Fractures françaises 2019 : la défiance vis-à-vis des dirigeants et des institutions atteint des sommets

Il y a 4 heures, pila a dit :

Le Peuple veut quelqu'un de juste, de réaliste, d'honnête et d'efficace.

Les Le Pen ne sont pas justes. Et ils ne sont pas honnêtes. Ils sont donc hors compétition.

je serais d'accord avec toi mais je refuse de cautionner tes affirmations sur la justice, l'honnêteté et l'efficacité vis à vis d'un dirigeant futur... car à chaque fois, qu'un dirigeant a voulu l'être, il s'est fait malmener pour ne pas dire homicider dans certains cas.  

Il y a 20 heures, Promethee_Hades a dit :

Bonjour Versys, poigne de mains

Tout à fait suffit de savoir aussi flatter les gens, de leur dire ce qu'ils ont envie d'entendre, et de s'entendre entre copains ou relation de travail ( niveau international ) pour dire a ses même benêts qui vous ont offert le pouvoir que c'est statut quo

Bonjour PH.

Il est vrai que les "statu quo"  dont bénéficient les dépositares du Pouvoir s'observent essentiellement dans les régimes dictatoriaux et totalitaires.

Dans les régimes démocratiques, le Peuple est appelé à se prononcer en élisant son dirigeant et le programme qui va avec...

Mais depuis de nombreuses décennies, le Peuple ne vote pas POUR un nouveau dirigeant, mais systématiquement CONTRE l'actuel. 

Pour le moment, l'alternance s'opère entre dirigeants de partis dits "républicains", qu'en sera t il quand cette alternance basculera vers un dirigeant prônant une idéologie extrémiste ?? Un nouveau "statu quo" sera t il alors à envisager et à craindre ??

il y a 26 minutes, versys a dit :

Bonjour PH.

Il est vrai que les "statu quo"  dont bénéficient les dépositares du Pouvoir s'observent essentiellement dans les régimes dictatoriaux et totalitaires.

Dans les régimes démocratiques, le Peuple est appelé à se prononcer en élisant son dirigeant et le programme qui va avec...

Mais depuis de nombreuses décennies, le Peuple ne vote pas POUR un nouveau dirigeant, mais systématiquement CONTRE l'actuel. 

Pour le moment, l'alternance s'opère entre dirigeants de partis dits "républicains", qu'en sera t il quand cette alternance basculera vers un dirigeant prônant une idéologie extrémiste ?? Un nouveau "statu quo" sera t il alors à envisager et à craindre ??

Non, c'est  impossible, ça  c'est le slogan des tricheurs de Bruxelles pour garder le pouvoir.

Salvini c'était le retour de Mussolini selon nos  experts du forum.

Si tu veux un nom, des  noms!

Salvini ne dirige plus , comme dictateur on a vu mieux, non?

Aujourd'hui selon ces mêmes experts c'est  Boris Johnson le nouveau dictateur,  même  Mickey fiche plus la trouille. 

Je plains le fond de leur slip..

Il y a 5 heures, versys a dit :

Bonjour PH.

Il est vrai que les "statu quo"  dont bénéficient les dépositares du Pouvoir s'observent essentiellement dans les régimes dictatoriaux et totalitaires.

Dans les régimes démocratiques, le Peuple est appelé à se prononcer en élisant son dirigeant et le programme qui va avec...

Mais depuis de nombreuses décennies, le Peuple ne vote pas POUR un nouveau dirigeant, mais systématiquement CONTRE l'actuel. 

Pour le moment, l'alternance s'opère entre dirigeants de partis dits "républicains", qu'en sera t il quand cette alternance basculera vers un dirigeant prônant une idéologie extrémiste ?? Un nouveau "statu quo" sera t il alors à envisager et à craindre ??

Bonjour Versys, poigne de mains

Effectivement la dénomination c'est important dans un régime totalitaire suffit de dire que c'est démocratique, que c'est le progrès que cela le soit. Ici on va dire républicains aussi, ça signifie quoi, que la dictature est toujours là mais masqué, pour mieux faire passer la pilule

Bonsoir Promethee_Hades,

Pour mettre un texte sur un sentiment lancinant de malaise qui se répand dans notre société, le texte lumineux de François Sureau :

"La liberté a déjà disparu. Nous sommes déjà dans un pays dans lequel nous ne sommes pas totalement libres de publier ce que nous voulons, de manifester sauf à être contrôlé avant la manifestation par des représentants du Parquet... Cela n'est rien : évidemment, on n'est pas la Turquie, on n'est pas encore l'Egypte de l'effarant al-Sissi. Mais nous sommes déjà dans un pays dans lequel notre idée absolument transcendante de la liberté qui doit céder à tout le reste a disparu à cause des arbitrages entre la sécurité et la liberté."

"La liberté n'existe pas sans les inconvénients de la liberté, c'est quelque chose que nous avons totalement oublié".

il y a 39 minutes, Ink 82 a dit :

nous sommes déjà dans un pays dans lequel notre idée absolument transcendante de la liberté qui doit céder à tout le reste a disparu à cause des arbitrages entre la sécurité et la liberté."

Qui en est la cause ?

Il y a 16 heures, versys a dit :

Bonjour PH.

Il est vrai que les "statu quo"  dont bénéficient les dépositares du Pouvoir s'observent essentiellement dans les régimes dictatoriaux et totalitaires.

Dans les régimes démocratiques, le Peuple est appelé à se prononcer en élisant son dirigeant et le programme qui va avec...

Mais depuis de nombreuses décennies, le Peuple ne vote pas POUR un nouveau dirigeant, mais systématiquement CONTRE l'actuel. 

Pour le moment, l'alternance s'opère entre dirigeants de partis dits "républicains", qu'en sera t il quand cette alternance basculera vers un dirigeant prônant une idéologie extrémiste ?? Un nouveau "statu quo" sera t il alors à envisager et à craindre ??

Et encore quand il y a un programme...

Nous sommes dans le consensus mou dogmatique sur beaucoup de sujet, ca devient compliquer de repenser les choses sans être taxé de quelque chose de négatif et le citoyen devient de plus en plus téléguidé et peut-etre qu'il en a relativement conscience.

il y a une heure, Ink 82 a dit :

Bonsoir Promethee_Hades,

Pour mettre un texte sur un sentiment lancinant de malaise qui se répand dans notre société, le texte lumineux de François Sureau :

"La liberté a déjà disparu. Nous sommes déjà dans un pays dans lequel nous ne sommes pas totalement libres de publier ce que nous voulons, de manifester sauf à être contrôlé avant la manifestation par des représentants du Parquet... Cela n'est rien : évidemment, on n'est pas la Turquie, on n'est pas encore l'Egypte de l'effarant al-Sissi. Mais nous sommes déjà dans un pays dans lequel notre idée absolument transcendante de la liberté qui doit céder à tout le reste a disparu à cause des arbitrages entre la sécurité et la liberté."

 

 

"La liberté n'existe pas sans les inconvénients de la liberté, c'est quelque chose que nous avons totalement oublié".

 

 

 

Bien sur on ne sait plus "souffrir" d'avis divergeant.

Les insiders ne se rendent même plus compte des méfaits du libéralisme économique, de la mondialisation, du rapport défavorable au salariat du partage des richesses, ou globalement tout sujet collectif devient ingérable pour plein de raison.

Il y a 8 heures, pluc89 a dit :

Qui en est la cause ?

Des gens avides de pouvoir et des intérêts qu' ils y trouvent.