Avez-vous une préférence pour l’un de vos enfants?

Je n'ai qu'un fils mais 2 soeurs. Elles sont si différentes que je ne peux pas dire qui je préfère, je les aime toutes les deux. j'assume que pour des gosses, c'est pareil.

Quant à la question de Cac40, elle est absurde, la plupart des parents refuseraient ce choix. Mais en cas de noyade disons, où on manque de temps, pour sauver tout le monde, je choisirais de sauver  celui qui et le plus près, physiquement.

il y a 25 minutes, Atipique a dit :

Je n'ai qu'un fils mais 2 soeurs. Elles sont si différentes que je ne peux pas dire qui je préfère, je les aime toutes les deux. j'assume que pour des gosses, c'est pareil.

Quant à la question de Cac40, elle est absurde, la plupart des parents refuseraient ce choix. Mais en cas de noyade disons, où on manque de temps, pour sauver tout le monde, je choisirais de sauver  celui qui et le plus près, physiquement.

Il ne s'agit pas de sauver de la noyade ou autre chose, c'est un postulat qu'il (CAL ?) faisait dans l'absolu... (en fait, deux sujets se sont mélangés, celui de départ et le postulat de CAL et donc tout le monde s'embrouille dans les réponses  

il y a 22 minutes, Atipique a dit :

Je n'ai qu'un fils mais 2 soeurs. Elles sont si différentes que je ne peux pas dire qui je préfère, je les aime toutes les deux. j'assume que pour des gosses, c'est pareil.

Quant à la question de Cac40, elle est absurde, la plupart des parents refuseraient ce choix. Mais en cas de noyade disons, où on manque de temps, pour sauver tout le monde, je choisirais de sauver  celui qui et le plus près, physiquement.

Je savais qu'à force de tant progresser je serai un jour coté en bourse.

Donc visiblement il faut tout expliquer : au départ je voulais évidemment proposer un choix quasi-impossible pour surenchérir dans la provocation façon Vilaine.

Ce choix je ne le tire pas de mon imagination mais d'un fait de la seconde guerre mondiale : des nazis ont contraint une mère à faire ce choix. Et là, soit on refuse de faire un choix et tous les enfants sont exécutés, soit on en sauve un. Mais si on choisit, l'autre dilemme c'est comment choisir. Cette cruauté inouïe ne peut même pas se contenter de "je préfère mourir, je mourrais après..."

Pour l'histoire, j'ignore par contre ce qu'a fait la mère.

il y a 1 minute, CAL26 a dit :

Je savais qu'à force de tant progresser je serai un jour coté en bourse.

Donc visiblement il faut tout expliquer : au départ je voulais évidemment proposer un choix quasi-impossible pour surenchérir dans la provocation façon Vilaine.

Ce choix je ne le tire pas de mon imagination mais d'un fait de la seconde guerre mondiale : des nazis ont contraint une mère à faire ce choix. Et là, soit on refuse de faire un choix et tous les enfants sont exécutés, soit on en sauve un. Mais si on choisit, l'autre dilemme c'est comment choisir. Cette cruauté inouïe ne peut même pas se contenter de "je préfère mourir, je mourrais après..."

Pour l'histoire, j'ignore par contre ce qu'a fait la mère.

C'est pas le choix de Sophie? Elle a deux enfant arien (blond au yeux bleus) donc on la laisse en sauver un je crois qu'elle sauve sont fils je l'avais vue au au collège.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Choix_de_Sophie

Le Choix de Sophie a pour narrateur Stingo, un jeune écrivain aspirant à finir son premier roman. Alors que Stingo travaille sur son roman, il est attiré lentement dans la vie des amoureux Nathan Landau et Sophie Zawistowska, les habitants de l'appartement au-dessus du sien. Sophie est une belle Polonaise, rescapée des camps de concentration de la Deuxième Guerre mondiale et Nathan semble être un génie. Bien que Nathan affirme être diplômé d'Harvard et biologiste cellulaire, il apparaîtra plus tard que tout cela est invention. Il est en réalité schizophrène paranoïde, même si personne n'en a conscience, y compris Sophie et Stingo. Cela implique que, s'il est la plupart du temps subtil et charmeur, il lui arrive parfois d'être jaloux, violent et désespéré.

Alors que l'histoire progresse, Sophie raconte à Stingo son passé, ce qu'elle n'avait jamais fait avec personne. Elle parle de son père antisémite, de son refus de l'aider à diffuser ses idées, de son arrestation pour avoir fait du marché noir dans le but de se procurer un jambon pour sa mère malade de la tuberculose, et surtout de sa brève période de dactylo dans la propre maison de Rudolf Höß, le commandant d'Auschwitz. Elle relate ses tentatives pour séduire Höß afin de permettre que son fils, blond aux yeux bleus et qui parle allemand, puisse quitter le camp et entrer dans le programme des Lebensborn, dans lequel il serait élevé comme un enfant allemand. Elle échoue et ne connaîtra jamais le destin de son fils.

Alors que les crises de Nathan deviennent de plus en plus violentes et exaspérantes, Stingo reçoit une mise en garde du frère de ce dernier. Il apprend que Nathan est schizophrèneet qu'il n'est pas biologiste cellulaire bien qu'« il aurait pu être fantastiquement brillant dans tout ce qu'il aurait pu entreprendre. Mais il n'a jamais l'esprit en ordre. » Les illusions de Nathan lui ont laissé croire que Stingo avait une aventure avec Sophie, et il menace de les tuer tous les deux.

Sophie et Stingo s'enfuient. Stingo a l'intention de rejoindre la ferme de son père en Virginie, mais le voyage n'ira pas au-delà de Washington. Là, Sophie révèle son secret le plus sombre, qu'elle avait enfoui au plus profond d'elle-même : le jour où elle est arrivée à Auschwitz, un médecin sadique lui a fait choisir entre ses deux enfants celui qui serait tué immédiatement par gazage et celui qui pourrait continuer à vivre, bien que ce soit dans le camp. Devant la menace qu'on lui prenne ses deux enfants si elle refusait de faire un choix, Sophie paniquée face à une telle situation, décida de sacrifier « en catastrophe » sa fille de sept ans, Eva, dans une décision déchirante qui la laisse dans le deuil et l'accable d'une culpabilité qu'elle n'a pu, ou plutôt ne peut pas, surmonter. Stingo propose à Sophie de se marier. Elle refuse mais il la persuade de continuer à y réfléchir. Après avoir partagé une simple nuit ensemble, avant qu'ils arrivent à la ferme, Sophie disparaît, laissant seulement un mot disant qu'elle devait retrouver Nathan.

En rentrant à Brooklyn, New York, Stingo découvre que Sophie et Nathan se sont suicidés, ensemble, dans leur chambre en avalant du cyanure de sodium. Si Stingo est anéanti, la dernière phrase du roman laisse peut-être supposer une once d'optimisme :

« Ce n'était pas le jour du jugement mais seulement le matin.
Un matin : Excellent et clair. »

il y a 7 minutes, Petit ours a dit :

C'est pas le choix de Sophie? Elle a deux enfant arien (blond au yeux bleus) donc on la laisse en sauver un je crois qu'elle sauve sont fils je l'avais vue au au collège.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Choix_de_Sophie

Le Choix de Sophie a pour narrateur Stingo, un jeune écrivain aspirant à finir son premier roman. Alors que Stingo travaille sur son roman, il est attiré lentement dans la vie des amoureux Nathan Landau et Sophie Zawistowska, les habitants de l'appartement au-dessus du sien. Sophie est une belle Polonaise, rescapée des camps de concentration de la Deuxième Guerre mondiale et Nathan semble être un génie. Bien que Nathan affirme être diplômé d'Harvard et biologiste cellulaire, il apparaîtra plus tard que tout cela est invention. Il est en réalité schizophrène paranoïde, même si personne n'en a conscience, y compris Sophie et Stingo. Cela implique que, s'il est la plupart du temps subtil et charmeur, il lui arrive parfois d'être jaloux, violent et désespéré.

Alors que l'histoire progresse, Sophie raconte à Stingo son passé, ce qu'elle n'avait jamais fait avec personne. Elle parle de son père antisémite, de son refus de l'aider à diffuser ses idées, de son arrestation pour avoir fait du marché noir dans le but de se procurer un jambon pour sa mère malade de la tuberculose, et surtout de sa brève période de dactylo dans la propre maison de Rudolf Höß, le commandant d'Auschwitz. Elle relate ses tentatives pour séduire Höß afin de permettre que son fils, blond aux yeux bleus et qui parle allemand, puisse quitter le camp et entrer dans le programme des Lebensborn, dans lequel il serait élevé comme un enfant allemand. Elle échoue et ne connaîtra jamais le destin de son fils.

Alors que les crises de Nathan deviennent de plus en plus violentes et exaspérantes, Stingo reçoit une mise en garde du frère de ce dernier. Il apprend que Nathan est schizophrèneet qu'il n'est pas biologiste cellulaire bien qu'« il aurait pu être fantastiquement brillant dans tout ce qu'il aurait pu entreprendre. Mais il n'a jamais l'esprit en ordre. » Les illusions de Nathan lui ont laissé croire que Stingo avait une aventure avec Sophie, et il menace de les tuer tous les deux.

Sophie et Stingo s'enfuient. Stingo a l'intention de rejoindre la ferme de son père en Virginie, mais le voyage n'ira pas au-delà de Washington. Là, Sophie révèle son secret le plus sombre, qu'elle avait enfoui au plus profond d'elle-même : le jour où elle est arrivée à Auschwitz, un médecin sadique lui a fait choisir entre ses deux enfants celui qui serait tué immédiatement par gazage et celui qui pourrait continuer à vivre, bien que ce soit dans le camp. Devant la menace qu'on lui prenne ses deux enfants si elle refusait de faire un choix, Sophie paniquée face à une telle situation, décida de sacrifier « en catastrophe » sa fille de sept ans, Eva, dans une décision déchirante qui la laisse dans le deuil et l'accable d'une culpabilité qu'elle n'a pu, ou plutôt ne peut pas, surmonter. Stingo propose à Sophie de se marier. Elle refuse mais il la persuade de continuer à y réfléchir. Après avoir partagé une simple nuit ensemble, avant qu'ils arrivent à la ferme, Sophie disparaît, laissant seulement un mot disant qu'elle devait retrouver Nathan.

En rentrant à Brooklyn, New York, Stingo découvre que Sophie et Nathan se sont suicidés, ensemble, dans leur chambre en avalant du cyanure de sodium. Si Stingo est anéanti, la dernière phrase du roman laisse peut-être supposer une once d'optimisme :

« Ce n'était pas le jour du jugement mais seulement le matin.
Un matin : Excellent et clair. »

Exact! J'étais persuadé que c'était inspiré d'un fait réel.

il y a 1 minute, CAL26 a dit :

Exact! J'étais persuadé que c'était inspiré d'un fait réel.

Oui voila je crois que c'est juste une fiction sinon certaines réponses font peur (je choisis celui qui a les meilleurs gènes)

il y a 4 minutes, Petit ours a dit :

Oui voila je crois que c'est juste une fiction sinon certaines réponses font peur (je choisis celui qui a les meilleurs gènes)

Toute réponse à ce dilemme ferait peur (ou toute non réponse). C'est le génie de cette fiction.

il y a 4 minutes, Petit ours a dit :

Oui voila je crois que c'est juste une fiction sinon certaines réponses font peur (je choisis celui qui a les meilleurs gènes)

Bien sûr que c'est une fiction.

Il n'ampêche que personne ne peut nier que tous les êtres vivants n'ont pas un patrimoine génétique de même valeur, si on parle de 'valeur' dans l'absolu (et non dans le relatif, humain, mesurable quantifiable etc etc)

il y a une heure, Cressida a dit :

Tu es une privilégiée de n'avoir conçu que des petits génies, ou pllutôt tu es aveugle  

Ce qui revient au même au final rapport à la problématique 

il y a 1 minute, Cressida a dit :

Bien sûr que c'est une fiction.

Il n'ampêche que personne ne peut nier que tous les êtres vivants n'ont pas un patrimoine génétique de même valeur, si on parle de 'valeur' dans l'absolu (et non dans le relatif, humain, mesurable quantifiable etc etc)

non mais la ok c'est juste que répondre celui qui a les meilleur gène ça veux dire que  tu choisis le plus beau le plus grand ?  le plus intelligent ? de toute façon je pense que c'est seulement dans les situation urgente qu'on voie de quoi on est  vraiment capable.

il y a 7 minutes, Petit ours a dit :

non mais la ok c'est juste que répondre celui qui a les meilleur gène ça veux dire que  tu choisis le plus beau le plus grand ?  le plus intelligent ? de toute façon je pense que c'est seulement dans les situation urgente qu'on voie de quoi on est  vraiment capable.

Ah mais moi perso, pour ce qui est de 'sauver' dans la réalité ce coup-ci je choisis plutôt celui ou celle qui est le plus en difficulté (les autres pouvant par définition se passer d'aide), ce que je réfute absolument c'est la notion d'égalitarisme, je n'ai pas dit égalité,  qui a cours en particulier en France et qui m'énerve grave). 'Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil, tout le monde il est pareil, tout le monde y se vaut' OU............................ les jugements à l'emporte pièce : "ceux-là c'est de la merde etc etc" tout aussi idiots dans leur genre. Ce qui est certain c'est que nous n'avons pas les capacités pour juger juste, donc le mieux c'est de s'abstenir.

Il y a 1 heure, soisig a dit :

Je choisirais celui qui survivrait à ce choix. Rien à voir avec de la préférence, mais si tous doivent mourir si on ne prend pas de décision, faisons en sorte que l'un d'eux vive encore. 

 

Oui et choisissons le hasard : à la courte paille, le jeu va néanmoins être stressant.

il y a 20 minutes, Cressida a dit :

Bien sûr que c'est une fiction.

Il n'ampêche que personne ne peut nier que tous les êtres vivants n'ont pas un patrimoine génétique de même valeur, si on parle de 'valeur' dans l'absolu (et non dans le relatif, humain, mesurable quantifiable etc etc)

Et comme on ne peut pas savoir quelle est la valeur réelle dudit patrimoine...ce n'est pas là-dessus qu'on peut choisir.

il y a 3 minutes, chanou 34 a dit :

Et comme on ne peut pas savoir quelle est la valeur réelle dudit patrimoine...ce n'est pas là-dessus qu'on peut choisir.

Absolument ! (c'est ce que je dis plus haut)

Il faudrait être capable de choisir celui qui aurait la meilleur capacité à surmonter la culpabilité traumatisante d'avoir été épargné .. 

Cet enfant risquerait fort de devenir un psychopathe ..

Le 01/09/2019 à 21:34, CAL26 a dit :

Le meilleur moyen de savoir si on préfère un de ses enfants et pourquoi est ce dilemme à imaginer : si vous ne deviez sauver qu'un de vos enfants (sinon et malheureusement tous décèderaient), lequel choisiriez vous et pourquoi accepteriez vous de sacrifier le ou les autres?

Sophie's choice !

il y a 18 minutes, Sittelle a dit :

Il faudrait être capable de choisir celui qui aurait la meilleur capacité à surmonter la culpabilité traumatisante d'avoir été épargné .. 

Cet enfant risquerait fort de devenir un psychopathe ..

Je ne vois pas pourquoi... J'ai été la seule 'épargnée' d'une série d'avortements de mes parents et je ne suis pas psychopathe -c'est la même chose non ?

Putain de bordel de merde, mais qu'elle idée ils ont eu mes parents de me mettre au monde. De gros salauds d'égoïsme pur, j'ai pas demandé de venir au monde, et ces gros dégueulasses me l'impose. Leur amour ils peuvent se le garder, c'est une souillure, c'est de trop, de plus j'en ai rien à foutre.

il y a 4 minutes, Cressida a dit :

Je ne vois pas pourquoi... J'ai été la seule 'épargnée' d'une série d'avortements de mes parents et je ne suis pas psychopathe -c'est la même chose non ?

Bonjour Cressida, gros bisous

A bon, tiens j'en apprends des choses, tu as été épargnée, bien moi ma mère aurai eu 6000 francs, ce qui était une fortune en 1930 , j'avais la chance formidable d'y passer. Mais pourquoi mon père ne lui a pas donné ce fric, avec tout le pognon qu'il avait, c'est vrai qu'il voulais un garçon.

Un concours d'avortement avorté ? L'éclate totale ce soir