et inévitablement des individus. Bien qu'imprégnés par la culture et la société, nous pouvons au mieux communiquer c'est-à-dire échanger des messages mais l'immense part de notre fonctionnement cérébral reste incommunicable.

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Membre, 35ans Posté(e)
Loufiat Membre 2 589 messages
Mentor‚ 35ans‚
Posté(e)

Dans l'ensemble je trouve que le moi se confondrait presque dans votre discours avec une pathologie de l'action. Mais vos pensées, vos rêveries, ce que vous rassemblez sous l'intériorité (outre le fait d'être ce point, cette mémoire, etc.) sont positifs et en eux vous ne vous offrez pas moins au monde. Exemple le rêve, l’œuvre d'art ou même la disposition de vos meubles, ou encore ce texte que vous avez écris. L'intériorité est active et productrice et non pas déconnectée de l'action.

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Membre, 44ans Posté(e)
InstantEternité Membre 1 134 messages
Baby Forumeur‚ 44ans‚
Posté(e)
Il y a 7 heures, Camille.0.1 a dit :

Rien ne nous prouve d’ailleurs, que cette intériorité est partagée par les autres vivants, si ce n’est leurs manifestations extérieures. Ou l’empathie.

L’empathie est la capacité à ressentir les émotions, l’intériorité d’autrui ; à devenir autre en quelque sorte. Devenir autre c’est aussi ce qui se produit lors d’une rencontre. On cherche à se perdre dans l’autre. On se déverse, on parle de soi, on se présente et on reçoit l’autre. Ce sont des moments d’interactions où l’intériorité est extériorisée. Car quand on est actif, réellement, dans l’acte d’être au monde, de parler on est plus, car on ne pense plus. On s’offre au monde. Ces moments sont très éphémères car bien vite, reviennent les pensées et sensations. Et ainsi s’alterne ce jeu entre le moi et le « paramoi ». Le moi vécu et le moi vu, sociale, culturelle.

Je sais que cela peut paraître un peu "agressif" mais est-ce qu'on est pas disposé à avoir plus d'empathie pour une personne de sa propre culture que pour une personne d'une autre culture ?

-> Cela pourrait répondre en partie à la question "peut-on étudier l'homme sans étudier sa culture ?"

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Nouveau, 31ans Posté(e)
Camille.0.1 Nouveau 2 messages
Baby Forumeur‚ 31ans‚
Posté(e)
Il y a 8 heures, InstantEternité a dit :

Je sais que cela peut paraître un peu "agressif" mais est-ce qu'on est pas disposé à avoir plus d'empathie pour une personne de sa propre culture que pour une personne d'une autre culture ?

-> Cela pourrait répondre en partie à la question "peut-on étudier l'homme sans étudier sa culture ?"

 

Si, bien sûr, l'empathie est plus développée pour des personnes qui nous sont affiliée, donc ceux qui appartiennent au même groupe culturel mais je ne comprend pas comment cela pourrait répondre à la question. Pourriez vous m'expliquer ? 

Il y a 10 heures, Loufiat a dit :

Dans l'ensemble je trouve que le moi se confondrait presque dans votre discours avec une pathologie de l'action. Mais vos pensées, vos rêveries, ce que vous rassemblez sous l'intériorité (outre le fait d'être ce point, cette mémoire, etc.) sont positifs et en eux vous ne vous offrez pas moins au monde. Exemple le rêve, l’œuvre d'art ou même la disposition de vos meubles, ou encore ce texte que vous avez écris. L'intériorité est active et productrice et non pas déconnectée de l'action.

C'est très intéressant, peut-être qu'elle sont interdépendante mais il existe, je pense, deux modalité de réalités. Le mode majeur qui est composé par l'ensemble de nos interactions et  le mode mineur qui nous appartient. Ces moments, ces détails, ce détachement par rapport aux actions en cours justement. 

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Membre, 70ans Posté(e)
Don Juan Membre 3 245 messages
Forumeur vétéran‚ 70ans‚
Posté(e)
Il y a 17 heures, Camille.0.1 a dit :

Alors, existe-t-il réellement un individu détaché ou es t’il même possible qu’il existe un individu pouvant être isolé de ses interactions et étudié pour lui. Car être grégaire et culturel, il se construit en autrui. Mais, en effet, une limite se pose, il se construit. C’est-à-dire, que bien que construits par une multitude de réseau interactionnistes, il est un en un point où tout ceux se croise. Si deux personnes parlent d’un souvenir précis, bien que l’ayant vécu ensemble vont donner deux versions différentes de l’histoire. La réalité n’existe donc pas en tant que telle, que vérité immuable mais passe toujours par le filtre du moi.

Tout ce qui découle de la culture s'efface progressivement pour l'être qui s'établit dans une relation au monde profondément indépendante du culturel, c'est à dire une relation qui échappe au conditionnement sociétal, moral, religieux, historique etc, une relation qui ne s'inscrit pas dans la démarche conceptuelle, mais dans une démarche de perception et de sensation qui ne laisse pas de prise au temps et à la dimension de la représentation mentale.

 

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Membre, 35ans Posté(e)
Loufiat Membre 2 589 messages
Mentor‚ 35ans‚
Posté(e)
il y a 17 minutes, Camille.0.1 a dit :

C'est très intéressant, peut-être qu'elle sont interdépendante mais il existe, je pense, deux modalité de réalités. Le mode majeur qui est composé par l'ensemble de nos interactions et  le mode mineur qui nous appartient. Ces moments, ces détails, ce détachement par rapport aux actions en cours justement.

Bien sûr il y a une intériorité et une extériorité qui se distinguent tout en se rapportant l'une à l'autre, ce sont deux 'termes' posés à la fois dans et par cette relation. Là où votre exposé pèche à mes yeux c'est quand vous insistez sur les stimuli extérieurs, les sollicitations qui viennent du monde vers l'intérieur, soit le versant passif (mes pensées sont déterminées par mon expérience qui relève de conditions biologiques et socio-historiques etc.) mais vous occultez l'autre versant qui va de l'intériorité vers le monde. Or c'est justement ce versant qui peut seul attester d'une individualité, autrement elle est réductible à des déterminations extérieures !

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Membre, 70ans Posté(e)
Don Juan Membre 3 245 messages
Forumeur vétéran‚ 70ans‚
Posté(e)
Il y a 17 heures, Camille.0.1 a dit :

Ce moi donc, est un en sa façon de ressentir le monde, de se ressentir dans le monde. Il vit une expérience unique, tant par sa temporalité linéaire que par son unicité. Si il se fait mal, il sera le seul à avoir mal. Si il est triste il sera le seul à l’être. Il a beau expliquer ses ressentis à ses pairs, ils ne pourront jamais totalement, même avec un niveau d’empathie très élevé le vivre.

Je dirais que ce moi est trop souvent absent de la dimension sensorielle, ce moi se dresse mentalement sur une base consensuelle inconsciente, un égrégore. Son expérience est unique en partie, en une toute petite partie.

Il y a 17 heures, Camille.0.1 a dit :

Quand on se perd, qu’on pense, qu’on rêve, qu’on se créer un univers. Finalement le monde tel qu’on le vit.

Je dirais plutôt : le monde tel qu'il se vit en notre inconscient.

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Membre, 70ans Posté(e)
Don Juan Membre 3 245 messages
Forumeur vétéran‚ 70ans‚
Posté(e)
Il y a 17 heures, Camille.0.1 a dit :

L’empathie est la capacité à ressentir les émotions, l’intériorité d’autrui ; à devenir autre en quelque sorte. Devenir autre c’est aussi ce qui se produit lors d’une rencontre. On cherche à se perdre dans l’autre. On se déverse, on parle de soi, on se présente et on reçoit l’autre. Ce sont des moments d’interactions où l’intériorité est extériorisée. Car quand on est actif, réellement, dans l’acte d’être au monde, de parler on est plus, car on ne pense plus. On s’offre au monde. Ces moments sont très éphémères car bien vite, reviennent les pensées et sensations. Et ainsi s’alterne ce jeu entre le moi et le « paramoi ». Le moi vécu et le moi vu, sociale, culturelle.

 

Dans l'empathie, les intériorités ne sont pas extériorisées, elles sont dupliquées en quelques points et laissent croire à une communion. Je ne souffre pas pour toi, je ne souffre pas avec toi, ni à ta place, je souffre comme toi plutôt. C'est ce que je dirais, si je devais le dire, si quelqu'un devait l'entendre.:)

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Membre, 44ans Posté(e)
InstantEternité Membre 1 134 messages
Baby Forumeur‚ 44ans‚
Posté(e)
il y a 33 minutes, Camille.0.1 a dit :

Si, bien sûr, l'empathie est plus développée pour des personnes qui nous sont affiliée, donc ceux qui appartiennent au même groupe culturel mais je ne comprend pas comment cela pourrait répondre à la question. Pourriez vous m'expliquer ? 

Si on considère l'empathie comme un critère ou comportement qui permettrait d'étudier l'humain, et si nous sommes disposés à avoir plus d'empathie envers les personnes appartenant à notre propre culture alors on pourrait faire un lien entre l'empathie et la culture et de là penser qu'un humain ne peut pas être étudié sans sa culture.

Je pense que ce qui fait de nous des êtres humains, en plus de nos instincts d'hommes, c'est notre culture (langue, religion, éducation, mœurs, ...). C'est très intéressant car étant personnellement intéressé par le concept de la Surhumanité, je me rends compte qu'en fait la culture est quelque part un obstacle qui nous empêche d'accéder au Surhumain à l'instar de la religion. En effet le Surhumain se définit par une intensification de l'expression maîtrisée de nos instincts notamment dans tout ce qui est de la création artistique (pour moi l'art ne faisant pas partie de la culture).

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