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Les écrans sont-ils dangereux pour nos enfants?


Invité riad**

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Invité riad** Invités 0 message
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il y a une heure, eriu a dit :

Au delà de ce qu'il préfère Soisig il y a son développement et notamment jusqu'à 3 ans : le langage ( interaction avec ses pairs et l'entourage) la moticité et la motricité fine . Bien qu'à mon avis , tout cela est sur bien au delà de 3 ans . Nous savons que dans de très nombreuses familles, aujourd'hui chacun des membres à bien souvent un voir plus d'écrans ..et ça peut être vraiment problématique . 

À la place des smartphones et des tablettes, j'ai acheté des ordinateurs de petite taille (Notebook), chacun a son ordinateur en plus ils sont tous sans batterie, comme ça la mobilité est réduite, on ne peut pas les utiliser à table ou dans les chiottes, du coup on a les avantages de l'internet sans les inconvénients des smartphones.
 

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Membre, 64ans Posté(e)
jécoute Membre 2 532 messages
Baby Forumeur‚ 64ans‚
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Il y a 2 heures, riad** a dit :

Oui est toujours d'accord,

D'abord ce n'est pas une tablette que j'ai mis sous les mains de ma fille mais un ordinateur doté d'un système Linux personnalisé, elle n'avait accès à internet qu'à l'age de 5 ans, et c'est toujours encadré,
aucun jeu addictif, un programme de dessin à la place et les jeux qui n'ont aucun intérêt éducatif c'est rarement autorisé.
 

Pour preuve :sleep:

bzobzo10.jpg

 

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Membre, Un oiseau la tête en bas !, Posté(e)
Sittelle Membre 11 374 messages
Un oiseau la tête en bas !,
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Il y a 2 heures, miscookiyou a dit :

C'est obligatoire  a partir de 6 ans mais presque tous les enfants vont a l'école maternel a 2 ou 3 ans (enfin a ma connaissance la loi n'avais finalement pas été appliquer ) peut être que les écrans  peuvent être intéressent si on les utilise de t'elle ou t'elle façon..touts le monde fait comme ils veux,  peut être qu'on découvrira qu'ils on de nombreux point positif en attendant pour moi ce sera non ou vraiment très peut,a petite dose (pour qu'il ne sois pas en décalage avec les autres) 

Non c'est officiellement obligatoire a partir de 3 ans (pour les enfants nés depuis le 1er janvier 2016 il me semble .)

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Membre, 24ans Posté(e)
miscookiyou Membre 2 416 messages
Baby Forumeur‚ 24ans‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, Sittelle a dit :

Non c'est officiellement obligatoire a partir de 3 ans (pour les enfants nés depuis le 1er janvier 2016 il me semble .)

ha d'accord....

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Membre, 153ans Posté(e)
Black Dog Membre 4 691 messages
Forumeur vétéran‚ 153ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, miscookiyou a dit :

ils peuvent regarder un épisode de Pépa pig 10 minutes sur YouTube ou s'amuser a faire des oreille de chien sur snap  qu'elle que minutes ....

 

Autant l'usage d'écran de façon modérée et encadrée me parait utile et important afin d'être préparer au monde qui nous entoure, autant donner comme exemple l'accès à Youtube et à Snapchat à de jeunes enfants ou même des enfants me pose plus de problème. Le premier appartient à Google, le second à Facebook, deux entreprises qui ne vivent que de la récolte à outrance et de l'archivage ad vitam aeternam de données personnelles. Que les adultes consentent de se laisser dépouiller de leur vie privée, c'est un choix, ils sont grands et responsables, par contre que des adultes choisissent à la place de leur propres enfants cette moisson de données m'embête beaucoup plus. Si une fois adultes ces enfants aspirent à ce que leur vie privée reste la leur et ne soit pas partagée à de très nombreuses entreprises sur la toile et bien ce sera trop tard parce que leurs parents en auront décidés autrement à leur place.

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Membre, 73ans Posté(e)
Morfou Membre 57 476 messages
Maitre des forums‚ 73ans‚
Posté(e)
18 mars 1999
 



 


C’est un petit livre très bien construit, agréable à lire. Chaque chapitre s’ouvre par une brève réflexion théorique puis propose nombre d’idées d’activités à mener avec de jeunes élèves. Ces pistes me semblent d’autant plus intéressantes que, lors de mon travail de remplaçante, j’ai pu constater que si beaucoup d’écoles possèdent le matériel nécessaire, celui-ci est souvent utilisé d’une manière fort peu éducative.

Les enseignants qui critiquent toujours beaucoup la trop grande fréquentation de la télévision et les mauvais choix des enfants comme de leurs familles offrent, dans le cadre scolaire, bien pire encore.

Ce que Maguy Chailley dit plus gentiment que moi : Certaines écoles maternelles ont été dotées de téléviseur et magnétoscope avant même qu’un projet réellement pédagogique n’ait été élaboré par l’équipe enseignante. Les utilisations qui sont faites de ce matériel sont donc limitées à des visionnages lors des jours de pluie ou à l’approche des petites vacances. Ces usages en eux-mêmes n’ont rien de répréhensibles (encore que certains visionnages collectifs mettent les enfants dans d’assez mauvaises conditions pour prendre plaisir à ces séances et mobiliser correctement leur attention) mais ils peuvent induire les familles en erreur sur les objectifs de l’introduction de la télévision à l’école (p. 115).

Pour elle, un réel travail sur la télévision participe de la lutte contre les inégalités sociales et culturelles, C’est pour cela qu’elle propose des activités liées à des projets pédagogiques :
Ces projets se justifient particulièrement lorsque l’école accueille des élèves dont la consommation télévisée est importante et où l’on constate un désinvestissement éducatif de la famille dans ce domaine.
Le projet d’école visera à aider les élèves et les familles à construire des repères, à adopter une attitude active, à maîtriser l’émotionnel engendré par les spectacles télévisés, à distinguer la réalité de la fiction, etc. (p. 131).

Car, selon elle, si tous les enfants ont l’expérience de la télévision [...] des clivages existent selon que cette expérience de la télévision est intégrée dans des perspectives éducatives et échanges intergénérations, ou qu’elle est simplement un décor de la vie domestique, plus ou moins envahissant (p. 5).

Ses propositions de travail s’ancrent dans un réel projet éducatif, pour elle il s’agit d’aborder très tôt l’éducation du jeune téléspectateur pour favoriser une meilleure maîtrise de ce moyen de culture. Cela permet d’éviter que beaucoup d’enfants ne s’enferment dans des attitudes purement récréatives vis-à-vis du petit écran et ne deviennent des consommateurs passifs et leurrés par les images. Cela les aidera à établir des liens entre leur culture, dominée par l’image, et celle de l’école, dominée par l’écrit (p. 6).

Ainsi, tout au long de l’ouvrage Maguy Chailley développe l’idée que la grande machine à images qu’est la télévision n’est donc pas une simple pourvoyeuse de choses à " voir ". Elle est proposition de sens à découvrir à travers et parce qu’elle donne à voir (p. 13) ; la télévision est ainsi une somme d’occasions pour travailler la lecture et l’analyse de l’image, les processus d’identification, de projection, le langage, les connaissances, la lecture, elle peut même être au cœur des projets d’école.

Or, cette utilisation de la télévision par l’école conduit à ce que j’appelle la " scolarisation " d’un objet social et de ses usages et, par là, nous entraîne vers d’importantes interrogations qui ne sont même pas entrevues dans ce livre. La télévision, objet scolaire, a-t-elle encore quelque chose à voir avec la télévision présente dans l’espace privé des familles ? (Tout comme le foot des cours de gym, ou la littérature des manuels ou le cinéma des projets scolaires, etc. ?) Je regrette qu’il n’y ait pas l’amorce d’une réflexion sur ces questions.

Il me semble que la télévision à l’école n’est, dans cet ouvrage, que l’occasion de développer une idée- force : faire passer l’enfant d’une perception liée uniquement à la sensibilité à une perception dominée par l’intelligence (p. 6).

Le travail de l’école serait bien d’éradiquer ou pour le moins de domestiquer ce que la télévision propose d’effrayant : la sensibilité, l’imaginaire, le plaisir, la passivité, le ludique, le gratuit, etc.
Face à la télévision l’école doit incarner les valeurs de la rationalité, les rappeler sans cesse. Le plaisir des sens, des images et des sons, de l’imaginaire ou des rêves que peut suggérer l’écran, n’a pas sa place dans le monde scolaire. Cet ensemble de plaisir doit s’ordonner au rationnel, à l’intellect.

Sans nier la nécessité de ce travail, n’y aurait-il pas un autre équilibre à trouver, à penser, à chercher ?

 

Télévision en maternelle 

Lorsque que l'on découvre un regard nouveau sur les enfants qui sont dans les écoles, on est d'abord surpris puis très intéressé. C'est le cas de "Parle petit, la télé t'écoute", cet ouvrage de Françoise Soury-Ligier consacré au rôle de la télévision dans le langage des jeunes enfants à l'école maternelle. Cet ouvrage basé sur des travaux de recherche est particulièrement abordable et met en évidence des situations de classe vécues et illustratives de l'importance que peut prendre la télévision dans l'école. En effet force est de constater qu'avant cinq ans, les enfants ont déjà vu très souvent la télévision et qu'ils ont déjà emmagasiné des heures et des heures d'images. Comment ne pas imaginer, comme le fait l'auteur que plutôt que de s'en abstraire, il conviendrait plutôt d'en profiter pour créer des situations "authentiques" de pratiques langagières. Introduire la télévision dans la classe maternelle pourrait alors être un levier important pour aider les enfants à comprendre les mondes qui les entourent.

Le mérite de ce travail est donc de se pencher, à la suite d'autre chercheurs comme Maguy Chailley, Geneviève Jacquinot ou Dominique Pasquier, sur la télévision grande oubliée de l'éducation prise entre le 7è art très souvent "béatifié" et le multimédia en ligne sur Internet. De plus en s'intéressant aux enfants de maternelle, l'auteur nous invite à réfléchir au quotidien sur ce que l'on peut faire "de" et non pas "contre" la télévision et sa force symbolique. La mise à distance de la télévision peut aussi être considérée comme un acte coupable, dans le sens où il interdit aux enfants d'accéder à des temps de lecture collective critique de celle-ci : et c'est dans ces travaux que l'on voit qu'il est temps que l'école y réfléchisse

Bruno Devauchelle
Cepec

- "Parle petit, la télé t'écoute" de Françoise Soury-Ligier, L'Harmattan 2002.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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Membre, 73ans Posté(e)
Morfou Membre 57 476 messages
Maitre des forums‚ 73ans‚
Posté(e)

Par Caroline Lumet Le 18 novembre 2018

 

Plus de doute possible : l'abus d'écran fait des ravages chez les enfants. Alors quand l'école allume à son tour la télé, les parents s'inquiètent.

Ema, nez en trompette, grands yeux noisette et un tas de mèches folles, vient tout juste de souffler sa troisième bougie. Pour son anniversaire, ses parents lui ont réservé un cadeau un peu spécial : son premier dessin animé. Mathilde et Jean ont choisi "une valeur sûre : Les Aristochats, sourient-ils. Quand Ema est née, en 2015, chaque semaine, une association de pédopsychiatres, une sommité des troubles autistiques ou le gouvernement prenait la parole sur les méfaits des écrans dans la petite enfance." Alors, Mathilde et Jean ont pris une décision : pas d'écran avant ses 3 ans. Le moins possible après. Mais à peine le film lancé, Ema s'agace : "J'ai vu déjà maman, à l'école." La petite fille raconte avoir également visionné Ratatouille, des épisodes de Pat Patrouille et une autre série animée que ses parents ne connaissent pas.

 

Dubitative, Mathilde téléphone à une amie, institutrice dans l'établissement de sa fille. Malaise au bout du fil : "Oui, c'est le cas chez les élèves de maternelle. En élémentaire, on se mobilise pour aider les animateurs qui encadrent le temps périscolaire pour faire cesser ça. Mais oui, chez les petits, ça arrive souvent. C'est même systématique pour les récréations pluvieuses." Mathilde et Jean se sentent "trahis, par l'institution en plus". Ils ne sont pas les seuls. En l'espace de quelques jours, près d'une centaine de parents ont confié des témoignages similaires à Grazia. Ils vivent à Aix-en-Provence, Bagneux (Hauts-de-Seine), Bordeaux, Lambersart (Nord) ou encore Nantes, Paris, Rognac (Bouches-du-Rhône), Strasbourg...

"Ce n'est pas du calme, c'est de l'hypnose"

Dans le Nord, à Douai, Elisa se définit comme magicienne. Même si son contrat de travail la désigne comme "animatrice et surveillante de cantine" . Elle est capable d'imposer le calme à soixante élèves de 3 à 5 ans. Sa baguette magique ? Un rétroprojecteur. "Quand il pleut, si un enfant glisse dans la cour et se blesse, on peut être tenus pour responsables, fait-elle remarquer. Là, ils restent au chaud et profitent d'un temps calme." Des propos qui font bondir Sabine Duflo, psychologue et auteure de Quand les écrans deviennent neurotoxiques (Marabout) : "Ce n'est pas du calme, c'est de l'hypnose. Le petit enfant est scotché par les effets formels des dessins animés : enchaînement ultrarapide des plans, zooms, effets stroboscopiques... L'enfant est prisonnier de l'image."

Professeure en moyenne section dans l'école où travaille Elisa, Claire regrette ce recours à la télévision-nounou : "Quand vous coupez l'écran, ils sont grognons, râlent. Et au retour en classe l'excitation est à son maximum." Et pour cause : "L'enfant est un imitateur. Vous passez Kung Fu Panda, vous avez trente Kung Fu Panda en classe. Et comme la plupart des contenus sont a minima excitants, voire agressifs...", explique Sabine Duflo. "Le problème se situe bien souvent sur le temps du déjeuner. Les employés de mairie sont parfois dépassés par l'excitation des gamins, ont du mal à les tenir dans une salle. Après trois chansons et quelques jeux calmes, ils vont sortir la télé et mettre un DVD", déplore Noémie, enseignante dans le Sud.

"On est clairement en train de perdre la bataille contre la sédentarité"

Dans les textes, pendant le temps de la pause méridienne et celui de garderie et d'étude surveillée, l'institution scolaire ne peut être tenue pour responsable de la surveillance des enfants. Les personnels encadrants peuvent certes être les enseignants de l'école (ils interviennent alors sous couvert d'une convention avec la commune), mais le plus souvent il s'agit d'animateurs engagés par la collectivité territoriale. Et non par l'Education nationale. Joint par Grazia, le ministère souligne par mail que parmi les activités que les écoles aménagent pendant les temps de récré, "le visionnage d'un extrait de films est possible", mais qu'il est question "d'une activité courte, non imposée, non systématique et liée aux intempéries". Quid du périscolaire, ces longues plages horaires à midi et en fin de journée ?

"Il faut absolument mettre l'accent sur les activités périscolaires, mieux les penser, les organiser. L'école est censée être un exemple, en classe, dans la cour de récré comme à la garderie", milite Agathe Lecaron, la présentatrice de l'émission Les Maternelles, qui vient de sortir un livre d'activités à partager avec les enfants (1). "Temps scolaire, périscolaire, qu'importe : à la fin de la journée seul le bilan du temps assis, prostré devant un écran, passif, compte. On avait déjà des problèmes avec les pré-ados qui ne se dépensent plus. Si ça gagne l'enfance, on est clairement en train de perdre la bataille contre la sédentarité", met en garde François-Marie Caron, ancien président de l'Association française de pédiatrie ambulatoire. Les dernières directives sanitaires préconisent au moins 180 minutes d'activités physiques variées réparties au cours de la journée, dont au moins 60 de jeu énergique. Un temps sans cesse rogné par les écrans. Au point que le Dr Caron craint de voir la France contaminée par la même épidémie que le Royaume-Uni : outre-Manche, trois enfants sur quatre passent moins de temps dehors... qu'un prisonnier en promenade.

(1) Maman, papa on joue à quoi ?! d'Agathe Lecaron et Sylvia Gabet (JC Lattès, 160 pages).

----------------

Je pense que beaucoup de parents ignorent totalement ce que font leurs petits à la maternelle...
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Membre, 73ans Posté(e)
Morfou Membre 57 476 messages
Maitre des forums‚ 73ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, Atipique a dit :

Dans certaines écoles, les gosses utilisent des tablettes à la place de cahiers, exactement comme on utilisait des ardoises au XIXème siècle.
J'ai mes doutes sur ce genre de méthode, c'est en Corée je crois.

En France...entre le tableau numérique, les tablettes...

https://www.lexpress.fr/education/numerique-les-ordinateurs-et-des-tablettes-a-l-ecole-un-choix-irrationnel_1823580.html

Rentrée 2016!

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Membre, 59ans Posté(e)
eriu Membre 8 806 messages
Maitre des forums‚ 59ans‚
Posté(e)
Il y a 10 heures, riad** a dit :

À la place des smartphones et des tablettes, j'ai acheté des ordinateurs de petite taille (Notebook), chacun a son ordinateur en plus ils sont tous sans batterie, comme ça la mobilité est réduite, on ne peut pas les utiliser à table ou dans les chiottes, du coup on a les avantages de l'internet sans les inconvénients des smartphones.
 

Bonjour Riad , les passants !

Les chiottes , à table ..c'est vrai que pour beaucoup c'est quelque chose de normal , certains lisent après tout :) un peu surprise mais bon ..sinon , comme tous le disent c'est le temps passé etc ..mais @Morfou a mit des liens pas mal , à voir ..

Ce que je remarque , à mon niveau , avec les ados , c'est leur difficultés à sortir de leur jeux vidéos , séries etc ..dès que qu'on leur parle d'imaginaire . Beaucoup sont dans la difficulté à imaginer une histoire ..ils se réfèrent systématiquement à la télé où tout ce qu'ils voient ..alors que pour ceux qui sont davantage lecteur de livres , ils y arrivent plus aisément et surtout comprennent l'imaginaire là ou d'autre ont réellement du mal à le concevoir ..bonne journée ici :) 

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Membre, 152ans Posté(e)
chanou 34 Membre 23 784 messages
Maitre des forums‚ 152ans‚
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De toutes les façons, on a un laboratoire en temps réel, là..on verra bien ce que donnera cette consommation d'écrans et de contenus  sur la génération qui a moins de 10 ans aujourd'hui...à long terme. Ce n’est pas sur 5 ou 10 ans qu'on peut juger.

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Invité riad**
Invités, Posté(e)
Invité riad**
Invité riad** Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 3 heures, eriu a dit :

Bonjour Riad , les passants !

Les chiottes , à table ..c'est vrai que pour beaucoup c'est quelque chose de normal , certains lisent après tout :) un peu surprise mais bon ..sinon , comme tous le disent c'est le temps passé etc ..mais @Morfou

 a mit des liens pas mal , à voir ..

 

Ce que je remarque , à mon niveau , avec les ados , c'est leur difficultés à sortir de leur jeux vidéos , séries etc ..dès que qu'on leur parle d'imaginaire . Beaucoup sont dans la difficulté à imaginer une histoire ..ils se réfèrent systématiquement à la télé où tout ce qu'ils voient ..alors que pour ceux qui sont davantage lecteur de livres , ils y arrivent plus aisément et surtout comprennent l'imaginaire là ou d'autre ont réellement du mal à le concevoir ..bonne journée ici :) 

 :hum::):bo:    (Désolé j'ai pas encore pris mon café, je peux parler, j'utilise la langue des signes et les smileys, jusqu'à ce que mon cerveau sera fonctionnel)
 

https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/cerveau-smartphones-empechent-notre-cerveau-comprendre-sciences-77234/

Les chercheurs soulignent malgré tout que des travaux supplémentaires devront être menés pour établir un lien de cause à effet. Cependant, ces travaux pourraient dès à présent avoir des implications pour l'éducation. « À l'heure actuelle, nous n'avons en effet que peu de connaissances sur la manière dont le cerveau d'un collégien réagit face à des concepts scientifiques fondamentaux », conclut Ping Li.

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Invité LaeticiaM
Invités, Posté(e)
Invité LaeticiaM
Invité LaeticiaM Invités 0 message
Posté(e)

Salut,

Je dirais que tout ce qu’on consomme en excès a forcément des conséquences. Un enfant qui est exposé à un écran durant des heures et qui visionne toute sorte d’émission, cela aura des effets négatifs sur lui. Il ne faut toutefois pas le priver de télé, mais limiter simplement le temps de visionnage. Comme le précise le scientifique, des jeux éducatifs aideraient un enfant à se développer.

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Membre, Voyageur, 69ans Posté(e)
Plouj Membre 106 503 messages
69ans‚ Voyageur,
Posté(e)

Hop ! en passant.

Confier une tablette à son enfant, ça peut être très tentant. Ça ne coûte pas grand chose, ça libère du temps, ça occupe le gamin et, parfois même, ça facilite les repas. Seulement voilà, ce petit geste anodin peut très vite devenir un piège.

À l’inverse, l’abandon des écrans permet à l’enfant de redécouvrir ses sens, de se raccrocher au réel et de retrouver le sourire. De plus, ça le réhabitue à l’ennui, condition indispensable à l’épanouissement de son imagination. Reste, en tant que parent, à montrer l’exemple…

https://positivr.fr/les-ecrans-chez-les-enfants-attention-danger-un-spot-limpide-et-essentiel-video/

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  • 2 mois après...
Invité riad**
Invités, Posté(e)
Invité riad**
Invité riad** Invités 0 message
Posté(e)

Maintenant on parle des écrans qui détruisent littéralement le cerveau :

https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/enfant-ecrans-detruisent-ils-cerveau-nos-enfants-44207/

C'est bizarre parce que j'ai l'impression que le cerveau de ma fille est encore intact, elle risque même de me dépasser, parce que à chaque fois que j'essaye de lui apprendre un truc nouveau, je trouve qu'elle le connaisse déjà, quand je lui demande : "ou t'as appris ça?", elle me répond :"mooc" ou "charlotte aux fraises".

Elle parle couramment en français, pas seulement grâce à moi mais aussi grâce à Peppa Pig et Le royaume de Ben et Holly.

C'est vrai qu'elle un peu de retard scolaire mais ça place je serai dans la même situation, parce que le programme scolaire du néolithique ne convient plus à des enfants éveillés depuis l'âge de deux ans
 

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Membre, Voyageur, 69ans Posté(e)
Plouj Membre 106 503 messages
69ans‚ Voyageur,
Posté(e)
il y a une heure, riad** a dit :

Maintenant on parle des écrans qui détruisent littéralement le cerveau :

https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/enfant-ecrans-detruisent-ils-cerveau-nos-enfants-44207/

C'est bizarre parce que j'ai l'impression que le cerveau de ma fille est encore intact, elle risque même de me dépasser, parce que à chaque fois que j'essaye de lui apprendre un truc nouveau, je trouve qu'elle le connaisse déjà, quand je lui demande : "ou t'as appris ça?", elle me répond :"mooc" ou "charlotte aux fraises".

Elle parle couramment en français, pas seulement grâce à moi mais aussi grâce à Peppa Pig et Le royaume de Ben et Holly.

C'est vrai qu'elle un peu de retard scolaire mais ça place je serai dans la même situation, parce que le programme scolaire du néolithique ne convient plus à des enfants éveillés depuis l'âge de deux ans
 

J'ai surtout remarqué et mon pote ophtalmo aussi que la majorité des utilisateurs d'écran, clignaient beaucoup moins des yeux, donc humidifiaient moins et asséchaient les yeux ( syndrome de l'œil sec ).

Quelle répercussion à long terme ?

Le syndrome des yeux secs est une maladie chronique qui touche un grand nombre de personnes et qui, heureusement, peut le plus souvent être contrôlé par des mesures simples.

Lorsque les larmes artificielles ne sont plus suffisantes, il ne faut pas se décourager puisqu’il existe plusieurs autres options et que l’ophtalmologie progresse beaucoup en ce domaine.

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  • 10 mois après...
Membre, 59ans Posté(e)
eriu Membre 8 806 messages
Maitre des forums‚ 59ans‚
Posté(e)
Le 20/08/2019 à 08:25, chanou 34 a dit :

De toutes les façons, on a un laboratoire en temps réel, là..on verra bien ce que donnera cette consommation d'écrans et de contenus  sur la génération qui a moins de 10 ans aujourd'hui...à long terme. Ce n’est pas sur 5 ou 10 ans qu'on peut juger.

20 ans :( nous sommes loin de voir les dégâts , on commence à les percevoir .. 

 

 

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