Michel Onfray : Lettre à Manu sur son doigté et son fondement

L'audace de Onfray dans cette lettre ouverte me fait penser à celle de V Hugo dans son pamplet Napoléon le petit, un autre homme libre.. et juste.

il y a 1 minute, Miss Fleurette a dit :

L'audace de Onfray dans cette lettre ouverte me fait penser à celle de V Hugo dans son pamplet Napoléon le petit, un autre homme libre.. et juste.

 

Sur sa page numérique, la page hebdo est intéressante et autre lettre ouvertes pour manu  https://michelonfray.com/interventions-hebdomadaires/lettre-ouverte-au-president-manu-en-video-?autoplay=true&mode=video

https://michelonfray.com/interventions-hebdomadaires/ 

il y a 19 minutes, Miss Fleurette a dit :

L'audace de Onfray dans cette lettre ouverte me fait penser à celle de V Hugo dans son pamplet Napoléon le petit, un autre homme libre.. et juste.

 

Ouvrage qui lui valu un exil forcé et fut interdit très longtemps

Il y a 2 heures, Quasi-Modo a dit :

En effet, ça transpire dans tout son discours et d'ailleurs la lettre commence par justifier les familiarités qu'il se permet. C'est une façon de faire comprendre "sa vulgarité" en miroir au président.

Vulgarité d'Onfray, dis tu je préfère cela au tu traverses la rue, c'est nettement plus intelligent, me semble t'il

il y a 1 minute, voileux a dit :

Vulgarité d'Onfray, dis tu je préfère cela au tu traverses la rue, c'est nettement plus intelligent, me semble t'il

Ce n'est pas fin,

je reconnais.

mais tout a une fin.

et qui veut la fin

veux les ....

Et enfin

Porte toi bien

Il y a 1 heure, lemusicien a dit :

Ce n'est pas fin,

je reconnais.

mais tout a une fin.

et qui veut la fin

veux les ....

Et enfin

Porte toi bien

Merci

Je suis Onfray !

Il y a 3 heures, zebusoif a dit :

la comparaison Poutine / Macron résumée en 3 lignes.

Après ne tombons pas dans l'angélisme, ceux qui pensent que Poutine est un saint se trompent, c'est un requin. Mais bon je préfère les requins comme Poutine, qui ont une fierté, qu'un cafard comme Macron qui n'en a aucune.

Exact, il ne faut pas tomber dans l'angélisme.
Personne ne pourrait sérieusement prétendre que Poutine soit un saint , mais de là à en faire le diable en personne, il y a un pas que nos médias franchissent un peu trop souvent à mon goût, or l'angélisme du côté occidental n'est pas de mise non plus ;-)

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/09/28/01016-20180928ARTFIG00356-prive-de-france-culture-michel-onfray-arrete-l-universite-populaire-de-caen.php

Michel Onfray dénonce une décision politique. Sébastien SORIANO/Le Figaro 

Le philosophe a appris que ses cours donnés dans cette association d'éducation populaire qu'il avait fondée en 2002 n'allaient plus être retransmis sur la chaîne publique. Figure de la gauche devenue au fil des années volontiers politiquement incorrect, Michel Onfray dénonce une atteinte à la liberté d'expression.

il y a 9 minutes, Eugène.K a dit :

Personne ne pourrait sérieusement prétendre que Poutine soit un saint , mais de là à en faire le diable en personne, il y a un pas que nos médias franchissent un peu trop souvent à mon goût, or l'angélisme du côté occidental n'est pas de mise non plus ;-)

oui, pour moi c'est un diable, mais les autres aussi, Macron en est un, Trump aussi. Rien à admirer chez ces gens là

Il y a 19 heures, Mantis974 a dit :

J'ai été choquée par ce "bordel" aux Antilles, je pensais vraiment à une photo truquée. Je me sens moins seule en lisant et écoutant Onfray.

Le choc est visuel mais fugace. Une information scandaleuse en chasse vite une autre. Vous remarquerez que nous avons droit à des tombereaux de scandales ou d'égarements présidentiels, à la semaine. Nous en oublierions vite l'essentiel. 

Onfray a le mérite de mettre encore ici en exergue la personnalité mafieuse de ce qui nous sert de président, tout en étayant parfaitement. Il nous rappelle ainsi toutes les manigances de notre trop cher président. En l'heure actuelle où l'opposition est inexistante -les partis ont été décimés soigneusement avec le concours des médias, les têtes d'affiche annihilées, avec soin- ce sont les intellectuels qui ont toute place, et c'est bien plus plaisant à lire.  

Il y a 19 heures, Constantinople a dit :

Onfray a définitivement largué les amarres. Suicide médiatique total. De mauvais gout je dois dire, le genre de vannes homophobes que j'aurai pu faire.

 Ceci dit une fois la forme "passée" il reste le fond si j'ose dire : les points qu'ils soulévent n'en restent pas moins vrais. Aprfés des mois d'entendre les journalistes tourner sans fin autour du port, qu'un mec dise les choses franchement c'est pas plus mal.

Destruction semble être le terme approprié, d'autres auraient écrit plus volontiers "dépeçage". Au sujet de l'autodestruction d'Onfray... avec dans les 25% d'opinion favorable en faveur de Macron, l'heure ne semble pas être encore venue. Ses quelques détracteurs devront encore patienter, se suspendre à ses métaphores et jouer les fausses vierges effarouchées, faute d'arguments. 

Pourriez-vous citer le passage où Onfray aurait tenu des propos à caractère homophobe, violents, à l'endroit de toute une communauté, et avec précision, s'il vous plaît ?

Onfray, qui se définissait lui-même, il y a quelques temps encore, comme étant un "vrai" socialiste, aura aussi eu le courage d'avoir souligné notamment le caractère misogyne de certains "festoyeurs" invités à faire de l'Elysée, une boîte de nuit hard discount. Je trouve très intéressant qu'il ait été le seul à avoir compris qu'il subsiste une certaine "hétérophobie", une haine palpable à l'endroit des femmes, chez certains membres d'une communauté très protégée. Vrai socialisme ? Justesse et humanité. La gauche telle que nous l'avons toujours connue est une parfaite imposture. Onfray idéalise alors quelque chose qui n'aura jamais existée. Il y a évidemment eu quelques prises de décision en faveur du progrès avec certains ministres inspirés.

Il y a 18 heures, lemusicien a dit :

Toi le mal à pris,

le dévot...

comme un veau,

tu te glisses...

dans la peau d'un autre.

C'est trop grand, trop long

tes petits habits 

te sied bien comme une palanquin,

un pourfendeur,

Moi qui aime les fous

tu n'en ai pas un, 

juste une poule qui caquette

Un cadavre

 

Pigeon,

oiseau à la grise robe,

dans l'enfer des villes,

tu te dérobes

Tu es 

vraiment le

plus 

agile.

Il y a 17 heures, Ink 82 a dit :

Et vous ? Etaler sur deux pages un ressentiment pour le porteur d'un texte sans jamais expliciter pourquoi, ni s'attaquer au fond dudit message : quel intérêt ?

 

Cocasses reproches de celui qui a la grossièreté en bandoulière. Finalement, dans votre texte, on peut remplacer Michel Onfray par Fuck Them All et cela sonnerait déjà plus juste. Onfray, un libertaire, donc que j'apprécie peu, dénonce l'incompréhension dans la jupitérienne façon d'envisager l'Etat de notre président et la population. Couvrir des fraudeurs fiscaux, des conflits d'intérêts, des gens violents au plus haut sommet de l'Etat, abaisser la fonction aux petites phrases et aux poses douteuses ne paraissent ni servir la grandeur de la France, ni l’intérêt commun : n'êtes-vous pas d'accord ? Alors quoi ? Mais au-delà des affaires, parfois tout simplement il soulage qu'une plume couche sur une page ce qui flotte dans l'opinion. Votre sagacité, cher Fucked, n'aura pas omis les sondages.

Alors voilà juste un pamphlet bien écrit, pied de nez à la bienpensance et à la vulgarité qui se pense séditieuse : à des planètes des idéologies d'Onfray, j'applaudis tout de même. Parce qu'entre les vulgaires et les pieds tendres, il demeure de plus en plus difficile de trouver un raffinement qui flaire presque le babouvisme. C'est frais.

Bonne soirée à toutes et à tous

Très juste et remarquablement bien écrit.

Il y a 16 heures, Promethee_Hades a dit :

Bonjour Mantis, bisous

Chacun assume son exhibition,  Macron avec ses images, et la résultante ce que le peuple en pense avec Onfray.

Chacun assume ce qu'il fait Macron avec ses failles, Benalla etc...  Comme ce que l'on es en droit d'imaginer de penser, comme de dire

Ici je fut le premier à dire que cette affaire Benalla, sentait le cul, ça puait même ça, car tout est inconcevable sans passer par cette option qui la devient crédible.

Si Macron jette une crotte en l'air qu'elle lui retombe sur la figure,  faut pas s'étonner si quelqu'un dise qu'il pue la merde et que celle ci est sur sa face. 

Là il cherche par tout les moyen à gagner les Européennes, alors grande séduction auprès des électeurs, oui mais avec ses conneries, ça passe plus. Nous ne sommes pas dupe il nous jette à tout va de la poudre au yeux. 

Onfray n'est coupable de rien l'instigateur c'est bien Macron, car on ne commente que ses actions.

Macron n'assume pas, non. Aux prémisses de l'affaire Benalla, nous nous souviendrons de sa délicieuse "enrobade" auprès de députés strictement LREM. 

Il y a 8 heures, jacky29 a dit :

ma chère léna, en arriver à publier ce "poulet" démontre une chose: la connerie humaine n'a aucune limite... je suis fort déçue par onfray qui, finalement, ressemble plus à un "journaleux" d'un tabloïd anglais qu'à un philosophe qui connait la portée de ses mots dont découlent divers maux. l'ironie a ceci de drôle est qu'elle stigmatise autant celui qui en use que le sujet qu'elle touche. je n'ai jamais vu onfray faire rire de lui et vous? le président est loin de me mettre en joie mais il a eu le courage de s'attaquer à une certaine forme de lâcheté qui fait florès actuellement en politique. amusez-vous bien. jacky.

Jacky et Michel. Onfray un si joli couple *sourire en coin*

Sa plume est acide au possible, caustique, irrévérencieuse par instants. D'aucuns se contenteront de buter sur ses métaphores viriles, d'autres pourraient pousser la réflexion et éventuellement trouver proprement scandaleux que soient lancées des chasses aux hommes, des hommes qui n'ont commis pour seul crime d'avoir la pensée, libre (destitution, mise en place de philosophes pro-Macron et d'un autre âge semble t-il).

Il y a 4 heures, lemusicien a dit :

 

il est jeune, beau, compétant...

et je n'aimerai pas être à sa place,

car mouiller la chemise pour une bande de chenapan 

n'est pas une sinécure

mais une sacrée piqûre

 

Et il porte si bien le costume *pleins de petits coeurs rose poudré*

Onfray tire son inspiration de l'attitude pour le moins ambiguë du président de la république  lorsqu'il s'affiche en manu, il répond donc dans des termes que la situation invite à employer .

Finalement la gifle n'est que la réplique à une action détestable.

Alors on dira pompeux, grossier, mais c'est exactement ce que reflète ce semblant de familiarité mal placé de manu.

Il était président il est devenu le manu.

Il y a 2 heures, ouest35 a dit :

Ouvrage qui lui valu un exil forcé et fut interdit très longtemps

Exact!

Onfray a droit à son châtiment lui aussi,  France 5 lui a fait savoir que son interview programmée ces jours ci a été annulée et sans report.

il y a 5 minutes, Miss Fleurette a dit :

Exact!

Onfray a droit à son châtiment lui aussi,  France 5 lui a fait savoir que son interview programmée ces jours ci a été annulée et sans report.

C'est bizarre hein... encore une chaîne publique. 

il y a 6 minutes, Miss Fleurette a dit :

Exact!

Onfray a droit à son châtiment lui aussi,  France 5 lui a fait savoir que son interview programmée ces jours ci a été annulée et sans report.

Manu est rancunier.

il y a une heure, PASCOU a dit :

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/09/28/01016-20180928ARTFIG00356-prive-de-france-culture-michel-onfray-arrete-l-universite-populaire-de-caen.php

Michel Onfray dénonce une décision politique. Sébastien SORIANO/Le Figaro 

 

 

 

Le philosophe a appris que ses cours donnés dans cette association d'éducation populaire qu'il avait fondée en 2002 n'allaient plus être retransmis sur la chaîne publique. Figure de la gauche devenue au fil des années volontiers politiquement incorrect, Michel Onfray dénonce une atteinte à la liberté d'expression.

«J'arrête, cela fait seize ans que je me bats, je passe le flambeau», lâche Michel Onfray, amer, au Figaro. Le philosophe, célèbre pour ses ouvrages à succès et ses sorties souvent hostiles contre le monde politique et médiatique, a annoncé vendredi sur son site «qu'il ne donnerait pas cours cette année, ni les années qui suivront» à l'Université populaire de Caen. Ce penseur athée et libertaire a fondé cette association d'éducation populaire, ouverte à tous et gratuite, en 2002 et y assure chaque année ses enseignements, qu'il prononce devant 1500 personnes. Un petit exploit dans le monde de la philosophie.

» LIRE AUSSI - Michel Onfray est-il devenu le Zemmour de gauche?

Michel Onfray n'a pas supporté d'apprendre que France Culture mettait un terme à leur collaboration, ce que révélait Marianne dès jeudi. Chaque été, la chaîne radiophonique retransmettait ses cours. Avec succès, puisque, selon lui, «près d'un million de podcasts étaient téléchargés l'été». «Je n'ai même pas été prévenu directement. C'est mon éditeur, Patrick Frémeaux, qui m'a transféré un mail qu'il avait reçu de la directrice de France Culture», explique le philosophe au Figaro. «Sandrine Treiner met fin unilatéralement à [cette] collaboration sur la chaîne qu'elle dirige - avec pour tutelle un ministre nommé par Emmanuel Macron», écrit-il dans son communiqué, laissant entendre que la décision est de nature plus politique qu'autre chose.

Contactée par Le Figaro, la directrice de France Culture a réagi vertement aux propos du philosophe. «Il n'y a aucune pression politique, c'est ridicule. Nous l'avons énormément soutenu, mais il n'y a pas de passe-droit à France Culture et, en termes de pluralisme, la question se posait de diffuser chaque été un seul et même essayiste. Notre antenne est libre de tout pouvoir, du pouvoir politique, mais aussi du pouvoir de Michel Onfray», déclare, agacée, Sandrine Treiner.

«Reprendre le flambeau»

«Évidemment, personne n'admettra de pression politique», soupire Michel Onfray, qui estime que la liberté d'expression est en péril. «Certains en ont marre de Zemmour ou de Finkielkraut. Quand il y a une pensée critique, on préfère déconsidérer le penseur plutôt que d'affronter sa pensée. Il faut qu'Éric Zemmour soit raciste. Je ne sais pas ce qu'on va me trouver», lâche le philosophe, moqueur. Alors que Michel Onfray a lancé son Université populaire en 2002 en réaction à l'accession de Jean-Marie Le Pen au second tour de l'élection présidentielle l'année précédente, le philosophe n'hésite plus à élargir le spectre de la menace qui pèserait selon lui sur la vie publique. «La lutte contre les idées du FN qui avait motivé la création de l'Université Populaire en 2002, doit désormais être élargie à tous ceux qui mettent en péril la liberté de conscience, de pensée et d'expression. Ils sont bien plus nombreux qu'à l'époque. Plus nombreux et d'autant plus dangereux qu'ils sont désormais au pouvoir», écrit-il ainsi sur son site, visant Emmanuel Macron, qu'il n'épargne pas de ses commentaires politico-philosophiques depuis l'élection présidentielle de 2017.

La directrice de France Culture explique très différemment sa décision. «Les cours de l'Université populaire ont répondu à différents formats. Pendant de longues années, sa «contre-histoire de la philosophie» suscitait énormément de débats et était tout à fait stimulante. Michel Onfray était alors sur la grille de France Culture tout l'été du lundi au vendredi. Mais depuis l'année dernière, il a choisi un format beaucoup plus court et ne fait que reprendre ses livres. La moitié des quatorze heures d'enseignements est consacrée à un débat avec le public. L'été passé, on ne les a plus diffusés que le week-end. Pardon de dire que cela ne correspond plus à nos standards», lâche Sandrine Treiner.

 

Au-delà de son éviction de France Culture, le philosophe affronte d'autres difficultés avec son Université populaire. L'association entretient en effet des relations difficiles avec la mairie de Caen, où sont organisés la plupart des enseignements. «Pour la deuxième année, la ville de Caen n'a pas été capable de trouver un lieu susceptible de m'accueillir pour que je puisse y donner gratuitement les quatorze séances de mon cours», écrit Michel Onfray. «Le conseil d'administration de l'Université de Caen n'a pas accepté non plus de nous louer l'amphithéâtre de la faculté de médecine. C'est une décision idéologique», ajoute le philosophe au Figaro.

Depuis janvier, tandis que le reste des enseignements trouvaient encore place à Caen, c'est dans une autre ville de Normandie, Deauville, que Michel Onfray prononçait son cours, à l'invitation du maire LaREM Philippe Augier. De «La morphologie de la civilisation judéo-chrétienne» à «Vers la fin de la civilisation», une nouvelle série de quatorze conférences était prévue d'octobre 2018 à mars 2019 dans la station balnéaire. «La directrice de France Culture évoque aujourd'hui un programme d'organisation et me reproche de ne pas l'avoir prévenue assez tôt de mon programme, mais elle l'avait depuis six mois», se justifie le philosophe.

«Dorothée Schwartz, qui porte l'aventure à bout de bras avec moi depuis 2002, assurera l'intendance de l'Université Populaire pour l'année qui vient, conclut Michel Onfray sur son site. L'inauguration de la saison prochaine se fera sans moi le 12 octobre au conservatoire de musique de Caen. L'aventure est désormais entre les mains de tel ou tel de l'équipe qui souhaiterait reprendre le flambeau», conclut Michel Onfray. L'agora normande, qui a ouvert la voie de la philosophie à tant d'initiés depuis seize ans, est en crise. Une page se tourne, celle que Michel Onfray lui-même avait commencé d'écrire il y a seize ans. À l'Université populaire de trouver un nouveau philosophe à contre-courant pour allier pédagogie et liberté d'esprit

Je ne pense pas qu'un type vraiment subversif serait omniprésent dans les médias, et Onfray l' a été jusqu'à présent.

Cela dit c'est peut-être en train de changer. Peut-être qu'il devient , vu d'en haut , un peu subversif...

il y a 1 minute, Eugène.K a dit :

Je ne pense pas qu'un type vraiment subversif serait omniprésent dans les médias, et Onfray l' a été jusqu'à présent.

Cela dit c'est peut-être en train de changer. Peut-être qu'il devient , vu d'en haut , un peu subversif...

Pour la clique au pouvoir, tout ceux qui ne sont pas d'accord avec eux sont subversifs.

à l’instant, Gouderien a dit :

Pour la clique au pouvoir, tout ceux qui ne sont pas d'accord avec eux sont subversifs.

Ça fait du monde !;-)

il y a 1 minute, Eugène.K a dit :

Ça fait du monde !;-)

Oui! Et ça va en augmentant.

il y a 6 minutes, Gouderien a dit :

Manu est rancunier.

L'article date de 2015 !

https://www.lexpress.fr/actualite/politique/brigitte-l-autre-macron_1729861.html 

extrait : Elle s'appelle Brigitte, mais sa famille dit Bibi. Lui, c'est Manu. Et Bibi n'est pas toujours d'accord avec Manu. Il y a quelques mois, dans une interview au Wall Street Journal, le ministre de l'Economie évoque son ancien métier de banquier d'affaires chez Rotschild & Cie: "D'une certaine manière, on est comme une prostituée. Le boulot, c'est de séduire." Son épouse n'a pas aimé du tout: "Ce n'est pas très aimable", lui fait-elle remarquer à l'occasion d'un dîner avec des amis. "Tu as raison, ce n'est pas très aimable pour les banquiers", reconnaît Manu. "Non. Ce n'est pas très aimable pour les prostituées", tranche Bibi. 

Elle est comme ça, Brigitte Macron. Nature. Sans faux-semblant. "Une femme vraiment chouette, qui ne se prend pas la tête. Quelqu'un qui a l'appétit de la vie - pas le genre à chipoter dans son assiette", confirme l'un de ses proches. Un dîner avec François Hollande? Elle se moque gentiment du président, qui, dit-on, estime beaucoup cette quinquagénaire dont tout l'entourage loue la culture et la finesse d'esprit.  

La politique, ce n'est pas son monde: Brigitte Macron s'en tient loin, même si elle participe parfois à des réunions à Bercy. Pour elle, les lignes de fracture sont simples: il y a ceux qui apprécient son mari et ceux qui lui sont hostiles. Bibi aime ceux qui aiment Manu, et elle déteste les autres. Vous ne voulez pas la fâcher? Ne lui parlez pas de Stéphane Le Foll, qui s'est agacé plus d'une fois, racontent Renaud Dély et Henri Vernet dans Frères ennemis (Calmann-Lévy), des attentions réservées par le chef de l'Etat à son nouveau "chouchou".