Le burn-out reconnu comme maladie par l’OMS

à l’instant, January a dit :

C'est pas le problème les heures et la pénibilité. Et on joue pas à celle qui aura la plus grosse puisqu'on n'en a pas. J'ai empilé des heures et fière de le faire, parce que personne ne m'a jamais traitée comme une merde. Au pire il y en a un qui a essayé, il a regretté. Mais aujourd'hui, le boulot est plus difficile à trouver et à garder, et il y a des saloperies qui n'hésite pas à briser des gens. Morfou ne comprend pas elle comprend pas, c'est tout. 

Morfou n'a jamais affirmé que cela n'existait pas...

il y a 2 minutes, Paul hochon a dit :

Le burn out n'est pas toujours lié au travail en lui même

Le burn out si. Jusqu'au suicide non. J'ai toujours dit qu'il y avait des cause multifactorielles à un suicide, mais ces cas précis, aujourd'hui je le sais : la racine ou ce qui te termine, c'est le travail.

à l’instant, doug1991 a dit :

Generalement les gens qui prétendent être des travailleurs indispensable sont des vrais boulets pour les autres. J'ai connus ca souvent.

Vous avez lu ça où?

il y a 3 minutes, Paul hochon a dit :

Le burn out n'est pas toujours lié au travail en lui même, il peut découler aussi d'un facteur extérieur qui malheureusement s'invite au travail, la perte d'un proche , un divorce, un surendettement de fou.

Si tu exerces une activité ou la pression est forte et que la hiérarchie n'a que faire de tes états d’âmes parce que le chiffre n'est pas au rendez vous, que tu es à la traîne dans tes objectifs, prises de rdv, etc... 

Tu peux sombrer très vite même en étant très fort mentalement ( a priori ).

C'est exactement ce que Morfou refuse de comprendre. Il ne s'agit pas que de bosser comme un dingue. Mon exemple était pour expliquer que personne là où je travaille n'a jamais fait de burn out, parce qu'on travaille dans une ambiance sereine et des patrons humains.

La même chose avec des patrons qui te font la misère, qui sont constamment à te mettre la pression, à te dévaloriser, à te menacer, c'est la saturation assurée. 

il y a 1 minute, Morfou a dit :

Vous avez lu ça où?

J'ai connus, les vrai travailleurs s'en vantent pas, c'est dans leur tempérament.

J'en ai vu des gens qui prétendent faire tourner la boite à eu tout seul mais bizarrement c'est quand ils étaient pas la que ca tournait le mieux.

à l’instant, titenath a dit :

C'est exactement ce que Morfou refuse de comprendre. Il ne s'agit pas que de bosser comme un dingue. Mon exemple était pour expliquer que personne là où je travaille n'a jamais fait de burn out, parce qu'on travaille dans une ambiance sereine et des patrons humains.

La même chose avec des patrons qui te font la misère, qui sont constamment à te mettre la pression, à te dévaloriser, à te menacer, c'est la saturation assurée. 

--------La même chose avec des patrons qui te font la misère, qui sont constamment à te mettre la pression, à te dévaloriser, à te menacer, c'est la saturation assurée. --------

Personne n'est obligé de supporter...

Et le bon vouloir du patron...

il y a 13 minutes, January a dit :

Le burn out si. Jusqu'au suicide non. J'ai toujours dit qu'il y avait des cause multifactorielles à un suicide, mais ces cas précis, aujourd'hui je le sais : la racine ou ce qui te termine, c'est le travail.

Perso j'en ai vu beaucoup qui encaissaient toutes sortes de pression, des heures de folie etc..

Mais chaque fois l'élément déclencheur du burn out c’était un facteur du privé qui fait que cela devenait insupportable au travail.

il y a 2 minutes, Morfou a dit :

Personne n'est obligé de supporter...

C'est là où tu te trompes. Parce que ton patron ne va pas te virer, il va faire en sorte que tu claques ta démission. Sauf que ces gens là souvent aiment leur travail et quand tu es le seul salaire du foyer que tu as un crédit ou un loyer et pas d'assurance d'un travail dans le mois, tu t'accroches en espérant que ça s'arrête. Si c'était si simple il n'y aurait pas autant de burn out voire de suicides. 

à l’instant, doug1991 a dit :

J'ai connus, les vrai travailleurs s'en vantent pas, c'est dans leur tempérament.

J'en ai vu des gens qui prétendent faire tourner la boite à eu tout seul mais bizarrement c'est quand ils étaient pas la que ca tournait le mieux.

Au cas où, je n'ai pas écrit que j'étais indispensable? mais que j'exerçais un travail où il était impossible qu'il y ait un manque...moi ou quelqu'un d'autre, il fallait obligatoirement une seconde personne...même légalement de toutes façons!

Quand vous n'êtes que deux à bosser, que les remplaçantes ne répondent pas aux coup de fil, vous ne pouvez décemment pas laisser la collègue seule au boulot...ça s'appelle la conscience professionnelle...et quand on connait tout le boulot que à abattre les nuits, il était humainement impossible de refuser!

Bonsoir, comme cela touche au coeur de mon métier qui regarde la vie d'entreprise, je ne peux qu'appuyer les descriptions de titenath et doug. Les prétentieux et les méprisants nuisent à un environnement de travail en sapant tout élan de valorisation d'autrui, tout en se surrestimant et en éprouvant des difficultés à s'intégrer dans l'entreprise. D'autant que la charge de travail n'est qu'un élément parmi bien d'autres, effectivement, dans le déclenchement du burn-out, où la confiance en soi, la reconnaissance, le stress ou encore l'intérêt des tâches effectuées, pèsent tout autant. Ce genre de personne, se plaisent à dénigrer et à se placer au-dessus, bien souvent pour faire oublier leurs propres manquements. Il s'agit d'un égocentrisme assez classique : moi je, donc les autres doivent. Malheureusement, la vie d'entreprise ne peut pas fonctionner ainsi, car nous sommes tous différents tout simplement.

il y a 10 minutes, titenath a dit :

C'est exactement ce que Morfou refuse de comprendre. Il ne s'agit pas que de bosser comme un dingue. Mon exemple était pour expliquer que personne là où je travaille n'a jamais fait de burn out, parce qu'on travaille dans une ambiance sereine et des patrons humains.

La même chose avec des patrons qui te font la misère, qui sont constamment à te mettre la pression, à te dévaloriser, à te menacer, c'est la saturation assurée. 

J'étais dans une boite ou un des commerciaux gênait, ils lui ont fait la misère pour qu'il se casse, il n'a pas flanché mais beaucoup a sa place aurait craqué moralement.  

il y a 3 minutes, Ink 82 a dit :

moi je, donc les autres doivent. Malheureusement, la vie d'entreprise ne peut pas fonctionner ainsi, car nous sommes tous différents tout simplement.

Les "moi je", dans la vie quotidienne c'est la même punition. C'est juste que comme le terrain est plus large, ça fait des dégâts moins rapidement.

il y a 15 minutes, Paul hochon a dit :

J'étais dans une boite ou un des commerciaux gênait, ils lui ont fait la misère pour qu'il se casse, il n'a pas flanché mais beaucoup a sa place aurait craqué moralement.  

Probablement parce que sa vie perso était stable, sinon il n'aurait pas pu tenir. 

S'il y a bien une chose qui semble actée dans ce topic, c'est bien la fin du code du travail sans que cela ne pose de problème à ceux qui savent si bien s'en servir. 

il y a 8 minutes, fx. a dit :

S'il y a bien une chose qui semble actée dans ce topic, c'est bien la fin du code du travail sans que cela ne pose de problème à ceux qui savent si bien s'en servir. 

En refusant d'évoluer le code du travail devient un poids pour de plus en plus de monde au lieu de protéger.

Il y a 5 heures, January a dit :

Non, je l'ai dit. "On" ce sont les employés. Ca m'étonnerait qu'il y ait des employés qui ne soient pas d'accord avec 

Je ne suis pas persuadée comme tu sembles l'être que le burn out se doit à tous prix d'être reconnu comme maladie professionnelle,

C'est une variante de la dépression certes liée au travail , mais induit par une fragilité et une pietre auto estime..

Le burn out touche des personnes en quète de reconnaissance .

Le travail doit se faire en amont .. probablement dès l'enfance .

Wow.... non, la saturation peut toucher tout le monde, même ceux qui ont évolué de façon harmonieuse. Comme l'a souligné @titenathun ensemble de facteurs accumulés peut faire dérailler la machine : un patron ou un supérieur harceleur, un job auquel on tient ou juste l'impossibilité de poser sa dem sans garantie d'un autre job tout de suite derrière.... franchement je n'aurais pas laissé une situation pourrir jusqu'à ma destruction, quitte à prendre un job alimentaire en attendant. Mais je comprends que tout le monde ne soit pas équipé pour. 

il y a 35 minutes, fx. a dit :

S'il y a bien une chose qui semble actée dans ce topic, c'est bien la fin du code du travail sans que cela ne pose de problème à ceux qui savent si bien s'en servir. 

Tu peux citer les points d'évolution avec lesquels tu n'es pas d'accord?

il y a 4 minutes, Out of Paprika a dit :

Tu peux citer les points d'évolution avec lesquels tu n'es pas d'accord?

Je ne pense pas que le rythme des cadres et sa libéralisation soit une "evolution" pour les "employés" de manière générale. 

il y a 18 minutes, fx. a dit :

Je ne pense pas que le rythme des cadres et sa libéralisation soit une "evolution" pour les "employés" de manière générale. 

C'est dans l'article? Sinon je suis d'accord, des écarts de plus en plus énormes se creusent entre les "grands" et les "moyens/petits" surtout dans les grandes entreprises. Le montant des primes, par exemple. 

LCI · Il y a 5 heures
Le burn-out n'est pas reconnu comme une maladie, annonce finalement l'OMS - LCI

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