La terreur des bac a sables

https://www.clicanoo.re/Faits-Divers/Article/2019/04/01/Saint-Joseph-9-ans-cest-la-terreur-de-lecole_572246

 Le 26 mars, lendemain de la rentrée, il brutalise Kevin dans les locaux de la cantine, et d'autres élèves sont obligés d'intervenir. Comble de l'incurie de l'Éducation nationale, les parents de la victime sont contactés par l'équipe pédagogique de l'école, pour venir rechercher Kévin à 13 h. Et il leur est demandé "de patienter six mois, le temps que Damien suive une psychothérapie et un rééquilibrage de son traitement médicamenteux". Un traitement que ses parents ne lui font pas respecter, puisque, selon eux, "tout va bien".  Comme les femmes violentées et martyrisées par leur conjoint, qui doivent abandonner le domicile partagé à leur bourreau, c'est donc à Kévin, la victime, de quitter l'école et d'être privé d'un enseignement pourtant obligatoire... Le personnel communal affecté à la cantine scolaire, excédé et révolté par le comportement violent de cet énergumène, a tiré la sonnette d'alarme. D'autant que l'Éducation nationale s'est clairement dégagée de toute responsabilité en ce qui concerne les incidents survenus à la cantine scolaire : la cantine c'est l'affaire de la commune. "Les sanctions ne fonctionnent pas"

 En fin de semaine dernière, la situation a évolué. Le maire, Patrick Lebreton, a décidé d'affecter un personnel communal supplémentaire, spécialement chargé de surveiller et canaliser la violence de Damien, considéré comme "hyper-actif". Les parents de Kévin attendent et exigent ( à juste titre) une action plus pérenne. "C'est un enfant qui a des troubles du comportement, reconnaît-on du côté de l'inspection primaire, à propos de Damien. La procédure pour trouver une solution d'accompagnement ou de placement est un peu longue". Un propos qui ne rassure pas les parents de l'enfant, faisant suite aux écrits que leur a adressés le directeur : "Je comprends votre colère, elle est partagée par l'équipe de l'école. Notre hiérarchie est au courant, mais pour le moment, nous n'avons pas trouvé de solutions efficaces. Les sanctions ne fonctionnent pas et notre rayon d'action est forcément limité".

 Quel aveu d'impuissance qui conforte le "petit caïd" dans ses agissements !  Les parents de Kévin ne sauraient se satisfaire de ces atermoiements. "Le directeur de l'école admet qu'il y a un problème, confie la maman de Kévin. L'état psychologique de mon fils de 9 ans et demi, se détériore. Il fait des insomnies, il a une boule au ventre et il a peur d'aller à l'école".  Pour l'instant, c'est Kévin qui vit une scolarité inadmissible et chaotique.

 Jean-Noël Fortier

Mais naître Kevin, ce n'est pas seulement subir les mesquineries et les remarques désobligeantes de son entourage...

La malédiction des Kevin

On en parle sur un autre topic.

Que ce soit Damien ou Kévin franchement : pauvres gamins. 

Et personne ne pense à alerter l'ASE ? 

"le temps que Damien suive une psychothérapie et un rééquilibrage de son traitement médicamenteux". Un traitement que ses parents ne lui font pas respecter, puisque, selon eux, "tout va bien". "

Il y a 2 heures, January a dit :

Que ce soit Damien ou Kévin franchement : pauvres gamins. 

Et personne ne pense à alerter l'ASE ? 

"le temps que Damien suive une psychothérapie et un rééquilibrage de son traitement médicamenteux". Un traitement que ses parents ne lui font pas respecter, puisque, selon eux, "tout va bien". "

 

Damien n'est pas un "pauvre gamin", c'est une petite brute.

il y a 7 minutes, Gouderien a dit :

Damien n'est pas un "pauvre gamin", c'est une petite brute.

Si, c'est un pauvre gamin que ses parents ne soignent pas, et en faisant ça, le gamin deviendra de plus en plus violent devant le rejet des autres et un jour il y aura un drame. Il est diagnostiqué TDAH, il doit prendre un traitement, c'est clair.

Doublon: https://www.forumfr.com/sujet847727-le-harcèlement-scolaire.html