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La vie


Sethzoo

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Membre, 44ans Posté(e)
Souris Membre 7 messages
Baby Forumeur‚ 44ans‚
Posté(e)
Le 15/09/2018 à 14:51, bouddean a dit :

C'est à dire que pour moi, ne pas avoir ce qu'on aime veut forcément dire avoir ce qu'on aime pas et il n'est pas possible de s'épanouir en ayant ce qu'on aime pas, c'est dans ce sens que je le dis : il  faut avoir ce qu'on aime et non pas se contenter d'avoir ce qu'on aime pas  .

Pourquoi toujours AVOIR? Le bonheur me semble plutôt répondre à un besoin d'ETRE et non pas d'AVOIR.

Comme dirait l'autre (perdu le nom): "le plaisir se ramasse, la joie se cueille, et le bonheur se cultive". Ah oui c'est Bouddha ! (source: papillote Révillon)

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Membre, 29ans Posté(e)
Maelys13 Membre 1 185 messages
Baby Forumeur‚ 29ans‚
Posté(e)

Le bonheur est subjectif, on n’a pas la même définition ! Certains peuvent être heureux en gagnant beaucoup d’argent, alors que d’autres peuvent se contenter de voyager pour être remplis de joie. Pour profiter de la vie, je dirai qu’il faudrait trouver un truc qui nous fasse vibrer ou frissonner !

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Membre, 8ans Posté(e)
bouddean Membre 11 942 messages
Maitre des forums‚ 8ans‚
Posté(e)
Il y a 14 heures, Souris a dit :

Pourquoi toujours AVOIR? Le bonheur me semble plutôt répondre à un besoin d'ETRE et non pas d'AVOIR.

Comme dirait l'autre (perdu le nom): "le plaisir se ramasse, la joie se cueille, et le bonheur se cultive". Ah oui c'est Bouddha ! (source: papillote Révillon)

Oui, c'est pareil, si la phrase dit : " quand on a pas ce qu'on aime, il faut aimer ce qu'on a " dans ce cas vous la remplacé par : "quand on est pas ce qu'on aime, il faut aimer ce qu'on est" et normalement, ça vous éclaire sur le bien fondé de la première :D, et je ne suis toujours pas d'accord avec le fond .

Dire : "si on est pas ce qu'on aime, il faut aimer ce qu'on est ", veut obligatoirement dire qu'il faut se forcer a aimer ce qu'on est , puisqu'on aime pas ce qu'on est au départ ,et c'est la que je prétends qu'on ne peux pas :c'est ne plus être justement.

moi j'entends :

Vous n'aimez pas le monde dans lequel vous vivez ? Aimez le monde dans lequel vous vivez !

fé dodo cola mon p'tit frereu, fé dodo t'auras du lolo .

Toutes ces phrases toutes faites à la con m'énervent parce qu'elles endorment les gens, elles vont à l'inverse de l'éveil .

 

 

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Membre, 8ans Posté(e)
bouddean Membre 11 942 messages
Maitre des forums‚ 8ans‚
Posté(e)
Le 13/9/2018 à 09:15, Talon 1 a dit :

"Quand on n'a pas ce que l'on aime, il faut aimer ce que l'on a."

Dans un sens oui :

Si on donne au verbe  "aimer "  un autre sens qu'aux mots : " que l'on aime" 

Si on considère les mots : " que l'on aime " dans le sens : " que l'on apprécie " et qu'on donne au verbe : "aimer" le sens de prendre soin,soigner,  ça donne :

"Même si tu n'apprécies pas , que tu n'es pas content de ce que tu as , prends en soin quand même , soigne le quand même " 

Là oui, je suis d'accord, mais bon, vu qu'on me refuse souvent que "aimer "soit une action , je suis pas convaincu que beaucoup de gens l'ai compris dans ce sens .

 

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Membre, Talon 1, 79ans Posté(e)
Talon 1 Membre 24 272 messages
79ans‚ Talon 1,
Posté(e)
il y a une heure, bouddean a dit :

Dans un sens oui :

Si on donne au verbe  "aimer "  un autre sens qu'aux mots : " que l'on aime" 

Si on considère les mots : " que l'on aime " dans le sens : " que l'on apprécie " et qu'on donne au verbe : "aimer" le sens de prendre soin,soigner,  ça donne :

"Même si tu n'apprécies pas , que tu n'es pas content de ce que tu as , prends en soin quand même , soigne le quand même " 

Là oui, je suis d'accord, mais bon, vu qu'on me refuse souvent que "aimer "soit une action , je suis pas convaincu que beaucoup de gens l'ai compris dans ce sens .

 

Certains désirs nous sont inaccessibles. J'aimerais voler, je me contente de prendre l'avion. Le moins souvent possible. Et comme disait Descartes : mieux vaut changer ses désirs que l'ordre du monde. "L'anneau de Gigès. Gigès était un berger pauvre et heureux. Un jour, il trouva un anneau qu'il passa au doigt. Il s'aperçut qu'il devenait invisible quand il le frottait (bien avant le Seigneur des Anneaux). Il partit pour la capitale où il tua le roi, prit sa femme pour épouse et s'empara de son royaume. C'est la définition du tyran : celui qui gouverne sans en avoir le droit.

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  • 2 semaines après...
Membre, 40ans Posté(e)
Michel777 Membre 467 messages
Baby Forumeur‚ 40ans‚
Posté(e)

Salut ! On peut dire pas mal de choses sur la vie et chacun a sa perception des choses sur le sujet. Je dirais que tout simplement qu’il faut savoir tirer des leçons de nos expériences et apprendre à vivre constructivement. Le monde n’est pas parfait, mais on peut aussi profiter de petits moments de bonheur en compagnie de ceux qu’on aime.

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Membre, 57ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 57ans‚
Posté(e)

La vie? Une periode d'apprentissage de ce qu'il conviendrait de faire ou ne pas faire pour la vivre au mieux. Puis quand t'as à peu prés compris...tu meurs.

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Invité hell-spawn
Invités, Posté(e)
Invité hell-spawn
Invité hell-spawn Invités 0 message
Posté(e)
Le 12/09/2018 à 20:25, épixès a dit :

Qu'est-ce que le bonheur ? Si par cela nous entendons un sentiment de plénitude et de sérénité durable alors non seulement je n'y crois guère mais je ne pense pas que cela soit désirable.

J'ai connu quelques moments de bonheur lors de mon existence et s'ils constituent de précieux souvenirs je n'en ai pas retiré grand chose. Les épreuves que j'ai traversé, pertes, chagrin, échecs ont beaucoup plus contribués à me définir, m'ont poussé à l'introspection, à l'examen dépassionné de mes actes, de mes paroles, des stratégies que j'ai mises en œuvre pour parvenir à mes fins. Mes erreurs m'ont poussé à mûrir, à m'amender, à pardonner (car qui arrive à se pardonner ses propres fautes ne peut sans être injuste ne pas faire un pas vers la compréhension de l'autre), à devenir meilleur en somme.

Je ne souhaite pas faire l'apologie du malheur mais la recherche irraisonnée du bonheur me semble quelque peu frivole et je crois sincèrement que la douleur est un don précieux pour qui sait l'utiliser afin d'en tirer des leçons.

Je ne suis pas bouddhiste mais je suis sincèrement convaincu de la nature éphémère de nos sentiments, la fugacité de la satisfaction appelle d'autres contentements puis d'autres encore. C'est une course en avant menée avec des œillères où nous sommes tout entier concentré sur quelque chose qui nous fuit d'autant plus vite que nous le désirons. Je crois qu'il faut simplement apprendre à accepter le bon comme le mauvais et essayer d'en tirer le meilleur parti.

Je ne résiste pas à la tentation de citer de Musset avec ces paroles merveilleuses et tragiques qui très tôt ont constitué une de mes plus belle leçon de vie: "L'homme est un apprenti, la douleur est son maître, Et nul ne se connaît tant qu'il n'a pas souffert"

Certes, mais si a force de douleur et de solitude on a approfondi plus que les autres, on est plus mature, plus avancé sur le chemin de la connaissance, moins abusé, il faut que tout ça aboutisse a une plus grande sérénité, sinon a quoi bon ?

 

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Membre, 51ans Posté(e)
épixès Membre 1 815 messages
Forumeur alchimiste ‚ 51ans‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, hell-spawn a dit :

Certes, mais si a force de douleur et de solitude on a approfondi plus que les autres, on est plus mature, plus avancé sur le chemin de la connaissance, moins abusé, il faut que tout ça aboutisse a une plus grande sérénité, sinon a quoi bon ?

 

Dans l'idéal oui mais le chemin parcouru et les épreuves endurées ne le furent pas dans la finalité d'un objectif prédéterminé. Les vicissitudes de l'existence et les souffrances s'imposent d'elles même, certains en sortent brisés là où d'autres en sortent grandis. Le "à quoi bon" que vous évoquez me semble nous renvoyer à une finalité de l'existence elle-même et je ne crois pas en une telle chose, du moins ne l'ai-je pas découverte, ne ressentant en chemin que le vide glaçant et le silence de l'absurde camusien.

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Invité Barbara lebol
Invités, Posté(e)
Invité Barbara lebol
Invité Barbara lebol Invités 0 message
Posté(e)

Vivre c'est mourir !

Et envisager la mort c'est poser les vraies questions :

- Dieu existe-t-il ?

- Y a-t-il quelque chose après la mort ?

Notre cerveau a besoin d'un sens pour appréhender l'existence. Où est le sens ?

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Invité hell-spawn
Invités, Posté(e)
Invité hell-spawn
Invité hell-spawn Invités 0 message
Posté(e)
il y a 1 minute, épixès a dit :

Dans l'idéal oui mais le chemin parcouru et les épreuves endurées ne le furent pas dans la finalité d'un objectif prédéterminé. Les vicissitudes de l'existence et les souffrances s'imposent d'elles même, certains en sortent brisés là où d'autres en sortent grandis. Le "à quoi bon" que vous évoquez me semble nous renvoyer à une finalité de l'existence elle-même et je ne crois pas en une telle chose, du moins ne l'ai-je pas découverte, ne ressentant en chemin que le vide glaçant et le silence de l'absurde camusien.

C'est a ça que je pensais.

Et la seule réponse appropriée dans ce cas c'est de vivre comme Marceau, étranger et détaché de tout, un peu comme un zombie sensuel.

Il faut que la souffrance aboutisse a quelque chose de positif, qu'elle soit considérée comme un moyen d'apprentissage, d'éveil, sinon le plus intelligent c'est de vivre en prenant tout a la légère, faute de sens.

il y a 3 minutes, Barbara lebol a dit :

Notre cerveau a besoin d'un sens pour appréhender l'existence. Où est le sens ?

Et c'est en le recherchant que l'on devient plus intelligent.

Mais ça nous fait une belle jambe si, au fond, il n'y en a aucun.

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Membre, 51ans Posté(e)
épixès Membre 1 815 messages
Forumeur alchimiste ‚ 51ans‚
Posté(e)
il y a 49 minutes, Barbara lebol a dit :

Vivre c'est mourir !

Et envisager la mort c'est poser les vraies questions :

- Dieu existe-t-il ?

- Y a-t-il quelque chose après la mort ?

Notre cerveau a besoin d'un sens pour appréhender l'existence. Où est le sens ?

Que l'homme ait besoin de sens, c'est une chose. En percevoir un en est une autre. Qu'il y en ait effectivement un ou non ne dépend pas de nos attentes. Certains peuvent créer du sens en se focalisant sur la réalisation d'un objectif, d'une ambition ou encore sur l'accomplissement de soi mais ce ne sont que des dérivatifs qui nous occupent et nous détournent des questions à propos desquelles nous sommes condamnés à spéculer, croire ou pire encore: se réfugier dans une certitude.

 

il y a 46 minutes, hell-spawn a dit :

C'est a ça que je pensais.

Et la seule réponse appropriée dans ce cas c'est de vivre comme Marceau, étranger et détaché de tout, un peu comme un zombie sensuel.

Il faut que la souffrance aboutisse a quelque chose de positif, qu'elle soit considérée comme un moyen d'apprentissage, d'éveil, sinon le plus intelligent c'est de vivre en prenant tout a la légère, faute de sens.

Je suis d'accord avec vous pour dire qu'il faut savoir canaliser la douleur vers un mieux être, s'en servir de ciment pour consolider les briques de notre vécu et enfin, élever l'édifice d'un esprit apaisé ou plus aiguisé.

Malheureusement nous ne sommes pas tous égaux à la grande loterie de la génétique, l'objectif évoqué requiert une certaine capacité d'introspection, de lucidité devant ses erreurs et sur le monde, de force morale pour accepter une mécanique apparemment dépourvue de mécanicien et pour ne pas projeter nos espérances sur la réalité.

Et vivre sans se poser de questions ou en prenant tout à la légère est-ce moins légitime pour autant ?

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Invité hell-spawn
Invités, Posté(e)
Invité hell-spawn
Invité hell-spawn Invités 0 message
Posté(e)
il y a 3 minutes, épixès a dit :

Et vivre sans se poser de questions ou en prenant tout à la légère est-il moins légitime pour autant ?

Il me semble que c'est un signe d'immaturité, d'une conscience déficiente.

Ou alors il faut etre revenu de tout, avoir tout approfondi, en vain, et décider que le mieux est de considérer le monde comme un théatre ou il ne s'agit que de jouer.

Il y a la fameuse phrase de Nietzsche : Les grecs étaient superficiels...par profondeur"

 

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Membre, 51ans Posté(e)
épixès Membre 1 815 messages
Forumeur alchimiste ‚ 51ans‚
Posté(e)
il y a 1 minute, hell-spawn a dit :

Il me semble que c'est un signe d'immaturité, d'une conscience déficiente.

Ou alors il faut etre revenu de tout, avoir tout approfondi, en vain, et décider que le mieux est de considérer le monde comme un théatre ou il ne s'agit que de jouer.

Il y a la fameuse phrase de Nietzsche : Les grecs étaient superficiels...par profondeur"

 

J'aurais tendance à conclure de même mais on ne saurait blâmer celui qui manque de discernement, on pourrait certes le plaindre ou vouloir le changer….c'est sans doute très présomptueux mais je préfère rester le bon bramin qui refuse le bonheur du sot, satisfait pour une fois d'être en accord avec Voltaire.

Je n'avais plus en tête cette citation de Nietzsche: merci.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 707 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

 

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Membre, 51ans Posté(e)
épixès Membre 1 815 messages
Forumeur alchimiste ‚ 51ans‚
Posté(e)
il y a 51 minutes, zenalpha a dit :

 

Zenalpha, 

Cette vidéo d'Aurélien Barrau mériterait qu'on lui consacre un sujet en soi mais au final ce serait faire le constat de notre impuissance et de notre esprit velléitaire.

L'homme recherche avant tout le confort et la sécurité, la psychologie nous enseigne que nous ressentons plus vivement les pertes que les gains et donc craignons les premières trop intensément pour encourir les risques nécessaires à l'acquisition des seconds.

Les changements impératifs qu'ils nous faut opérer pour modifier nos habitudes de vies et les rouages de nos sociétés sont absolument radicaux: contrôle de la natalité, modification des habitudes alimentaires, gestion de l'énergie, arrêt quasi immédiat et total de l'utilisation des moyens de transport polluants.

Nous voyons tous ce que cela nous couterait en terme de restructuration, de sacrifices personnels et de confort mais les conséquences de l'inaction sont quant à elles encore à venir (du moins les plus dramatiques). Sacrifier du confort présent pour un bénéfice futur n'est pas dans notre nature, n'importe quel fumeur en attestera (même malgré lui). Oui ce serait l'attitude sage et raisonnable à adopter mais la responsabilité personnelle se dilue dans le collectif et la délégation des pouvoirs que nous avons confiés à nos dirigeants.

Mais nos dirigeants eux-mêmes ne peuvent pas grand chose: les premières mesures prises en ce sens se révéleraient tellement impopulaires que la menace gronderait contre l'ordre social et les responsables seraient remerciés ou reculeraient devant l'ire populaire. Sans compter que la plupart desdits dirigeants n'étant pas compétents en matière de science et d'écologie ne mesurent qu'imparfaitement la gravité de la situation. Ils sont pris entre les sirènes alarmistes (mais réalistes) des scientifiques et celles des experts mandatés et rétribués par les intérêts industriels et leur valse hésitation est alimentée par les mœurs du temps présent où le postmodernisme et les chantres du relativisme cognitif arguent de l'égalité de toutes les opinions.

Je ne doute pas que nous réagirons mais nous ne le ferons certainement pas avant que les conséquences les plus dramatiques ne se manifestent.

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Membre, 8ans Posté(e)
bouddean Membre 11 942 messages
Maitre des forums‚ 8ans‚
Posté(e)
il y a une heure, zenalpha a dit :

 

Pourquoi vous attendez que les politiques vous donnent l'ordre de faire ce que vous savez qu'il faut faire ?

 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 707 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 1 minute, bouddean a dit :

Pourquoi vous attendez que les politiques vous donnent l'ordre de faire ce que vous savez qu'il faut faire ?

Il faut faire quoi ?

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Membre, 8ans Posté(e)
bouddean Membre 11 942 messages
Maitre des forums‚ 8ans‚
Posté(e)
il y a 25 minutes, épixès a dit :

 

Les changements impératifs qu'ils nous faut opérer pour modifier nos habitudes de vies et les rouages de nos sociétés sont absolument radicaux: contrôle de la natalité, modification des habitudes alimentaires, gestion de l'énergie, arrêt quasi immédiat et total de l'utilisation des moyens de transport polluants.

 

Se fixer des objectifs inatteignables est la meilleurs excuse qu'on puisse se trouver pour ne rien faire, qui commence par déplacer une pierre déplacera une montagne  :D

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Membre, 51ans Posté(e)
épixès Membre 1 815 messages
Forumeur alchimiste ‚ 51ans‚
Posté(e)
il y a 10 minutes, bouddean a dit :

Se fixer des objectifs inatteignables est la meilleurs excuse qu'on puisse se trouver pour ne rien faire, qui commence par déplacer une pierre déplacera une montagne  :D

Se fixer d'autres objectifs que ceux mentionnés reviendrait à appliquer un onguent sur une jambe de bois, autant rester à jouer du banjo en souriant aux étoiles.

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