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De l'espace et du temps

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aliochaverkiev

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Albert Einstein-"the meaning of relativity"

"Les concepts et les systèmes conceptuels trouvent leur justification exclusivement par leur capacité à coordonner les événements

Ils ne peuvent pas être justifiés par une autre manière.

Par conséquent c'est à mon avis un des actes les plus pernicieux des philosophes d'avoir transféré certains des concepts de base des sciences de la nature du domaine du controlable de l'adéquation empirique aux inaccessibles hauteurs de l'a priori

Cela s'applique particulièrement au concept d'espace et de temps que les physiciens, forcés par les faits, ont pu faire descendre des hauteurs olympiennes de l'a priori pour les réparer et les rendre utilisables"

Et l'autre voleur à la connerie non réparable qui nous parle d'Einstein qui définit l'espace par le sentiment 

Je sens que je vais me le claquer sur les murs ce pauvre type

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  • 3 semaines après...
Invité Spontzy
Invités, Posté(e)
Invité Spontzy
Invité Spontzy Invités 0 message
Posté(e)

Bon ben voilà, ça finit comme prévu sur les concepts du siècle dernier.

Pourquoi ne suis je pas surpris ? 

A +

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  • 5 semaines après...
Membre, Posté(e)
aliochaverkiev Membre 1 978 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je copie ici mon dernier post sur la relativité (édité en sciences) dans la mesure où il apporte quelques vues sur le concept de temps.

 

"Le jeune Einstein va revisiter complètement le concept de temps : « Nous devons prendre en considération le fait que nos conceptions, où le temps joue un rôle, portent toujours sur des événements simultanés. Par exemple, si nous disons « qu’un train arrive ici à 7 heures » cela signifie « que la petite aiguille de ma montre qui pointe exactement le 7 et que l’arrivée du train sont des événements simultanés »

 

Il y a simultanéité entre deux événements : l’arrivée du train et l’heure indiquée. Ces deux événements arrivent dans un même lieu ce qui permet de les déclarer simultanés.

 

«Il peut sembler que toutes les difficultés provenant de la définition du temps peuvent être supprimées quand, au temps nous substituons : la position de la petite aiguille de ma montre».

 

Tous les contenus mentaux liés au concept de temps sont ici évacués pour laisser place à une disponibilité totale d’esprit : le temps, c’est une indication relevée sur un instrument de mesure appelé « horloge ». Cette indication ne prend sens que si elle est simultanée à un autre événement.

Mais cette définition du temps n’est plus suffisante quand il faut relier des événements qui ont lieu à des endroits différents. Deuxième lieu lié à une deuxième horloge : comment estimer l’indication donnée par cette deuxième horloge à partir de la première horloge ?

 

Pratiquement nous sommes dans cette situation :

 

Un observateur est placé en A avec une horloge ce qui lui permet d’assigner un « temps » [une indication de l’horloge] aux événements relevés à proximité de A. Idem pour un observateur situé en B qui peut assigner un « temps » aux événements relevés à proximité de B. Mais comment comparer chronologiquement les événements en B aux événements en A ?"

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Membre, Slkpax, 154ans Posté(e)
Slkpax Membre 1 406 messages
154ans‚ Slkpax,
Posté(e)
Le 17/09/2018 à 23:44, aliochaverkiev a dit :

Je les note en parallèle sur un cahier car je me doute que certains ignorants magnifiques vont venir saccager mon travail. M

  En préambule à ma réponse, je tiens à souligner, en tout bien tout honneur votre instinctive arrogance.

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Membre, Slkpax, 154ans Posté(e)
Slkpax Membre 1 406 messages
154ans‚ Slkpax,
Posté(e)
Le 18/09/2018 à 10:22, zenalpha a dit :

Moi, j'ai rencontré Einstein et Feynman avec lesquels nous avons longuement correspondu...

  Mes excuses mais celà me semble hautement improbable, au regard de ton age. Vous semblez dénoncer la mystification...

  • Merci 1
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Membre, Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé, Posté(e)
azad2B Membre 5 932 messages
Le prendre au sérieux, nuit gravement à la santé,
Posté(e)

Ne t' inquiètes pas ! Il semblerait que celui que tu évoques ait quitté Feynman et Einstein pour aller rejoindre Chéri-Bibi au Royaume des déchus. :witch:

Modifié par azad2B
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  • 2 semaines après...
Membre, Posté(e)
satinvelours Membre 3 006 messages
Forumeur vétéran‚
Posté(e)

Quand Einstein se rend compte que les postulats qu’il retient pour établir la théorie de la relativité restreinte (principe de relativité + invariance de la vitesse de la lumière dans le vide) conduisent à remettre en cause l’absolu du temps et de l’espace il n’hésite pas à franchir le pas : le temps et l’espace ne sont plus des absolus mais des grandeurs relatives qui varient, dans le cadre de référentiels inertiels, comme varient les vitesses (constantes) relatives des dits référentiels.

Cette audace intellectuelle est certes remarquable mais elle a été rendue possible par toute une maturation philosophique (allemande) préalable. Dans la Critique de la raison pure, Kant déjà réfléchit sur la caractère absolu ou relatif de l’espace et du temps. Dans l’Esthétique transcendantale, il écrit, page 132 de l’édition de poche GF : « ceux qui affirment la réalité absolue de l’espace et du temps ne peuvent que se mettre eux-mêmes en contradiction avec les principes de l’expérience [suit une démonstration que je ne reproduis pas ici] ». Ceux-là Kant les appelle les physiciens-mathématiciens qui ont besoin pour avancer de certitudes. Ils sont selon lui en accord avec les principes absolus des mathématiques mais quand l’expérience les oblige à passer outre ces principes (ces certitudes apodictiques comme il écrit) ils sont incapables de transgression.

Les autres physiciens, Kant les appelle les physiciens imaginatifs. « L’espace et le temps ont pour eux la valeur de rapports entre les phénomènes ». Nous accédons ici au relatif. Pour Kant ces physiciens imaginatifs l’emportent sur les physiciens mathématiciens « en ce sens qu’ils ne rencontrent pas les représentations de l’espace et du temps sur leur chemin quand ils veulent juger des objets » Il décrit là l’état d’esprit du futur Einstein. La faiblesse de ces physiciens selon Kant c’est leur manque de maîtrise des mathématiques. En effet Einstein devra s’appuyer sur des modèles mathématiques conçus par d’autres que lui (son ancien prof de maths en l’occurrence qu’il n’appréciait pas trop!), sa maîtrise des maths n’étant pas suffisante pour penser des modèles mathématiques rendant compte de ses fulgurances intuitives.

  • Haha 1
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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

A mourir de rire...

Heureusement que le ridicule ne tue pas...

Le 29/11/2018 à 13:33, aliochaverkiev a dit :

Je copie ici mon dernier post sur la relativité (édité en sciences) dans la mesure où il apporte quelques vues sur le concept de temps.

 

"Le jeune Einstein va revisiter complètement le concept de temps : « Nous devons prendre en considération le fait que nos conceptions, où le temps joue un rôle, portent toujours sur des événements simultanés. Par exemple, si nous disons « qu’un train arrive ici à 7 heures » cela signifie « que la petite aiguille de ma montre qui pointe exactement le 7 et que l’arrivée du train sont des événements simultanés »

 

Il y a simultanéité entre deux événements : l’arrivée du train et l’heure indiquée. Ces deux événements arrivent dans un même lieu ce qui permet de les déclarer simultanés.

 

«Il peut sembler que toutes les difficultés provenant de la définition du temps peuvent être supprimées quand, au temps nous substituons : la position de la petite aiguille de ma montre».

 

Tous les contenus mentaux liés au concept de temps sont ici évacués pour laisser place à une disponibilité totale d’esprit : le temps, c’est une indication relevée sur un instrument de mesure appelé « horloge ». Cette indication ne prend sens que si elle est simultanée à un autre événement.

Mais cette définition du temps n’est plus suffisante quand il faut relier des événements qui ont lieu à des endroits différents. Deuxième lieu lié à une deuxième horloge : comment estimer l’indication donnée par cette deuxième horloge à partir de la première horloge ?

 

Pratiquement nous sommes dans cette situation :

 

Un observateur est placé en A avec une horloge ce qui lui permet d’assigner un « temps » [une indication de l’horloge] aux événements relevés à proximité de A. Idem pour un observateur situé en B qui peut assigner un « temps » aux événements relevés à proximité de B. Mais comment comparer chronologiquement les événements en B aux événements en A ?"

Achetez vous une montre pour Noel ! Et une montre à votre femme pardis !

Mais par pitié, laissez Einstein tranquille...

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Membre, Posté(e)
moch niap Membre 236 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

le temps n'est pas absolu ? il n'y a pas un changement irréversible ?

l'espace n'est pas absolu ? il n'y a pas un espace réel ?

tout cela est relatif ? à quoi ? 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a une heure, moch niap a dit :

le temps n'est pas absolu ? il n'y a pas un changement irréversible ?

l'espace n'est pas absolu ? il n'y a pas un espace réel ?

tout cela est relatif ? à quoi ? 

Lol

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Membre, Posté(e)
satinvelours Membre 3 006 messages
Forumeur vétéran‚
Posté(e)

Dans la Critique de la raison pure Kant poursuit deux objectifs : montrer les limites de l’exercice de la raison pure quand elle s’égare dans la spéculation hors sol (la métaphysique) mais surtout répondre à cette question: comment peut-on avoir des connaissances a priori (avant toute expérience) ? Il faut tout de même faire attention. Kant affirme que toute connaissance, d’un point de vue chronologique, commence avec l’expérience. « Nulle connaissance ne précède l’expérience » écrit-il. « Mais toute connaissance commencée dans l’expérience pourrait bien contenir, in fine, des connaissances issues du seul esprit » Question : comment ces connaissances, a priori, nous viennent elles ?

« Il existe une science, la métaphysique dont l’intention finale est de traiter du problème de Dieu, de la liberté et de l’immortalité mais sa méthode est dogmatique cad qu’elle s’engage dans cette étude sans examen préalable des réels pouvoirs de la raison pure » [critique : détermination de ces réels pouvoirs]

Comme la métaphysique utilise des concepts face auxquels il n’existe aucun objet donné par aucune expérience possible le métaphysicien ne risque pas d’être contredit. La métaphysique s’égare par mimétisme avec le raisonnement mathématique qui paraît lui aussi être « hors sol ». Mais Kant va montrer que les mathématiques ne sont pas l’effet du seul exercice de la raison pure car pour lui les objets mathématiques se pensent d’abord dans les formes pures de l’intuition que sont l’espace et le temps.

Il faut remarquer que Kant divise en deux « continents » les facultés humaines : celles qui dérivent de la sensibilité (qui contient les forme pures de la sensibilité ou de l’intuition que sont l’espace et le temps) et celle qui dérivent de l’esprit, de l’entendement (faculté de former des concepts) et de la raison pure. D’un côté la sensibilité, de l’autre l’esprit. Ces deux mondes en s’unissant donnent les connaissances. Sans la sensibilité (la perception) pas de connaissance, sans l’entendement (l’esprit) pas de connaissance non plus. C’est la combinaison des deux qui donnent les connaissances.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Il y a 2 heures, satinvelours a dit :

Dans la Critique de la raison pure Kant poursuit deux objectifs : montrer les limites de l’exercice de la raison pure quand elle s’égare dans la spéculation hors sol (la métaphysique) mais surtout répondre à cette question: comment peut-on avoir des connaissances a priori (avant toute expérience) ? Il faut tout de même faire attention. Kant affirme que toute connaissance, d’un point de vue chronologique, commence avec l’expérience. « Nulle connaissance ne précède l’expérience » écrit-il. « Mais toute connaissance commencée dans l’expérience pourrait bien contenir, in fine, des connaissances issues du seul esprit » Question : comment ces connaissances, a priori, nous viennent elles ?

« Il existe une science, la métaphysique dont l’intention finale est de traiter du problème de Dieu, de la liberté et de l’immortalité mais sa méthode est dogmatique cad qu’elle s’engage dans cette étude sans examen préalable des réels pouvoirs de la raison pure » [critique : détermination de ces réels pouvoirs]

Comme la métaphysique utilise des concepts face auxquels il n’existe aucun objet donné par aucune expérience possible le métaphysicien ne risque pas d’être contredit. La métaphysique s’égare par mimétisme avec le raisonnement mathématique qui paraît lui aussi être « hors sol ». Mais Kant va montrer que les mathématiques ne sont pas l’effet du seul exercice de la raison pure car pour lui les objets mathématiques se pensent d’abord dans les formes pures de l’intuition que sont l’espace et le temps.

Il faut remarquer que Kant divise en deux « continents » les facultés humaines : celles qui dérivent de la sensibilité (qui contient les forme pures de la sensibilité ou de l’intuition que sont l’espace et le temps) et celle qui dérivent de l’esprit, de l’entendement (faculté de former des concepts) et de la raison pure. D’un côté la sensibilité, de l’autre l’esprit. Ces deux mondes en s’unissant donnent les connaissances. Sans la sensibilité (la perception) pas de connaissance, sans l’entendement (l’esprit) pas de connaissance non plus. C’est la combinaison des deux qui donnent les connaissances.

Par quel mystère un type qui va en rubrique science nous expliquer les fondements de la relativité restreinte dont il ne pige pas le début du commencement vient il user et abuser de mathématiques là bas pour nous expliquer les limites des mathématiques vues par Kant ici ?

La vérité est qu'Einstein a démonté le fion de Kant sur son efficacité à rendre compte du temps avec des mathématiques qui...reprises par un grand comique comme vous...donneraient effectivement raison à Kant tant vous êtes nul....

Tout ce que celà montre...c'est que vous êtes nul...

 

Modifié par zenalpha
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Membre, Posté(e)
satinvelours Membre 3 006 messages
Forumeur vétéran‚
Posté(e)

Voici un post publié dans sciences-relativité, mais qui a aussi sa place ici.

« Ce qui empêche aussi de comprendre certaines théories de la physique c’est notre persistance à faire de l’espace et du temps des objets extérieurs. Nous avons tous des perceptions intérieures, que nous appelons sentiments, et parmi ces perceptions intérieures nous en avons certaines que nous appelons espace et temps. Mais quand nous projetons ces sentiments dans le monde extérieur (celui que nous appréhendons par les cinq sens) et que nous en faisons des objets réels indépendants de nous, de notre complexion d’êtres humains, alors nous nous empêchons de comprendre les théories actuelles des physiciens. Il n’est pas nécessaire pour démontrer cela de s’appuyer sur la théorie de la relativité. La croyance que l’espace et le temps sont des objets extérieurs à nous, qui s’imposent à nous par le biais de notre perception extérieure, croyance qui est d’ailleurs pire qu’une croyance, puisqu’il s’agit le plus souvent de certitudes conduit à des paradoxes, à des apories (contradictions insolubles) qu’il est possible d’illustrer par des exemples simples. J’en donne un dans un post qui suit.
Il faut bien faire attention de pas confondre l’espace-temps des mathématiciens avec ces sentiments. Ce que nous appelons espace temps en mathématiques c’est tout simplement un système de coordonnées spécifiques, un ensemble de quatre axes perpendiculaires les uns aux autres, ayant une même origine, arrimé à un « objet » une réalité extérieure, un référentiel. La convention est d’appeler cette construction : espace temps, termes qui n’ont rien à voir avec l’espace et le temps en tant que « sentiments » (perceptions intérieures) »

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 480 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a 21 minutes, satinvelours a dit :

Voici un post publié dans sciences-relativité, mais qui a aussi sa place ici.

« Ce qui empêche aussi de comprendre certaines théories de la physique c’est notre persistance à faire de l’espace et du temps des objets extérieurs. Nous avons tous des perceptions intérieures, que nous appelons sentiments, et parmi ces perceptions intérieures nous en avons certaines que nous appelons espace et temps. Mais quand nous projetons ces sentiments dans le monde extérieur (celui que nous appréhendons par les cinq sens) et que nous en faisons des objets réels indépendants de nous, de notre complexion d’êtres humains, alors nous nous empêchons de comprendre les théories actuelles des physiciens. Il n’est pas nécessaire pour démontrer cela de s’appuyer sur la théorie de la relativité. La croyance que l’espace et le temps sont des objets extérieurs à nous, qui s’imposent à nous par le biais de notre perception extérieure, croyance qui est d’ailleurs pire qu’une croyance, puisqu’il s’agit le plus souvent de certitudes conduit à des paradoxes, à des apories (contradictions insolubles) qu’il est possible d’illustrer par des exemples simples. J’en donne un dans un post qui suit.
Il faut bien faire attention de pas confondre l’espace-temps des mathématiciens avec ces sentiments. Ce que nous appelons espace temps en mathématiques c’est tout simplement un système de coordonnées spécifiques, un ensemble de quatre axes perpendiculaires les uns aux autres, ayant une même origine, arrimé à un « objet » une réalité extérieure, un référentiel. La convention est d’appeler cette construction : espace temps, termes qui n’ont rien à voir avec l’espace et le temps en tant que « sentiments » (perceptions intérieures) »

Connerie en barre...

La relativité, ce n'est pas du tout un système mathématique qui rend compte conventionnellement de l'espace et du temps qu'on éprouve par un espace temps mathématique qu'on éprouve pas...

L'espace temps est une révolution de l'espace et du temps qui se courbe, se contracte et se dilate physiquement 

Le trou noir est une réalité physique prédite par les équations de la relativité générale par exemple.

Ou l'équivalence de la masse et de l'énergie une conséquence physique de la relativité restreinte 

Ce qui limite la compréhension de la physique c'est une couche de connerie qui échappe aux lois de la physique.

Petit cadeau qui colle a votre compréhension d'Einstein 

 

Modifié par zenalpha
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