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tristesse/joie - pessimiste/optimiste


shyiro

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Invité Quasi-Modo
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Invité Quasi-Modo
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à l’instant, shyiro a dit :

Mais l'amour peut aussi apporter beaucoup de douleur : la perte d'un etre que vous aimez beaucoup peut vous faire perdre le gout de vivre ... Alors est-ce que l'amour vaut le coup ? 

J'ai hésité à faire une réponse dans le genre moi aussi : c'est vrai que rien n'est plus destructeur et nuisible à la joie de vivre que de tomber sur quelqu'un de mauvais pour soi dans son couple. Il y a des gens qui passent à côté de leur vie (j'en ai connu) parce qu'ils sont tombés sur la/les mauvaises personnes en amour.

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
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Et puis des gens qui sont vraiment prêts à aimer la même personne toute une vie, il faut avouer qu'il n'y en a pas des masses.

Tout dépend du bois dont chacun est fait : moi je sais que j'en suis capable. Mais d'autres clairement non.

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Animatrice, Dindasse prête à servir !!! V.I.Pintade, 46ans Posté(e)
titenath Animatrice 43 030 messages
46ans‚ Dindasse prête à servir !!! V.I.Pintade,
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Le Thu Mar 21 2019 à 18:21, shyiro a dit :

Pensez-vous qu'il y a des gens qui n'ont jamais connu de moment de forte tristesse dans leur vie ? 

 

Jusqu'à ce jour peut être, mais ils en connaîtront forcément dans leur vie à un moment ou à un autre. 

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shyiro Membre 15 609 messages
Maitre des forums‚
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il y a 34 minutes, Quasi-Modo a dit :

Les anglais ont même un proverbe pour ça ; ils disent "life's a bitch, one day you die." ou encore "la vie est une salope, un jour tout le monde meurt."

et surtout tant d'efforts à faire pour vivre et puis on meurt avec souvent de la douleur avant de trepasser ... 

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Membre, Beluga-Pangolin, Posté(e)
BELUGA Membre 15 220 messages
Beluga-Pangolin,
Posté(e)
il y a une heure, Quasi-Modo a dit :

C'est pourtant un constat empirique qui n'a rien à voir avec mon amour de la vie : nous nous usons aussi sûrement que n'importe quelle paire de chaussette ou que n'importe quel objet. La façon dont la vie nous détruira dépend grandement de la façon dont on vit. Les anglais ont même un proverbe pour ça ; ils disent "life's a bitch, one day you die." ou encore "la vie est une salope, un jour tout le monde meurt."

oui, je somprends mieux comme ça, et je suis tout à fait d'accord (excuses); 

mais il ne faut pas s'arrêter à cette usure: ne pas y penser.

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Membre, Posté(e)
shyiro Membre 15 609 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 13 heures, soisig a dit :

Je pense que c'est aussi une question de personnalité et de vécu. Ma grand-mère était souvent épatée de voir les gens se plaindre souvent pour rien, d'être toujours fatigués ... Elle était née lors de la première guerre mondiale, avait trois enfants lors de la seconde et n'a pas revu son mari pendant 5 années, dont deux sans aucune nouvelle. Elle a connu la peur, la faim, le froid, la mort de son père, sa mère et son frère, en l'espace de deux mois ... Elle a perdu 4 enfants en bas âge.

Il est donc clair que pour elle, la notion de grand malheur n'avait pas la même hauteur que celle d'une personne de ma génération qui n'a jamais connu la guerre, la faim ou même la peur de mourir.   

Moi meme j'ai eu une vie bien difficile, je suis arrivé à m'en etre sorti honorablement selon un certains nb de criteres ... et pourtant meme actuellement quand je me trouve confronté à une petite difficulté ou petite deception, ça peut me plomber profondement le moral de devoir les surmonter meme si je suis conscient que ce ne sont que de petites difficultés par rapport aux grosses difficultés que j'avais connus ... On peut dire qu'à cause d'un "trop plein de grosses difficultés connues et pourtant surmontées", j'ai du mal à devoir faire face à toutes nouvelles difficultés meme toutes petites ... 

 

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 9 heures, BELUGA a dit :

oui, je somprends mieux comme ça, et je suis tout à fait d'accord (excuses); 

mais il ne faut pas s'arrêter à cette usure: ne pas y penser.

Pas de soucis, je comprends ton points de vue.

Disons qu'il y a deux écoles : une qui prétend qu'il vaut mieux vivre sans penser à la mort, une autre qui prétend qu'il vaut mieux l'envisager pour mieux vivre l'instant présent.

La mort provoque vraiment quand on l'évoque des réactions différentes selon les personnes, réactions qui vont de la peur panique à la fascination.

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 10 heures, shyiro a dit :

et surtout tant d'efforts à faire pour vivre et puis on meurt avec souvent de la douleur avant de trepasser ... 

Oui les efforts sont monstrueux à fournir chaque jour ne serait-ce que pour avoir une vie dite normale. Et au final que restera-t-il de nous ? Peut-on penser laisser une trace si tout s'écoule, tout s'use, tout se brise et disparaît dans le néant dont il est venu ?

La seule chose éternelle dans une perspective matérialiste ce sont les éléments de matière qui composent nos cellules, qui elles mêmes ne sont qu'un mélange complexe d'atomes et de molécules assemblées temporairement, qui participeront au grand recyclage de l'univers pour se décomposer et recomposer d'autres objets ou organismes plus tard.

Il est remarquable cependant que toute philosophie de la connaissance, à moins d'éluder la question et éviter d'y répondre, suppose quelque part l'éternité de certains objets, soient les atomes ou les quarks dans une perspective matérialiste pure et dure.

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Membre, 130ans Posté(e)
soisig Membre 29 641 messages
130ans‚
Posté(e)

Je pense que c'est aussi lié à la personnalité. Nous ne sommes pas tous dotés de la même dose naturelle de pessimisme ou d'optimisme. Vous parlez de la mort, je n'y pense jamais. Quand vous achetez une nouvelle voiture, en profitez vous à fond en vous disant qu'un jour elle ira à la casse, ou vous en servez vous, tout simplement ?

Pour moi la vie c'est pareil. J'en profite, je fais des projets, j'ai la chance d'avoir su "survivre" à mes drames, qui sont maintenant derrière. L'avenir, je le vois forcément beau. Puisque je ne le connais pas, pourquoi l'appréhender ? Je me dis que j'ai de la chance d'être née en France et d'être libre de rêver. Comme tout le monde, j'ai mes déceptions, mes contrariétés, mes tristesses, mais bon, ça passe. 

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Membre, Talon 1, 78ans Posté(e)
Talon 1 Membre 22 896 messages
78ans‚ Talon 1,
Posté(e)
Il y a 14 heures, Vintage a dit :

Tu oublies le besoin d'amour.

C'est un besoin naturel mais pas indispensable. On peut vivre sans lui.

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Membre, Beluga-Pangolin, Posté(e)
BELUGA Membre 15 220 messages
Beluga-Pangolin,
Posté(e)
Il y a 4 heures, Quasi-Modo a dit :

Disons qu'il y a deux écoles : une qui prétend qu'il vaut mieux vivre sans penser à la mort, une autre qui prétend qu'il vaut mieux l'envisager pour mieux vivre l'instant présent.

La mort provoque vraiment quand on l'évoque des réactions différentes selon les personnes, réactions qui vont de la peur panique à la fascination.

J'ai longtemps paniqué à l'idée de la mort; puis, à force de voir des proches disparaître (hélas plus on vieillit plus on en voit partir), je me suis calmé: je me dis que finalement, tout s'arrête un jour, certes, mais  qu"il faut donc en profiter, ce que je fais, et se préparer, ce que je fais aussi avec le plus de sérénité possible. J'ai compris que ce ne n'est pas de mourir qui me fait le plus peur, c'est de laisser les miens.. Alors je me dis que , après, je retrouverai peut être ceux qui sont déjà partis, et qui me manquent.

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Membre, Posté(e)
shyiro Membre 15 609 messages
Maitre des forums‚
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Il y a 2 heures, soisig a dit :

Je pense que c'est aussi lié à la personnalité. Nous ne sommes pas tous dotés de la même dose naturelle de pessimisme ou d'optimisme.

- Vous parlez de la mort, je n'y pense jamais. Quand vous achetez une nouvelle voiture, en profitez vous à fond en vous disant qu'un jour elle ira à la casse, ou vous en servez vous, tout simplement ?

Pour moi la vie c'est pareil. J'en profite, je fais des projets, j'ai la chance d'avoir su "survivre" à mes drames, qui sont maintenant derrière.

- L'avenir, je le vois forcément beau. Puisque je ne le connais pas, pourquoi l'appréhender ? Je me dis que j'ai de la chance d'être née en France et d'être libre de rêver. Comme tout le monde, j'ai mes déceptions, mes contrariétés, mes tristesses, mais bon, ça passe. 

- Personnellement ce n'est pas la mort en elle meme qui me derange le plus (la mort inevitable rend juste insensée tous les efforts à faire pour vivre), mais plus grave est la vieillesse-maladie-accident handicapant dependante d'autrui ... Au contraire, je pense que si j'ai la possibilité à tout moment de mettre fin facilement à ma vie sans douleur le jour où je ne souhaite plus du tout vivre, cela pourrait me permettre de vivre pleinement ma vie sans se soucier des possibles grands malheurs ... 

- Vous avez l'air d'avoir un certains age, non ? c'est etonnant de penser que l'avenir ne peut etre que beau ...

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Membre, Posté(e)
shyiro Membre 15 609 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 5 heures, Quasi-Modo a dit :

Disons qu'il y a deux écoles : une qui prétend qu'il vaut mieux vivre sans penser à la mort, une autre qui prétend qu'il vaut mieux l'envisager pour mieux vivre l'instant présent.

La mort provoque vraiment quand on l'évoque des réactions différentes selon les personnes, réactions qui vont de la peur panique à la fascination.

Bien dit, il y a vraiment ces 2 types de pensées opposées face à la mort qui est pourtant bel et bien inevitable un jour ou l'autre.

Personnellement je suis dans la 2e categorie, càd de ceux qui pensent qu'il vaut mieux l'envisager pour mieux vivre l'instant présent. Je deteste subir. Je veux decider quand je ne veux plus vivre (soit le moment où je suis lassé de vivre, et surtout lors de la vieillesse-maladie-accident handicapant). Donc je pense que si j'ai la possibilité de decider de mettre fin facilement à ma vie quand je le veux, cela me donnera plus de punch pour vivre pleinement ma vie. 

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 3 heures, soisig a dit :

Je pense que c'est aussi lié à la personnalité. Nous ne sommes pas tous dotés de la même dose naturelle de pessimisme ou d'optimisme. Vous parlez de la mort, je n'y pense jamais. Quand vous achetez une nouvelle voiture, en profitez vous à fond en vous disant qu'un jour elle ira à la casse, ou vous en servez vous, tout simplement ? 

Pour moi la vie c'est pareil. J'en profite, je fais des projets, j'ai la chance d'avoir su "survivre" à mes drames, qui sont maintenant derrière. L'avenir, je le vois forcément beau. Puisque je ne le connais pas, pourquoi l'appréhender ? Je me dis que j'ai de la chance d'être née en France et d'être libre de rêver. Comme tout le monde, j'ai mes déceptions, mes contrariétés, mes tristesses, mais bon, ça passe. 

Pourtant même si je parle de la mort ici, je suis d'un naturel enthousiaste. Si bien que parfois quand je prends du recul je me demande comment je fais pour prendre positivement à priori des événements dont je me doutais qu'ils se dérouleraient difficilement : le goût du défi peut-être, chaque jour en étant un à relever.

Penser à la mort je pense que ça a surtout l'intérêt d'apprendre à être plus indépendant, d'être plus dans le détachement et la préparation psychologique au pire. Finalement peut-être qu'on ne profite jamais mieux que de ce dont on peut se passer. Epictète (sage stoïcien et esclave) écrivait dans son manuel qu'il fallait se remémorer la nature des choses : ainsi il préconisait d'embrasser son enfant ou sa femme en se disant "C'est un être humain que j'embrasse", de façon à n'être points troublé le jour de sa disparition.

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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
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il y a 16 minutes, shyiro a dit :

Bien dit, il y a vraiment ces 2 types de pensées opposées face à la mort qui est pourtant bel et bien inevitable un jour ou l'autre.

Personnellement je suis dans la 2e categorie, càd de ceux qui pensent qu'il vaut mieux l'envisager pour mieux vivre l'instant présent. Je deteste subir. Je veux decider quand je ne veux plus vivre (soit le moment où je suis lassé de vivre, et surtout lors de la vieillesse-maladie-accident handicapant). Donc je pense que si j'ai la possibilité de decider de mettre fin facilement à ma vie quand je le veux, cela me donnera plus de punch pour vivre pleinement ma vie.  

Tu dois bien aimer Cioran (si tu ne connais pas déjà) :D

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shyiro Membre 15 609 messages
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il y a 12 minutes, Quasi-Modo a dit :

Tu dois bien aimer Cioran (si tu ne connais pas déjà) :D

connais pas ... mais je sais que je ne suis surement pas le seul à penser ainsi ... :smile2: 

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Invité Quasi-Modo
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Invité Quasi-Modo
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Posté(e)
il y a une heure, BELUGA a dit :

J'ai longtemps paniqué à l'idée de la mort; puis, à force de voir des proches disparaître (hélas plus on vieillit plus on en voit partir), je me suis calmé: je me dis que finalement, tout s'arrête un jour, certes, mais  qu"il faut donc en profiter, ce que je fais, et se préparer, ce que je fais aussi avec le plus de sérénité possible. J'ai compris que ce ne n'est pas de mourir qui me fait le plus peur, c'est de laisser les miens.. Alors je me dis que , après, je retrouverai peut être ceux qui sont déjà partis, et qui me manquent.

Oui, c'est tout à fait normal d'avoir peur de laisser les siens. Surtout s'ils sont dans la difficulté. C'est pourquoi d'ailleurs la meilleure façon de mourir c'est peut-être de mourir seul et démuni. Penser à la mort c'est à ça que ça devrait servir : se détacher du superficiel, et diminuer le nombre de liens qui nous relient à ce monde, comme on se meut plus facilement lorsqu'on enlève tous les liens plus ou moins serrés qui nous enserrent. En fait c'est une stratégie défensive/préventive, alors qu'éviter d'y penser et vouloir se jeter dans l'arène du quotidien pour en profiter c'est plus une stratégie offensive.

il y a 17 minutes, shyiro a dit :

connais pas ... mais je sais que je ne suis surement pas le seul à penser ainsi ... :smile2: 


 

Citation

 

Emil Cioran, né dans les Carpates, en Roumanie, ressent très tôt le besoin de coucher ses pensées sur le papier. Le penseur va faire du désespoir le centre de sa réflexion philosophique. À ses yeux, le suicide apparaît comme un moyen de supporter le caractère absurde de l’existence.

[...]

Cioran n’acceptera que pleinement la vie et la condition qu’elle suppose le jour où il envisagera la possibilité du suicideL’éventualité de mettre fin à ses jours devient le seul moyen de consentir à la vie : « Sans cette idée je n’aurais pas pu supporter la vie ». « Nous avons perdu en naissant autant que nous perdrons en mourant », écrit-il aussi en 1973 dans De l’inconvénient d’être né.  Le trépas, source infinie d’angoisse, devient paradoxalement le remède. Ce n’est plus la mort en tant que telle, mais la liberté de se la donner qui constitue un soulagement et rend notre condition tolérable. Le suicide est un « recours » réconfortant dans la mesure où il confère un véritable pouvoir à l’individu, celui de contrôler l’incontrôlable, à savoir le jour et les conditions de sa mort

 

 

https://philitt.fr/2015/03/20/cioran-triompher-de-la-vie-par-la-mort/

 

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Membre, 130ans Posté(e)
soisig Membre 29 641 messages
130ans‚
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il y a une heure, shyiro a dit :

- Personnellement ce n'est pas la mort en elle meme qui me derange le plus (la mort inevitable rend juste insensée tous les efforts à faire pour vivre), mais plus grave est la vieillesse-maladie-accident handicapant dependante d'autrui ...

Que fais tu comme efforts pour vivre ? nous ne sommes pas à une époque et dans un pays où nous devons nous battre pour rester en vie. De plus, nos vies sont toutes utiles, car tout ce dont nous jouissons maintenant est le résultat d'évolutions engendrées par les vies précédentes. 

Pour ce qui est de la vieillesse, maladie, accident, pourquoi pleurer avant d'avoir mal ? 

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Membre, Posté(e)
shyiro Membre 15 609 messages
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il y a 38 minutes, soisig a dit :

- Que fais tu comme efforts pour vivre ? nous ne sommes pas à une époque et dans un pays où nous devons nous battre pour rester en vie. De plus, nos vies sont toutes utiles, car tout ce dont nous jouissons maintenant est le résultat d'évolutions engendrées par les vies précédentes. 

- Pour ce qui est de la vieillesse, maladie, accident, pourquoi pleurer avant d'avoir mal

- par exemple l'effort pour surmonter le stress au travail ...  Tu as toi meme ecris "Comme tout le monde, j'ai mes déceptions, mes contrariétés, mes tristesses, mais bon, ça passe."  : ça passe mais ça revient (pas forcement la meme chose) et donc il faut faire continuellement des efforts pour surmonter encore de nouvelles déceptions, contrariétés, tristesses ... C'est lassant ... Un chauffe-eau en panne, lave-linge en panne, etc, il faut faire des efforts pour supporter des desagrements en attendant la reparation/remplacement ...

- parce que quand ça va arriver, la société ne va guère nous aider et surtout elle ne va pas nous aider si on prefere mettre fin à sa vie : donc il va falloir endurer ces longues souffrances physiques et psychologiques ... 

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Membre, 130ans Posté(e)
soisig Membre 29 641 messages
130ans‚
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il y a 8 minutes, shyiro a dit :

- par exemple l'effort pour surmonter le stress au travail ...  Tu as toi meme ecris "Comme tout le monde, j'ai mes déceptions, mes contrariétés, mes tristesses, mais bon, ça passe."  : ça passe mais ça revient (pas forcement la meme chose) et donc il faut faire continuellement des efforts pour surmonter encore de nouvelles déceptions, contrariétés, tristesses ... C'est lassant ... Un chauffe-eau en panne, lave-linge en panne, etc, il faut faire des efforts pour supporter des desagrements en attendant la reparation/remplacement ...

- parce que quand ça va arriver, la société ne va guère nous aider et surtout elle ne va pas nous aider si on prefere mettre fin à sa vie : donc il va falloir endurer ces longues souffrances physiques et psychologiques ... 

Franchement Shyiro, c'est la mort un lave linge en panne ? Tu vas à la laverie.. 

Les contrariétés, c'est vrai, ça passe mais pourquoi se focaliser la dessus, au lieu de profiter des bons moments, car ne me dis pas que ta vie n'est que déceptions, contrariétés et tristesses ...

Quant à la vieillesse, tout le monde ne la vit pas mal, tout le monde n'en souffre pas. Mes grand-parents ont très bien vécu leurs fins de vie, ils étaient heureux.

Pour être heureux, il faut le vouloir aussi. ;)

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