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Pour Marine Le Pen, l'euro est "un boulet" mais en sortir n'est plus une priorité"


Mórrígan

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 14 034 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
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Il y a 17 heures, pluc89 a dit :

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Les USA, 50 états avec des économies aux performances différentes, une fiscalité propre à chaque état. Par exemple, le Delaware fait figure de "Luxembourg" ou "d'Irlande", en Floride, il n'y a pas d'IR, et les sociétés ne paient de l'IS que pour la partie de leur bénéficie qui excède 50 000 $. Quant aux mentalités aux sensibilités des latinos, des descendants de migrants ou colons blancs, des descendants d'esclaves noirs, et celles des amérindiens, qui peut soutenir qu'elles sont les mêmes ?

L'analogie avec les States, fréquente, ne me paraît pas si appropriée. L'histoire des États-Unis reste relativement récente, au regard de celles des pays d'Europe. Beaucoup de colons, des autochtones. Des efforts communs afin de bâtir. L'anglais y est majoritairement parlé. Leurs racines sont désormais là-bas. 

L'histoire, les sensibilités, les mentalités sont ici trop anciennes et trop ancrées (Vous sentez-vous proche d'un irlandais ou encore d'un roumain ?). Il semble impossible d'accorder les peuples européens, ou alors cela demandera encore bien des décennies. Non définitivement, c'est mieux, chez les autres.  

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Membre, Posté(e)
pluc89 Membre 12 512 messages
Maitre des forums‚
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il y a 26 minutes, Léna-Postrof a dit :

L'histoire, les sensibilités, les mentalités sont ici trop anciennes et trop ancrées

Il convient en effet de tenir compte de ces particularités. Cette fédération européenne ne pourra pas ressembler à celle des USA, de la République Fédérative du Brésil, de la Fédération de Russie, ou de la Confédération Suisse. Il faut inventer une forme de fédéralisme adapté à notre situation.

Le véritable obstacle au fédéralisme est l'intérêt personnel et carriériste de certains de nos politicards, prêts à tout pour conquérir le pouvoir, quitte à hypothèque notre avenir, à nous vendre au plus offrant, russes, américains et aussi chinois.

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 14 034 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
Posté(e)
il y a 22 minutes, pluc89 a dit :

Il convient en effet de tenir compte de ces particularités. Cette fédération européenne ne pourra pas ressembler à celle des USA, de la République Fédérative du Brésil, de la Fédération de Russie, ou de la Confédération Suisse. Il faut inventer une forme de fédéralisme adapté à notre situation.

Le véritable obstacle au fédéralisme est l'intérêt personnel et carriériste de certains de nos politicards, prêts à tout pour conquérir le pouvoir, quitte à hypothèque notre avenir, à nous vendre au plus offrant, russes, américains et aussi chinois.

Vous êtes optimiste. Je ne donne pas cher de sa peau. Autant dire que tous les yeux sont et seront braqués sur nos amis britanniques. Si le Brexit réussit, ce sera l'exemple à suivre. 

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Membre, Animal sauvage, Posté(e)
Mr_Fox Membre 18 189 messages
Animal sauvage,
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Membre, 80ans Posté(e)
bibifricotin Membre 12 828 messages
Mentor‚ 80ans‚
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Le 20/01/2019 à 14:51, rokutonoken a dit :

Elle a surtout vu que changer de monnaie fait peur aux vieux qui n'aiment pas changer leurs habitudes, comme elle exploite justement les peurs de cette partie de la population, elle a choisit de faire marche arrière en nous sortant un raisonnement absurde, comme si l'Allemagne allait changer une politique monétaire qui lui est favorable pour aider la France, la blague !

L'euro est une idée géniale mais mal conçue.

Ce qu'il faudrait pour  rendre la monnaie efficace c'est :

-Un gouvernement de la zone euro désigné démocratiquement

- Les mêmes règles discales dans la zone

- Des Etats coopératifs et non concurrents.

- Le départ des paradis fiscaux comme Chypre, le Luxembourg...

C'est tout simple et je ne sais pas pourquoi on se complique la vie.

 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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Il y a 3 heures, pluc89 a dit :

Il convient en effet de tenir compte de ces particularités. Cette fédération européenne ne pourra pas ressembler à celle des USA, de la République Fédérative du Brésil, de la Fédération de Russie, ou de la Confédération Suisse. Il faut inventer une forme de fédéralisme adapté à notre situation.

Le véritable obstacle au fédéralisme est l'intérêt personnel et carriériste de certains de nos politicards, prêts à tout pour conquérir le pouvoir, quitte à hypothèque notre avenir, à nous vendre au plus offrant, russes, américains et aussi chinois.

Un referendum ?

Il y a 2 heures, Léna-Postrof a dit :

Vous êtes optimiste. Je ne donne pas cher de sa peau. Autant dire que tous les yeux sont et seront braqués sur nos amis britanniques. Si le Brexit réussit, ce sera l'exemple à suivre. 

Mais il réussira, il va pouvoir décider  rapidement. 

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Membre, Posté(e)
pluc89 Membre 12 512 messages
Maitre des forums‚
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Il y a 2 heures, Léna-Postrof a dit :

 Si le Brexit réussit, ce sera l'exemple à suivre. 

Pour savoir si le Brexit réussit il faudra avoir plusieurs années de recul. Pour l'instant ça ne s'annonce pas très bien pour nos voisins britanniques :

"Loin de s’être effondrée subitement, l’économie britannique semble donc davantage glisser lentement vers le déclin. Les signaux sont passés peu à peu du vert à l’orange, voire au rouge. À commencer par le niveau de la livre sterling qui a chuté, pénalisé ces deux dernières années par les tensions politiques autour du Brexit. Résultat, l’immigration est en baisse (la valeur de la rémunération des immigrés ayant diminué) et le pays fait face à une pénurie de main d’œuvre qui impacte notamment les secteurs de la restauration, de l’agriculture et les hôpitaux.

En outre, la forte dépréciation de la livre a renchéri les importations et mécaniquement dopé l’inflation. Laquelle a atteint des sommets fin 2017 avec des prix à la consommation qui ont grimpé de 3% sur un an en septembre. Une première depuis 2012. Effet collatéral: le pouvoir d’achat des ménages britanniques s’est effrité en 2017, les salaires ayant augmenté moins vite.

Une croissance au ralenti

Mises bout à bout, les conséquences du Brexit ont déjà coûté 2 points de PIB au Royaume-Uni, soit une perte de 45 milliards d’euros en deux ans, selon la banque Natixis. Établie à 0,1% au premier trimestre 2018, en quasi-stagnation, "la croissance britannique est 2,1% plus faible au premier trimestre qu’elle ne l’aurait été si le maintien dans l’UE l’avait emporté", précise le Centre pour la réforme européenne, un think tank basé à Londres. En rythme annuel, la croissance n'a pas dépassé 1,2%, du jamais vu depuis six ans.

Le Royaume-Uni est aujourd’hui l’économie la plus lente du G7 et le ralentissement de sa croissance aurait coûté au Trésor 43 milliards de livres par an en emprunts publics supplémentaires, soit 440 millions de livres par semaine depuis la victoire du "Leave". De son côté, la Banque d’Angleterre estime que chaque foyer britannique a perdu environ 1000 euros depuis cette même date." (BFM BUSINESS)

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Membre, Posté(e)
versys Membre 18 349 messages
Maitre des forums‚
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Il y a 12 heures, pluc89 a dit :

Pour savoir si le Brexit réussit il faudra avoir plusieurs années de recul. Pour l'instant ça ne s'annonce pas très bien pour nos voisins britanniques :

"Loin de s’être effondrée subitement, l’économie britannique semble donc davantage glisser lentement vers le déclin. Les signaux sont passés peu à peu du vert à l’orange, voire au rouge. À commencer par le niveau de la livre sterling qui a chuté, pénalisé ces deux dernières années par les tensions politiques autour du Brexit. Résultat, l’immigration est en baisse (la valeur de la rémunération des immigrés ayant diminué) et le pays fait face à une pénurie de main d’œuvre qui impacte notamment les secteurs de la restauration, de l’agriculture et les hôpitaux.

En outre, la forte dépréciation de la livre a renchéri les importations et mécaniquement dopé l’inflation. Laquelle a atteint des sommets fin 2017 avec des prix à la consommation qui ont grimpé de 3% sur un an en septembre. Une première depuis 2012. Effet collatéral: le pouvoir d’achat des ménages britanniques s’est effrité en 2017, les salaires ayant augmenté moins vite.

Une croissance au ralenti

Mises bout à bout, les conséquences du Brexit ont déjà coûté 2 points de PIB au Royaume-Uni, soit une perte de 45 milliards d’euros en deux ans, selon la banque Natixis. Établie à 0,1% au premier trimestre 2018, en quasi-stagnation, "la croissance britannique est 2,1% plus faible au premier trimestre qu’elle ne l’aurait été si le maintien dans l’UE l’avait emporté", précise le Centre pour la réforme européenne, un think tank basé à Londres. En rythme annuel, la croissance n'a pas dépassé 1,2%, du jamais vu depuis six ans.

Le Royaume-Uni est aujourd’hui l’économie la plus lente du G7 et le ralentissement de sa croissance aurait coûté au Trésor 43 milliards de livres par an en emprunts publics supplémentaires, soit 440 millions de livres par semaine depuis la victoire du "Leave". De son côté, la Banque d’Angleterre estime que chaque foyer britannique a perdu environ 1000 euros depuis cette même date." (BFM BUSINESS)

Justement, les pro brexit exploitent à fond ces mauvais résultats pour les mettre sur le dos de l' U.E. Ils sont incapables d'anticiper les conséquences économiques désastreuses de cette sortie. 

Les nationalismes sont sourds et aveugles, qui conduisent toujours les pays et les populations aux pires catastrophes...

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Membre, Animal sauvage, Posté(e)
Mr_Fox Membre 18 189 messages
Animal sauvage,
Posté(e)
Il y a 19 heures, pluc89 a dit :

Il convient en effet de tenir compte de ces particularités. Cette fédération européenne ne pourra pas ressembler à celle des USA, de la République Fédérative du Brésil, de la Fédération de Russie, ou de la Confédération Suisse. Il faut inventer une forme de fédéralisme adapté à notre situation.

 Le véritable obstacle au fédéralisme est l'intérêt personnel et carriériste de certains de nos politicards, prêts à tout pour conquérir le pouvoir, quitte à hypothèque notre avenir, à nous vendre au plus offrant, russes, américains et aussi chinois.

Le véritable obstacle est que ce fédéralisme n'a pas de sens. Il n'est porteur que de l'intérêt économique des 0.1% les plus riches au détriment de tous les autres. 

Ce qui se passe dans un pays, c'est que les bénéfices des uns sont mutualisés avec les difficultés des autres. Or l'UE ne veut pas de ça, elle ne veut en aucun cas que les Luxembourgeois payent les retraites des Grecs. 

C'est chacun pour soi, il n'y a donc pas de de bien commun, il n'y a pas d'histoire politique commune il n'y a tout simplement RIEN de commun. Le carriérisme des politicards est la seule chose qui pousse cette idée en avant. 

 

Il y a 3 heures, versys a dit :

Justement, les pro brexit exploitent à fond ces mauvais résultats pour les mettre sur le dos de l' U.E. Ils sont incapables d'anticiper les conséquences économiques désastreuses de cette sortie. 

Les nationalismes sont sourds et aveugles, qui conduisent toujours les pays et les populations aux pires catastrophes...

Idéologie standard. La pire catastrophe du XXIème siècle qui est la crise de 2008 laquelle est très loin d'être terminée puisqu'après 10 ans de quantative easing on aboutit au stade ou l'économie ne peut pas fonctionner sans intraveineuse permanente de cash par les banques centrales (ce qui signifie que la monnaie n'a aucune valeur), cette pire catastrophe qui est la destruction complète de l'économie mondiale, c'est pas les nationalistes qui l'ont provoqué. En revanche elle va aboutir à la guerre mondiale parce que tout le monde a besoin de bouffer.

 

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 14 034 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
Posté(e)
Il y a 22 heures, PASCOU a dit :

Mais il réussira, il va pouvoir décider  rapidement. 

Nous verrons bien, en attendant, tous les détails ne sont pas encore réglés. 

On parle pour l'heure de facture à régler :

https://www.20minutes.fr/monde/2434047-20190123-brexit-londres-devra-regler-facture-divorce-cas-no-deal

Il y a 22 heures, pluc89 a dit :

Pour savoir si le Brexit réussit il faudra avoir plusieurs années de recul. Pour l'instant ça ne s'annonce pas très bien pour nos voisins britanniques :

"Loin de s’être effondrée subitement, l’économie britannique semble donc davantage glisser lentement vers le déclin. Les signaux sont passés peu à peu du vert à l’orange, voire au rouge. À commencer par le niveau de la livre sterling qui a chuté, pénalisé ces deux dernières années par les tensions politiques autour du Brexit. Résultat, l’immigration est en baisse (la valeur de la rémunération des immigrés ayant diminué) et le pays fait face à une pénurie de main d’œuvre qui impacte notamment les secteurs de la restauration, de l’agriculture et les hôpitaux.

En outre, la forte dépréciation de la livre a renchéri les importations et mécaniquement dopé l’inflation. Laquelle a atteint des sommets fin 2017 avec des prix à la consommation qui ont grimpé de 3% sur un an en septembre. Une première depuis 2012. Effet collatéral: le pouvoir d’achat des ménages britanniques s’est effrité en 2017, les salaires ayant augmenté moins vite.

Une croissance au ralenti

Mises bout à bout, les conséquences du Brexit ont déjà coûté 2 points de PIB au Royaume-Uni, soit une perte de 45 milliards d’euros en deux ans, selon la banque Natixis. Établie à 0,1% au premier trimestre 2018, en quasi-stagnation, "la croissance britannique est 2,1% plus faible au premier trimestre qu’elle ne l’aurait été si le maintien dans l’UE l’avait emporté", précise le Centre pour la réforme européenne, un think tank basé à Londres. En rythme annuel, la croissance n'a pas dépassé 1,2%, du jamais vu depuis six ans.

Le Royaume-Uni est aujourd’hui l’économie la plus lente du G7 et le ralentissement de sa croissance aurait coûté au Trésor 43 milliards de livres par an en emprunts publics supplémentaires, soit 440 millions de livres par semaine depuis la victoire du "Leave". De son côté, la Banque d’Angleterre estime que chaque foyer britannique a perdu environ 1000 euros depuis cette même date." (BFM BUSINESS)

Plutôt logique qu'il y ait du scepticisme quant au Brexit, ce seront les premiers. Tout est toujours risqué pour les financiers. Le changement en lui-même est déjà un risque.

Les britanniques ont déjà eu le nez fin en n'acceptant pas l'euro. Un rétropédalage, sur ce point là, aurait encore coûté temps et argent. 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 4 minutes, Léna-Postrof a dit :

Nous verrons bien, en attendant, tous les détails ne sont pas encore réglés. 

On parle pour l'heure de facture à régler :

https://www.20minutes.fr/monde/2434047-20190123-brexit-londres-devra-regler-facture-divorce-cas-no-deal

Plutôt logique qu'il y ait du scepticisme quant au Brexit, ce seront les premiers. Tout est toujours risqué pour les financiers. Le changement en lui-même est déjà un risque.

Les britanniques ont déjà eu le nez fin en n'acceptant pas l'euro. Un rétropédalage, sur ce point là, aurait encore coûté temps et argent. 

Mais faut arrêter de croire le baratin de nos politiques, de ceux de Bruxelles qui sauvent leur "cul" et de nos médias, c'est toujours la même technique pour garder le pouvoir.

Je suis sûr que le RU s'en sortira mieux sans les idioties de Bruxelles et les sangsues!

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Membre, Posté(e)
pluc89 Membre 12 512 messages
Maitre des forums‚
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il y a 42 minutes, Léna-Postrof a dit :

Plutôt logique qu'il y ait du scepticisme quant au Brexit,

"la Banque d’Angleterre estime que chaque foyer britannique a perdu environ 1000 euros depuis cette même date." (date du référendum)

Vous appelez ça du scepticisme. Comment nos GJ appelleraient-ils ça à votre avis ?

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 14 034 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
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Il y a 23 heures, PASCOU a dit :

Mais faut arrêter de croire le baratin de nos politiques, de ceux de Bruxelles qui sauvent leur "cul" et de nos médias, c'est toujours la même technique pour garder le pouvoir.

Je suis sûr que le RU s'en sortira mieux sans les idioties de Bruxelles et les sangsues!

Je ne crois rien du tout, je reste dans l'observation. 

Il y a 22 heures, pluc89 a dit :

"la Banque d’Angleterre estime que chaque foyer britannique a perdu environ 1000 euros depuis cette même date." (date du référendum)

Vous appelez ça du scepticisme. Comment nos GJ appelleraient-ils ça à votre avis ?

Date du référendum. Je vous l'ai déjà écrit, les financiers n'aiment pas le changement. C'est après le Brexit qu'il va falloir réellement observer le cours de la livre sterling. 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, Léna-Postrof a dit :

Je ne crois rien du tout, je reste dans l'observation. 

Date du référendum. Je vous l'ai déjà écrit, les financiers n'aiment pas le changement. C'est après le Brexit qu'il va falloir réellement observer le cours de la livre sterling. 

Oui il faut attendre, mais si c'était si avantageux pour l' UE il y a longtemps que le RU aurait été largué.

Je pense que rien ne se fera avant les européennes, faut pas donner de mauvaises idées;

Une façon de gagner 5 longues années de politique ultra libérale et du pillage des nations.

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