Je suis perdu

il y a 2 minutes, hell-spawn a dit :

Pourtant "l'amour est une chose trop sérieuse pour la confier a des militaires" c'était assez gros.

Mais tu ne connaissais peut etre pas la célèbre répartie de Churchill.

Là n'était pas la question. Bref, que ça ne te prive pas de faire de l'humour,  bien au contraire 

Le 06/12/2018 à 10:09, hell-spawn a dit :

Je voudrais dire ceci a l'auteur du topic qui doit etre bien malheureux, ce sont des expériences de ce genre qui détruisent un homme ou qui le change a jamais :

 

Plus on analyse en profondeur, plus on comprend que la femme n'est pas fiable car dans le domaine sexuel et amoureux elle n'a aucunes limites, c'est un abime.

On dit que la femme cherche en l'homme tous les hommes, et pour l'homme on dit qu'il cherche LA femme dans toutes les femmes, la différence est de taille !

Les seules femmes un peu fiables ce sont celles qui possèdent une grande volonté et une nature spirituelle qui les empechent de se laisser aller, des femmes qui ont peur d'elles memes.

Pour les autres, le seul moyen d'etre un peu serein avec elles c'est de les remplir totalement ( d'occuper tout l'espace disponible ) , sans aucune retenue, d'etre tous les hommes en un seul en quelque sorte.

 

Je me demande si le fait d'être dépendant(e) financièrement et matériellement, ou encore d'être lié(e) par un enfant ailleurs, n'amène pas certaines personnes à rester plus par confort ou obligation, que par amour. Ce qui peut aussi amener à une vie parallèle et à la tromperie. 

il y a 1 minute, Léna-Postrof a dit :

Je me demande si le fait d'être dépendant(e) financièrement et matériellement, ou encore d'être lié(e) par un enfant ailleurs, n'amène pas certaines personnes à rester plus par confort ou obligation, que par amour. Ce qui peut aussi amener à une vie parallèle et à la tromperie. 

Oui bien sur ça peut jouer, mais j'ai pas eu du tout l'impression que c'était le cas ici.

Il y a une chose importante qui a été rapportée, me semble t-il, c'est que la femme en question était dépressive.

Et une dépression n'est ce pas en premier lieu le sentiment, la sensation d'etre vide ?

Et quoi de mieux pour combler un vide qu'une sexualité débridée ?  Surtout pour une femme, s'abandonner totalement aux désirs farouches et impérieux de la masculinité, se laisser dominer pour ne plus avoir a se prendre en charge.

Il y a 17 heures, Léna-Postrof a dit :

Je me demande si le fait d'être dépendant(e) financièrement et matériellement, ou encore d'être lié(e) par un enfant ailleurs, n'amène pas certaines personnes à rester plus par confort ou obligation, que par amour. Ce qui peut aussi amener à une vie parallèle et à la tromperie. 

Bonjour Léna-Postrof, souffrez d'un baise mains

Nul besoin de vous le demander, c'est: 

Combien de couple j'ai connu ainsi. Mais j'ai  vu mieux encore, enfin plus stupide, c'est dans les générations, avant la mienne, des couples qui se supportaient absolument plus, rester ensemble par habitude. Evidemment c'était pas des entailles avec canif chez eux, c'était de vrais coup de sabre. Puis dire tromperie, est on trompé par une personne dont on se fou royalement, est on trompé par une personne qui vit peut être en couple avec vous mais qui vous est étrangère ?

C'est ce qui est aussi amusant chez certaine personne ( jeune pour moi ) qui évoque la fidélité des anciens des grands parents pour ceux qui ont  la cinquantaine aujourd'hui, bien la fidélité d'alors était d'un morbide, la vie en couple était d'un lamentable, ils restaient par convention, par confort, habitude, par ennuis aussi quand à l'amour il y en avait autant qu'une motte de beurre en broche sous un feu d'enfer. 

Il y a 22 heures, hell-spawn a dit :

Oui bien sur ça peut jouer, mais j'ai pas eu du tout l'impression que c'était le cas ici.

Il y a une chose importante qui a été rapportée, me semble t-il, c'est que la femme en question était dépressive.

Et une dépression n'est ce pas en premier lieu le sentiment, la sensation d'etre vide ?

Et quoi de mieux pour combler un vide qu'une sexualité débridée ?  Surtout pour une femme, s'abandonner totalement aux désirs farouches et impérieux de la masculinité, se laisser dominer pour ne plus avoir a se prendre en charge.

 

 

 

 

 

Eh bien cette jeune femme est étudiante, sans revenus et l'initiateur du sujet a peur qu'elle ne soit à la rue depuis leur séparation. Être dépendant(e) financièrement de l'autre, c'est vraiment très mauvais. La tromperie, j'interprète cela -et peut-être à tort- comme un échappatoire ou une fuite, ou alors il est possible de se mettre d'accord (ou non) en ce qui concerne le "pluriamour" au préalable. Là c'est une trahison.

Cette jeune femme était, selon lui en dépression, et lui-même l'étant depuis la perte de personnes chères, n'en avait pas conscience. Maintenant être en dépression veut tout et rien dire et c'est parfois déformation ou abus de langage (nous ne savons pas grand chose de cette jeune fille).

Alors, les personnes dépressives ont souvent plus envie de mettre un terme à leur vie, que batifoler... et c'est d'ailleurs très difficile pour l'entourage qui n'a de cesse de peser ses mots, et est toujours sur le qui vive. 

Il y a 5 heures, Promethee_Hades a dit :

Bonjour Léna-Postrof, souffrez d'un baise mains

Nul besoin de vous le demander, c'est: 

Combien de couple j'ai connu ainsi. Mais j'ai  vu mieux encore, enfin plus stupide, c'est dans les générations, avant la mienne, des couples qui se supportaient absolument plus, rester ensemble par habitude. Evidemment c'était pas des entailles avec canif chez eux, c'était de vrais coup de sabre. Puis dire tromperie, est on trompé par une personne dont on se fou royalement, est on trompé par une personne qui vit peut être en couple avec vous mais qui vous est étrangère ?

C'est ce qui est aussi amusant chez certaine personne ( jeune pour moi ) qui évoque la fidélité des anciens des grands parents pour ceux qui ont  la cinquantaine aujourd'hui, bien la fidélité d'alors était d'un morbide, la vie en couple était d'un lamentable, ils restaient par convention, par confort, habitude, par ennuis aussi quand à l'amour il y en avait autant qu'une motte de beurre en broche sous un feu d'enfer. 

Bonjour Prométhée_Hadès, révérence, 

J'en ai vu remettre le couvert puisqu'ils n'arrivaient pas à vendre leur maison -bien commun afin de prendre un nouveau départ- avant de réussir finalement à vendre, pour finir par bel et bien par se séparer. Parfois, la relation peut-être sauvée, et d'autres fois, la laisser mourir est gain de temps.

Dans tous les cas de figure, l'égo en prend de toute façon un coup et c'est aussi la confiance qui est trahie. 

(La motte de beurre en broche sous un feu d'enfer, c'est sympa, je retiens). 

il y a 36 minutes, Léna-Postrof a dit :

Alors, les personnes dépressives ont souvent plus envie de mettre un terme à leur vie, que batifoler... et c'est d'ailleurs très difficile pour l'entourage qui n'a de cesse de peser ses mots, et est toujours sur le qui vive. 

Eros et Thanatos.

Pulsion de mort, pulsion de vie.

De plus je ne vois pas ce qu'une relation sexuelle avec un "maitre dominateur" pourrait apporter quant a la sécurité financière.

et il y a le nombre de personnes avec lesquelles elle était en contact plutot "coquins"

il y a 56 minutes, hell-spawn a dit :

un "maitre dominateur"

Ça me fait rire cette expression 

il y a 57 minutes, hell-spawn a dit :

Eros et Thanatos.

Pulsion de mort, pulsion de vie.

 

De plus je ne vois pas ce qu'une relation sexuelle avec un "maitre dominateur" pourrait apporter quant a la sécurité financière.

et il y a le nombre de personnes avec lesquelles elle était en contact plutot "coquins"

Les gens et leurs fantasmes, vous savez... paraît qu'il ne faut pas chercher le comment du pourquoi, c'est quelqu'un qui m'a dit, je ne sais plus qui c'est/sait. 

Est-elle vraiment en dépression ou bien était-ce l'état de son couple qui la déprimait ? 

il y a 7 minutes, Colybris a dit :

Ça me fait rire cette expression 

Moi aussi, sauf qu'une fois je suis tombée sur une vidéo d'un maître dominateur -Patrick de mémoire- un vrai de vrai et passablement pas tatoué, qui s'est, entre autre, fait représenter sur une toile ("Louis XIV et ses soumises"). Mégalo, mon même pas vieux beau mégalo... et son petit air à la Strauss-Kahn. Il faut dire que j'avais cherché et tapé les mots. J'ai regretté. Curieuse, mais pas maso.

La collection de petites culottes en bocaux au sous sol c'est marrant -quoi que je préfère tout de même quand ils contiennent des confitures, voire des cornichons russes à croquer devant un bon thriller- mais alors le reste, beaucoup moins. 

il y a 39 minutes, Colybris a dit :

Ça me fait rire cette expression 

Oui, completement ridicule.

il y a 37 minutes, Léna-Postrof a dit :

paraît qu'il ne faut pas chercher le comment du pourquoi, c'est quelqu'un qui m'a dit, je ne sais plus qui c'est/sait. 

Ce n'est pas la tete qu'il faut se prendre, c'est donc ça le secret ?

il y a 2 minutes, hell-spawn a dit :

Oui, completement ridicule.

 

Ce n'est pas la tete qu'il faut se prendre, c'est donc ça le secret ?

 

La tête ou le pied ? 

Je suis toute confuse dans les expressions. 

il y a 2 minutes, Léna-Postrof a dit :

La tête ou le pied ? 

Je suis toute confuse dans les expressions. 

Remarquez que celui ou celle qui connait tous les secrets du pied ne peut etre qu'un ou une formidable amant(e).

Tout part du pied il parait.

Et puis arretez d'etre confuse, cet adjectif a tendance a m'exciter au féminin.

il y a 31 minutes, Léna-Postrof a dit :

Moi aussi, sauf qu'une fois je suis tombée sur une vidéo d'un maître dominateur -Patrick de mémoire- un vrai de vrai et passablement pas tatoué, qui s'est, entre autre, fait représenter sur une toile ("Louis XIV et ses soumises"). Mégalo, mon même pas vieux beau mégalo... et son petit air à la Strauss-Kahn. Il faut dire que j'avais cherché et tapé les mots. J'ai regretté. Curieuse, mais pas maso.

La collection de petites culottes en bocaux au sous sol c'est marrant -quoi que je préfère tout de même quand ils contiennent des confitures, voire des cornichons russes à croquer devant un bon thriller- mais alors le reste, beaucoup moins. 

Des "Patrick" derriere leur écran,  il y en a certainement beaucoup.... maîtres dominateur auto proclamés qui aiment piloter à distance leurs "soumises" . Effectivement il en faut pour tous les goûts. 

Révélation

 

plus c'est gros, plus c'est....

il y a 4 minutes, Colybris a dit :

Des "Patrick" derriere leur écran,  il y en a certainement beaucoup.... maîtres dominateur auto proclamés qui aiment piloter à distance leurs "soumises"

Ah mais ça marche parce qu'il y a aussi de la demande du coté féminin.

Les perversions masculines répondent aux perversions féminines ou inversement.

S'il en était autrement il y aurait un sexe plus monstrueux qu'un autre, beaucoup plus.

il y a 17 minutes, hell-spawn a dit :

Remarquez que celui ou celle qui connait tous les secrets du pied ne peut etre qu'un ou une formidable amant(e).

Tout part du pied il parait.

Et puis arretez d'etre confuse, cet adjectif a tendance a m'exciter au féminin.

Et ne dit-on pas partir du bon pied ?

Nan rien à faire je suis phobique du pied et maintenant j’ai un pied de hobbit en tête (c’est malin !). Je préfère définitivement et encore que l’homme lorgne sur mon décolleté plutôt que sur mes pieds.

Si vous êtes excité, allez donc guincher, c’est samedi soir, faut en profiter, c’est tarif réduit au Macumba. 

il y a 9 minutes, Colybris a dit :

Des "Patrick" derriere leur écran,  il y en a certainement beaucoup.... maîtres dominateur auto proclamés qui aiment piloter à distance leurs "soumises" . Effectivement il en faut pour tous les goûts. 

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plus c'est gros, plus c'est....

 

Croquant. 

Alors pas ce Patrick là, il y a une démo, hélas. 

il y a 2 minutes, Léna-Postrof a dit :

Nan rien à faire je suis phobique du pied et maintenant j’ai un pied de hobbit en tête (c’est malin !). Je préfère définitivement et encore que l’homme lorgne sur mon décolleté plutôt que sur mes pieds.

Si vous êtes excité, allez donc guincher, c’est samedi soir, faut en profiter, c’est tarif réduit au Macumba.  

Oh dommage quand meme pour vous si vous ne pouvez pas sentir que l'on vous touche les pieds, vous ne savez pas ce que vous manquez.

Guincher au Macumba ?  J'ai bien peur que ce soit un programme bien trop pauvre pour moi.

il y a 9 minutes, hell-spawn a dit :

Oh dommage quand meme pour vous si vous ne pouvez pas sentir que l'on vous touche les pieds, vous ne savez pas ce que vous manquez.

Guincher au Macumba ?  J'ai bien peur que ce soit un programme bien trop pauvre pour moi.

Si ce n’est pas fait exprès, je laisse la vie sauve. 

C’est toute de même une bizarrerie, d’en avoir après les pieds. Comprends pas. Il y a tellement d’autres parties du corps vraiment plus attractives. 

Vous êtes définitivement snob, et vous ne devriez pourtant pas, tant d’hommes et de femmes y  rivalisent d’élégance... 

il y a 3 minutes, Léna-Postrof a dit :

C’est toute de même une bizarrerie, d’en avoir après les pieds. Comprends pas. Il y a tellement d’autres parties du corps vraiment plus attractives. 

Vous êtes définitivement snob, et vous ne devriez pourtant pas, tant d’hommes et de femmes y  rivalisent d’élégance... 

Moi Snob !?    Que nenn(é)i  !

Non, le pied est une zone éminemment sensitive qui correspond a chaque partie du corps, c'est un plus d'en connaitre les secrets, mais je suis loin de faire une fixation la dessus.

Je peux meme pas dire que je me tiens dans l'élégance, non je suis seulement un cérébral.

Le 23/11/2018 à 18:00, Murgen a dit :

Bonjour à toutes et à tous.

 

C'est la première fois que je vais parler de ma vie sur un forum, mais je pense en avoir besoin.

La suite risque d'être longue mais je vais essayer de simplifier au maximum.

 

Alors voilà, j'ai 29 ans et je vivais avec ma copine qui en a 25. Je devrais dire, mon ex-copine. Elle m'a quitté il y a trois jours.

Nous nous sommes rencontré il y a plus de quatre ans sur internet, par le biais d'un site ressemblant à Facebook mais plus orienté pour les amateurs de jeux vidéos et de culture geek. Entre nous, ça a été rapide. Très rapide même. Il ne nous a pas fallu plus de deux mois pour tomber amoureux l'un de l'autre. Nous ne nous étions jamais vu réellement, juste une photo de notre visage. Tout s'est fait par écrit ou par appel en vocal. Elle est devenue ma copine. J'étais heureux, comme vous pouvez vous en douter. J'avais de la chance, j'étais tomber sur la femme parfaite pour moi et en plus, elle vivait à une heure de route de chez moi, en Alsace.

 

On se voyait tous les week-ends, voire même certaines journées en pleine semaine quand mon travail me le permettait. Puis, au bout de deux ans, la maison-mère de mon travail a voulu tout rapatrier en Auvergne. On m'a proposer d'aller travailler là-bas. J'en ai parlé à ma copine qui m'a juste répondu : "si tu pars, je te suis" ! J'étais aux anges ! Pensez-vous, nous allions enfin pouvoir vivre ensemble, et être l'un avec l'autre tous les jours. Nous nous sommes fiancés puis nous avons coulés des jours heureux, avec ses hauts et ses bas habituels. Nous communiquions énormément, sur tout. Surtout après les disputes, aussi petites soient-elles.

 

Puis tout s'est emballé cette année. Ça ne se passait plus bien du tout à mon travail et j'ai perdu ma grand-mère en avril. J'ai plongé dans une dépression. Elle était là, à essayer de me soutenir, me motiver, me montrer qu'elle était là. Mais rien n'y faisait, je ne voulait rien faire, je voulais juste rester chez moi et ne voir personne. Ensuite, pour ne rien épargner, c'est au tour de mon dernier grand-père de quitter ce monde. J'ai replongé encore plus bas.

 

Entre-temps, nous avions projet de déménager, quitter l'Auvergne et vivre une nouvelle aventure. La cible ? Toulouse. Parfait pour elle, qui voulait y faire son master, et pour moi, pour y trouver un meilleur travail. Ça a été un moment charnière dans notre couple je pense. Nous avons passé notre été à nous occuper de tout : recherche d'emploi, études, recherche d'appartement, etc... Nous n'avons fait que ça. Et notre couple ? On l'a laissé de côté... Ce que je ne savais pas, ou plutôt que ce que je n'ai pas voulu voir, c'est qu'en réalité, ma copine était elle aussi en dépression depuis quatre mois. Je ne m'en suis pas rendu compte, parce que j'étais égoïstement tourné sur ma propre détresse. Finalement en septembre, j'ai trouvé un travail stable et sympa, et j'ai pu remonter la pente. Et c'est là que j'ai fait une erreur. Pour exulter ces mois de repli sur moi-même, je me suis enfermé dans mes jeux avec mes amis, délaissant totalement ma copine. Je ne faisait que ça, jouer le soir en rentrant du boulot, et jouer tout le week-end.

 

Je m'en suis rendu compte fin octobre, mais trop tard. En effet, le 1er novembre (les dates sont importantes pour la suite) ma copine m'annonce qu'elle veut arrêter notre relation parce qu'elle ne sent plus d'alchimie entre nous. Elle a raison, mais je tente tout pour la garder. Je l'aime et je ne veux pas la perdre. D'autant que je m'en était rendu compte. Elle ne laisse pas la porte fermée, mais je dors sur le canapé à partir de ce jour. Puis, le 5 novembre, je rentre du travail, plus personne. Juste un mot, pour me dire qu'elle a besoin de prendre de la distance pour pouvoir réfléchir. Je lui demande si elle est au moins en sécurité, et c'est le cas. Le lendemain, elle me dit qu'elle est chez un ami, loin. Mais qu'il ne s'est rien passé, qu'ils ne se sont même pas touchés, que je peux encore lui faire confiance, et qu'elle aimerait rentré de suite. Je n'avais pas besoin de remettre sa parole en doute, j'avais une confiance aveugle. Je l'accueille à bras ouvert le soir même.

Je m’attelle désormais à faire des efforts. Je n'ai plus touché mon ordinateur pendant une semaine, juste pour avoir à nouveau le plaisir de passer du temps avec elle. Je me mets enfin à l'aider pour faire la cuisine (ce que je déteste). Mais je fais une autre erreur. J'ai envie d'elle. Et je deviens insistant devant son refus, et son envie de prendre son temps. Trop insistant. Je m'en rend compte. Mais je n'arrivais pas à dominer mon attirance pour elle.

 

Le week-end dernier, nous sommes allés chez ma mère afin de l'aider à déménager. Un voyage qui était prévu depuis plusieurs mois. Il était aussi prévu que le dimanche soir, ma copine prenne le train pour rejoindre ses parents qu'elle n'avait pas vu depuis longtemps. Je devais rentré à Toulouse seul. Soit, on se retrouvera plus tard. Dimanche soir, c'est un dernier baiser, une ultime "je t'aime" les yeux dans les yeux.

Et lundi soir, elle m'annonce avoir parlé avec sa sœur sur internet, et me quitte, parce qu'elle veut vivre autre chose. Je suis anéanti.

Le lendemain, je fais une bêtise si je puis dire. J'allume son ordinateur afin de lire cette conversation avec sa sœur, pour voir si ce n'est pas sa sœur qui l'a influencé pour me quitter. A ce moment, et encore maintenant, je ne comprend pas comment on passe de "je t'aime" à je te quitte en quelques heures... Sauf que, au lieu d'ouvrir messenger, qu'elle utilise avec sa sœur, j'ouvre machinalement discord (un logiciel comme Skype, pour ceux qui ne connaissent pas.). Et je tombe sur une conversation ouverte. Il s'agit de son tout premier copain avec qui elle discute. Je lis quelques phrases, par curiosité, et c'est le choc ! Elle lui dit avoir envie de lui, et d'autres choses salaces que je ne saurai vous faire lire. Et je vais ensuite de découverte en découverte. En effet, il n'est pas le seul. En réalité, depuis fin octobre elle entretient des "relations" de ce genre avec pas moins de cinq hommes ! L'un d'eux est même un maître dominateur (elle m'avait déjà dit que c'était un de ses fantasmes mais qu'elle ne voulait pas le réaliser avec moi.) à qui elle s'est soumise plus tôt dans l'année, avant d'arrêter, puis d'y retourner.

 

Puis je découvre aussi, que le fameux "ami" chez qui elle est allé, n'est pas celui annoncé. Elle m'avait parlé d'un ami avec qui il n'y avait jamais rien eu d’ambiguë (ce qui est vrai en plus...). En réalité, elle est allé voir l'un de ses "amants" et a couchée avec lui. Me voilà cocufié ! Encore plus que je ne le pensais en voyant les conversations. J'ai donc essayé de lui tirer la vérité de manière détournée, mais elle continue de me mentir.

En plus, je vais être obligé de la revoir, ses affaires sont à l'appartement. Mes amis me conseillent de la mettre devant le fait accompli avant de la mettre à la porte. Mais je sais qu'elle n'a nul part où aller. A part chez un de ses "amants" qui vit pas très loin de Toulouse.

Je ne sais pas trop quoi faire. Elle m'a rendu heureux pendant plus de quatre ans. et la savoir à la rue, me fait un petit quelque chose.

Voilà mon histoire. Merci à vous d'avoir pris la peine de lire ce long texte. Mais ça m'a fait du bien de l'écrire.

Alors, que pensez-vous ? Que dois-je faire maintenant ? Je suis totalement perdu dans mes sentiments, entre rage, tristesse, incrédulité et dégoût de moi-même. Elle a été ma première copine, ma première expérience sexuelle, ma première pour tellement de choses. Je ne sais plus quoi faire.

Bonsoir Murgen,

j'aimerais pouvoir te dire qu'il y a une solution à ton problème mais à part dans les contes de fées qui se finissent par "ils furent heureux et eurent beaucoup d'enfants ...", il y a peu d'élus et beaucoup de perdant à ce jeu.

La vie est dure et cruelle et il n'y a d'autre solution que faire comme tout le monde "prends le fric et tires toi"

Tu es encore jeune et tu finiras bien par prendre plaisir au jeu de la loose (love is a loosing game)

remontes vite à cheval,

good loque.

Il y a 4 heures, Léna-Postrof a dit :

Les gens et leurs fantasmes, vous savez... paraît qu'il ne faut pas chercher le comment du pourquoi, c'est quelqu'un qui m'a dit, je ne sais plus qui c'est/sait. 

Est-elle vraiment en dépression ou bien était-ce l'état de son couple qui la déprimait ? 

Si tu relis bien le texte et au besoin en comptant sur tes doigt, tu te rends compte que la fille est en dépression depuis 4 mois, alors que le gars lui tire la gueule depuis Avril c'est à dire  8 mois, donc c'est le comportement de son mec dans son couple qui la déprimait, si tu relis bien.

Par ce que enfin c'est pas facile pour moi me mettre dans la peau de la fille, mais je vois le gars, ça va pas au boulot, donc il rentre déjà maussade, et en avril il perd sa grand mère là il tire la gueule, j'essaye de le consoler , c'est ce que le gars à écrit quand on le lit, il m'envoie paître, il veut être seul, d'accord mais en tant que nana , je me sent rejeter, il veut pas parler, un couple ça dialogue. Quand ça va pas chez moi je discute avec ma femme, bon après c'est vrai je cherche des avis ailleurs, pour ne pas la faire flipper grave sur certain sujet. Quand ma femme à déprimer quand elle a perdu sa mère j'étais là, à lui remonter le moral. Bien la fille c'est ce qu'elle à voulu faire, et puis ensuite le type il est parti à jouer, oui ok , mais la fille là elle existe plus, il y a plus de dialogue, alors qu'elle déprime bien c'est normal, elle déprime par ce que le gars n'est pas à la hauteur.

Quand on lit bien le texte, bien la fille je la comprend plus que trop bien , et en plus je la trouve bien trop gentille.