Un examen génital forcé est'il une agression sexuelle ?

"Parce que c'est si compliqué que ça de décalotter un pénis ? Je suis sûr qu'un jeune de 6 ans le faire lui-même. "

tout dépend s'il y a un phimosis...

il y a 7 minutes, Toniooo a dit :

"Parce que c'est si compliqué que ça de décalotter un pénis ? Je suis sûr qu'un jeune de 6 ans le faire lui-même. "

tout dépend s'il y a un phimosis... 

Si il a un phimosis, comment on fait pour décalotter ? Faut une machine spéciale qui permet de décalotter et recalotter ? Qu'est ce qu'on fait concrètement pour décalotter quand il y a phimosis ?

Il y a 1 heure, Liberté1984 a dit :

Si il a un phimosis, comment on fait pour décalotter ? Faut une machine spéciale qui permet de décalotter et recalotter ? Qu'est ce qu'on fait concrètement pour décalotter quand il y a phimosis ?

A part voir le médecin de suite...

A ma connaissance, l'examen des parties génitales des jeunes garons à l'école ne se pratique plus.

Mais c'est exact que c'était un examen usuel annuel pratiqué il y a une trentaine d'années en vue d'examiner si les bourses étaient bien descendues, si le prépuce n'était pas bloqué.

Ni moi ni mes collèges de classe n'en avons été traumatisés ni vexés. Je pense que cet examen comme celui de la vue, de l’ouïe, de la scoliose etc. avait un objectif fiable de détection précoce d'anomalies certes rares mais existantes et non décelées par les parents à cette époque (pudibonderie vis à vis du sexe et absence de connaissance sur ce sujet).

Là, comme ailleurs, le médecin de famille a pris le relais sur une médecine préventive collective.

C'est ainsi.

il y a 41 minutes, Toniooo a dit :

A part voir le médecin de suite...

J'ai oublié de préciser dans mon précédent post, mais en fait je me demande ce que fera concrètement le médecin, est-ce qu'ils fera des gestes que seul un médecin peut faire, par exemple avec un instrument médical prévu pour ça.

il y a 21 minutes, Pierrot89 a dit :

Ni moi ni mes collèges de classe n'en avons été traumatisés ni vexés.

Peut-être que certains de tes camarades n'ont pas osé dire qu'ils avaient développé des problèmes psychiques ou psychologiques suite à ça. Ils ont peut-être préféré garder le secret médical.

De plus, je vois mal un jeune de 14 ans avouer à ses camarades de classe qu'il a été traumatisé, la psychologie masculine est différente de celle des filles. Les garçons ont un comportement social différent de celui des filles. D'un point de vue social avouer être traumatisé et avoir des problèmes de santé psychologique peut être perçut comme une faiblesse. Et d'un point de vue reproductif, je suppose qu'une personne qui a des problèmes de santé psychologique visibles ou avoués est moins attractive.

J'ai lut une étude canadienne sur les garçons victimes d'agression sexuelle qui dit qu'ils sont moins enclin à se considérer comme victimes, et ont plus tendance que les filles à nier le fait qu'il y a eut transgression d'un interdit de la part de l'agresseur.

il y a 26 minutes, Pierrot89 a dit :

A ma connaissance, l'examen des parties génitales des jeunes garons à l'école ne se pratique plus.

Mais c'est exact que c'était un examen usuel annuel pratiqué il y a une trentaine d'années en vue d'examiner si les bourses étaient bien descendues, si le prépuce n'était pas bloqué.

Ni moi ni mes collèges de classe n'en avons été traumatisés ni vexés. Je pense que cet examen comme celui de la vue, de l’ouïe, de la scoliose etc. avait un objectif fiable de détection précoce d'anomalies certes rares mais existantes et non décelées par les parents à cette époque (pudibonderie vis à vis du sexe et absence de connaissance sur ce sujet).

Là, comme ailleurs, le médecin de famille a pris le relais sur une médecine préventive collective.

C'est ainsi.

Merci de rappeler ce qui a été nié jusqu'à présent en boucle : avant oui, ça se faisait ce type d'examens. Nous l'avons tous connu, ceux qui fréquentaient l'école et ont plus de 35 ans doivent avoir connu ça. N'oublions pas de dire que cela a aussi aidé de nombreuses personnes à détecter des problèmes qui sinon seraient passés inaperçus. Seul un spécialiste peut le dire, pas même les parents et encore moins l'enfant lui-même ne peuvent être crus sur parole à ce sujet.

Il faut vraiment avoir l'esprit complètement retors pour voir une agression sexuelle dans un acte de soin médical qui relève de la routine chez les soignants.

"J'ai oublié de préciser dans mon précédent post, mais en fait je me demande ce que fera concrètement le médecin, est-ce qu'ils fera des gestes que seul un médecin peut faire, par exemple avec un instrument médical prévu pour ça. "

Soit le médecin va réussir en forçant… ou soit ça sera l'opération ( la plastie du prépuce, dans les cas les plus extrêmes, la  circoncision)

il y a 4 minutes, Quasi-Modo a dit :

Il faut vraiment avoir l'esprit complètement retors pour voir une agression sexuelle dans un acte de soin médical qui relève de la routine chez les soignants.

C'est le consentement ou non-consentement de la personne qui détermine si c'est une agression sexuelle ou pas.

il y a 4 minutes, Quasi-Modo a dit :

N'oublions pas de dire que cela a aussi aidé de nombreuses personnes à détecter des problèmes qui sinon seraient passés inaperçus.

En quoi forcer un jeune non-consentant à subir un examen génital va rendre service à ceux qui sont consentants ?

Si un jeune a des problèmes de santé et n'est pas consentant pourquoi le forcer, c'est sa vie à lui, c'est pas la tienne. Occupes toi de ta vie à toi, pas de celle des autres.

il y a 5 minutes, Quasi-Modo a dit :

Seul un spécialiste peut le dire, pas même les parents et encore moins l'enfant lui-même ne peuvent être crus sur parole à ce sujet.

Donc c'est une atteinte à la vie privée en plus d'une agression sexuelle. Car le fait qu'un jeune ait ou non des problèmes de santé, c'est sa vie privée, le médecin scolaire n'a pas à le savoir, c'est à chaque personne de révéler sa vie privée à qui elle veut, qu'il soit médecin ou non.

Le médecin scolaire n'a pas plus le droit que les autres personnes de connaitre la vie privée des jeunes. Le médecin est un être humain comme un autre, ce n'est pas un dieu qui a des droit supérieurs à ceux des êtres humains. Ce n'est pas un dieu qui a des droits sur le corps des êtres humains.

il y a 2 minutes, Toniooo a dit :

Soit le médecin va réussir en forçant… ou soit ça sera l'opération

A mon avis, un jeune peu très bien forcer lui-même, pas besoin d'être médecin pour faire ça. Et je doute que forcer soit une bonne chose, car après le problème est de recalotter.

il y a 1 minute, Liberté1984 a dit :

C'est le consentement ou non-consentement de la personne qui détermine si c'est une agression sexuelle ou pas.

 

En quoi forcer un jeune non-consentant à subir un examen génital va rendre service à ceux qui sont consentants ?

Si un jeune a des problèmes de santé et n'est pas consentant pourquoi le forcer, c'est sa vie à lui, c'est pas la tienne. Occupes toi de ta vie à toi, pas de celle des autres.

 

Donc c'est une atteinte à la vie privée en plus d'une agression sexuelle. Car le fait qu'un jeune ait ou non des problèmes de santé, c'est sa vie privée, le médecin scolaire n'a pas à le savoir, c'est à chaque personne de révéler sa vie privée à qui elle veut, qu'il soit médecin ou non.

Le médecin scolaire n'a pas plus le droit que les autres personnes de connaitre la vie privée des jeunes. Le médecin est un être humain comme un autre, ce n'est pas un dieu qui a des droit supérieurs à ceux des êtres humains. Ce n'est pas un dieu qui a des droits sur le corps des êtres humains.

 

A mon avis, un jeune peu très bien forcer lui-même, pas besoin d'être médecin pour faire ça. Et je doute que forcer soit une bonne chose, car après le problème est de recalotter.

Pourtant ce n'est pas si simple, il existe pleins de cas où l'opération a été prévu.

il y a 8 minutes, Liberté1984 a dit :

C'est le consentement ou non-consentement de la personne qui détermine si c'est une agression sexuelle ou pas.

Non, c'est ton points de vue, pas celui de 33% des personnes interrogées sur ce forum. Tu peux au moins reconnaître que des tas de gens ont été examinés comme tu l'as été mais n'ont pas mal vécu l'examen dont tu parles ? Que cela en a même aidé certains ? Oui tu le comprends ou non tu ne le comprends pas ?

il y a 8 minutes, Liberté1984 a dit :

En quoi forcer un jeune non-consentant à subir un examen génital va rendre service à ceux qui sont consentants ?

Le consentement n'est pas un critère ultime de l'agression.

Il est non nécessaire et non suffisant :

-Si deux personnes se battent en duel au pistolet, elles sont d'accord entre elles et donc consentantes, mais ça reste une agression. => Consentement non suffisant

-Si une personne est en urgence vitale et qu'elle nécessite des soins, que son consentement ne peut être recueilli pour une raison ou une autre, il reste le devoir du médecin ou de tout moyen de secours d'intervenir. Pourtant ça n'est pas une agression => Consentement non nécessaire.

il y a 4 minutes, Toniooo a dit :

Pourtant ce n'est pas si simple, il existe pleins de cas où l'opération a été prévu.

Il me semble avoir lut que dans certains cas on peut se passer d'opération grâce à des exercices fréquents d'assouplissement du prépuce et que certains médecins étaient mal informés. Je me dis que si le jeune est dans l'un de ces cas, faut peut-être pas forcer jusqu'au bout. Mais ça on peut l'expliquer à un jeune de 14 ans, il comprendra sans aucun problèmes et pourra faire lui-même l'examen médical si il ne veux pas se faire toucher par le médecin.

il y a 1 minute, Liberté1984 a dit :

Il me semble avoir lut que dans certains cas on peut se passer d'opération grâce à des exercices fréquents d'assouplissement du prépuce et que certains médecins étaient mal informés. Je me dis que si le jeune est dans l'un de ces cas, faut peut-être pas forcer jusqu'au bout. Mais ça on peut l'expliquer à un jeune de 14 ans, il comprendra sans aucun problèmes et pourra faire lui-même l'examen médical si il ne veux pas se faire toucher par le médecin.

Les cas sont très rares puisque plus on est vieux, ça veut dire que le phimosis a duré, alors opération.

Vous voulez pas demander aux enfants s'ils sont d'accord pour aller à l'école aussi tant que vous y êtes ?

il y a une heure, Quasi-Modo a dit :

Merci de rappeler ce qui a été nié jusqu'à présent en boucle : avant oui, ça se faisait ce type d'examens. Nous l'avons tous connu, ceux qui fréquentaient l'école et ont plus de 35 ans doivent avoir connu ça. N'oublions pas de dire que cela a aussi aidé de nombreuses personnes à détecter des problèmes qui sinon seraient passés inaperçus. Seul un spécialiste peut le dire, pas même les parents et encore moins l'enfant lui-même ne peuvent être crus sur parole à ce sujet.

Il faut vraiment avoir l'esprit complètement retors pour voir une agression sexuelle dans un acte de soin médical qui relève de la routine chez les soignants.

Je suis entièrement d'accord avec vous. Ce type d'examen de jeunes garçons étaient usuellement pratiqués à l'école mais n'existe plus actuellement.

Ce n'était pas traumatisant : rien à voir avec une agression sexuelle.

il y a une heure, Liberté1984 a dit :

 

A mon avis, un jeune peu très bien forcer lui-même, pas besoin d'être médecin pour faire ça. Et je doute que forcer soit une bonne chose, car après le problème est de recalotter.

Si c'est un phimosis il arrivera à rien.

Faut pas confondre avec de banales adhérences préputiales.

Il y a 2 heures, Quasi-Modo a dit :

Non, c'est ton points de vue, pas celui de 33% des personnes interrogées sur ce forum

Désolé, mais des gens peuvent être en désaccord avec la vérité. Pour moi ce n'est pas une histoire d'opinion, de point de vue, mais de vérité, même si elle est difficile à expliquer.

Il y a 2 heures, Quasi-Modo a dit :

Tu peux au moins reconnaître que des tas de gens ont été examinés comme tu l'as été mais n'ont pas mal vécu l'examen dont tu parles ? Que cela en a même aidé certains ? Oui tu le comprends ou non tu ne le comprends pas ? 

On ne fait pas du bien à quelqu'un en faisant du mal aux autres. Tu dis qu'il ne l'on pas mal vécu, mais ils en souffrent peut-être de façon inconsciente. Par ailleurs faire subir aux non-consentants n'aide aucunement les consentants.

Je veux bien quand même admettre que ça a aidé des personnes consentantes.

Il y a 2 heures, Quasi-Modo a dit :

Le consentement n'est pas un critère ultime de l'agression.

Il est non nécessaire et non suffisant :

-Si deux personnes se battent en duel au pistolet, elles sont d'accord entre elles et donc consentantes, mais ça reste une agression. => Consentement non suffisant

Elles sont consentantes pour agresser l'autre. Etre consentant pour agresser c'est autre chose qu'être consentant pour se faire agresser.

Tu veux le cas particulier d'une personne consentante pour se faire agresser ? Prend le cas des masochistes.

Quand une personne est consentante, ça peut être quand même une agression, en effet, tu as raison sur ce point. Par exemple, si tu étais consentant pour l'examen génital de médecine scolaire, c'était peut-être quand même une agression sexuelle.

Mais quand la personne n'est pas consentante, c'est systématiquement une agression. Pour une raison simple, ça lui porte atteinte du fait même qu'elle subit quelque chose qu'elle ne veut pas subir.

Le non-consentement est suffisant pour déclarer l'agression.

Il y a 2 heures, Quasi-Modo a dit :

Si une personne est en urgence vitale et qu'elle nécessite des soins, que son consentement ne peut être recueilli pour une raison ou une autre, il reste le devoir du médecin ou de tout moyen de secours d'intervenir. Pourtant ça n'est pas une agression => Consentement non nécessaire.

Dans ce cas, je dit qu'on agresse la personne au cas où elle serait consentante. Puisque tu ne vois pas d'objections à ce qu'une personne puisse être agressée malgrès qu'elle soit consentante.

Le sans-consentement est suffisant pour déclarer l'agression. Là, d'accord, c'est une opinion, car je n'en ait pas la preuve.

Par contre la vérité c'est qu'un acte médical est un mal pour un bien, par exemple si il faut couper la peau pour opérer, alors le corps de la personne subit bien une agression du simple fait que la peau est coupée. Dès lors qu'il y a mal, il y a agression, même si l'on obtient du bien en échange de ce mal.

Voici la preuve: agresser = porter atteinte = faire du mal

De plus, le fait que certaines personnes ne souffrent pas d'un examen génital, et donc que sur eux il n'y a pas de mal, ne justifie pas de le faire subir à ceux qui en souffrent. Question de respect d'autrui.

Une personne peut également souffrir d'un examen génital forcé ou non de façon inconsciente. C'est peut-être ton cas.

Il y a 2 heures, Quasi-Modo a dit :

Vous voulez pas demander aux enfants s'ils sont d'accord pour aller à l'école aussi tant que vous y êtes ?

C'est un autre sujet, si ça t’intéresse il y a le livre "libre pour apprendre" de Peter Gray. Je ne l'ai pas lut, mais j'ai entendu dire qu'il défend la liberté des jeunes d'apprendre ce qu'ils ont envie d'apprendre, quand ils ont envie de l'apprendre.

Le cerveau d'un jeune n'appartient qu'à lui même, c'est comme le corps, à chaque personne de décider pour elle même les informations qui doivent ou non être emmagasinées dans son cerveau. Un cerveau humain c'est pas comme un clé usb prévue pour stocker des poésies et des livres littéraires, en fonction de notre volonté. On ne peut disposer du cerveau d'autrui comme on dispose de sa clé usb.

Forcer quelqu'un à subir des cours de musique alors qu'il n'a pas envie de les subir, c'est de la violence psychologique car ça le fait souffir, ça lui fait du mal.

Faillait le dire je jour de l'examen que tu n'étais pas consentant, elle ne t'aurais pas touché. Maintenant c'est trop tard.

il y a 9 minutes, Vintage a dit :

Faillait le dire je jour de l'examen que tu n'étais pas consentant, elle ne t'aurais pas touché. Maintenant c'est trop tard.

Le médecin a fait l'examen génital par surprise, et la visite médicale dans son ensemble m'a été imposée de façon autoritaire, je n'avais l'habitude de me rebeller contre les adultes en milieu scolaire à cette époque. On me donnait un ordre et j'obéissais.

@Liberté1984 Je suis sincèrement désolé pour toi que tu aies mal vécu ce qui aurait dû n'être qu'un protocole ou un contrôle de routine. Après je suis le seul visiblement à avoir répondu la troisième option : A réfléchir. Parce que je n'exclus pas que tu aies pu tomber sur quelqu'un de mal intentionné ou de vicieux, c'est pourquoi pour moi la différence doit se faire dans l'intention, au cas par cas.

Je pense en outre que lors d'une agression sexuelle il y a volonté d'exciter les zones érogènes de la victime, tandis que dans ton cas je pense qu'il s'agissait vraiment seulement de regarder si tu es en bonne santé. Si maintenant l'examen s'est transformé en attouchement, que la palpation est devenue une caresse, c'est difficile et je le comprendrai. Mais dans le cas que tu décris, j'ai vraiment l'impression que tu as un réel problème dans ton rapport aux corps, comme te l'a déjà dit chanou34.

Enfin c'est l'impression que ça me fait en toute sincérité, et pourtant je ne suis pas médecin !

PS : Je suis un peu monté au créneau, mais en restant gentil quand même, mais c'est parce que j'ai vécu certaines de tes réponses comme un manque de respect envers moi aussi

Il y a 10 heures, jacky29 a dit :

donc si le gamin ne veut pas, les parents doivent dire oui au choix du gamin en question? ok et si cette douleur provient de quelque chose de méchant, le gamin crèvera et c'est normal! parce que tu crois qu'une mère ou un père touchera son enfant sous le regard bienveillant du toubib qui devra expliquer en long et en large le pourquoi des manipulations et le comment pour les faire? tu rêves! sais-tu ce qu'est un toucher rectal pour savoir si c'est une appendicite ou si c'est autre chose? pour ma part, cela fut fait à 14 ans... et je ne m'en suis pas mal portée, au moins on a su si c'était une appendicite ou pas. pourquoi veux-tu qu'un médecin fasse un examen manuel du clitoris à une jeune fille de 14 ans? te sens-tu bien? je te le demande car il semblerait que tu ne sois pas au courant des faits. tu es d'une génération où le service militaire n'existe plus, pour le passage devant les toubibs des armées, tu aurais poussé des hurlements, donc! rires! examens sous toutes les coutures! à poil et pas de rouspétance!

"C'est la vérité, pas besoin d'être médecin pour savoir ça."

pour sûr c'est la vérité, c'est pour cela qu'une amie a vu, à sa puberté, descendre des bourses qui n'auraient jamais du être là... eh oui! c'est bizarre, hein!? un petit additif encore, tu étais donc capable de voir si un bouton bizarre ne bourgeonnait pas à la naissance du scrotum, chapeau mon garçu!  

une chose encore, toucher délicatement un clitoris ne donne pas de douleur. ceci pour ta gouverne! rires!     

j'espère que tu n'es pas père, je te le dis en toute amitié. 

Je le vois bien au service militaire au moment de la visite médicale celui-là...

Je me dis que c'est un troll...ou quelqu'un qui a un problème avec le sexe...et dont la toubib de la MS n'a pas grand chose à voir...