Fille unique

Je suis fille unique

Ma meilleure amie du lycée l'était également. Contrairement à moi, elle vivait cette situation avec une certaine difficulté. Certes son milieu social ne lui donnait pas accès à beaucoup d'autres visions du monde. Mes parents n'ont jamais voulu un second enfant. Je n'ai jamais souffert d'être seule. Bien au contraire. En observant les autres filles de l'école, je les voyais vivre chez elle dans une perpétuelle promiscuité. L'idée même de vivre ainsi m'est rapidement devenue étrangère. Sinon insupportable. Incompréhensible et peu enviable.

Papa et maman ont toujours été exigeants avec moi. J'ai toujours voulu briller à leurs yeux. Devenir la meilleure dans tous les domaines pour qu'ils soient fiers de moi. J'ai très vite compris qu'en contrepartie ma liberté serait au prorata de mes résultats scolaires et sportifs. Je suis la complice de mon papa depuis toute petite. Il ne m'a jamais déconsidéré ou traité comme une enfant. Il avait un discours clair et adulte. Il  s'adressait à moi comme à un être responsable. Quelqu'un de réfléchi et capable de réflexion. Ce qui m'a permis un épanouissement serein. Maman aussi.

Il y a cette légende de l'enfant roi. Ce qui n'a jamais été mon cas. Mes parents me mêlaient à leurs projets, à leurs stratégies. J'ai donc rapidement eu une part à apporter aux décisions. La destination des vacances. La décoration de la maison pour les fêtes. Les achats de cadeaux. Les longues séances de lectures à trois dans le bureau bibliothèque de mon père. Les entraînements sportifs. Les oncles, les tantes, les cousines, les cousins, parrain et marraine. Mes parents m'ont appris très tôt à gérer les relations. A prendre des décisions dont ils tenaient compte.

Mon enfance a été merveilleuse. Je la regarde sans nostalgie. Mon adolescence à été une source inépuisable de découvertes. Aujourd'hui, jeune adulte, je sais mettre à profit toutes ces années de formation. Je sais déjà, avec certitude, que je ne veux pas me reproduire. Je désire une vie de découvertes et de voyages. Mes études m'y destinent. Je m'acharne d'ailleurs à être la meilleure dans mon domaine, dans ma promotion. Je veux une vie qui prolonge les privilèges passés. Je m'y applique comme un véritable guerrière. Je gagne toujours.

Merci papa. Merci maman

Je crains, jeune fille, que tu n'ailles au-devant de grandes désillusions.

Mais bon, ça forge le caractère : on en reparlera dans 20 ans.

D'ici là, je te souhaite sincèrement tout le bonheur que te promettent tes certitudes.

la vie est facile au yeux  d'une  Barbie  

il y a 10 minutes, chahi a dit :

la vie est facile au yeux  d'une  Barbie  

Fille unique

Je suis brune, cheveux presque noirs. Athlétique, 1,80m. 60 kg. Rien d'une "Barbie". De plus mes seins sont tous petits. Rien de la "Bimbo".

il y a 37 minutes, Valona a dit :

Fille unique

Je suis brune, cheveux presque noirs. Athlétique, 1,80m. 60 kg. Rien d'une "Barbie". De plus mes seins sont tous petits. Rien de la "Bimbo".

tu es une fille qui parle trop  pour rien dire  et tu pousse les gens a vous suivre et toi tu na pas besoin de ça ...

tu dois etre comme une femme qui ferme les portes  et qui reste loin des hommes qui soit unique dans son genre qui est pasd facile  et qui rare  et brille pour quelqu'un qui soit comme un mari et pas une glace qui reflet   tout les sourir 

tes parents ont trop ,pousser  tu es pour rien mais tu dois savoir faire face  averc peu de mots je ne peux pas déssiné la vie  

Il y a 1 heure, Valona a dit :

Mon enfance a été merveilleuse. Je la regarde sans nostalgie. Mon adolescence à été une source inépuisable de découvertes. Aujourd'hui, jeune adulte, je sais mettre à profit toutes ces années de formation. Je sais déjà, avec certitude, que je ne veux pas me reproduire. Je désire une vie de découvertes et de voyages. Mes études m'y destinent. Je m'acharne d'ailleurs à être la meilleure dans mon domaine, dans ma promotion. Je veux une vie qui prolonge les privilèges passés. Je m'y applique comme un véritable guerrière. Je gagne toujours. 

Et ben, tant que tout ça te convient après tout, autant y aller et le vivre à fond

il y a 23 minutes, chahi a dit :

tu es une fille qui parle trop  pour rien dire  et tu pousse les gens a vous suivre et toi tu na pas besoin de ça ...

tu dois etre comme une femme qui ferme les portes  et qui reste loin des hommes qui soit unique dans son genre qui est pasd facile  et qui rare  et brille pour quelqu'un qui soit comme un mari et pas une glace qui reflet   tout les sourir 

tes parents ont trop ,pousser  tu es pour rien mais tu dois savoir faire face  averc peu de mots je ne peux pas déssiné la vie  

 

Même avec le traducteur Google, rien à faire, vos propos restent amphigouriques. Mais c'est sympa de participer...

il y a 5 minutes, Auger a dit :

Un peu, mais sans le Ripolin sur les yeux. Je déteste me maquiller...

il y a 34 minutes, Auger a dit :

J'ai aussi pensé à @Vilaine en lisant le post de Valona.

à l’instant, Black Dog a dit :

J'ai aussi pensé à @Vilaine en lisant le post de Valona.

Je suis pratiquement certain : cette espèce d'arrogance teintée d'ironie bas de gamme, le tout noyé de trouille...

Il y a 2 heures, Valona a dit :

Je suis fille unique

Ma meilleure amie du lycée l'était également. Contrairement à moi, elle vivait cette situation avec une certaine difficulté. Certes son milieu social ne lui donnait pas accès à beaucoup d'autres visions du monde. Mes parents n'ont jamais voulu un second enfant. Je n'ai jamais souffert d'être seule. Bien au contraire. En observant les autres filles de l'école, je les voyais vivre chez elle dans une perpétuelle promiscuité. L'idée même de vivre ainsi m'est rapidement devenue étrangère. Sinon insupportable. Incompréhensible et peu enviable.

Papa et maman ont toujours été exigeants avec moi. J'ai toujours voulu briller à leurs yeux. Devenir la meilleure dans tous les domaines pour qu'ils soient fiers de moi. J'ai très vite compris qu'en contrepartie ma liberté serait au prorata de mes résultats scolaires et sportifs. Je suis la complice de mon papa depuis toute petite. Il ne m'a jamais déconsidéré ou traité comme une enfant. Il avait un discours clair et adulte. Il  s'adressait à moi comme à un être responsable. Quelqu'un de réfléchi et capable de réflexion. Ce qui m'a permis un épanouissement serein. Maman aussi.

Il y a cette légende de l'enfant roi. Ce qui n'a jamais été mon cas. Mes parents me mêlaient à leurs projets, à leurs stratégies. J'ai donc rapidement eu une part à apporter aux décisions. La destination des vacances. La décoration de la maison pour les fêtes. Les achats de cadeaux. Les longues séances de lectures à trois dans le bureau bibliothèque de mon père. Les entraînements sportifs. Les oncles, les tantes, les cousines, les cousins, parrain et marraine. Mes parents m'ont appris très tôt à gérer les relations. A prendre des décisions dont ils tenaient compte.

Mon enfance a été merveilleuse. Je la regarde sans nostalgie. Mon adolescence à été une source inépuisable de découvertes. Aujourd'hui, jeune adulte, je sais mettre à profit toutes ces années de formation. Je sais déjà, avec certitude, que je ne veux pas me reproduire. Je désire une vie de découvertes et de voyages. Mes études m'y destinent. Je m'acharne d'ailleurs à être la meilleure dans mon domaine, dans ma promotion. Je veux une vie qui prolonge les privilèges passés. Je m'y applique comme un véritable guerrière. Je gagne toujours.

Merci papa. Merci maman

Et bien, je vais te parler de la fille unique qui partage ma vie depuis 25 ans :

Elle est, elle aussi, une véritable guerrière mais elle a toujours su, quand même, qu'elle pouvait ne pas gagner.

De nature solitaire, de tempérament très indépendant et forte d'une grande richesse intérieure elle n'a,  elle non plus, jamais souffert  de ne pas avoir de frère ou de soeur.

Aujourd'hui, avec des parents vieillissants, elle commence à le regretter car elle ne peut partager les soucis et les contraintes que leur âge imposent. 

Enfant unique, il faut que tu le saches, c'est pour le meilleur mais aussi le pire !

Il y a 2 heures, Valona a dit :

Je suis fille unique

Ma meilleure amie du lycée l'était également. Contrairement à moi, elle vivait cette situation avec une certaine difficulté. Certes son milieu social ne lui donnait pas accès à beaucoup d'autres visions du monde. Mes parents n'ont jamais voulu un second enfant. Je n'ai jamais souffert d'être seule. Bien au contraire. En observant les autres filles de l'école, je les voyais vivre chez elle dans une perpétuelle promiscuité. L'idée même de vivre ainsi m'est rapidement devenue étrangère. Sinon insupportable. Incompréhensible et peu enviable.

Papa et maman ont toujours été exigeants avec moi. J'ai toujours voulu briller à leurs yeux. Devenir la meilleure dans tous les domaines pour qu'ils soient fiers de moi. J'ai très vite compris qu'en contrepartie ma liberté serait au prorata de mes résultats scolaires et sportifs. Je suis la complice de mon papa depuis toute petite. Il ne m'a jamais déconsidéré ou traité comme une enfant. Il avait un discours clair et adulte. Il  s'adressait à moi comme à un être responsable. Quelqu'un de réfléchi et capable de réflexion. Ce qui m'a permis un épanouissement serein. Maman aussi.

Il y a cette légende de l'enfant roi. Ce qui n'a jamais été mon cas. Mes parents me mêlaient à leurs projets, à leurs stratégies. J'ai donc rapidement eu une part à apporter aux décisions. La destination des vacances. La décoration de la maison pour les fêtes. Les achats de cadeaux. Les longues séances de lectures à trois dans le bureau bibliothèque de mon père. Les entraînements sportifs. Les oncles, les tantes, les cousines, les cousins, parrain et marraine. Mes parents m'ont appris très tôt à gérer les relations. A prendre des décisions dont ils tenaient compte.

Mon enfance a été merveilleuse. Je la regarde sans nostalgie. Mon adolescence à été une source inépuisable de découvertes. Aujourd'hui, jeune adulte, je sais mettre à profit toutes ces années de formation. Je sais déjà, avec certitude, que je ne veux pas me reproduire. Je désire une vie de découvertes et de voyages. Mes études m'y destinent. Je m'acharne d'ailleurs à être la meilleure dans mon domaine, dans ma promotion. Je veux une vie qui prolonge les privilèges passés. Je m'y applique comme un véritable guerrière. Je gagne toujours.

Merci papa. Merci maman

T'as pas de chance, tu déposes un commentaire sympa, logique, plein de promesses et d'un bel avenir sur un forum où la majorité des membres sont hyper jaloux et soutiennent les GJ à 98 % !

Ça gonfle les gens quand on est et ne naît pas comme eux !

Aujourd'hui, il faut des clones, si tu sors de l'ordinaire, t'es pas normale !

Bonne continuation !

Là, il y en a un paquet qui se disent, il est fou, qu'est-ce qu'il raconte

D'autres, ah ah l'humour

En fait, vrai ou pas ?

Bonneu  nuit !

il y a 29 minutes, Plouj a dit :

Aujourd'hui, il faut des clones, si tu sors de l'ordinaire, t'es pas normale

Mais elle a un clone  : 

Il y a 1 heure, Auger a dit :

Il y a 7 heures, Black Dog a dit :

J'ai aussi pensé à @Vilaine en lisant le post de Valona.

C’est vrai que je parle de moi à chaque post, livrant tous les détails de ma vie privée de manière aussi naise. 

Non mais sérieusement, la comparaison est vexante. Si vous remarquez bien, d’autres sur ce forum adoptent la Valona attitude en abusant du « je ».. 

Il y a 9 heures, Valona a dit :

Je suis fille unique

Ma meilleure amie du lycée l'était également. Contrairement à moi, elle vivait cette situation avec une certaine difficulté. Certes son milieu social ne lui donnait pas accès à beaucoup d'autres visions du monde. Mes parents n'ont jamais voulu un second enfant. Je n'ai jamais souffert d'être seule. Bien au contraire. En observant les autres filles de l'école, je les voyais vivre chez elle dans une perpétuelle promiscuité. L'idée même de vivre ainsi m'est rapidement devenue étrangère. Sinon insupportable. Incompréhensible et peu enviable.

Papa et maman ont toujours été exigeants avec moi. J'ai toujours voulu briller à leurs yeux. Devenir la meilleure dans tous les domaines pour qu'ils soient fiers de moi. J'ai très vite compris qu'en contrepartie ma liberté serait au prorata de mes résultats scolaires et sportifs. Je suis la complice de mon papa depuis toute petite. Il ne m'a jamais déconsidéré ou traité comme une enfant. Il avait un discours clair et adulte. Il  s'adressait à moi comme à un être responsable. Quelqu'un de réfléchi et capable de réflexion. Ce qui m'a permis un épanouissement serein. Maman aussi.

Il y a cette légende de l'enfant roi. Ce qui n'a jamais été mon cas. Mes parents me mêlaient à leurs projets, à leurs stratégies. J'ai donc rapidement eu une part à apporter aux décisions. La destination des vacances. La décoration de la maison pour les fêtes. Les achats de cadeaux. Les longues séances de lectures à trois dans le bureau bibliothèque de mon père. Les entraînements sportifs. Les oncles, les tantes, les cousines, les cousins, parrain et marraine. Mes parents m'ont appris très tôt à gérer les relations. A prendre des décisions dont ils tenaient compte.

Mon enfance a été merveilleuse. Je la regarde sans nostalgie. Mon adolescence à été une source inépuisable de découvertes. Aujourd'hui, jeune adulte, je sais mettre à profit toutes ces années de formation. Je sais déjà, avec certitude, que je ne veux pas me reproduire. Je désire une vie de découvertes et de voyages. Mes études m'y destinent. Je m'acharne d'ailleurs à être la meilleure dans mon domaine, dans ma promotion. Je veux une vie qui prolonge les privilèges passés. Je m'y applique comme un véritable guerrière. Je gagne toujours.

Merci papa. Merci maman

A partir de quand tu te dis: « est-ce que ce que je raconte va intéresser quelqu’un? ».

Oui, car c’est bien beau de considérer ce forum comme un journal intime, encore faut-il pouvoir intéresser un minimum de personnes.

Si tu voulais avoir plus de réactions, il fallait placer les mots suivants: «#metoo », « le patriarcal ça craint » (pour toucher les féministes qui sont légion sur ce forum »). Ensuite, tu places un « Macron déchire », « la politique actuelle est juste » (Pour atteindre les GJ), et pour cibler le reste de beauf (de tout genre): « Johnny Hallyday », « démaquillant », « eye-liner ».

L'enfant unique se croit le centre du monde car il n'a pas de concurrence. Devenu adulte il n'acceptera pas plus d'être contrarié. Ses réactions seront loin de la diplomatie.

Il y a 9 heures, Cheragaz a dit :

Mais elle a un clone  : 

 

Ahh !, je m'arrêterais sur un léger semblant ! Très léger !

Dans les écrits de @Vilaine, je ressens plus, sous sa plume ironique et parfois acerbe, un appel, une dissimulation. Pour se faire une opinion sur une personne en virtuel, c'est compliqué !

Plus simple avec un visuel sur un visage, les expressions, les yeux, puis la gestuelle.

Enfin bon, chacun est comme il est avec son caractère, ses soucis et on en cause !

bonjour et bonne année 

j'ai une nièce qui n'est pas fille unique mais qui est un peut comme toi . elle est bourrée de diplômes et fonce à tout va dans les directions qui lui plaise et réussit tout ce qu'elle entreprend .

elle n'à aucune hésitation à s'aventurer sur les terrains fréquentés par les hommes et à s'imposer s'il le faut . mais d'un autre coté , elle est tendre et sensible et vient d'acheter un vieux cheval voué à l'abattoir par son propriétaire , pour lui laisser vivre ses derniers jours en paix dans un prés .

profite bien des atouts que tu à aujourd'hui car demain est un autre jour . suivant le chemin que tu prendra , tu découvrira autre chose , bonne et mauvaises . notre destin est une sorte de loterie certains gagnent d'autres perdent mais à la fin , tout le monde est perdant , car le gros lot est la vie et la vie ne dure qu'un instant .

bonne journée 

Fille unique

Je rentre de cours. Je découvre toutes ces merveilleuses interventions. Je tiens vraiment à remercier chacune et chacun pour sa participation. C'est fort plaisant à lire. J'aime beaucoup susciter l'intérêt mais là, tant de compliments, de compassions et d'admirations me gênent un peu. Je ne sais pas vraiment si je le mérite. Mais je prends.

En tous cas, tout cela est très constructif. Cela permet de fructueux échanges et d'agréables conversations. De vraies réjouissances également. C'est récréatif en rentrant de cours. Aussi, je tiens à remercier tous les participants, tous les intervenants dont les propos sont autant d'encouragements à persévérer. Promis. Je continue.

Il me faut toutefois rectifier quelques supputations hâtives. Je ne suis absolument pas féministe. J'aime les hommes. Même si je préfère être séduite plutôt que d'être draguée, la compagnie masculine m'enchante. Je n'ai aucun compte à régler avec ma féminité. Je n'ai aucun compte à régler avec les hommes. Aucun malaise. Jamais.

Je ne suis pas du tout le genre à être angoissée le matin, dépressive le soir et déprimée le reste du temps. Je suis une fille optimiste, pleine de joie de vivre. J'aime la vie. J'aime MA VIE. Je fuis les gens qui se "prennent la tête". Je fuis les individus qui sont en proie à des problèmes existentiels. Ils vampirisent et pompent les énergies.

Je suis fille unique. Tant dans la vie que sur ce forum. Il serait vain de comparer l'incomparable. Laissons les gens frustrés, mal dans leur vie, vomir leurs haines et continuons à nous amuser, à échanger et à nous découvrir. Je vais aller manger. Maman m'appelle. Je vous souhaite une bonne journée.

A bientôt

Ce serait drôle de faire parler des gens qui sont aussi égocentriques que toi. J’en vois au moins 3 ici.

Sujet: les hommes infidèles

Toi: 

La fidélité

La fidélité est essentielle dans un couple. D’ailleurs, mes parents ont toujours été fidèles l’un envers l’autre, sans doute parce que ma mère a l’habitude de préparer le meilleur couscous du monde. Le vrai couscous, celui avec les Merguez de Rachid (l’oncle de mon voisin) et le poulet fermier de Jojo. Jojo, c’est mon ancien copain. Lui n’a pas été fidèle, mais il me faisait des massages divins. Le genre de massage qui ferait pâlir de jalousie les masseuses Thaïlandaises. D’ailleurs en parlant de Thaïlande, il faut que je vous laisse, ma maman vient de me préparer un bon Pad Thaï, qu’on va déguster devant une peinture de Dali.

Un autre (qui se reconnaîtra)

La fidélité? Dans les années 40, une jeune femme fraîchement mariée est venue me voir avec la ferme intention de « conclure. ». On était au festival de Cannes et à cette époque, ça forniquait dans tous les sens. Je crois qu’elle était impressionnée par mon éloquence et ma prestance. Je lui ai dit que j’aimais ma femme plus que tout. Après, la bougresse s’est mise avec Delon. Comment je l’ai su? J’ai regardé son horoscope, les Béliers ascendants Gémeaux ne peuvent être fidèles

Une autre 

La fidélité est importante. Mes parents ont toujours été fidèles, ainsi que la cousine Léonie aussi. Le secret d’un couple qui dure? Une apparence soignée, un équilibre corps/esprit, du sport 3 fois par semaine. Je vous partage volontiers mes tips, et aussi mon adresse postale, mon RIB et les clés de mon cabriolet.